Après avoir quitté leur père, les deux frères prirent route pour le village de Kiri qui se trouvait à une demie journée de marche.

Le duo n'était pas pressé d'arriver, ils préférèrent regarder le paysage, du moins c'était surtout Akio, qui lui s’arrêter toutes les cinq minutes au prêt d'un arbre pour si asseoir et
tester une nouvelle mélodie avec la flûte que leur père lui avait laissé.
Sasurot, lui, avait hâte d'arrivé même si ça ne le déranger pas d'attendre son frère, après tout c'est pas pour quelque heures de plus à attendre qui aller faire quelque chose.

Après un peu plus d'une demi journée les deux frères arrivèrent dans l'après-midi devant l'entrée du village, le jeune Nura était très heureux d'être enfin arrivée à destination,
depuis le temps qu'il voulait voir de ses propre yeux à quoi ressembler le village de Kiri, Sasurot aurais plus croire à une ville immense comparée au petit village qui se située à une heure de la où il vivait.
Akio lui ne laissé pas apparaître tant que ça ses sentiments, il regardait juste, enfaîte non, il rêvassait ! Comme d'habitude, même maintenant arrivée à l'endroit qu'ils attendaient tant, lui il trouvé quand même un moyen d'avoir la tête en l'air.

Une fois rentrée, c'est la que les choses se compliquèrent pour les deux frères, il fallait arriver à s'orienter dans cette jungle urbaine pour pouvoir trouver, un endroit où déposer leurs affaires et pour y passer la nuit, l'académie, et surtout l'endroit que Sasurot mis en priorité sur les recherches... le restaurant, car le duo n'avait pas mangé depuis leur départ.
Cela ne leur prit pas longtemps pour en trouver un, ils eurent cas s'enfoncer un peu plus dans la ville pour trouver leur bonheur. Après avoir repris des forces, Sasurot demanda à son frère.

À ton avis, on commence par trouver l'académie ou un lieu où héberger, car le soleil commence à se coucher et comme je te les déjà dit, je veux qui l'on trouve l'académie par nous même sans avoir besoin de demander à qui que ce soit le chemin, moi perso, j'irais voir pour l'académie en premier comme ça on sait où elle se situe et on pourra y retourner le lendemain sans problème.

Akio et Sasurot s'étaient levés très tôt ce matin, même Sasurot était debout de bonne heure. C'était le jour du grand départ. Les deux garçons rassemblèrent toutes leurs affaires et finirent de se préparer. Une fois prêts, ils partirent saluer une dernière fois Agil, père de Sasurot et père adoptif d'Akio.
Le vieil homme avait une surprise pour les deux frères, une surprise qui leur servirait pour la nouvelle vie qu'ils s'étaient choisi. Alors il offrit une barre de fer à Sasurot pour qu'il puisse continuer à exercer son Kinton, et, à Akio, des lames forgées dans un métal spécial dans lesquelles il pourrait facilement injecter son chakra futon. Ces deux lames se regroupaient pour former un flûte sur laquelle il pourrait affiner sa maîtrise du son.
Puis vint le temps de partir. Ce n'est pas sans une certaine émotion que se firent les adieux.
Et les deux jeunes garçon prirent enfin la route pour le village de Kirigakure no Sato.

Akio et Sasurot en avait pour une demi journée de marche, enfin une demi journée sans compter les pauses régulières que faisaient les deux frères. Ses poses permettaient à Akio d'essayer la flûte que lui avait forgée Agil et à Sasurot à perfectionner sa maîtrise du métal. Akio en profitait aussi pour s'installer dans un arbre pour jouer de la guitare. Il aimait être en communion avec la nature pour jouer, et il ne pouvait vraiment pas se passer de la musique. Cette passion lui venait de son clan disparu, clan de musiciens détruit par la guerre et la cupidité des autres clans.

Et pendant des heures, il traversèrent l’île principale du pays de l'eau, croisant différents petits villages, contemplant la diversité de la faune et de la flore de Mizu no Kuni. Akio avait déjà vu pas mal de choses, il avait déjà voyagé mais n'avait en réalité pas fait très attention à tout ça, il avait en effet traverser une partie de l’île en marchant sans s’arrêter pendant plusieurs jours et plusieurs nuits après l'attaque sur son clan. Il redécouvrait donc cette nature.

