Ma désertion fut faite maintenant, depuis plusieurs semaines, même quelques mois ont passés sans aucune représailles de mon ancien village. J'ai dû bien cacher ma route. Enfin ça et surement l'idée qu'ils aient surement un plus gros gibier à traquer, des choses plus importantes à combler. Suna est dans un tournant qui sera surement un grand changement pour eux. Revoir Suna est un grand risque pour moi Surtout si je suis seul. Une chose qui pour le moment est le cas. J'ai des alliés, mais nos routes sont plutôt diverses pour le moment. Seul ma route me mene proche des frontières de Suna à Kawa no kuni, un lieux ou je dois trouver une organisation dont j'ai eux vent. Enfin cela et autre. Ma vie à Suna est révolue, plus rien ne peut me remettre sur le chemin d'un pays défendant des êtres inférieurs en dirigeant des hommes dont la force dépasse ses vermines sans valeur.

Une chose cloche. Le regard de certain agent de l'ordre des lieux. Une chose habituelle vous me direz, mais ces regards de peur est bien plus intense que d'habitude. Une renommée? Ou une mise sur ma tête? Cela m'étonnerait de Suna, les raison? Difficile a expliqué de manière courte. Plus le temps passe plus mon flair me dis de me méfier. Suna est proche et qui sais si l'on ne m'attend pas ici. Une fuite? Pas dans mes hommes peux être un homme ayant reconnu ma présence et ayant prévenu les autorités. Par sécurité je me mets à entrer dans un bar. Un bar ayant deux fenêtres donnant à deux petites ruelles différentes une entrée principale et une sortie derrière le comptoir. Je regarde les lieux puis pose plusieurs sceaux à des lieux différents. Certain visant des civils, d'autre dans des recoins stratégiques. Calculant la trajectoire d'ici à Suna, il faut a peine deux journées et mon arrivé ici fus déja depuis hier et une bonne demiè journée est passé. Si une personne est sur mes basques, il sera là dans les heures qui viennent.

Attendant, calme sans chercher d'ennui évitant de me faire remarque, je me mets à picoler comme un trou. Limite en me voyant on pourrait se méprendre à croire que je suis sociable. Le temps passe. Mes idées d'assaut se cumulent pour pouvoir réagir à toutes réactions. Dans un lieu avec des civiles aucune chance qu'ils fassent péter le bâtiment en tentant de me neutraliser. Quatre entrés et autant de lieux pour attaquer. Des murs pas vraiment épais et faciles à briser et donc un projectile pouvant venir de tout part. Ma réputation ne m'amènera surement pas une troupe d'élites. Enfin vous voyez le topo de mes pensées. Patient j'attends de voir si mon intuition ne me trompe pas.

C'est donc Kyoshi, l'un des rares Sunajin auquel j'ai un respect sincère. L'un des rares hommes m'ayant ébranlé dans mes idées sombres. Je peux sentir ça présence qui n'est même pas camouflé. Cet homme est fort. Je le sais par un combat amical que nous avons fait et sans compter que je sentais encore une nouvelle force en lui s'émaner. Ma désertion m'a fait rater ça pente vers une nouvelle force, j'en étais même jaloux rien qu'à sentir la présence qu'il dégage. Enfin même si ce n'est pas ce genre de chose qui risque de m'effrayer, je sais de manière claire et nette que je n'ai pas une seule chance face à un tel homme. Dans un combat il m'écraserait et ma recherche de puissance n'en est qu'à augmenter en voyant ça. Se posant juste à côté de moi. Je l'entends me proposer un verre. Il veut donc discuter avant de passer au chose sérieuse. Moi qui dans un future proche veut voir un Sunajin le temps fus bien plus écourté. Enfin j'aurais préféré voir n'importe quel autre homme que mon ancien camarade. Cet homme sait mon caractère et ma détermination dans les idées que j'entreprends. Faisant un signe positif et de me relancer la même chose, je me mets à lancer des paroles destinés à notre cher soldat de la patrie:

C'est donc toi qui fus appelé. Je savais bien que quelqu'un arriverait. Je m'attendais surement à des moins gradés. Enfin, les nouvelles d'une nouvelle tête au cœur de Suna se rependent comme une poignée de sable. Tu dois être content de revoir cette fameuse Zanshi.

