De grandes portes et une couleur bleuté sur les pagnes de l’endroit, si ils avaient été plus foncé, peut-être que j’aurais presque eu l’impression de rentrer à la maison, mais cet endroit, ne me faisait pas ressentir ce sentiment-la. Encore que, un sentiment de joie et d’excitation comme quand je rentrais de mission avant, l’anxiété, mais aussi l’impatience, Yuki quelque part ici. Ma…

~ Princesse !!!

S’exclamait un visage radieux sur une silhouette aux pas plus que pressés, dans une bulle, presque seule au monde bien qu’accompagner, il ne fallait pas m’en vouloir, mais je l’avais cru morte cette petite bout de femme là… De ce monde, elle était la seule personne que j’avais conservé depuis si longtemps, un rayon de soleil qui avait toujours percé à travers la brume la plus épaisse de Kiri, souvent pour être sûr de rentrer… Je pensais à elle. Mais il n’était plus question de rentrer nulle part désormais, alors difficile de se relever quand on avait toujours été quelqu’un de si faible volonté, pourtant pas question de se laisser allez… Parlant de ça. Mon bras tirait vers moi la main que je retenais fermement pour attirer son propriétaire…

~ Un coiffeur… Tu en as bien besoin, on ne te reconnait plus sous cette masse de mèche, on voit à peine ton visage. Si je te faisais des tresses… J’aurais pu te faire passer pour une amie…

Et voilà, qui pouffait de rire ? Après tout, n’avions-nous pas dit que nous nous rendrions ici de façon incognito pour avoir la paix ? Une bise pour faire passer la vanne avant que les lèvres ne bougent pour râler, question de timing avant d’à nouveau tirer sur le bras pour reprendre le chemin. Une pro ! Une forcée cependant de s’arrêter comme tout le monde au poste de contrôle, chier…

~ Alors c’est quoi le plan au fait ? Tu as eu le temps d’en trouver un en chemin ?

Sourire de carnassier, car peu importe, dans le pire des cas…

~Si ça tourne mal, toi à droite, moi à gauche et on compte les points…

Quoi ? Non ?! Voilà qui serait drôle pourtant et patientant notre tour, mon regard vaguait et mes oreilles trainaient… Conversation entre demoiselle, taquinerie entres gardes, l’atmosphère ici paraissait paisible. Etrange, moi à leur place je serais anxieuse, méfiante, pourquoi les grandes nations n’avaient pas encore agit ? Tellement loin de tout ça maintenant de toute façon, pas comme si j’avais le moyen de le savoir et voilà qui étrangement accentuer ma bonne humeur en jettant un regard au brun. Pas si mal hein ? Enfin pour moi, lui… J’en culpabiliserais presque d’en sourire. Peu importe, puisque avant que cela n’arrive mon regard se perdait avec intérêt sur la patrouille qui passait près du Kentaro.

~ Oui elle a quatorze ans il parait, une ancienne kirijins…
~ Bras droit tu dis ?! Déjà ?!
~ Précoce la petite !
~Tu crois pas si bien dire, parait qu’avec le Katano…

Regard perçant… Yusuke Katano ? Le disciple de Shord ? Sérieusement ?!! Je ne pouvais pas lâcher le fil de cette discussion maintenant ! Lâchant mon emprise sur Hattan, je suivais un air mauvais les deux gus… Qui poursuivaient l’air de rien en rejoignant leur porte…

~… Une Samui non ? Bah elle perd pas son temps celle-là ! Ces foutus Kirijins tous les mêmes...

Et mes oreilles avaient cru capter l’information totalement inacceptable qu’ils avaient prononcé entre temps… Coup de chaud. Impulsion… Et un garde à la langue trop pendu qui arrivait plus vite que prévu à sa destination…

~HALTE !

S’en suivait son confrère… Et quelques pas pour rejoindre mes nouveaux amis alors que finalement la liste d’entrants devenait égal à zéro, tous avaient changé d’avis ? Peu importe, passage libre et os tranchants à souhait.

~ Redis ça pour voir ? Que je t'empreinte du bonjour façon Kiri tient !

Foutue mauvaise langue… Il allait perdre la sienne d’ailleurs… Pas même je ne pensais au fait que c’était sûrement un homme de Shio en fait… En fait si. Raison de plus pour le discipliner ! On avait dit ne pas se faire remarquer hein...

« On ne changera pas la face du monde juste avec des mots ...»

Il n'y avait pas un bruit dans le palais, confiné dans mon bureau et le nez plongé dans ma paperasse, je réglais quelques affaires. Nous allions bientôt devoir nous trouver des alliés, économiquement parlant il nous fallait de l'aide, du moins un coup de pouce ne serait pas de refus. Un point dont nous devrons débattre avec Kakeshou et Nora, le temps n'était plus notre allié. Désormais, il nous fallait nous mettre en avant sur la scène, finit l'ombre des projecteurs. Observant l'heure, nous étions en pleine après-midi, il n'y avait rien de passionnant à faire, pas de petites attractions pour casser les habitudes, cette routine qui ne veut pas se défaire de moi. Kaïos était toujours à ma droite, allongé sur le sol, droit comme un sphinx, il guettait le moindre chakra en direction du palais, ainsi que les chakras dangereux pénétrant dans l'enceinte de la cité. Les yeux fermés il sondait la zone, je le savais et respectais ainsi son silence.

Puis soudainement l'oreille de Kaïos bougea d'un seul coup, puis une autre fois. Un grognement s'en suivit, ma main s'arrêta d'écrire tandis que mon regard se porta sur le félin. Je constatais quelque chose d'étrange, il semblait perturbé, quelque chose clochait. J'attendais un quelconque signe de sa part, il semblait perdu dans ses pensées, son faciès exprimais un mécontentement, comme les humains il fronçait les sourcils. Surprenant à voir. Patientant, un peu pressé tout de même, je reprenais ma paperasse, si cela se faisait plus grave il me ferait le parvenir. Vu qu'il s'agissait d'une invocation, il avait le don de communiquer, ce qui s'avérait très utile tout de même. Il y eut un autre rugissement un peu plus fort cette fois-ci, sa bouche s'ouvra et il se leva sur ses deux pattes. Ce n'était pas normal, là c'était grave. Me mettant debout à mon tour, il ouvrit les yeux, nous échangions rapidement un regard :

✘ Aoji' est aux portes, elle n'est pas seule Shio ...

Il n'y eut pas de mot de ma part, pas un son. Attrapant mon manteau sur une chaise, je l'enfilais à toute vitesse en faisant signe au lion de me suivre. Les gardes essayèrent de comprendre ce qu'il se passait, je ne les regardais même pas, je n'avais pas le temps de leur expliquer. Mon faciès était fermé, j'étais en colère. Elle n'avait pas le droit de revenir, je t'ai dis de partir, foutu Kaguya, notre clan est vraiment bien trop têtu. Mes pas se faisaient de plus en plus rapide, si bien que finalement je me mis inconsciemment à courir. Je n'avais pas le temps, il fallait que je l'arrête avant qu'elle pénètre dans la capitale, je la connaissais bien trop, elle allait déclencher une émeute. Traversant le centre ville à toute allure, je me frayais un chemin tant bien que mal, ma vitesse était sans précédent, chacun de mes pas laissaient une trainée de poussière derrière moi. Je n'étais plus très loin des portes du village et j'entendais déjà des voix s'élever au loin, qu'est-ce qui se passait ?
Quatre silhouettes me faisaient face, deux soldats, deux de mes soldats. Aoji' semblait se battre avec l'un d'eux, ce qui me mit tout de suite en colère, enfin mon regard se porta sur le dernier protagoniste. Lui. Il était là ...