C'est après avoir passé une bonne partie de la journée à marcher qu'ils arrivèrent enfin devant les longs tunnels qui menaient au village de Kiri. C'était de longs tunnels, très sombres, qui paraissaient sans fin. C'est seulement au bout d'un long moment à marcher lentement pour ne pas trébucher sur un quelconque obstacle dans l'obscurité ambiante Que les deux frère arrivèrent enfin au village de Kiri. C'était une ville immense et animée. Ils arrivèrent dans le centre ville, une grande foule se déplaçait dans tous les sens au milieu des petits commerces et habitations de toutes sortes qui composait le centre de la ville. Akio était impressionné mais comme à son habitude, ne laissait rien paraître. Sasurot lui, était tout excité, comme un enfant qu'on emmène à la faite foraine pour la première fois.

Très vite, Il fallu trouver de quoi manger. Ce ne fut pas bien long, on trouvait des restaurants un peu partout dans le village. Une fois le repas terminé, Sasurot demanda :

À ton avis, on commence par trouver l'académie ou un lieu où héberger, car le soleil commence à se coucher et comme je te les déjà dit, je veux qui l'on trouve l'académie par nous même sans avoir besoin de demander à qui que ce soit le chemin, moi perso, j'irais voir pour l'académie en premier comme ça on sait où elle se situe et on pourra y retourner le lendemain sans problème.

Akio pensait qu'il était préférable de trouver en priorité un gîte, il commençait effectivement à se faire tard, et il fallait qu'ils trouvent un endroit pour dormir avant la nuit tombée. Et Akio connaissait bien son frère, comme d'habitude il foncerait dans la ville sans regarder où il allait puis comme d'habitude il persévérerait, s'enfonçant de plus en plus dans la ville, dans la direction opposée sans doute et comme d'habitude Sasurot n'acceptant aucune aide extérieure pour s'orienter dans cette ville qu'ils ne connaissaient pas et Sasurot n'ayant vraiment pas de talent pour retrouver son chemin, ils se retrouveraient perdus. Il fallait détourner Sasurot du chemin de l’académie pour ce soir.

Je pense qu'il vaut mieux qu'on trouve un logement pour ce soir, il commence à se faire tard, la nuit est en train de tomber. Il nous suffira de suivre les aspirants ninja demain matin pour trouver l'académie, et puis il vaut mieux que tu sois dans le meilleur de ta forme pour t'y présenter, tu veux faire bonne impressions, non ?

Akio commença déjà à chercher en attendant la réponse de son frère, en espérant que ça ait suffit.

C'est vrai qu'il n'avait pas tord même si cela m'agasse de l'admettre mais je sais très bien que entre nous deux, c'est lui le plus raisonnable et le plus réfléchi. 

Bon, tu a peut être raison, je te propose de suivre les restaurants car à chaque fois que tu fini de manger il se trouve un endroit pour dormir non loin.

Je pointé mon doigt dans la direction dont je lui parler et vue qu'il ne réplica pas aussitôt j'enchaînas. 

Aller go, en avant frèro vers le gîte le plus proche. 

Tout en disant ça, j'avançais à toute jambe dans la direction choisi. 
Au bout d'environ dix, quinze minutes de manche intensive, apparaissant comme un trésor, une pancarte affichant l'insigne du gîte droit devant nous. 
Je me tourne alors vers Akio. 

Alors tu a vu un peut, j'ai peut être pas le sens de l'orientation mais je sais très bien que après les restaurants, il y a un gîte. 

Nous rentrons donc à l'intérieur. Ça va, l'endroit avait l'aire plutôt accueillant même s'il avait un petit aire de taverne avec ses longue table et son contoire en bois et aussi les différents tableau représentant des combats de shinobi. 

J'avançais vers l'obergiste qui se trouvait au contoire vue que sachant comme était mon frèro, il ne parlera pas et attendra que je parle. 
J'entamas donc la conversation. 

Yo, aurais tu une chambre avec deux lit, se serait juste pour la nuit. 

Bonjour messieurs, j'ai une chambre effectivement mais avec un seul grand lit et c'est la seule qui me reste. 

Je regarda mon frèro puis hocha les épaules. 

Bon, on fait quoi ? On la prend ou on cherche ailleur ? 