Ça venus est simple et peut prendre une tournure qui peut paraitre comme la dernière discutions que je prends. Après tout, je suis face à l'un des plus puissants ninjas de Suna. Moi étant y a peu de temps un simple Genin ayant un don accru pour la survie. Le regard posé sur mon verre pour l'instant aucun de nous deux n'a vraiment regardé directement son ancien compagnon de route, un ancien équipier auquel on peut confier ça vie dans un instant éphémère, mais toutefois risqué:

Je me rappel de ma première rencontre avec un membre de ton clan. Cet enfoirée à jouer de ça maitrise de la chaleur corporelle pour me gagner en combat de beuverie.

Je regarde autour de moi comme pour vérifier s'il n'y a aucune autre personne étant venue avec lui. Même si personnellement, je ne pense pas qu'il n'a pris une autre personne. Seul face à moi il aura moins de chance d'avoir un allier blessé. Du moins c'est ce que je pense, mais qui sait comment le village à pus réagir à ma présence.

Haa, Suna ce village dont tant d'histoire s'est passée. J'en oublie l'idée même du village qui est de protéger chaque citoyen, j'aurais presque pu regretter de quitter ses lieux. Enfin, c'est ainsi, je suis loin d'avoir trouvé ce que mon vieux croulant a cherché à me montrer en me mettant dans un lieux dit civilisé. Qui sais je n'ai peux être jamais était fait pour ce genre de frivolité. Le bruit du bar, les hommes criant ou la musique des lieux est à peine palpable par nos deux détenteurs de pouvoir pour les raisons simple, faire attention au moindre geste suspect de son interlocuteur tout en restant attentif au dire de l'autre. Les mots qui pour le moment montre une certaine franche camaraderie peut rapidement basculer à des sujets plus sérieux voir même à une dispute des plus dangereuses pour qui que se soit. Comme l'a si bien dis ce cher blondinet d'une manière vraiment subtile. Je ne fais plus partit des services de défense du village de Suna. Je ne suis plus un homme devant faire les missions que le village nous demande de faire. Prononcer un mot direct à ce genre d'interlocuteur pourrait être pris comme de la trahison pour certain. C'est surement pour cela qu'il prononce à la troisième personne. Une question posée subtilement et de façon bien délicate. Là je reconnais bien les manières de mon cher dinosaure vert:

Tu sais que Phénix est morte? Surement la langue coupée affin d'éviter de donner des informations sur le village et sur moi-même. J'ai produit sur elle ce que l'on peut appeler des mécanismes psychologiques. La même façon que ceux que produisent les villages sur des jeunes Shinobi pour des missions ultras secrètes. Une manière plutôt efficace si l'on souhaite obtenir un parfait petit soldat.

La vérité, c'est aussi que sans cela elle n'aurait surement par survécue dans ce monde. Un esprit faible que j'ai endurci de la manière d'un soldat. Cependant cette malédiction du clan Kyu ne me permet plus de regret. L'obscurité ayant envahi mon âme je ne sens même pas de la peine pour cette personne ayant suivit mon chemin. Ses longs moments passés pour le village au milieu du désert:

Je pense ressentir plus de choses? Un sentiment de tristesse peut être pourtant cela n'a que duré quelques secondes et plus rien. Comme si elle n'existe plus. Je mentirais si cela fut la raison de la disparition du Barbare. Elle en fut simplement une petite pierre sous les décombres, une chose dont même moi je ne m'aurais pas cru de ma part.