✘ Arrête ça tout de suite !!!

J'avais crié de toutes mes forces. Ma voix était grave, on aurait cru un orage qui s'abattait sur la scène. De plus Kaïos vint m'appuyer en rugissant de toute ses forces, interrompant ainsi cette scène complètement absurde. Tout les yeux se tournèrent vers moi, ainsi que ceux des habitants du Shûkaï. Je levais la main en l'air pour faire signe aux soldats d'élites de ne pas intervenir. Il m'avait suivit depuis le début, positionnés sur les toits ils étaient au nombre de vingt. Dix sur chaque toits, ces derniers m'avaient vu partir à toute allure et c'était inquiéter du danger potentiel. Néanmoins je bouillonnais, j'avais envie de les écraser de mes propres mains, elle et lui ... Elle avait osé ramener Hattan avec elle, pas très dur de le reconnaître, de plus je reconnaissais sa signature chakratique, il empestait la défaite. Il semblait bien faible depuis la dernière fois, on aurait dit un de ces vieux qui finissent leur vie dans les grottes.

✘ Tu as osé le ramener avec toi ? Je t'avais dis de ne plus revenir, fais demi-tour tout de suite avant que j'emploie la force.

Mon regard était perçant, une énorme quantité de chakra se dégageait de mon corps, le petit chiot montrait les crocs désormais. Tu peux rire Aoji', mais à ce moment précis je pourrai vous enlever la vie à toi et lui. Ils sont vingt à attendre mes instructions et ne crois pas qu'ils ne possèdent pas la fureur des Kirijins. Crois-tu vraiment que je m'entoure de faibles soldats ? Ce sont des guerriers, prêt à perdre la vie pour moi. J'avance alors d'un pas, tandis que jetant mon manteau au sol des os commencent à sortir de mon corps. Il n'est plus question de rire, c'est entre toi et moi. Les Kaguya se retrouvent une fois de plus et notre instinct de tueur fait surface pour ma personne. Je n'ai qu'une envie, les tuer, le détruire. Tu as ramené ma plus grande faiblesse, cette balafre je lui dois ... Qui pourra me retenir ? Je ne suis plus le Capitaine du Buki à ce moment précis, je ne suis qu'un démon, le Kaguya montre les crocs et les os, ce n'est qu'un avertissement. Le lion se prépare à bondir et n'attends que ça lui aussi.

Tu n'aurai pas du le ramener, vraiment. Tu ne sais pas dans quelle bourbier tu viens de te mettre, ou de vous mettre. Je ne te ferai aucun traitement faveur, pas ici. Si tu dois finir en prison, alors ainsi soit-il. Cependant, regardes moi bien dans les yeux, si affrontement il y à ce sera d'abord entre toi et moi. Ensuite je m'occuperai de lui et de sa foutue épée ...

Encore un petit effort. Une goutte de sueur caressait le front de la jeune femme qui, assise en plein milieu de son bureau, n’avait d’yeux que pour le château de cartes qu’elle était en train de construire. Il n’en restait qu’une dizaine à positionner, sur la bonne paire de centaines qu’elle avait déjà mises en place. Elle n’arrêtait pas de se dire qu’elle y était presque. Presque. Une nouvelle de placée, elle soupira. Encore un petit effort. La goutte lâcha son front et alla se heurter au sol. Une nouvelle carte bien placée. C’était bientôt fini. Très bientôt, encore un peu de patience. Quand soudain…

« Capitaine ! Il y a des intrus à l’entrée du Shozaichi !... Capitaine ? »

Le subordonné avait découvert Baransu Nora à genoux, au milieu d’un tas de cartes mélangé tout autour d’elle. La rapidement et la violence avec laquelle il avait ouvert la porte avait tout simplement dévasté le château de cartes que la kunoïchi avait eu tant de mal à construire. Elle bondit brusquement.

« Nan mais c’est pas vrai ça ! Tu peux pas frapper avant d’entrer ! Attends que je t’attrape ! »

Elle courut après le messager qui partit en courant tout en hurlant.

« Désolé je savais pas ! Il paraît qu’ils en ont après Samui Yuki ! »

La Capitaine s’arrêta net au milieu du couloir. Le subordonné était déjà loin. Elle retourna dans son bureau, marchant sur la multitude de cartes qui flirtait avec le sol, et prit quelques affaires avant de ressortir. Et de claquer la porte.

Cinq minutes à peine suffirent à ce que la jeune femme aux cheveux blancs arrive sur les lieux. Elle reconnut le visage d’anciens Kirijins, et ceux des deux nouveaux Capitaines, qu’elle n’avait d’ailleurs pas encore rencontré officiellement. Elle soupira, sous sa cape noire qui recouvrait son uniforme blanc de membre du Shûkai.

« Salut ! »

Elle sourit bêtement, avant de se frotter l’arrière du crâne avec sa main droite. Le tout accompagné d’un mince ricanement.

« Désolée j’savais pas qu’il y avait une réunion ! »

Et elle continua à se tenir comme gênée de son retard. Mais le combat avait déjà commencé, et Samui Yuki était présente. Nora resta donc en retrait, afin d'être épargnée de la technique lancée par celle qu'elle avait toujours voulu comme Bras droit.

Un rictus en coin avant que le blanc Kaguya sur des dents dignes des meilleurs carnassiers ne se dévoilent. Encore mieux que prévu. Beaucoup mieux, je lâchais le garde, ne me l’avait-on pas demandé ? Qui plus est, de ce que je voyais, cette citée m’offrait bien mieux, encore fâché celui-là ?

~ Bonjour mon ti’ Shio !

Sifflait un air hautain devant la menace qui n’avait eu qu’un effet… Amplifiait ma volonté de cogner. Il n’avait qu’à tenir la langue fourchue de ses hommes, quant à ma présence ici, je me devais de lui rappeler… Grâce à lui ceci dit en passant en prime.

~ Allons allons, je viens voir Yuki et tu crois pouvoir me l’interdire ? Tu es amusant.

