Bon sang, mais qui était cette ombre qui le poursuivait depuis des jours déjà ? Il avait couru dans le désert et s'était trouvé face à une oasis où il avait décidé malgré cette présence de se reposer pour la nuit. Il se posa contre le sable, le regard perdu sur le ciel étoilé alors que la fraîcheur de la nuit s'abattait doucement sur lui.
Amano n'eut pas à attendre bien longtemps avant d'entendre le sable glisser sous les pas de la personne qui le suivait depuis un moment déjà. Avant que la main qui se dirigeait vers lui ne l'atteigne il attrapa le poignet et plongea son œil bleu dans les siens. Des cheveux en bataille, une barbe naissante, un âge certain et un regard perçant. Amano plissa l'oeil sans lui lâcher le poignet jusqu'à ce que cet homme se présente.

- Bonsoir jeune shinobi. Pardonne-moi de ma façon de venir à ta rencontre, mais voilà, je t'ai vue t'entraîner à Suna plus d'une fois, je ne suis qu'un simple marchand, qui sait se défendre, et mon nom est Takehiko... J'ai... besoin de ton aide en fait...

Sous les mots de l'homme, le fils du sable relâcha progressivement la pression de ses doigts sur le poignet pour le délaisser complètement et laisser ce dénommé Takehiko s'asseoir à ses côtés. Ce fut quand il lui demanda de l'aide qu'il tendit un peu plus l'oreille, l'invitant d'un léger signe à continuer son histoire.

- Je ne connais pas assez ce désert et deux enfants sont partit du village très tôt il y a deux jours, comme ils font souvent, mais ils ne sont pas rentrés le soir même et depuis plus de nouvelles. On a bien tenté de les retrouver, en cherchant autour du village mais rien... je pensais... que vue ce que tu maîtrise, tu connaîtrais le désert mieux que personne...
- Takehiko... avez-vous cherché là ils ont l'habitude d'aller ?
- Oui, mais nous n'avons rien trouvé.
- Rien ? Pas une trace, un vêtement ?
- Non... comme si le sable lui même les aurait avalé...

Le blond réfléchit, détournant son regard du châtain quelques instants.

- On va retourner à votre village et refaire leur chemin, mais pas ce soir, les nuits sont trop dangereuses et trop fraîches... hm... au fait... moi c'est Amano.

Takehiko lui fit un sourire un peu amer tout en songeant aux enfants.
Le lendemain à la première heure, comme promis, Amano suivit cet homme jusqu'à son village, pris la direction et ne trouva rien sur le chemin, mais arrivé à l'endroit supposé de leur disparition, il sentit ses pieds s'enfoncer dans le sable. Reculant vivement, un sourire amusé apparu sur son visage.

- Amano, tu as trouvé quelque chose ?
- Restez à l'écart, se sont des sables mouvants, mais différents...
- Différents ?
- Oui, ils sont imbibés de chakra...

Le dit simple marchand fit un pas en arrière.

- J'y vais, restez à l'extérieur et ne vous inquiétez pas.
- Tu... tu ne devrais pas y aller seul Amano.
- Ecoutez... je suis un enfant du désert et je ne compte pas mourir de manière aussi stupide par ma propre essence.

Le blond avança, serein, se laissant happer par le sable, retenant sa respiration pour sentir, après une bonne minute, son corps chuter et tomber contre un sol parfaitement rigide. Seul un fin filet de sable suivit sa descente. En ouvrant les yeux, il fut accueillit par des lumières vives, des ombres et des cris...

Au dessus, Takehiko ne pouvait pas rester sans rien faire, aussi recommença-t-il à parcourir le désert pour tomber sur un nouveau Shinobi, un homme aux pupilles rouges qu'il interpella aussitôt... Il connaissait ce clan, comme il connaissait les Kawaguchi.

- Excusez-moi !! J'ai besoin de votre aide ! S'il vous plaît !

