Il fait froid, j'ai froid... Cela fait environs une semaine que mes parents sont mort, me laissant orpheline et sans toit. Je ère actuellement dans le village ou je vivais avec mes parents, tous le monde me connais déjà,en même temps une jeune fille qui traine seul dans les rue c'est assez rare... La plupart me regarde bizarrement, a vrai dire je n'ai jamais réussi a décrypté ce qu'était leur expression, du dégout? De la compassion? Ou même de la peur...?Je ne sais pas, mais franchement pourquoi aurait il peur d'une petite fille...? ~ GROOOOOOIW ~ Je sais petit estomac tu a faims... Seulement a par voler et mendier je ne voie pas d'autre moyen pour me procurer de la nourriture. Le soleil se couche, il dois êtres 19 heurs approximativement. J'ai amassé suffisamment d'argent c'est deux dernier jours pour m'acheter a manger, que vais-je prendre... Des ramens ! j'ai envie de ramen ! Bon... Sa ne tiens pas beaucoup a l'estomac, - Désolée petit estomac - mais pour une fois je vais me faire plaisir. Sa tombe bien il y a un restaurant de ramen juste au bout de la rue ! Je marche lentement et de façons régulière, il ne faut pas que je perdre de l'énergie inutilement. Depuis que je vis dans la rue, l'énergie a pris une grande valeur. Ne me nourrissant que très peu, l'énergie se fait rare. Me voila devant le petit restaurant qui est assez vide d'ailleurs pour un... Je ne sais même pas quelle jours nous sommes, le temps passe si lentement depuis leurs morts. Je regarde vite fait le prix des plats affiché sur la pancarte. Bien j'ai pile poile assez pour des ramens. J'en salive d'avance !

"Excusez moi..."

Aucune réponse... Je décide de haussé un peu la voix...

" EXCUSEZ MOI ! "

Oups, j'ai un peu trop haussé la voix. Tous les passant ainsi que les quelque client du restaurant me dévisagèrent. Voila elle était là, devant moi, cette expression indéchiffrable. Il m'avais surement tous reconnue. Je sens les larmes montez dans mes yeux... Non! Je ne veux pas pleuré ! pas devant tous le monde !Trop tard. Les larmes roulent doucement
le long de mes joues,je baisse la tête et un sanglot m'échappe. Puis un second. Au moment ou un autre m'échappe. Une mains viens se poser sur mon épaule, je relève doucement la tête pour voire a qui appartiens cette main, et Un homme me fait face. Il portais un chapeau haut de forme, une grande cape ainsi qu'un masque noir qui lui entourant les yeux. Il a un grand sourire, le même que ma mère... mes sanglots recommence aussitôt...L'homme a changé tous de suite son expression et me chuchota :


Sa façon de parlé étais bizarre... On dirais un héros d'un des vieux livres que ma mère me lisais pour m'endormir.Après avoir diminué mes sanglot, je lui répond d'une petite voix rauque:


Sérieusement? Il va vraiment m'acheter a manger? Il dois être sacrément gentil ! Mais... sa me parais louche. Un type qui m'offre a mangé juste parce qu'il ma vu pleuré...? Non, je ne dois pas me poser de question. C'était offert alors pourquoi je refuserais?

Après quelque secondes, le temps qu'il capte se que je venais de dire, il demanda a la patronne de me servir un bol ramen. Il m'invita ensuite, très poliment, a venir manger a sa table. J'acceptais rapidement, ne voulant qu'une seul chose: Mes ramens ! Pendant la préparation de mon plat l'homme me questionna sur le pourquoi du comment j'avais des habits pleins de terre et aussi pourquoi tous le monde me dévisageais. C'était la première fois depuis le décès de mes parents que j'ai une vrai et long discussion avec quelqu'un. En effet depuis une semaine, les seul échanges que j'ai eu sont les bref merci que je dis au personne qui me donne une pièce ou bien a la vendeuse de légumes quand je lui ai acheté des carotte
avec le peu d'argent que j'avais. Il a fait une tête d'ahuris quand je lui ai raconté la morts de mes parents. Puis il ma tous de suite fait parvenir c'est plus sincère condolémachintruc, je ne sais même pas se que c'est... Je n'ai que 5ans ! Je fini mon récits pile poile quand la serveuse me servis mes ramens. L'homme commence a m'expliquer quelque chose puis il se mis a s'excuser. C'est a se moment la qu'il déposa quelque billet sur la table en me disant que c'était pour m'acheter des vêtement et survire quelque jours. C'est après ces quelques mots qu'il s'en alla doucement. Je dégusta mes ramens en regardant avec de grand yeux les billet posé devant moi; C'était vraiment pour moi...? Un déluge de question pris d'assaut ma tête :
Est-ce que j'allais le revoir? Pourquoi avais t-il été si généreux? Et c'est la que une question existentielle me traversèrent l'esprit... Comment s'appelait t-il?