Grognait cette fois une mine au fascié un poil plus strict, repousser chemin ? Ça n’arriverait pas. Comme si lui ou ses larbins suffiraient à me faire changer d’avis, c’était ridicule, Shio ou pas, je lui promettais une fusion entre nos corps, dont j’étais sûre cette fois, il ne rêvait pas… Charnelle pourtant… En un sens… Mais comme si ma foi cela ne suffisait pas, voilà un fouteur de trouble qui pointait son nez par ici, un simple regard pour lui en reconnaissant la voix, puis le rire à l’écoute. Réunissez deux Kaguya avec un désaccord et demandez-leur de se tenir tranquille… Allez Papi, pouvait sortir son carnet pour faire l’addition des réparations de ta chère patrie… Et qui plus est, comme si ça ne suffirait pas, je lui montrerais une nouvelle fois, quel fléau je savais être, lui qui m’avait clairement désigné ainsi, je ne pouvais que lui donner raison, question de respect ! Si, si ! Ne jamais contrarié ses aînés…

Sourire espiègle vers le Kaguya, déporté aussitôt vers l’ancêtre, je levais les mains comme une sage fille, je me rendais ? Mais si tels étaient les désirs des maîtres des lieux. Un regard perçant en commençant les pas sagement, mais une langue beaucoup moins dans cet état d’esprit…

~ Allez, si tu veux ton os, sois un gentil ti’chiot à son papi …

Mes yeux s’empressaient alors de retrouver ceux du concerné en ajoutant la fin de la boutade…

~ A la niche mon « Capitaine » !

Se concluait ainsi un son empli de mépris, sans pour autant perdre de ce maudit fascié mutin à souhait au sourire tout aussi parlant, quand une main levé pour me « rendre » balayait l’air pour lui faire signe de dégager… qu’il se calme ? Je n’en avais aucune envie, d’autant que c’était embêtant maintenant, ma tech était déjà en train de se propager, je n’avais pas prévu ces deux –là au moment où j’avais décidé de punir les commères de la porte… Un petit souvenir mon cher Shukai ? Envie d’un peu d'air messieurs ?

Check:

Des voix familières en arrière, un sourire qui s'étirait, la gamine attrapait mes mauvaises habitudes, mais qu'importe, elle ne ferait jamais mieux que moi alors que le temps depuis un moment c'était assombri annonçant l'orage... Pas de pluie, mieux que ça, une tempête, un souvenir, premier fléau, n'allez pas croire, c'était un service ! Test des défenses face aux éléments... Faudra me payer pour la prestation ! Les doigts de ma main droite de rapprochaient entre eux dangereusement, il manquait la détonation à cet endroit histoire de finir d’enflammer tout ce petit monde… Sans vilain jeux de mots ! Surprise ! Cependant…

~ Yuki… ?

Et le masque de vilaine fille s’échappait malgré moi quand j’en oubliais le monde tout autour, l’endroit les gens. Elle était là. Ma princesse. Vivante. Puis retour sur terre, un vent un poil trop violent, le mien, le sien? Peu importe car... Et c'était ça qui était censé la protéger? Ridicule. Un salut pour ma belle et un sourire de toujours, la princesse était là, alors pourtant ces hostilités? Vous ne comprendriez pas. Os naissant et en cadeau au Kaguya, histoire de famille notre façon de discuter...

~ Ma princesse, pourquoi ne pas boire le thé avec Shio et ma fille? !

Check 2:

Puis la rallonge poursuivant son chemin un regard en coin pour la nouvelle tête... Et une réponse à ma consoeur à la tignasse...

~ Salut ! C'privé tu vois la réunion... Et désolée aussi si tu vas par là... Poussez vous maintenant.

Un ti' Shio à mettre en laisse excusez !

Pour le souvenir xD

OWI <3

Cette fois-ci, je laissai le Capitaine Samui s'occuper de ses affaires. Seulement, il y avait plus que de l'Oda dans l'histoire, il y avait également du Tôhatsu. Aussi, mon retrait me permettait de n'intervenir qu'au bon moment. Jamais cette petite présence chakratique que je savais être de mon sang de devait se retrouver en victime de la fureur de l'effroyable Capitaine du Buki ni de l'imposant Capitaine de l'Oda. Seulement... seulement... Yuki Samui du nom, celle que l'on était venu chercher, apparemment, pointa le bout de son nez et ses formes que je connaissais à présent. Un simple acquiescement, et je la laissai disparaître.

Puis ce fut au tour du Capitaine Baransu d'intervenir. Un léger hochement de tête, histoire de la saluer. Une tempête, des cris, c'était bon, à vous les micros.

Très bien, à mon tour de sauter dans le grand bain et de plonger dans le blizzard.

-Capitaines, mes respects. Elle s'adressa à la Samui, pour le peu qu'elle pouvait voir. Je te remercie, tu viens de prouver que tu étais digne de confiance en protégeant la jeune Tôhatsu, je serai heureuse que tes décisions continuent sur le chemin de la sagesse. Elle s'adressa à présent à son Capitaine attitré.Je procède de ce pas à la mise en sécurité de la Tôhatsu, afin que nous préservions la bonne entente de mon pays et du reste de l'Alliance.

De là, je détachai ma longue chevelure et, fermant les yeux, envoyai les plus fins dans toutes les directions. Quelques instants de concentration et une foule d'autres de ces cheveux que je me plaît à nommer "l'élite" apparurent pour rejoindre les autres. Le vent, la neige, tout cela m'empêchait de me concentrer, mes petits chéris étaient ballottés par de toutes parts. Je me devais d'être rapide, et de ne surtout pas...

Le corps de la Tôhatsu fut pris dans un courant d'air que l'on nomme plus communément: tornade. Mais ses cheveux, toujours plus longs et nombreux ne tardèrent pas à localiser la présence de celle qu'elle savait être une Tôhatsu. Plus petite et plus frêle que les autres. Cette tornade qui l'avait emporté serait un allié de taille, car, officiellement, elle était tout ce qu'il y avait de plus "out" à ce moment. Les yeux fermés, elle s'abandonna aux bras de la gravité pour retomber à terre, non sans mal. Après une dernière phase d'analyse, elle démusela sa mèche la plus importante, qui, dans un grand mouvement d'expression, fusa vers sa cible.

HRP:

Si jamais la pêche était bonne, alors je pourrais agripper la jeune Tôhatsu et déclarer.

-Je te mets en sécurité, ma chérie. Je suis de ton clan, et mon nom est Zassou.

HRP:

« Je vous emmerde ...»

La scène était digne d'une comédie. En quelques secondes plusieurs protagonistes firent leur apparition. Moi qui était seul, me voilà désormais accompagné de Kakeshou, le Samui fut rapidement sur les lieux. Tant mieux. Quant à l'ancien Mizukage, désormais reconvertit en sorte de toutou ... Qui est le chiot désormais ? C'était lui maintenant menaçait un de mes hommes avec un kunaï sous la gorge. Comme si j'en avais quelque chose à faire, seul Aoji' m'intéressait à cet instant. Tues le si tu veux, je te découperai après.
Le lion grogna une fois de plus, quelqu'un d'autre arrivait, c'était le signal d'alerte. Une jeune fille fit alors son entrée, plutôt insolente et sans réel intérêt, sa présence m'importait peu. Qu'elle soit là ou non, même un simple Genin aurait pu s'en défaire facilement. J'étais toujours rempli de fureur, un goût de sang dans la bouche, le lion rugissait une fois de plus. Quoi encore ? Cette fois-ci c'était Yuki qui nous rejoignit et son entrée fut plutôt fracassante, un sorte de blizzard prit possession des lieux tandis que sa main frêle caressa mon épaule comme pour me calmer. Impossible. Mes yeux me piquaient légèrement et j'étais loin de me douter de la suite.