Bon, tu a peut être raison, je te propose de suivre les restaurants car à chaque fois que tu fini de manger il se trouve un endroit pour dormir non loin.

missions réussie ! Akio était soulagé, il n'en avait pas fallut beaucoup pour convaincre Sasurot, il n'aurait pas à jouer à chat avec son frère dans toute la ville pour au final se perdre et dormir dans la rue. Il esquissa un petit sourire discret et regarda Sasu maintenant motivé pour trouver un gîte et remonter d'un air enthousiaste la rue dans laquelle ils avaient trouvé leur restaurant. Et au bout de quelques minutes de marche, les deux jeunes garçons aperçurent enfin le gîte recherché.

Les deux frères rentrèrent donc dans le gîte ou il dormirait ce soir, si bien sur il y avait de la place.
C’était un endroit plutôt sombre, de grandes tables en bois, son comptoir aux allures de petit bar. Les murs étaient bardés tableaux. L'endroit ressemblait plus à une taverne qu'à autre chose. Sasurot lui était évidemment tout content. Il avança vers l'aubergiste pour lui demander une chambre. Celui-ci lui répondit qu'il ne lui restait q'une chambre mais avec un seul lit. Sasurot se tourna donc vers Akio d'un air interrogatif. En lui demandant s'il voulait quand même rester.

C'est bon, tu prendras le lit, je me débrouillerais.

Akio n’était pas satisfait, ce n'était pas le fait de ne pas avoir de lit qui l’embêtait, mais le lieu en lui même le dérangeait. Et ça n'allait pas s'arranger. l'aubergiste les mena à leur chambre. Il montèrent donc à l'étage supérieur, ils traversèrent un long couloir donnant sur toutes les chambres. Un homme sans doute fortement alcoolisé gisait par terre devant l'une de ces portes. L'aubergiste se contenta de l'enjamber, comme s'il avait l'habitude, les deux frères en firent de même. L'aubergiste leur présenta ensuite leur chambre. c'était une petite chambre assez sombre avec juste un petit lit et une table de nuit. La chambre était finalement plus saine que ce que pensait Akio. ils s'installèrent donc. Des cris émanaient de la chambre d'à côté, un couple se disputait. Ils hurlaient, Akio en tendit les bruit de verre cassé... Enfin ils se réconcilièrent vite à en croire les nouveaux cris, cette fois beaucoup plus joyeux qui remplacèrent la dispute qui l'avait précédée.

Akio décida de s'installer près de la fenêtre pour la nuit et s'y posa avec sa guitare en faisant attention de ne pas faire de bruit.

Cela ne dérangea pas Akio que je réquisitionne le dernier lit de l'auberge et ça m'arranger pas mal car moi contrairement à lui, je dort quand je me couche et je me met pas à penser pendant des heures comme il le fait si bien. 
Je lui répondit donc avec une joie sans pareil.

Merci frèro, j'te revaudrais ça, promis ! 

Après ça l'aubergiste nous conduit à l'étage où se trouvait notre chambre. Au passage je récupéra une bouteille de Saké  au prêt d'un ivrogne endormi, qui me semblais encore pleine, on sait jamais, j'aurais peux être envi d'en boire un verre demain. 
Arrivée devant la chambre, l'aubergiste me donnât les clefs de celle-ci puis nous souhaita une bonne soirée. 
J'ouvris la porte, laissant passer mon frèro puis je referma la porte après être moi même rentré. 

À ce moment la je pus voir une chambre plutôt simpa. Elle avait un lit de taille moyenne en son centre suivi de petite table de chevet sur ses coter, un parquet presque propre et une fenêtre plutôt grande pour la taille de la chambre, qui avait un plus de ça un appui plus large que la moyenne. 
Je m'avançais plus vers le centre de la pièce puis je me tourna vers Akio. 

Elle est vraiment cool c'te chambre, je crois que j'vais bien dormir. 

Suite à cette phrase je m'étala sur le lit oû je m'endormas presque aussitôt jusqu'au lendemain. 

La nuit passé, je me réveilla assai tôt pour une fois, exité à l'idée de rejoindre l'académie, après mettre étirer, je regarda autour de moi et je ne vit pas Akio, il devait encore se promener à l'extérieur en ayant la tête dans les nuages. 
Je prit une douche, m'habilla puis descendi pour prendre mon ptit dej en attendant le retour de mon frère. 