Ce que dit notre cher Yamana sur les sentiments n'est pas vraiment faut et cela même s'il est trop tard pour moi, je pense que même avec cette hypothèse, en trouvant ce genre de sentiment faible et ayant la capacité de l'éteindre définitivement. J'aurais tout de même fait la même chose que maintenant. J'ai changé et le fait que cette malédiction que mon clan à reçu rend ma noirceur définitive quand elle s'empare de moi entièrement elle n'en ai pas une réelle malédiction, mais plus une force apparente. La noirceur de mon âme étant maintenant à son optimal. Je me dois plus qu'avoir une force de vrai titan. Cependant mon corps a atteint ses limites physiques et mon chakra ne veut plus augmenter. Je me dois de palier à ce problème qui semble insurmontable. Enfin comme si un défi de cette valeur méritait. Calme sans la moindre once de peur pour l'avenir, la discutions semble continuer. À en croire la tournure on dirait que je cherche à trouver des excuses pour mes actions, ou que l'on m'ouvre ou nouvelle voie. Loin est l'idée que je me fais de mon avenir. Rebrousser chemin la queux sous les jambes suppliant de revenir dans un Pays que je ne supporte plus. Comprendre les ruines pour découvrir le fond de ce qui c'est passé. Cela semble être une mauvaise blague d'une voyante téléphonique, voulant endiguer une doctrine par des dires des plus farfelu. Pourtant les mots de notre cher contrôleur de chaleur corporel semblent plutôt étonnamment ingénieux:

Pourtant s'en est plutôt cocasse. Regarde ce que devient le monde. Nous cherchons tousses une once de vérité dans cet amas de merdes. Les hommes de pouvoir ou de puissance nous pisse dessus sans même nous faire croire qu'il pleut et sur ces sujettes personnes ne se met à enquêter. Ninja mit au profit d'un pays. Je ne conçois pas cette hypothèse, mais cette idée ne mets pas aussi cette logique dans les dangers internes? Regarde. Rei venant du jour au lendemain et venus au trône. Il a posé son cul dessus pour nous endiguer ses commissions royales et cela avec seulement une poignée d'hommes se révoltant qu'il à balayer aussi facilement qu'en tirant la chasse. Cela étant la même chose se produisant avec notre nouvelle chef. Activement reverché et surement plus que ma personne, elle s'assoit aussi sur les autres avec les louanges. Une chose s'accompagnant d'une étonnante action deux semaines plus tard. Au pays de Kumo. Sans aucune victime. Il arrive à prendre sous les yeux de tous un Ninja criminel de premier ordre. Enfin sans parler de l'hypocrisie de ses pairs. Une paix pour la guerre qui ne va pas sans libération forcé des otages faite par la guerre. Se monde cherche à se faire battre. Pourtant personne ne semble s'en préoccuper.

Un temps de pose. Un verre se vidant d'une gorgée tout en faisant signe d'en prendre un autre. Sans même attendre que le barman ne s'éloigne mes paroles se mirent à revenir sur le sujet:

Sans parler de la désertion d'un Barbare. Quelle village ne voudrait pas d'une main d'œuvre sans risque de montrer qu'elle agie pour elle et donc de faire la sale besogne en toutes discrétion. Un Nunkenin n'est pas le mieux placé pour une telle chose? Je me demande même si cela n'était pas aussi le cas de l'homme masqué tien.

J'ai bien changé depuis que j'ai quitté le village. Je ne discute plus vraiment pour des raisons futiles ou pour simplement cogner sur le premier ayant osé m'adresser la parole et mes dires sont posés de manière plus professionnelle. Une chose plutôt drôle, car c'est bien en quittant le lieu professionnel que j'ai adopté cette aptitude plutôt changée dans mon comportement.