Si cet homme l'écoutait, il lui raconterait son histoire, l'aide que lui portait Amano et son inquiétude de le savoir dans le sable tout seul sans être certain qu'il y ai quoi que se soit en dessous. Et s'il le voulait, il le conduirait à l'endroit du sable mouvant artificiel.

Amano...Amano lève-toi... Lève-toi ou meurt !
Il s'était perdu dans ses rêves, un souvenir trop douloureux qui refit surface lorsque son corps fut complètement engloutit par le sable. Il savait, il se doutait que quelque chose se trouverait en dessous de lui, qu'il finirait par retrouver la possibilité de respirer, qu'il pourrait bouger et ouvrir l'oeil, et pourtant, malgré tout, son esprit avait lâché.
Le voilà à voguer dans son passé, ses rares entraînements avec son père, son regard noir et sa blondeur agaçante. Un sourire détendit les traits du Kawaguchi dont les pieds touchèrent le sol sans grand fracas.
Sa tête bourdonnait, comme si des milliers de voix l'appelaient.

Amano debout ! Pour l'amour de dieu!
L'enfant du désert ouvrit son œil, portant ses doigts contre ses tempes pour en calmer le battement assourdissant. Il eu du mal à faire la mise au point, encore un peu perdu dans ses tourments personnels, mais il se força, tenta de passer outre son son sang battant ses veines à lui en faire mal.

Tu reste faible ! Tu fais honte à ton clan, à ton maître et à ton village!
Un souffle, lent et paisible, son esprit fit la part des choses et il discerna enfin les contours de l'endroit où il se trouvait maintenant.
En levant la tête, il observa le sable et s'en amusa. Il avait donc eu raison de s'y laisser tomber. Maintenant, il ne restait plus qu'à retrouver les enfants, s'ils étaient encore en vie tout du moins, et les ramener à qui de droit.

Relâchant ses tempes, le blond scruta la roche une seconde avant de reculer rapidement contre un mur, comme s'il voulait se cacher de quelque chose, oui, mais de quoi ?

Tout doux.
Amano se laissa glisser contre la paroi du mur auquel il s'était appuyé et ferma l'oeil, écoutant les bruits alentours pour, à tout hasard, percevoir des voix d'enfants. Il n'entendit encore qu'en lui-même la même rengaine, les mêmes reproches.
Bientôt pourtant, il pu localiser des bruits de pas.
Une minute. S'il les entendait, c'est que la personne n'était pas très loin de lui. Impossible qu'on le voit dans cet état.

Ni une ni deux, l'oeil grand ouvert, il bondit pour se tenir sur ses deux jambes, ses mains prêtes à faire obéir le sable en sa faveur si celui ou celle qui approchait lui serait hostile.
Courage ou folie, sa voix retentit.

- Qui est là ?!

Forte et claire, comme une menace à qui approcherait.
Attaquer de front, il maîtrisait, mais percevoir une attaque dans la pénombre, avec cet œil en moins, n'était pas encore quelque chose qu'il maîtrisait. Amano avait besoin d'écouter, de prendre le temps parfois, même quand il ne l'avait pas. Et en parlant, il se le donnait bien souvent.

Agit ou lieu de tergiverser !

Sentence. Le sable se lève lentement autour des pieds du Kawaguchi, prêt à frapper, prêt à tuer sans remords... du moins le laissait-il croire. Dès qu'il prenait une vie, quelle qu'elle soit, il y avait toujours une part de lui qui souffrait et qui s'effaçait. Après tout, on ne change pas si facilement, quand bien même on chercherait à le faire croire.