Le félin grogna encore une fois. Cette fois-ci de manière plus forte encore, c'était Nora qui faisait son entrée. Je n'avais pas eu l'occasion de la rencontrer par le passé, c'était un honneur de la voir présente ici. Je lui jetais un regard bref et lui fit un hochement de la tête. Peu importe ce qu'elle comprenait, j'ai la situation en main, ou plutôt aide nous face à ces ennemis. J'étais complètement concentré sur la Kaguya, c'était notre face à face, notre duel. Entre elle et moi, personne ne pouvait s'interposer. Le blizzard nous entourait et très rapidement des tornades se formèrent, c'était Aoji qui passait à l'action, cette fois-ci elle semblait en colère. Il n'y avait qu'à écouter ses paroles provocatrices, bien que le niveau soit faible. Elle se répétait depuis le temps. Ca en devenait lassant même. La zone était complètement ravagée, j'adorais ça. Comment pouvais-je savoir où elle était ? Mon lion me guiderait tout simplement. Tandis qu'une attaque frontale m'était destinée, mes os sont bien plus résistants désormais !

✘ Tu crois vraiment m'avoir avec ça Aoji' ? Tu ne trouves pas que tu te répètes avec le temps, le chiot dont tu parles se trouve à tes côtés. Ce n'est pas moi que tu traînes en laisse sans cesse. Tu ne m'entends pas ? Attends j'arrive !

Check:

Je ne perdais pas une minute pour passer aux choses sérieuses, la queue était déjà en train de pousser dans mon dos. Tandis qu'en même temps une lance sortait de ma colonne vertébrale. Je passais dans mon mode le plus brutale. Ma colère et ma puissance était sans égale désormais. Plus rien me retenait, peu importe vos mots, vos actes, c'était elle contre moi. Vous n'allez rien faire à part me freiner. En quelques instants je ressemblais à un démon, contemplez la haine d'un homme, toute la colère qu'il peut contenir en lui. Pas possible de trouver la moindre parcelle de lumière à ce moment là en moi. Ma queue vint alors attraper la lance, mes mains sont libres. Un énorme bras d'os recouvre ainsi ce qui était auparavant mon bras droit, maintenant ce n'est plus qu'une énorme arme prête à transpercer.
Il est temps de passer aux choses sérieuses. Kaïos et moi nous allions attaquer. Me concentrant l'espace d'un instant une aura verte m'entourait alors, prépare toi Aoji', j'arrive ...

Check:

✘ KEIMONNNNNNNNNNNNN !

Chek :

Le cri est rempli de rage, je brûle, mon chakra est en pleine ébullition. Regardant le lion celui-ci me comprend alors totalement, ses yeux se ferment totalement, c'est lui qui désormais va me guider et me diriger. Nous partons l'un devant l'autre, je le suis sans perdre de vue à une vitesse folle, sa vitesse est augmentée et la mienne aussi. Notre cible ? Aoji' et personne d'autre. Celui qui osera s'interposer se fera transpercer. Le félin prend de la vitesse j'ai presque dû mal à le suivre, mais je connais son plan d'action, je sais ce qu'il va faire. Nous nous connaissons tout les deux, voilà bien longtemps que nous nous battons ensemble. C'est tout simplement un duo parfait, il disparaît alors de ma vision, Aoji' me fait face, je ne suis plus qu'à quelques mètres.

✘ VOILA TON CHIOT !!!

Check Kuchyose:

Le lion visait donc la jambe de mon adversaire, c'était ça notre technique. Tandis que mon bras s'élançait alors en pleine vitesse vers la Shinobi, ce n'était même plus un bras, mais plutôt une arme de destruction. Mais, ce n'était pas tout. Ma queue vint alors tenter de la planter elle aussi en plein abdomen avec la lance qu'elle tenait fermement. C'était une double attaque, je ne voulais pas lui laisser la chance de s'en sortir. Mes coups sont précis et je suis prêt à faire face à toutes esquives.
Et oui Aoji', le chiot que tu aimes tant se retourne contre toi désormais, comment comptes-tu calmer ma colère ? Qui peut réellement te sauver ? Réponds moi, ne me dis pas que le combat est déjà fini, je suis sur que tu peux encore me surprendre ....

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Hrp :Je me protège avec une rang B pour contrer ta colonne vertébrale et ensuite j'enchaîne. En bref, je fais apparaître une queue dans mon dos, un bras d'os et une lance de ma colonne vertébrale. Je suis en mode totale rage et oui ! Je joue mon perso. Ca fait beaucoup mais bon osef. Ensuite mon lion te repère ( je prends note des perturbations, des difficultés à se repérer) du coup il utilise une senso rang A. Une charge de rang B pour accroitre sa vitesse et apparaître devant pour finalement disparaître et t'attaquer dans le dos, tentant de paralyser ta jambe droite ou gauche. Comme tu veux. Quant à moi je t'attaque avec mon énorme bras d'os et ma queue t'attaque avec la lance. Voili Voilà, je me concentre essentiellement sur toi. ( Oui au passage je vais surement pas passer le second tour niveau chakra )

Voilà qui ne serait pas très polie, mais je n'avais jamais été un modèle de cette dernière de toute façon. Puis comment dire, j'étais assez pressée aussi, par l'envie, mais aussi le temps, puis surtout beaucoup mieux à faire en ce moment, alors que n'importe qui me serait témoin de ça... Frapper, j'aimais bien. Trop! Etre stoppée dans cet élan... Beaucoup moins. Patience Princesse ! Chacun son tour Papi ! Qu'à à la brune, il ne fallait pas croire que le coin de mon œil ne l'avait pas vu oser toucher ma fille, mais il avait vu aussi l'armure de Yuki et le Kentaro aux négociations... Pas un Kage pour rien celui-la, accroc aux accords, il n'en était juste nullement question... Faudrait lui apprendre un de ces quatre les codes de mon clan... Dont un était une évidence et valable à toutes les sauces : Cogner. Autre détail, trop de spectateurs et l'intervention de Yuki, si elle avait la naïveté de croire dissuader des Kaguya de se perdre dans un affrontement... Pas même pour toi ma belle, désolée, puis après tout...

Mon petit chiot m’apprendrait décidément jamais… C’était trop facile. Pas lassant pour autant quand un baiser jeter de mes lèvres lui envoyait la suite. Attention enflammée, c’était le cas de le dire alors que la colonne si tôt parti l’agripper se faisait poursuivre sur sa longueur par un dragon de Katon des plus convaincant. Voilà pour le petit un, quant au petit deux, je n’avais pas la stupidité d’imaginer que ça suffirait, ni même qu’après cette si belle lancée, je m’en sortirais à bon compte… Mieux valait prévoir, en fait depuis le début c’était tout vu, le fort au milieu de la tempête qui se mettait en place, cinq fois plus de plaisir en disparaissant sous un amas d’os peu commun.

='D:

¤ Allez viens danser ! C'est ça Shio?! Cet endroit que tu me promettais pour protéger Yuki? Laisse moi rire, regarde autour de toi la concentration . Tous affolés pour deux pèlerins et si j'avais eu la malice d'envoyer du monde de l'autre côté pendant ce temps hein...? Crétin !