La vie est faite de choix, d'ombre et de lumière, de force et de faiblesse. Rien dans ce monde échappe aux choix que l'on décide. Renier ses envies, dévier de se que l'on est, n'est qu'idiotie. La discutions n'est guère troublante. Le Yanosa qui semble vouloir éviter, les paroles sur des actes dites historiques ne me gène pas vraiment. Après tout, se n'est plus vraiment mes affaires, même si je ne dis cela que pour expliquer les raisons de ma fuite du village, elles en reste quand même plutôt troublante. Des évènements montrant que ses villages cachent aussi des choses à leur peuple, mais surement aussi aux hommes défendant leurs causes. Si du moins ils défendent véritablement ses causes qui sont dites au grand jours pour laisser place à ceux étant bien plus obscure. Rei ancien chef de Suna en est la preuve même en provoquant une guerre pour des raison toute autre et dont le monde ne sait encore (sauf si j'ais zappé un paragraphe). Me levant de la chaise tout en poussant légèrement le tabouret. Je me met à rester débous devant le comptoir. Je ne suis pas vraiment habitué à tant de confort. Une chaise, une table. Toutes ses choses rendent les hommes simples dépendant d'un certain train de vie et de confort. Plus les hommes en ramassent, plus ils en veulent et cela n'est pas que sur le point monétaire, mais en tous, pouvoir, force, ambition, lien. Je ne suis pas une exception. Mon caprice le plus grand étant la puissance. Une force que je veux et à n'importe quelle moyen.

Suna est pour moi au dépars un lieux dont le vioque dont j'ai supporté la présence un certain temps m'a fait promettre d'aller. Une chose dont il a réussi en me promettant mont et merveille. Des choses dont je n'ai vue que trop rarement le bout. Plus le temps passe et plus je ressent le village se méfier et prendre une emprise sur mes faits et gestes. Je pense même que ce village m'a empêché d'évoluer correctement. finissant mon verre, en voyant que Kyoshi semble s'impatienter sur l'idée de s'avoir se qui se trame dans ma tête affin de savoir les raisons me faisant partir de chez ceux m'ayant entre guillemet recueillit:

Les basses besognes? Suna nous donne quoi à pars faire se qu'ils n'on pas le cran de faire? L'argent serait surement une raison plus intéressante de déserter et en sachant l'avarice dont je fais preuve, ça m'aurait bien put. Enfin après, je ne suis pas du genre non plus à me gêner pour prendre. Non, c'est bien pour quitter cette prison dorée, cachée par des conforts quotidiens que je suis partit. Puis un homme telle que moi n'a pas ça place dans un village telle que Suna. Sauf pour servir de première ligne ou pour le mettre à faire les taches ménagères, donc que se soit en tant que Nunkenin ou Sunajin autant que je puisse avoir le choix des besognes que je fais et changer n'est pas dans mes projets. Puis, j'ai mes propres visions de ce monde. Je veux vaguer comme la tribut du clan Kyu. Haa tu sais que j'ai un clan moi? Un clan de vagabond voyageant dans le monde pour rependre la paix et aider autrui. Ca me donne envie de gerber rien que d'y penser. Enfin on n'est plus que trois du même sang maintenant. Sinon, toi, dis moi se qui te tant poussé à rester dans ce village?

Question faite par simple curiositée; Je veux bien savoir se qu'un homme d'un autre tempérament peut bien avoir comme raison de suivre cette route. Suivre la voie de son village? Elle change aussi vite qu'elle change de chef, comme le fait que l'on suis des idées qui nous sont parfois inconnue et non divulgué. Cela m'importe peu et il y a même de grande chance que je ne capte même pas la raison. Enfin, qui serais-je pour ne pas tenter de comprendre une idée venant d'un homme cherchant à comprendre la mienne de raison et cela même si pour les yeux de tousses je ne suis qu'un ours sans raison. Se qui est surement en partit vrais.

Oui, c'est bien le Kyoshi que je connais. Un homme droit et militarisé. Je sais que la vie lui a aussi joué des tours plus que triste, mais je suis loin d'être le genre de mec qui tend l'épaule à d'autre. Lui, il l'est. La preuve même de ça présence. S'il y a bien un homme dont je regretterai dans Suna, c'est bien le sien. Pour ça noirceur? Non, une chose différente, surement ce que l'on appelle de la sympathie, ou plutôt du respect envers un homme qui à d'autre idéos que les miens. Après m'être levé, voilà que l'on vient au fait. Me ramener à Suna. C'est vrai que si j'ai envie de revenir et de faire soit une sortie moins risquée. La porte qu'il m'ouvre et la moins risquée, mais es-ce genre de détail qui fait mon caractère premier? Lui-même doit se douter de ma réponse :

Je n'ai que faire des valeurs que ce monde donne aux gens. Enfin, si une personne dans ce village me manquera, ce sera bien toi Kyoshi. L'un des seuls hommes don j'ai du respect et qui ne porte pas la marque d'une âme déjà déchut. Une chose est sur c'est que le passé ne peut être balayé d'un coup de vent n'est pas?