Doucement, la main du Kawaguchi se leva et passa sur le bandage à son œil absent. C'était différent et pourtant, à la fois, il ressentait le même genre d'oppression, celui où son adversaire savait qu'il avait l'avantage et en tirait parfaitement partie.
Un sourire moqueur se posta sur ses lèvres alors qu'à la suite de ses mots, après que les pas aient ralentit, il perçu une voix, mais une voix qui se jouait de lui. Qui pourrait croire à une chose aussi grossière ! Le génie du tunnel, et puis quoi, Amano était le Daimyo ? Non, ça n'allait vraiment pas, et bien qu'il ai du mal à croire il fit tout de même attention à ses paroles. S'il y avait un fond de vérité dedans, il comptait bien la trouver.
Mais à mesure qu'il écoutait, les mots devenaient de plus en plus étranger à lui. Le champion, un jeu, un squelette... mourir ou mourir...

Sa tête se baissa légèrement alors que son sourire restait, mais cette fois il se foutait de lui-même, se trouvant idiot d'attendre qu'il termine son petit manège pour lui faire face. D'ailleurs, il ferma son œil et tenta de faire le vide en lui pour se calmer et se concentrer sur l'essentiel, comme lors de ses entraînements avec lui. Il avait plus peur de mourir des mains de son maître que de n'importe qui d'autre.

Ses mains bougèrent alors qu'il procéda à la question, et il composa quelques mudras avant de s'arrêter en plein milieu. Il parlait beaucoup, pour le mettre mal à l'aise ou au contraire le détendre, il n'en savait trop rien, mais à la fin, il lui demanda de se présenter lui.
Ses bras retombèrent le long de son corps et il rouvrit l'oeil, le cherchant quelques secondes des yeux. Des yeux carmins, encore et toujours ces yeux de flammes qui le suivaient où qu'il aille. Kazushi, Kuzushi, Tali et Kira et Hakai bien sûr... Aurait-il tord de croire qu'il puisse s'agir d'un Ketsueki ?

- Vous parlez beaucoup je trouve...

Commença par affirmer le blond avant de sourire largement, confiant, tout en laissant le sable autour de lui redescendre, non sans le garder prêt à l'action.

- Puisque nous sommes dans un jeu où, puisqu'il n'y a pas d'autre candidat que le champion et moi-même, il y a peu de chance que je perde, je veux bien vous dire qui je suis et pourquoi je suis ici.

Faisant une révérence trop grande, comme s'il se moquait et jouait le jeu en même temps, le fils du sable reprit sur un ton enjoué :

- Amano Kawaguchi, pour vous servir... Je ne suis qu'un humble shinobi au service du pays du vent et je ne souhaitais qu'aider un pauvre homme à retrouver les deux enfants de son village perdu quelques jours plus tôt. Est-ce un mal ?

Il fit mine d'être triste une seconde avant de reprendre tout en faisant de large geste avec ses bras à chacun de ses mots.

- Je ne me bats que pour la veuve et l'orphelin... je suis le preux chevalier au cœur noir comme l'ébène, destiné à devenir un bouclier pour ceux qui le voudrait...

A la fin de sa petite tirade où il fit la plus grosse comédie avec le plus gros fond de vérité qu'il puisse, Amano reprit son sérieux et se tourna de son entier vers Isnajh.

- Quant au nom de la personne qui a lancé le shuriken, je regrette... je ne l'ai pas et je ne veux pas de joker non plus... en revanche... je suis curieux de savoir quel est le nom du maître du jeu...

Le sable s'agita sous ses pieds sans qu'il ne puisse le retenir. Un brin d'excitation sans doute, l'idée de se mesurer à plus fort que lui l'attirait toujours autant, le poussait toujours à aller plus haut, alors pourquoi changer. Le sable remonta lentement le long de ses jambes, comme s'il voulait épouser parfaitement son corps et l'en couvrir entièrement.
Si cet homme en face de lui était bien un Ketsueki, par ceux qu'il avait déjà rencontré, il n'avait pas envie de croire qu'il puisse s'agir d'un de ses ennemis et pourtant, rien n'était impossible. Amano attendrait de voir, il était de la défense pur, ou presque, et il savait qu'il ne gagnerait rien à l'attaquer de front.