Se murmurait directement dans la tête de mon chiot furax tandis qu’était en train de prendre place une étrange composition, j’appelais ça, la « Phalange », cinq clones, autant de boucliers et un rassemblement autour de moi, nouvelle version du cocon de base. Une défense qui comme je pouvais me l’attendre n’était pas du luxe. Allons, allons, depuis le temps, je connaissais sa puissance, sa vitesse, mais surtout aussi son impulsivité, le tout me faisait ricaner malaisément. Il fallait dire que le décor agité au milieu de ce chaos m’avait aidé à le laisser s’entrechoqué avec ma « surprise ». Solide, pointue, tranchante… Il croyait encore qu’il existait le temps où il me faisait manger le sol en un tour ? Raté !

=p:

Le premier bruit arrivait de l’arrière, dans le dos de la Phalange, réception faite par « One » dont le bouclier bien que solide reculait avec elle, heureusement j’étais derrière dos à dos pour l’aider dans son maintien, comme le reste du dôme compact en fait. Le Kaguya attaquait par l’arrière ? Non visiblement me soufflait les pions à l’avant qui subissaient elles aussi un impact, ah bah le voilà mon ti’chiot ! Qui à l’arrière alors ? Peu importe, cernée ? Pas très important non plus, un dos et un pied de ma part en assistance, ce qui laissait des mains libres pour les représailles, bah oui, la danse ne faisait que commençait, mais si on ne la pressait pas, on ne nous laisserait pas finir. Pas que je n’avais pas confiance, mais… Si en fait alors que je voyais les premières failles laissaient entrer la lumière extérieur à l’avant et à l’arrière de ma technique. Il l’aurait voulu !

Deux des boucliers à l’avant s’écartaient légèrement, juste assez pour laisser filer à toute allure sa nouvelle attention. Pour l’heure, rien de bien impressionnant, juste des boules de feu, une dizaine qui partaient en arc de cercle… Tandis que… Une douce odeur de jasmin se propageait dans l’air, celle de mon thé venu ravir mes lèvres. Hum ?! La Phalange n’avait pas l’air de s’alarmer, je pouvais me le permettre… Et même de toute, je me le serais permis quand même !

*µ*:

| Je rentre tard demain, mon post engage surtout Shio, on se bat un peu là, beaucoup ='D (espérez même pas stopper ça èé)

Résumé?
Le 1er katon suit la colonne qui a voulu te capturer et que tu as bloqué.
Ensuite la Phalange est le plan initial d'Ao, qui se crée au milieu des turbulences, elle aime pas être décoiffée vous comprenez -même si elle est jamais coiffée...-
Cette même défense s'est fendu sous tes assauts, mais n'est pas tombé, deux boucliers sur cinq vilains =p
Pour finir une légère ouverture lance le second Katon, pour la suite de la danse c'est évident
Moi niveau chakra, ça va encore, assez pour faire chier et je bois mon thé comme la suggérer Apeti ='D |

Spoiler:

Instant de faiblesse, les paroles de ma cousine ne m'atteignent pas. J'étais plus préoccupée par ses cheveux qui, à l'image des miens, n'avaient pas une seule imperfection. Bien, merci à Yuki et son intervention. Impuissante, la jeune Tôhatsu sombra vite dans le sommeil le plus profond de sa vie. Un sommeil artificiel contre un autre, bien plus éternel. Il ne me reste qu'à revenir à la réalité... Très bien, Zassou de l'Oda reprenait du service. Deux Kaguya en colère, deux maîtres de l'inaction. Quoique des deux duos, le second restait le plus menaçant. Quelques mudras, des roches qui s'échappent du sol et une chevelure qui s'étoffe jusqu'à devenir plus épaisse que deux fois mes épaules. Cinq mèches, cinq lames.

Maintenant troisième sommet du triangle, la Tôhatsu avait une marge de manoeuvre car laissée à l'écart. Se mettre entre le Capitaine du Buki et la "soeur" de Yuki ? Deux bulldozers, c'était trop. Interférer dans la conversation de son Capitaine ? Il ne l'écouterait pas. Alors encore une fois, elle allait tenter de tourner les choses à son petit avantage. Quoi qu'en dise "Kentaro-Dono", à eux seuls, ils n'entreraient jamais. En revanche, si on les y aidait... Aussi, c'est avec le bond du bon serviteur que la Tôhatsu préféra laisser Shio du Buki et la soeur de son plan pour atterrir non loin de son Capitaine. L'inquisition commençait.

-Nous tenons la Tôhatsu, Yuki votre nièce est en ce moment-même en train de la disposer à éclairer notre lanterne, à moins que Elle s'adressa à celui qu'elle ne savait pas Mizukage vous puissiez décliner votre identité et vos intentions à l'Oda de votre propre chef sans quoi nous serons contraints d'aller chercher ces informations nous-mêmes, dans l'esprit d'une enfant dont la Justice du Shûkai saura vous présenter comme étant le pervertisseur. Car, en venant au Shûkai accompagnés d'une enfant Tôhatsu vous vous attendiez sans doute à susciter le soupçon.

Les rencontres entre Kirijins suscitaient décidemment trop de passions pour qu'on les laissât se dérouler sans plus de fermeté. Aussi le Capitaine de l'Oda m'entendrait.

-Il en va de même pour vous, Capitaine. Puis-je avoir la confirmation qu'il s'agit bien ici de Kaguya Aojikawamanashi, la même qui met en péril la situation d'Iscariote Xaphan du Joho et de... oh oui, je me souviens... de Kentaro Hattan, ancien Godaime Mizukage dont vous m'avez fourni la description lors de votre arrivée ? Si oui, vous ne m'aviez pas informé de la relation "familiale" que la Kaguya entretenait avec votre nièce, ni même du fait de ses fiançailles avec un homme de cette envergure. Je vais maintenant vous donner un petit conseil pour ne pas encore plus décevoir les hommes postés sur nos murailles. Ils attendent de vous que vous fassiez votre devoir, car sur le sol du Shûkai, vous comptez plus que le Capitaine du Buki, vous êtes à ce poste pour protéger l'Alliance, non pas pour faire du sentiment. L’agression est avérée, et je tiens à vous rappeler que la Kaguya nous serait utile pour le procès à venir et qu'il VOUS serait utile de ne pas retenir votre ancien ami trop longtemps. Temps de vous attirer la sympathie, Kakeshuou...

Qu'il soit malin, que diable !

« Je vous emmerde ...»

Il y eut comme un choc, mon bras surhumain vint percuter une sorte de bouclier, il en allait de même pour ma lance. Puis des bruits d'os volant en éclat et encore un bouclier. Il ne me fallut que quelques secondes pour comprendre, elle venait d'utiliser une défense très puissante. Ce n'était pas bon, du moins pas pour le moment. Il fallait réagir vite, surtout que je faisais face désormais à un dragon de feu qui se dirigeait droit sur moi. Très rapidement une armure constituée essentiellement d'os vint se former autour de moi. Ils étaient d'un blanc éclatant comme d'habitude j'étais comme dans un cocon, bloquant ainsi l'attaque durant un instant. Surtout qu'une deuxième salve suivait la précédente, mais cette fois-ci il ne s'agissait que de pétales, certaines furent arrêtées par le Kentaro et d'autre par mon cocon. Comment cela se faisait-il qu'il s'interpose ? Pour qui se prenait-il avec ses leçons de morales ? C'est sûr que lui, on ne l'avait pas vu se battre souvent. Je ne faisais même pas attention à ses mots, oubliant tout de suite son dialogue pour me concentrer sur mon adversaire.