Finissant mon verre avant que Kyoshi ne fasse une quelconque action je me mets à dire:

Par précaution, quand j'ai vu les regards des hommes vous ayant surement prévenus de mon arrivé. J'ai posé des pièges dans toute cette baraque. Elle vise plusieurs civils. Je ne compte blesser personne ce n'est gère dans mon intérêt. Je cherche simplement à quitter les lieux sans dégât. Tu attaques se sera un vrai carnage. De plus il y à d'autres Sceau posés plus loin. Chacun fera mouche à coup sûr. Enfin dernier......

Là d'un coup utilisant ma technique de charge rapide, je prends les devants pour courir le plus rapidement possible en sortant par la fenêtre. Un sceau au dos pouvant faire apparaitre mon bouclier qui est ma meilleure défense. Qui sais. L'action ainsi faite n'est pas faite sans montrer les nombreux sceaux sur les murs et autre plateforme. Les risques prirent en l'attendant au lieu de quitter les lieux directement étaient faite par la simple manière de pouvoir occuper ses hommes le temps de ma fuite, qui auront déja pas mal à faire à fouiller tout le village. Sans cela qui sait combien de temps j'aurais dû fuir avant de réussir à les semer. Maintenant à savoir si mon plant a marché. Cela je l'espère, car c'est la seule paire que j'ai sous la manche et autant dire combattre un homme tel que lui n'est pas encore dans mes cordes. Enfin mourir des mains d'un tel homme sera déjà une fin honorable. Maintenant à savoir qu'elle souvenir gardera-t-il de moi? Celle d'un ancien partenaire ayant changé de camp ou celle d'un traitre?

hrp:

S'en est d'une évidence flagrante. N'importe qu'elle autre Ninja de Suna n'aurait pue réagir avec tant de tact. Ne pas risquer la vie des citoyens et trouver une façon de m'empêcher de quitter les lieux avec pourtant la vitesse actuelle en devient plutôt impressionnante, digne d'un grand chef. Un véritable homme que j'ai là. Un type qui n'a pas froid aux yeux et dont les sens aiguisés du combat en deviennent presque parfaits. Je suis bien loin de valoir ses prouesses au combat, mais cela ne veut quand même pas dire que je ne me laisserais faire sans tout tenter. Comme cela se devine notre homme se met à jouer un de ses tours. Un tour des plus étonnant, car je ne connaissais même pas cette facette de sa combativité. Il utilise aussi l'élément de l'eau cette eau tellement ingrate. Pourquoi ne pas utiliser du bourbon ou toute autre liquide bien plus noble. Enfin ma route tracer, je regarde au loin et vois comme une barrière se former et l'eau rapidement venir en ma direction. Droite, gauche, tous lieux semblent entourés d'eau venant comme une trombe à son épis centre. Mon sourire de satisfaction d'avoir pue fuir le lieu sans dommage fut plutôt enlevé de mon faciès. Rapidement mon sceau s'activant. Le bouclier que j'ai préparé en cas de contrecoup apparus et m'entoure dans son entièreté tout en prenant pression sur terre en s'enfonçant affin d'évité d'être emporté par cet amas d'eaux des plus impressionnantes. Un cataclysme dont je n'ai jamais vu la force. Es ça, la véritable puissance de Kyoshi Yamada? Me réserve-t-il des surprises encore plus extraordinaire? Le combattre est perdu d'avance. Je respire un bon coup et sens que la pression va faire voler mon bouclier. Des mudas dont une faisant le signe de terre, et je plonge sous terre affin d'éviter le retour à la case départ. Gardant la vitesse que j'ai pris, cette fois mon trajet se fera sous la terre. Gardant cette vitesse jusqu'à trouver un endroit sûr.