Le sérieux n'était visiblement pas dans l'intention du type proche de lui. Ca n'était pas pour lui déplaire mais ça ne l'aidait pas non plus à se sentir plus à son aise dans ce genre d'endroit. Il aimait l'air, le soleil brûlant et le sable fouettant sa peau, et non les endroits sombres et frais.
N'ayant de cesse de suivre de l'oeil son interlocuteur et maître du jeu, il fallait bien l'avouer, Amano chercha des indices dans sa manière d'être, de parler, qui pourrait le conduire à bien cerner le personnage et à éviter de trop s'emporter comme contre Kazushi. Même si son sable se levait, il n'avait encore rien fait.
Cet homme lui parla d'un type qui lui promettrait monts et merveilles à ses yeux pour l'obliger à... faire souffrir les gens. Attendez une seconde, mais de quoi parlait-il à la fin ?

Le questionnement se lu parfaitement sur le visage du blond, qui se demandait si on lui faisait une farce de mauvais goût ou si cet homme était effectivement aussi étrange qu'il en avait l'air, du peu qu'il l'avait vue et écouté.
Quant aux enfants il prétendit les avoir mangé. Drôle d'idée qui pourtant lui tira un frisson. Sans les avoir manger, peut-être voulait-il simplement lui annoncer qu'ils étaient morts. Cette possibilité le rendit un peu triste pour l'homme qui lui avait demandé son aide, mais il garda la tête haute et continua d'écouter les élucubrations de ce phénomène.

Mais, la partie pris fin rapidement lorsqu'il se présenta. Ha, le clan des Ketsueki. Il en avait croisé, et même s'il n'avait jamais réellement croisé le fer avec, il ne souhait pas commencer avec lui. Pourtant le sable continua à onduler légèrement autour de ses jambes. Un sourire satisfait se posta sur ses lèvres. Il eut son rang, son maître et il l'entendit parler du Kakumeigun. Ses pensées volèrent aussi sec vers Kazushi, le dirigeant, et Kuzushi, son ami.
Mais son œil planté dans ceux de son vis-à-vis, son sourire s'élargit et son sable vint tourner en fin filaments autour de son bras droit.

- Hésiter pourquoi ? Si j'hésite j'embrasse la mort. Ce n'est pas dans mes habitudes... mais reconnaître l'écart entre nous deux n'est pas difficile et pourtant...

Alors qu'il voulu continuer, Amano entendit et vit un autre individu pointer le bout de son nez. Le blond l'observa une seconde tout en écoutant ses mots. Le faire partir lui ? Etait-il dans un lieu qu'il n'aurait jamais du découvrir ? Une sorte de planque ou qu'en savait-il encore ?
Son sable entoura sa main finement et le fils du désert inclina son visage avec respect, laissant ses bras le long de son corps pour ne pas paraître hostile.

- Si vous voulez que je parte il n'y que deux choses que je souhaite savoir. Quand bien même vous avez dit avoir... manger les enfants... qu'en est-il réellement ? Sont-ils vivants ou morts ? Sont-il réellement passé par ici ? Et... pourquoi ne puis-je pas faire le tour du propriétaire ?

Lui qui avait été un peu éloigné de tout, l'histoire des Kazekage lui était un peu trop flou, même s'il savait reconnaître la force de ces hommes, quelqu'en soit la manifestation.
Le blond posa son œil bleu passé sur le nouvel intervenant. Qui était cet homme pour Isnajh pour l'appeler maître ?

Sans bouger, le Kawaguchi se sentait malgré lui oppressé. La lourdeur du chakra du Ketsueki, ou tout du moins, sa puissance, le faisait frémir. Il savait qu'en un coup il pourrait mourir et pourtant, pourtant au fond de son regard, cette envie brillait. Quel était le chemin à parcourir encore avant de s'élever au dessus de son maître ? Kira... ouvre-lui la voie.