Il y avait de la haine, des remords, des comptes à rendre, mais aussi une pointe d'amour dans toute cette scène. Personne ne pouvait le comprendre,c eux autour n'étaient que des spectateurs impuissants face à des retrouvailles sanglantes entre Kaguya. Nous ne faisions pas parti du même monde, nous n'avions pas les mêmes codes et éthiques de vie. Ce n'était pour nous qu'un simple rituel, à une échelle certes plus forte, néanmoins c'était notre façon à nous. Tout ceux se mettant en travers de notre route risquaient eux aussi de subir des dégâts, surtout qu'à ce moment précis je ne contrôlais plus rien. Peu importe mon image, ce genre qu'ils veulent ce donner, je suis de l'armée, je suis le capitaine, je suis un sanguinaire. Je forge le respect par la violence et elle est mon seul maître mot, que tout ceux n'étant pas d'accord avec ça aille rejoindre l'Ôda et son style de vie pacifiste. Ou le Joho et ses tentatives de négociations. Ici on règle le problème par la force, il n'y à que ça de vrai, peu m'importe vos jugements, vos réflexions sur mon autorité, vous serez soumis à la seul loi universelle de ce monde : La loi du plus fort.

✘ KYÛUUUUUMOOOON !

Check:

Mon cocon disparût alors, mon lion rugît alors. Je comprends qu'il en veut encore, néanmoins je préfère désormais m'occuper d'Aoji seul. Et je n'ai pas apprécié le geste d'Hattan, on ne se met pas entre deux Kaguya, ce n'est pas possible, ni même recommandé. Il faut qu'il comprenne, tu peux être n'importe qui, mari, amant, jouet. Ici c'est chez moi, ce sont mes règles, tu n'es plus mon Kage, je ne suis qu'un témoin d'un mariage refusé. Pardon, elle a l'alliance. Je souris. Mon lion va te dévorer, cela te donnera une bonne idée de ce dont nous sommes capables. Tu crois vraiment pouvoir passer ? Misérable, il est loin le temps de la balafre et de ton bureau, maintenant c'est toi qui vient au mien. La roue tourne et bien plus vite que tu ne le penses, si tu souhaites visiter, ce ne sera que si nous t'invitons. Et j'aurai tant aimé que tu sois dans ma tête pour entendre ces mots, mais désormais : JE COMMANDE.

✘ Occupe toi de lui, Kaïos !!

Le lion surgit alors dans son dos comme à son habitude, ce félin est un vrai monstre. Cette fois-ci c'est le dos qui est visé, il n'est plus question d'handicaper ou même de blessé légèrement. Je veux le mettre hors d'état de nuire, ce que je veux dire ? Je veux qu'il recule, qu'il aille voir ailleurs, je ne souhaite pas la mort non plus. Bien que si dans le fond. Mais, si tu aimes tant voyager, il serait temps. Quant aux autres qui tenteraient de s'interposer, ce serait le même sort. Mais eux, on l'air d'avoir comprit, surement une question de respect ou de tolérance. Ce que lui, ne possède pas. Tolérant ? Le serai-je ? Bonne question, il faudrait que je me penche la dessus un jour. Je me reconcentre alors, seconde vague d'assaut cette fois, un peu plus puissante que la précédente, mon but ? Lui faire sauter sa protection et je crois que je tiens le bout ... Tu comptes vraiment encore fuir longtemps ?

Allez Aoji', la danse n'est pas finie. Tu le sais bien, je la cherche depuis longtemps mon ultime valse, mais rare sont ceux qui me l'ont offerte, même inexistant. Pourquoi ? Regarde je ne suis pas mort, c'est triste à dire, mais le plus beau jour de ma vie sera aussi mon dernier.
Cependant, ce ne sera pas aujourd'hui et pas face à toi, continuons nos retrouvailles ...

Check Kuchyose:

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Hrp :Je me protège d'une A pour tes deux techniques ( oui je compte les pétales tout de même ) J'ouvre une porte de plus ( ne nécessite pas de chakra ) et charge une seconde fois, du coup avec le bras armé et la lance. Soit ( A+A ) mais vus que je suis en Porte N°2) cela donne (A+C+A+C) Bref osef. Sinon mon lion charge le prêcheur de la bonne parole alias Hattan.

PS : On n'interrompt pas des retrouvailles Kaguya, surtout quant eux savent pourquoi ils se battent, merci ! Un peu de cohérence voyons !

Blablabla… Comment dire. Rien à cirer, des hommes, des femmes, enfants, civils, alliés ou ennemis, ils ne voyaient donc pas, mon monde ma bulle, ce sourire rare et cette énergie… Vivante. Laissez-moi vivre bordel ! Profiter, danser faire n’importe quoi si le cœur m’en dit, pour vu que cela me plaise ! Et m’arrêter, un bouclier de chair ne suffirait pas, j’avais vu, entendu, parfaitement compris, mais comment dire, totalement rien à faire en tirant sur la pression des câbles. Des ordres, de plus jamais personnes je n’en recevrais, je l’avais vu elle, je l’avais mis à l’abri lui, quant à la petite ? Innocente, inculte de tout, préservait dans une bulle loin de tout le chaos m’entourant et de moi, tous ici… Ils ne savaient rien la preuve fut là, quand tout était exactitude de ce qui était prévu…

Fallait-il en rire ou en pleurer… ? Apprend le monde, que mon corps lui-même à décider de ma mort, un compte à rebours, apprenez les hommes que face à lui vous n’êtes rien, cette fois j’avais décidé que cela se passerait en beauté. Plus de chaînes, plus de chaînes, arrêter de rêver, même qu’une fois, ça me suffisait… Détonation. A propos, nous étions le quatorze avril non ?

Dans les boules de feu qui fallait pas toucher...:

Des mots ne suffisaient plus, des actes n’étaient plus parlant car après le vent, les éclats d’os, c’était des shurikens piégés dans les boules de feu qui se détachaient pour exploser au hasard sur le terrain, merci Hattan, ça va Shukai ?... Ou pardon, ça va chéri ?... Je m’en foutais en fait, dégagez ! Parce que le chiot enragé lui virait une bonne fois pour toute ma défense lui ! Et la danse commençait enfin, chanceux qu’ils étaient en fait, rarement autant de passion dans les échanges que dans notre clan… Après tout n’était qu’une question de point de vue ! Charge pour charge ? Qui percera l’autre mon ti’Shio ?...