Encore une nouvel fois, je trouve un adversaire bien plus puissant que moi dont je me soustrais d'une mort ou d'un enfermement de manière in extremis. Ce monde autant en perpétuelle tournant je trouve que ma cadence à moi se stagne. Quitter ce village sera peut être la clef qui réveillera les sens de mon pouvoir. Quittant les lieux, je me dois de me hâter d'avoir une force supplémentaire, car cette expérience montre bien qu'un jour ou un autre, si je ne monte pas ma puissance, cette faiblesse va prendre à un moment ou à un autre ma vie.

hrp:

M'a routé fut plutôt large. Éloigné Ok, mais surement pas suffisamment pour être encore hors de porter des attaques de Kyoshi. Enfin, avec ce genre d'adversaire il faut se munir de plusieurs atouts et avec la trombe d'eau qu'il a produits, je ne peux que trouver un moyen de l'avoir cet atout et cela me fut donné par la première attaque de Kioshi. Enfin cela n'est pas encore un atout dont je vais utiliser maintenant. Avançant vers ma liberté le temps qu'il remarque que l'eau ne m'a pas pris avec les autres, L'eau s'enlevant, enfin je suppose, vu le bruit que cela produit, un grand fracas s'éclatant sur la terre ferme. L'eau rendant plutôt la terre en gadoue, même si cela ne me sert pas à grand chose. La terre étant aussi l'affinité de Kyoshi, c'est plutôt risquer de rester sous terre, mais quel choix j'ai d'autre. Tant que je ne suis pas hors de porter de cette technique. Je ne peux guère m'amuser à user de mon chakra pour sortir de nouveau un bouclier qui me coute plutôt cher en énergie. D'un coup m'étonnant au plus haut point car, j'avais bien calculé de manière à qu'il ne devine pas mon trajet. Des pics se forment sous terre, pour apparaitre sur terre. La formation se faisant à ma position, je commence à avoir des blessures multiples. Protègeant mon visage avec mes bras et protège mes jambes d'une couche de métal, je reçus des dégâts plutôt conséquents. En théorie, j'aurais même subi plus de dégâts que ce que cette technique vaut, mais usant de ma défense métallique sur mes jambes, cela minimise les causes. Cependant, je ne dois pas m'attarder. J'ai réussi à protéger mes jambes qui est la chose la plus importante dans une fuite. Laissant le Kinton sur mes jambes( et pied bien entendu.) je sors rapidement. J'atterrie ou je suis apparu. Me protégeant avec une couche de Kinton sur les pieds et jambe pour les pointes de terre jonchant le sol. J'avance avec la vitesse que j'ai prie sur cette fuite.

Je vois encore une autre des facultés de ce Kyoshi. Celle de la détection. Je ne sais pas comment et avec quelle précision, mais cela peut se deviner en le connaissant. Il a une technique de précision qui aurait causé de plus lourds dégâts. L'idée? Une détection approximative pouvant être ou pas lier avec son clan. Ce qui explique le choix de l'attaque de zone. Ma course ayant repris le chemin. Je suis maintenant hors de porter? Il y a des chances, mais ne hâtons pas cette idée. Kyoshi a déjà montré beaucoup d'atout des plus surprenants et s'il continue ainsi il risque bien de me tuer avant que je ne m'éloigne. Après le temps de voir si l'effet de son attaque et que ça détection approximative montre que je me déplace, j'ai encore du temps pour de nouveau étendre l'écart entre nous, un écart qui à de forte chance d'être suffisant. Enfin si c'est ce qu'il utilise et bien ce que je pense. Enfin cela sans compter le petit mot sur le papier laissé sur les pics à côté de ceux m'ayant blessé disant:

"Si tu es ici c'est que tu as zappé une partie. Mon bouclier que tu as amené à l'épi centre, surement avec un grand nombre de civile. Si tu m'empêche de quitter les lieux tranquillement je le fais exploser et coûtera surement des pertes conséquentes. Salut l'amis"