Son rire lui paru bien particulier, comme s'il venait du fond des dédales souterrains où ils se trouvaient. Pour autant, il ne bougea pas, toujours pas, bien au contraire. C'était comme s'il était prêt à bondir dès que l'occasion le lui permettrait, mais elle ne semblait jamais venir. Aussi, Amano écouta-t-il avec une grand attention les paroles du Ketsueki qui loua quelque peu son attitude et son caractère téméraire avant de lui assurer qu'il n'était pas là pour tuer des Sunajins sans avoir un très bonne raison.
Sachant cela, il n'avait plus réellement d'envie de se mesurer à lui et pourtant, pourtant connaître l'étendu du fossé qui le séparait restait trop tentant.

Les mots qui suivirent le firent frémir. Un Kawaguchi au service d'un Ketsueki. Voilà une chose amusante en sachant son objectif et le chef de l'organisation qu'il souhaitait rejoindre. Le sourire d'Amano s'agrandit, comme s'il bouillait d'impatience de voir l'étendu de la force d'un maître du sable en face de lui, mais il se contint et à la place joua simplement de son sable, le faisant tourner entre ses doigts.
C'était si grisant de se faire tester par un des siens, personne ne pourrait jamais le comprendre là dessus. Il voulait être le meilleur, par pour ce seul but, mais bien pour savoir les défendre, prendre les coups à leur place et ne jamais les voir souffrir. Si seulement son père ne l'avait pas écarté du village si longtemps, il serait peut-être bien plus puissant à l'heure actuelle.

Mais rien à faire, comme si sa conscience lui interdisait de faire la pire idiotie de sa vie, il ne fit aucun geste pour montrer qu'il avait envie de se battre. Il n'y avait que ce sable qui tournait autour de son bras droit qui pouvait donner cette bonne impression.

Amano les observa tour à tour alors que le seul qui parlait réellement était Isnajh. Il répondait enfin à ses question, affirmant ce qu'avait soupçonné bien vite le fils du sable concernant leur sort. Mort parce qu'ils n'avaient pas survécu aux sables, parce que le désert les avait rappelé à lui. Son sourire s'effaça, non pas qu'il fut triste pour eux, c'était les aléa de la vie, mais il avait entendu la suite, parfaitement d'ailleurs.

Son sable retomba lentement au sol alors qu'il fit un petit pas en avant tout en inclinant son visage.

- Des secrets trop importants pour être porté sur deux seuls épaules... n'est-ce pas votre cas, Isnajh ?

Il n'y avait aucune critique, et son intonation était étonnement très calme par rapport à l'attitude combative qu'il avait arboré plus tôt.

- Mais soit... je n'ai pas vraiment de raison de faire mon curieux plus longtemps. J'ai eu ce que j'étais venu cherché et vérifier. Les enfants sont morts. Quant à ce lieu, et ce qu'il renferme...

Il hésita. Etait-ce dans l'intérêt du village de révéler l'emplacement de ce dit « laboratoire clandestin » ? Est-ce que cet homme oeuvrait pour la protection de Suna comme il l'avait laissé sous entendre ?

- Même si ma parole n'aura que peu de valeur, car nous ne nous connaissons pour ainsi dire pas... je n'en parlerais pas. Si vous ne menacez pas Suna, ou Kaze, je n'ai pas de raison de parler, même si ce lieu est clandestin. Quant à l'homme qui m'a demandé de venir retrouver les enfants de son village, je doute qu'il trouve quelque chose à dire sur le sujet, sans doute pensera-t-il qu'ils ont été rappelé par Kaze...

Son œil était plongé dans le regard brillant et rouge de son interlocuteur. Le blond était plus que sincère, si ces deux individus oeuvraient contre Suna, il ne tarderait pas à le découvrir et à ce moment là, uniquement, il parlerait de cette grotte, et du fait qu'il devait y en avoir plusieurs autre. Même si le désert était vaste, ils étaient suffisamment nombreux et expérimentaient, et connaissaient suffisamment le désert pour le ratisser efficacement et rapidement.