Check:

La réponse en évidence, un poids qui augmentait, un futon sous les pieds qui se concentrait, allez cette fois plus aucune esquive, pour une fois qu’on s’amusait. Jugement, conséquence et fait passé ou pas encore fait. Personne ici n’en avait aucune idée alors que je n’étais pas la seule ici à violer les lieux de ma présence, autant de grandes têtes, autant de troupes pour deux pèlerins, prévisible et ridicule, je l’avais dit pourtant à Shio dès le début. Ils montraient leur vrai visage, celui des nations, celui lache et fier pourtant, trouillard et tellement trop sérieux. Mon frère de clan, j’étais venu t’offrir un peu de fantasy ? Non, toi qui m’en offrais, le savais-tu au moins ? Ta faute le beau bal qui prenait place, autant d’autres frères invités à danser dans ta nouvelle maison, patrie, au milieu de faux frères…

~ Shio, regarde, regarde la différence entre les hommes réunis d’eux même et ceux qui doivent se supporter…

Ton Shukai est envahie de l’autre côté de ce lieu. Vous ne les avez pas vu venir ? Forcément, ils n’étaient ni Kage, ni veuve noire, mais ils étaient bien mieux que ça. Ceux qui jugeaient l’homme, la femme, pas l’image. Désolée Hattan, sur ce coup là, il tomberait d’aussi haut que son homologue Samui. Ceci est une visite surprise… êtes-vous prêt prétentieux petits gens ? Vous ne le savez même pas encore en perdant votre temps à prendre une enfant en otage pour calmer un fléau… Je n’étais que le sommet de l’iceberg… A l’instant même où au loin j’étais apparu, j’avais frappé, la mèche de la suite de l’histoire s’était enflammée. Xaphan mon portier adoré avait senti le fuin de sa main brûlé puis un papier.

-C’est parti !

Ca fusait dans tous les sens. Il fallait avouer que le combat était intéressant sur de nombreux points. L’ancien Mizukage était là, le dernier possédant ce titre. Son bras droit était également présent. Quant à Samui Yuki, il y a avait encore des zones d’ombre. Pourquoi la voulaient-ils ? Certains semblaient parler de capture, d’autre de simple discussion. Les éléments étaient trop nombreux pour être analysés de manière fiable. L’ambiance n’aidait d’ailleurs pas à une quelconque réflexion.

A l’écart du combat, la jeune femme ricanait toujours de manière aussi originale. Il était hors de question qu’elle se joigne à ce combat. Elle ne le pouvait pas, et puis il semblait que certains combattants s’étaient bien trouvé, et faisaient comme une sorte de jeu égal. D’autres furent rapidement pris d’un calme et d’une logique époustouflantes et voulurent arrêter cette idiotie. Mais les premiers n’étaient pas de leur avis. C’était reparti.

Samui Yuki semblait vouloir privilégier la sécurité d’une enfant, qui était là de manière surprenante. Et lorsqu’elle partit, Baransu Nora savait qu’elle avait perdu des raisons de rester ici. Cependant, c’était son rôle d’empêcher de trop larges dégâts à l’entrée du Shozaichi.

Nora devait repousser l’intrus. Elle devait imposer son rang. Elle devait éviter que le combat fasse des victimes. Il fallait qu’elle stoppe tout ça…

« Eh ! Combattre ici c’est pas bien ! Alors arrêtez tout de suite sinon je vous inviterai même pas boire un thé ! Ahahaha ! »

Elle s’était avancée toujours un large sourire aux lèvres, se grattant une nouvelle fois l’arrière de la tête. Soudain, un membre du Shûkai portant le symbole du Jôhô sur son épaule apparut aux côtés de la Capitaine.

« Capitaine, des intrus à l’opposé du Shozaichi. »
« Comment ont-ils pu rentrer ? »
« Un des nôtres, Iscariote Xaphan, leur a facilité l’accès. »
« Vraiment ? »

Son sourire disparut. Sa main droite retourna frôler sa cuisse. Elle se retourna, se préparant à quitter l’entrée. Elle n’avait pas le choix.

« Capitaines, je vous laisse vous occuper de ce front ! »

Sur quoi elle bondit, et se prépara à aller rejoindre l’autre lieu d’un probable combat. De toute façon, elle n’allait pas avoir le choix : il faudrait l’appeler.

Spoiler:

« Je vous emmerde ...»

La haine, la colère, tout cela éclata quant elle chargea une fois de plus. Me faire face n'était surement pas la meilleure des solutions, tu vas comprendre désormais que le chiot que tu as connu as bien changé. C'est ma revanche sur ce monde, sur leur doutes, sur leur supposition, je ne peux perdre ici, pas devant eux. Je me dois d'être un gardien pour eux, de les protéger, même si pour cela je dois y laisser ma vie. Tu le sais je te l'ai toujours prouvé. Laisse moi te montrer un peu la puissance de ma détermination, toute ta haine n'est que mauvaise et injuste. Ce n'est pas le Shûkaï que tu souhaites détruire, mais toi tout simplement. Cependant tu sais très bien que je ne te laisserai pas faire, quitte à te capturer, te foutre en geôles.
Aujourd'hui le Shûkaï ne tombera pas.

Quant à l'autre, celui qui n'est plus que l'ombre de lui même, il a désormais comprit. Se protégeant rapidement de tout les projectiles qui lui étaient destinés il prit la fuite sans plus attendre. C'est bien, tu ne fais que confirmer mes doutes. Les lâches tournent le dos, espérons que tu reviennes plus fort un jour, car malgré tout. Tu fus un ninja exemplaire, mais ce temps est désormais révolu. Tirailler entre fantôme du passé, gloire d'antan et présent incertain tu te balades tel un fantômes dans les couloirs de ce monde. Néanmoins ce n'est plus mon problème, nos chemins sont maintenant différents, nous ne sommes plus des Kirijins, ni des frères d'armes et c'est pour ça que l'entrée te fut refusée. Pourquoi ? Par simple caprice du capitaine du Buki ? C'est possible. Mais j'ai ouvert la porte à mes frères, ceux que j'ai toujours protégé. Tu n'en faisais pas parti.
Mais ... Revenons à toi Aoji'.

Un épais bouclier d'os se forme alors tout autour de moi, bloquant ainsi son assaut. Mais au bout de quelques secondes le bouclier éclate, quelques os volent en éclats. Ce ne sont pas les premiers depuis le début du match, mais bientot il n'y en aura plus. Je suis légèrement touché au thorax, le sang coule alors. Un sourire se dessine sur mon visage. Elle m'a touché, c'est bien la seule. Personne n'avait réussi un tel exploit par le passé, cela prouve que c'est bien toi. Une larme coule elle aussi, ce n'est pas de la peine, non c'est bien de la joie. Cela annonce aussi la suite des évènements, il n'y aura pas de suite à tout cela. C'est la fin Aoji'. Ils ont bien savourer le spectacle, tu as bien tenté ton coup. Néanmoins je ne peux te laisser continuer, pour eux.

Check:

✘ SEIMOOOOOOOON !

Check:

Une vague d'énergie m'entoure totalement désormais. Ma puissance se déverse tout autour de la Kaguya et moi même. Ma force est accrue et ma vitesse aussi. Je vais te transpercer d'un seul coup, te montrer toute ma puissance. Bien sûr je vais épargner tout tes organes vitaux, je ne veux pas te voir mourir, je ne suis pas prêt et tu le sais. Tu es mon amour et à la fois la pire ennemi du Shûkaï. Tu as réveillé la bête qui somnolait en moi, tu fais grondé le gong de la guerre, tu as ramené tes soldats ? Laisse moi te montrer les miens.
Mon énorme os vint alors se planter dans sa chambre, tandis que ma lance perce son épaule, je veux te rendre incapable de te battre, je vais te faire goûter le sol. Tandis que d'un seul coup j'attrape ta tête avec ma main, je serre si fort ... Bois mes paroles, comprends les, abandonne :

✘ Attaquer ceux que je protège est toujours mauvais. Je pensais que tu le saurais avec le temps, dis leur bien qu'ils viennent, je les attends. J'espère que tu les as prévenu ... QU'ILS ALLAIENT TOUT DROIT AU SUICIDE HAHAHAHAHAHAHA !

