Cela fait maintenant un mois que l’équipe de recherche a retrouvé la flûte d’Akio mais depuis, plus rien.

Le jeune Nura commençait à supporter cette douleur qu’il avait au fond de lui, il recommençait même à manger correctement mais il avait bien compris que cette douleur ne passera jamais et à cause de cela, il ne s’entrainait plus et ne partait même plus en mission. Il restait toute la journée assis sur le toit à regarder les gens du palais qui s’activaient à leurs occupations quotidiennes. Le regard vide, il se repassait tous ses moments passé avec Akio. Son frèro à vraiment toujours était là pour lui et en pensant à ça,  il se rendit compte qu’il ne la même pas remercié une seule fois pour tout ce qu’il a fait.  Il serra son poing où se trouvait la flûte de son frère, tout en laissant une larme se glisser sur sa joue rougi par le froid. C’est là qu’il comprit qu’il n’a fait que mettre son frère dans des situations pas possible et qu’au lieu de l’engueuler, celui-ci n’a fait que de corriger ses conneries. C’était vraiment quelqu’un de bien et il est mort sans qu’il ne put faire quelque chose, lui qui c’était promis de le protéger… A ce-moment-là, une image de son frère lui souriant apparu dans son esprit, Sasurot ne put s’empêchait de lever sa main vers la direction où il voyait l’apparition comme s’il voulait l’atteindre. Mais l’image de son frèro était plus loin que le laissait croire son esprit.

Pourquoi tu es parti en me laissant seul ici ? Pourquoi hein ? Tu le sais pourtant que je suis qu’un demeurai qui ne comprend jamais rien et que sans toi je suis fichu !Akio, lui, restait là, sans bouger, tout en continuant à sourire.  
   
Ça n’a rien de marrant ! Et pourquoi tu me fixe comme ça ?                                                                                                                                                                      

Sasurot s’arrêtât d’un seul coup de parler tout en écarquillant ses yeux qui se remplissaient de nouveau de larmes.
Le jeune Chunin venait de se rappelait que les seuls fois où son frèro souriait de cette façon c’est qu’il était triste mais ne voulait pas le montrer.  

T’es un sacrer numéro frangin, même mort tu continu à essayait de me soulager. C’est bon j’ai compris le message ne t’inquiète plus pour moi…je reprends les choses en mains.  Attend toi à entendre mon nom de là où tu te trouves ! Akio fit un clin d’œil avant de s’éloignait jusqu’à disparaître complètement de la vue du Nura.

Sasurot s’essuya les yeux avant d’afficher un grand sourire comme pour le remercier d’être venu une dernière fois. C’est bon, il était de nouveau lui-même, maintenant il fallait rattraper le retard perdu. Il mit la flûte dans sa petit sacoche avant de descendre du toit et de prendre la direction de kiri. Il avait passé trop de temps ici à ne rien faire. Désormais il allait accomplir le rêve qu’Akio et lui avait en tête !