Arrivée en bas je remis les clefs de la chambre à l'hobergiste et je lui demandas du lait et cinq œufs. 
Je m'installa au comptoir puis j'emtama une discutions avec lui, en attenda qu'il finisse de faire cuire les œufs. 

Tu vie tout seul dans cette héberge ? 

Maintenant oui mais pendant un temps, une femme travaillait avec moi...

Tout en disant ça, il me pointe du doigt une photo qui était posée sur l'étagère dérrière lui entre les bouteilles d'alcools. 

Elle est rester deux ans pour m'aider puis elle reparti aussi vite qu'elle soit venue c'était une femme remplie de vie et de gentillesse et... 

L'homme me servi mon ptit dej et commença à me regarder bizarre, je sais pas qu'est-ce qu'il lui arrive, j'ai pas un bouton sur le nez pourtant. 

Maintenant que je te regarde, tu lui ressemble un peut... Et toi, tu viens faire quoi en ville ? 

Bizarre le vieux, serait pas un peut fou lui. 
Mmh... C'est vrai quand regardant un peut on dirait qu'elle a les même cheveux que moi mais en plus long. 
Sasurot la regarda encore un peut puis répondit à l'hobergiste avec un grand sourire. 

Je viens ici pour devenir un des meilleurs Shinobi et pour élaborer la meilleur défense qu'il soit. 

Oooh, c'est bien d'avoir des rêves, j'espère que le tien se réalisera. 

Juste après ça le vieux se tourna vers un client qui venait d'arrivé tout en s'excusant au près du jeune Nura. 
Sasurot continua donc de manger son ptit dej tout en attendant son frère. 

Sasurot s'était très vite endormi très vite dans son petit lit situé au milieu de la chambre. Il avait toujours eu le sommeil très lourd, et, Dès qu'il se retrouvait couché, quelque soit la surface sur laquelle il se trouvait, se laissait rapidement emporter dans un profond sommeil. Akio était toujours installer devant la large fenêtre de la pièce dans laquelle les deux frères passaient la nuit, perdu dans ses pensées. Soudain, il entendit un énorme bruit, grave et inquiétant qui fit vibrer tous les murs de la chambre.  Il se leva d'un bond et, sortant ses lames, se mis en garde. Il inspecta la chambre mais n'y vu rien. Les deux frères étaient seuls dans la petite pièce sombre, Akio était debout, là, et Sasurot dormait, caché sous une couverture plutôt ample. Le bruit venait sûrement d'ailleurs, mais il lui avait paru tellemet proche... Puis le bruit reprit de plus bel, cette fois c'était sur, le bruit venait bien de la chambre, il semblait provenir du lit dans lequel état normalement installé Sasurot. Akio se figea un moment. Son frère était sensé être allongé dans ce lit, mais il je pouvait en être certain, caché sous sa grande couverture, il ne pouvait pas le voir. Et si quelqu'un avait usurpé la place du jeunes homme pour lui tendre un get appens ? Alors le garçon s'approçha lentement du lit et souleva minutieusement la couverture massive avec l'extreité de l'une de ses lames. 


La pression redescendit d'un coup devant le ridicule de la situation, il avait découvert son frère en soulevant la couverture. Un peu honteux, il observa son frère couché de travers dans le petit lit, les cheveux ébourifés, un petit filet de bave coulant le long de sa joue, le terrible bruit qui l'avait effrayé continuait à sortir de sa bouche. Akio grimaça à sa vue puis rit un peu. Il était quand même rassuré, bien qu'il ressentait de la honte. Le jeune homme avait juste été apeuré par les ronflements de Sasurot, il faut dire aussi qu'ils étaient loin d'être discrets. Akio rit une dernière fois de Sasurot avant de le recouvrir et de retourner finir sa nuit près de sa fenêtre. 