Un texte écris comme pour poser un sceau se qui pris que quelques secondes

hrp:

Mes forces s'amenuisent. Je n'ai plus de Chakra et je ne pense pas être encore assez loin pour ne rien risquer. Es que je vais devoir retrouver ce village maudit? Peu de chance que je m'en sorte indemne. Être pris dans les cages métalliques de Suna n'est pour moi pas ce qui m'ennuie le plus. Le problème étant les projets que j'ai pour l'avenir. Des choses ne pouvant se faire dans une prison. D'un dernier soupire, je dois me rendre à l'évidence. C'est chose perdu. Enfin courant avec de maigre espoir. Je me mets à faire apparaitre plusieurs feuilles de papier. Des feuilles, donc j'écris rapidement des textes grâce à ma dextérité Fuinjutsu. Les laissant s'envoler au grès du vent et surtout avec une maitrise du Kinton et de ça limaille que compose cette affinité. Je laisse partir la seule trace de ma capture, jusqu'au camp ou m'attends quelques hommes que j'ai rapatrié un poil plus loin. Pas loin de moi une lance d'eau se plante au sol et fait apparaitre un Kioshi montrant une allure bien plus correcte que la mienne. D'un trait sarcastique, je me mets à lui dire:

Félicitation, tu as rattrapé un ancien Genin de Suna. Maintenant que va-t-il se passer? On rentre, on me poser des chaines bien solides et Go pour une cage métallique. Mhh, l'ancienne déserteuse qu'es Zanshi n'aura surement pas la même joue de me voir. J'ai hâte de voir ce qu'elle va me donner comme sentence.

Un regard. Une position de combat, j'ai beau avoir plus aucun stock de chakra, cela n'enlève pas pour autant ma combativité. Telle un animal blesser, je me débats jusqu'au dernière lueur. Jusqu'aux derniers moments, je pourrais au moins dire que j'ai défendu ma liberté. J'attends de voir si ce cher camarade aux couleurs du pays du vent ai à dire. S'il veut m'amener au village, il devra me porter et autant dire que je pèse mon poids. Un avenir des plus incertains, une chance que l'on m'amène à la sentence, au lieu de fin que beaucoup d'hommes ont eux. Je n'ai guerre peur de cet avenir, même si j'avais voulu voir ce monde dessiner de mes traces chaotiques. Toujours prêt à montrer de quoi je suis capable j'analyse chacun des mouvements de mon adversaire prêt à parer une quelconque attaque. Je ne pense pas faire long feu, mais jamais, au grand jamais je ne me déclarerais vaincu.

Un simple arrêt sur demande. Il pense vraiment que je suis du genre à capituler gentiment? Mhh, quand j'y repense cela me donne envie de vomir. Dire que je pensais qu'il me connaissait un minimum. Je le regarde avec l'aire toujours combative. Survivre est-ce que je sais fait de mieux, mais être obliger à faire une chose dont je ne veux pas faire, en est compliqué. Te suivre gentiment n'est pas dans mes options. Un souffle court, puis j'attends de voir si l'homme épris des couleurs de Suna souhaite continuer l'affrontement. Qui sais s'il n'a pas en tête de me laisser partir au dernier moment. Enfin, on peut toujours rêver. Après un petit temps, notre cher ninja se met à dire, qu'il se peut qu'il ne mette pas en avant le fait que j'ai fui. Sans cela, la seule chose qu'ils ont contre moi c'est de ne pas avoir donné de nouvelle de ma présence à Suna. Ça et aussi le temps passé hors du village. Patient, je ne souhaite pas vraiment capituler. Passer devant ses hautes instances sans véritable valeur à mes yeux, ce qui donc me semble vraiment futile. Puis, tout le monde sait dans ce village la valeur que j'ai pour eux. Seulement celle d'une arme qui est plutôt gênante à l'intérieur de leur rempart. Je les vois mal me faire de cadeau:

Mhh tu commences à t'inquiéter pour moi? C'est un poil tard non?