Le lion bondit alors à mes côtés, comme pour me protéger d'un coup en traître de la jeune Kunoïchi. Mais, normalement elle ne peut plus se mouvoir, elle n'a plus de protection et face à moi. Elle est désormais ma victime, elle a réussit. Aoji' a réveillé le démon, la bête que j'avais pourtant enterré toute ma vie. Et ce n'était plus le même homme qu'elle affrontait, après tout je n'avais plus rien d'humain. Aussi bien physiquement que mentalement. Où sont les autres ? Je les attend ? Toujours bloqué par ma main, ma lance et mon bras planté dans sa jambe, elle n'a plus d'issue.
Maintenant c'est terminé, renvoi tes soldats avant que je les tue. Eux n'aurons pas ta chance.

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Hrp :Je me protège de ton assaut par ma rang B, néanmoins elle pète et je me prend donc une C ou B comme tu veux, ce qui me fait saigner. GG tu es la première. Je réagis alors, j'active la 3ème porte et refait un assaut comme avant (A+C+A+C) Et je dirai +C encore pour ma main qui entoure ton coup. Sachant que mes jutsus ont une vitesse de A+C et que tu es juste au corps à corps. Je ne vise pas tes points vitaux, mais ta jambe est normalement presque en miette et ton épaule aussi.

!

Impact. Et entre les craquements, le sens, l’adrénaline et la douleur, un maître de cérémonie : Un sourire. Le petit chiot avait grandi, bien ! Mais voyons jusqu’à quel point il avait su retenir la leçon, là tout de suite, je dirais jusqu’au bout, mais seul le temps dirait si c’était là une vérité et du temps, c’était visiblement ce que j’allais encore voir s’écouler… Pourquoi j’avais envie de rire moi alors que je m’écroulais incapable de tenir sur des jambes ?

~ Tu es sûr de ça ? Moi j’étais persuadé du contraire en fait…

Suicide ? Non personne ne meurt vraiment ici aujourd’hui, juste les illusions passées pour laisser place aux nouvelles, tout un art mon jeune ami, un que je ne perdrais jamais le temps de lui montrer. Raté ? Ah oui vraiment, mais il fallait regarder autour de nous plutôt alors que je tombais parait-il….
Au loin, des yeux brillants d’un vert étincelant entourés d’une peau bleuté, habité par une tristesse, comme si la bête avait compris qu’il était temps ou à l’inverse n’avait rien compris puisqu’elle posait la question à l’intérieur même de ma tête. Tant mieux, car à haute voix, jamais je ne le déclarerais…

¤ Pourquoi tu as fait ça Ao…? Tu vas mourir… ?

Un sourire à peine étiré, manque de force ou d’envie, pourtant il fallait. Le regard fuyait, il ne voulait pas faire face à la réalité pourtant je la connaissais depuis longtemps. Il fallait regarder petite chose ce qu’il resterait au final quand on croyait que le masque tombaient, pas grand-chose, voilà la réalité de l’existence.

¤ Pas aujourd’hui, ne t’inquiète pas. Il serait trop simple de mourir si vite, si bien… Surtout si ridiculement. Tu as fait ce que je t’ai dit pour le Kumojins ?
¤ Ao… Tu n’en as pas fini des bêtises pas vrai…
¤ C’est dommage, je lui avais promis un thé. Au moins il sait où me trouver !
¤ Pourquoi l’avoir fait venir… Et eux ?
¤ Une fête d’anniversaire réussie, quelle question ! Je suis assez satisfaite !
¤ Tu es Sfolle Ao !
¤ Je sais. Merci Lapis.

« Merci ». Pas un mot que j’utilisais, enfin à moins que ça soit pour de l’ironie ou de la moquerie… Un rire léger entre l’affirmation et le remerciement… Mes dernières forces, comme mes derniers mots étaient pour elle, ainsi que son retour parmi les siens et c’était cette même main ayant accomplie ça que je regardais, celle où la marque de tous mes liens dans ce monde se tenait. Le fuin se défaisait… Jusqu’à disparaitre. Une symbolique ?

Puis l’amassement autour de moi. Seule ? Enfin seule, vraiment seule ? Comment pouvait-on penser ça si bien entouré par la garde qui allait sans nul doute bien s’occuper de moi. Aussi irréel que cela soit, j’aimais ce jour de mon dix-neuvième printemps… Plus aucunes chaînes dans ma tête alors qu’on m’en mettait des biens réels... Vous perdez votre temps, nul jamais n’avait su me retenir, on ne retient la chair seulement et cette dernière, n’était qu’un outil comme un autre pour moi. Il suffisait de voir ce que j’en avais fait jusqu’à là. Et maintenant ? Etre exécuté, c’était trop espéré hein ?

On « m’aimait ». Ah oui vraiment ? Alors mon frère Kaguya en face de moi saura-t-il, comme moi avec Tenzö ce que signifiait ce mot pour moi ? Penser à ce que moi je voulais, avant de préserver ce qu’on souhaiter garder… Que rien de pire pour un Kaguya que vivre là-dedans mourant. Mais personne ne viendra me tuer moi, bien au contraire, ils me préserveront, mais ils ne comprendront jamais. Vivante, mais morte. Pourquoi ne le voyait-il que quand ça les arrangeait cette réalité. La faucheuse ne serait pas des bras aimants, elle serait longue agonie sous le mensonge… Ramassis de crétins…

Mais la plus idiote de tous c’était bien moi, moi qui avait entrainé des mois cette force qui me consumait, moi qui avait trouvé la meilleure des façons d’en finir, irrémédiablement, mais moi aussi qui avait voulu croire que je m’étais laissé emporter par le caprice de la danse avec le ti’Shio. Mais la vérité était qu’il était aubaine qu’il soit si impulsif, qu’il m’ait fait user mes réserves avant que je ne puisse penser à l’irréparable, le pourquoi j’étais là en fait. Aucun regard pour ceux que j’aimais, j’avais déjà fait le souvenir que j’en voulais. Le visage faussement sévère de Rei, la lueur émue dans les yeux de Yuki, le sourire moqueur d’Hattan et ce regard haineux de fier Kaguya. Papi ? Je ne l’aimais pas, le voir à bout de nerfs m’avait toujours tellement plu… En fait si je le respectais, faute de l’apprécier. C’était un Samui quoi. Moi j’étais une Kaguya.

Celle au nom le plus imprononçable qu’il soit ~
Ce n’était la fin que cette partie de l’histoire…
… Mais le début de quoi ?
Une nouvelle danse.

- Clique -

| Hrp | Finish? Wouah. Que d'énergie xD Si on en avait autant pour rp ='D
Ps: Le combat était vu avec Shio et ne vous concerner pas.
Merci all x')