Akio, s'étant endormi la tête posée sur le rebord de la fenêtre, fut réveillé par les premiers rayons du soleil de la matinée. Il faisait beau, une douce brise lui soufflait sur le visage. Il décida alors de sortir se dégourdir les jambe,  et quoi de mieux pour ça qu'une visite des toits de kiri ? Alors il ouvrit doucement la fenêtre pour ne pas réveiller son frère qui dormait encore, puis il escalada le mur, sa guitare sur le dos, pour arriver sur le toit de l'auberge. Il continua à marcher et sauter jusqu'à arriver au point le plus haut qu'il pouvait atteindre à partir des toits. Le spectacle était magnifique, Akio pouvait, de son perchoir, voir chacun des plus petits recoins du village de kiri. Il y resta pour jouer un moment. Au bout d'un petit moment, Akio aperçu au loin l'académie. Il pensa alors à Sasurot et replia ses affaires pour le rejoindre. S'il n'était plus dans son lit, il le trouverai sûrement pas loin de la salle principale ou l'on pouvait manger. Alors le jeune genin se leva et regarda autour de lui, et remarqua qu'il avait un petit problème. D'où il était, tous les toits se ressemblaient énormément, il ne savait pas de quelle direction il venait. Bref, il lui était arrivé ce qu'il avait redouté la veille, il était perdu.

Après avoir attendu son frère prêt d'une heure, Sasurot sorti de l'auberge pour partir essayait de retrouver Akio qui devait être encore une fois plonger des ses idées, sur un toit ou dessous un arbres. 
Chose qui ne facilita pas vraiment la tâche du jeune Nura vu qu'il y avait des toit à perte de vue et des arbres epparpillés un peut partout. 

Bon par où commençait ? Les toits serrait la meilleur chose à faire car en plus de ça, si il était sous un arbres je pourrait le repérer plus facilement. 
Je monta sur le toit qui se trouvait juste en face de moi. La ville est limite plus vaste vue sur les toits qu'au sol. 
Tout en cherchant le tête en l'air, je l'appelais de toute mes forces pour qu'au moins si je ne le voie pas, lui puisse me voir.

Akio ! Oh hé frero, t'es dans l'coin ? Hé oh, si tu m'entend fait moi un signe ! Au moins pour me montrait que tu est vivant.

Aucune réponse , même après trente minutes de marche sur les toits de la ville, le frère ne se montrait pas. 
Il lui était peut être arrivé quelque chose, ou pire encore, il se serait perdu. 
Et Sasurot sait très bien que des que son frère est perdu, même si ça ne lui arrive plus que rarement, Akio n'arrête pas de s'enfoncer encore plus dans la merde des qu'il s'avait être perdu.

Il fallais donc faire vite, avant qu'il ne s'y perde définitivement. 
Mais au bout d'environ une heure cinquante de recherche intensive, je vi sur un toit, Akio allonger à regarder les quelques nuages, je m'approcha du rêveur en même tant de lui dire. 

Ah bah enfin ! T'était là toi ? Tu aurai du me prévenir, je t'es chercher partout en ville pendant je ne sais pas combien de temps. 

Après avoir enfin retrouvé Akio, je me endu compte que lui et moi etions situé juste au dessus de l'académie que l'on avait chercher. 
L'académie était dans un bâtiment composé de plusieurs étage, une grande cours et même un grand dojo était coller à l'académie. 
Je me tourna vers le frèro.
 

Et regarde un peut où l'on a atterrie... Juste sur le toit de l'académie c'est  pas magnifique ça ? 
Du coup reste plus cas si inscrire. 

Sasurot regarda son frère que était encore un peut dans les vapes, puis l'aida à se lever, pour ensuite se diriger vers l'entrée de l'académie.
 

Ils étaient donc arrivés sur le toit de l'académie. c'était parfait ! Ils n'auraient pas à chercher toute la journée le chemin pour la rejoindre, pour encore se perdre dans le village. Ils n'avaient plus qu'à descendre de leur perchoir, franchir les portes du grand bâtiment pour ensuite s'inscrire.

Akio réfléchit. Il se rendit compte que c'était une nouvelle vie qui allait commencer. Ils se lançaient maintenant sur la voie du ninja en devenant aspirant. Ils obtiendraient ici l'enseignement aux arts shinobis qui leur manquait. Il pensa à Agil, père de Sasurot, son père adoptif. Bien qu'il ne leur ait jamais parler de son passé, il savait que c'était un Shinobi confirmé, il l'avait vu combattre aux cotés de nombreux autres ninjas alors que le démon attaquait le pays de l'eau. Il espérait qu'il puisse être fier de ses deux fils qui deviendraient peut-être de grands ninjas reconnus de tous, et pour ça ils devraient travailler dur dans cette académie. Akio songea aussi au clan Gakkinasaru. Il espérait aussi pouvoir redorer l'honneur de son clan en accomplissant de grandes choses, portant le nom de Gakkinasaru à toutes les lèvres, comme un hommage à son clan déchu. Il était très jeune mais ne pensait plus comme un enfant de son âge depuis un moment. Aujourd'hui, c’était une nouvelle grande famille qui lui ouvrait ses portes, une famille qu'il saurait protéger et sauvegarder cette fois ci, il rattraperait tous les échecs passés.