Me prêtant en position de combat, mes intentions sont claires. Je ne compte pas capituler. Pourtant, je sais déjà ma victoire perdue d'avance. Les loups de foudre se forment cinq, deux fois moins, mais sans Chakra l'esquive se ces monstres en deviennent bien plus compliqué. Les loups attaquent et j'évite les premier lot. Après un temps d'épuisement, les loups s'abattent sur moi et finissent par l'avoir. Tombant dans les vapes. Le noir total. Je suis donc pris par Suna. Ma route a prit un certain temps. Pourtant, je ne pense pas me faire avoir des la première rencontre avec Suna. Qu'elle gêne. Je sais que ce manque de force me serait défavorable et me voilà maintenant en train de payer les poids cassés. Reprenant mes esprits, je me vois posé dans une cage. Commencent à me lever, j'entends le bruit du métal que composent mes chaines. Je regarde mon épaule et j'en vois la marque des prisonniers. Un sceau qui nous empêche d'utiliser notre chakra. Un sceau qui peut être enlevé par un manieur de Chakra de manière plutôt simple. Enfin après, il faut aussi trouver un manieur de chakra apte à enlever le sceau d'un prisonnier dans ses mêmes prisons. Autant dire que je n'ai aucune chance. Pourtant derrière ses barreaux. Ce n'est pas la peur de la sentence ou même d'un enfermement qui peut se lire sur mon visage. Mais bien un sourire. Malgré mon enfermement, je suis toujours vivant et je me demande ce que l'avenir me réserve.

Bon, éliminons tous ses moins que rien. Combattant des minables à la pelle l'autre que j'ai mis aussi au taf semble plutôt bien plus coriace que je ne le pensais. Il se débrouille même comme un chef. Enfin sans conter cette folie que j'aime chez les hommes imbibés de cette noirceur. Un sourire au coin. Les trois-quarts des participants furent éliminés. Lui dans un ring, moi dans un autre en train de voir les mecs défiler et bizarrement, les gens aiment le spectacle qu'on leur offre. C'est vrai que dans un sans, voir deux mecs foutre une raclé à toute autre participent un à un est rarement vu. Après que notre adulation fut à l'une unanimité, celui ayant organisé ces combats fut plus joyeux. Quand nous fument plus que deux, je me mets à sortir du ring tout en disant:

Hé guss, c'est con pour toi, mais maintenant, c'est à ton tour de passer au tapis. Cette tune est à moi. J'espère quand même que tu vas me donner plus de difficultés que ses minables.

Ironique, vu les prouesses qu'il a fait. Il est indéniable qu'il va tenir le choc face à moi et cela même s'il tombe à terre après une partit de dance avec le mastodonte qu'il à en face. Je suis sur qu'il va me donner un combat des plus palpitant. Montant dans le ring qui je trouve un poil petit par rapport au gabarit que je suis. Je me mets à regarder les yeux rouges de mon adversaire. Des yeux bien particuliers. Un sourire, puis je commence à enlever mes lentilles de contact pour montrer mes pupilles rouges en forme d'étoile. Une pupille bien particulière montrant les origines que j'ai avec le défunt clan Kyu. Des pupilles maudites par son passé ensanglanté. Laissant sortit une aura malsaine et obscure, je faisais trembler le ring de ma puissance. Un sourire, je me mets en position de combat tout en me mettant à dire :

Viens fier combattant. Viens affronter le gourou et la puissance de ma force.

Au moins ce tournoi m'aura permis de rencontrer un homme de valeur et même si je peux évaluer qu'il a encore des progret à faire, je peux voir dans ses yeux rouges que cet homme ira loin. S'il prend la peine de réussir. La hargne de combattre montre quelle détermination il a. Plus le temps passe à le regarder, plus je me pose des questions. Ce que je sais, c'est que ce combat va jouer un tournant décisif sur une chose. Celui de savoir si je lui propose de me suivre en tant qu'élève ou si je le laisse s'éloigner et le laisser partir dans l'oublier d'un passé sans intérêt.