Ok, alors alons y !

Il fit un grand sourire à son frère, pour la première fois il arrivait à égaler son enthousiasme légendaire. Alors il sauta du toit sur lequel les deux frères étaient positionnés, se réceptionna comme il pouvait sur le sol devant le grand bâtiment et atterrit devant une large porte. Il ne chercha pas plus loin et poussa d'un geste assuré la première porte qui se présentait devant lui. Sans attendre son frère et sans même regarder ce qui se passait, il traversa la grande pièce dans laquelle il venait de pénétrer. Avant d'être stoppé par un grand cri de mise en garde venant de quelques mètres sur sa droite.

Attention !

Il eut le réflexe de se baisser sans chercher à savoir ce qu'il se passait. Il senti alors quelque chose passer au-dessus de sa tête lui arrachant une mèche de cheveux qu'il regarda tomber lentement au sol. Il entendit un bruit sourd puis se releva. Il regarda d'abord à sa gauche et aperçu un cible en bois dans laquelle étaient plantés quelques shurikens. Il comprit alors. Il se murmura quelque chose avant de se retourner vers l'aspirant ninja qui s'entrainait et qui l'avait prévenu d'un air gêné.

Quel acceuil...
Désolé et euh... merci !

Il se courba alors devant ses interlocuteurs, se pliant pour montrer qu'il était désolé.

Excusez-moi de vous déranger mais pourriez-vous m'indiquer où se trouve le bureau des inscriptions s'il vous plait ?

Akio était à fond, à peine il venait de lui dire d'y allait, qu'il sauta directement du toît tout en affichant une grande joie. 
Se qui était vraiment rare pour à Akio, d'être aussi émotif, mais peut être que de savoir que l'on va pouvoir nous améliorer, lui a mis la patate. 

Le frèro ne m'attendit même pas, il pénétra directement dans le bâtiment. Je sauta alors à mon tour pour m'empressait de le rejoindre, mais je perdis ça trace très vite et maintenant il fallait encore le chercher. C'est bien ma veine...moi qui est un sens de l'orientation égale à zéro, il faut que je le re-retrouve encore une fois, déjà que la première j'était un coup de chance... mais au bout de quelque minute, comme par miracle, je retrouva le frèro dans se qui s'embait être une salle d'entraînement. 
Akio était incliné devant trois personne pourquoi je sais pas, mais il juste après ça, il commençat à leur taper la discute. 

En m'approchant du groupe j'entendis l'un d'eux donner une direction au frèro, peut-être qu'il leur avait demandé où se trouvait la salle pour s'y inscrire. 
Et la réponse de celui me le confirma. 

Aah tien...un future ptit nouveau dans notre académie, c'est cool ça ! 
Alors si tu veux t'inscrire c'est très simple, retient bien les directions à suivre car je vais pas vraiment pouvoir te le répéter sinon nous allons être en retard pour notre épreuve de marcher sur l'eau.  
Donc tu travers cette salle, tu continu tout droit puis te monte l'escalier, tu ne devrais pas le rater car il est de couleur jaune et est plutôt assez large,ensuite tu monte au deuxième étage car c'est à se niveau où se trouve tout les burgaux administratifs et te reste t'as plus cas chercher le secrétariat, généralement c'est eux qui gèrent les inscriptions.

Après ça le trio parti et Sasurot se mis devant son frère comme pour signaler ça présence puis lui dit. 

Bon eh bien y reste plus cas aller dans la direction qu'il ta indiqué. 
Le seul truc qui me fait chier ces que au leu de placer le truc pour s'inscrire en bah, ils l'on foutu pratiquement au dernière étage si se n'est pas le dernier... 

Les deux frèro suivirent donc le chemin indiqué par cette personne et en à peine cinq minutes, ils étaient déjà rendu. 
En entrant dans le secrétariat, ils virent deux femmes d'une trentaine d'année environ, derrière leur bureau, leur tête en plein dans leurs paperasses.