Me revoilà, déambulant dans les rues de Kiri. Il fait déjà nuit noire et il commence à faire un froid de canard. Je me dirigeai donc vers la forêt de la brume, là-bas, se trouvais mon chez moi. Une petite tente que j'ai construite de mes propres mains après que ma maison se soit envolée. Il n'y a que le strict minimum : une couette, un matelas de feuilles et une sorte de petite cheminé pour me réchauffait la nuit. J'ai installé mon abri dans une clairière au centre de la forêt ce qui m'évitait les insectes qui restent près des arbres. J'entre tranquillement dans mon chez moi et je m'installe confortablement - C'est un bien grand mot... - je me saisis d'un briquet que j'avais trouvé la veille lors d'une de mes petites promenades dans la ville, il était presque vide mais bon là il faisait trop froid je devais me réchauffer. Les réveils sont toujours à l’aurore à cause des oiseaux qui piaille dès que le soleil se lève... Une journée de plus dans cet enfer.

Les jours passèrent et j'ai eu la chance de trouver récemment des bais sauvages. j'ai grandement hésité avant d'en manger mais bon comme on dis, qui ne tente à rien n'a rien. j'ai donc cueilli toutes les bais et c'est seulement après que j'ai remarqué qu'une grande partie du buisson a été récolté, quelqu'un serait passé avant moi...? Ou même, est ce que quelqu'un d'autre vice dans cette forêt...? En tout cas il était bien généreux de laissé autant de bais, même si elles m’ont permis de survivre que quelques jours. Par chance j'ai découvert un endroit de la forêt qui regorge de buisson à bais ce qui m'a permis de subsister encore un peu de temps a mes besoins.

Trois mois se sont maintenant écoulé depuis ma rencontre avec l'homme dans le restaurant de ramen. J'avais appris beaucoup de méthode pour survivre comme, faire du feu en frappant deux pierres et mettre feu à une brindille grâce à l'étincelle produit pendant le choc des deux pierres ou bien même fabriqué des pièges. Cela peut paraître futile mais pourtant ces méthodes mon permis de me nourrir convenablement c'est trois derniers mois. Je me trouve en ce moment au bar du village entrain de siroter délicatement un verre d'eau offert par le patron, car oui le patron étant très généreux, il m'offre un verre d'eau chaque jour. je le prends habituellement le matin comme ça je peux écouter papy Joe qui déblatère de vieille histoire à qui veux bien l'écouter... Ce matin-là était très calme, d'habitude il y beaucoup de personnes qui viennent prendre leurs cafés avant des partire au travaille, mais aujourd'hui seulement... Pendant que je m'amusais à compter le nombre de personnes présentes dans le bar, un Homme passa la porte. Il était voilé d'un bandana lui recouvrant le nez et la bouche, il était vêtu aussi d'une longue cape bleu marine... Je ne sais pas trop pourquoi, mais j'ai un très mauvais pressentiment...

Le temps semblait s'être arrêté au moment où l'homme entra dans le bar, des ces moments, tous les visages se tournaient vers l'homme mystérieusement voilé, il avança doucement vers le comptoir comme s'il voulait faire durer le supsence. Seulement, au lieu d'aller s'asseoir sur un tabouret comme un gentil petit client tous gentil, il passa tranquillement derière le comptoir. Personnes ne comprenaient vraiment ce que faisait l'homme... Le patron déclara un petit " que faites vous...? " mais l'homme ne répondit pas. D'un seul coup, à une vitesse hallucinante, l'homme sortit son katana et le plaqua contre la gorge nouée du barman. Tout le monde retiens son souffle, les battements de mon cœur s'accélèrent, j'ai peur, allait-il juste braquer le bar où allait il nous prendre en otage...?
J'espère sincèrement qu'il va prendre la première option. Il s'avère que mon vœu fus exaucé au moment où il sortit de sa poche un gros sac en toile et qu'il ordonna au barman de le remplir avec l'argent de la caisse. À ce moment là, on avait l'impression que les clients se sont transformé en statue de pierre, à par leurs yeux rien ne bougent, on peut voir de temps en temps leur gorge qui fait des vas et viens quand ils ravalent leurs salives prient de panique. L'homme se promène dans le bar en vesant valsé sa lame pendant que le sac se remplit d'argent.À ce moment précis on aurait dit que les secondes étaient devenus des minutes et les minutes des heurs... Une fois l'argent dans le sac, l'homme, évidemment, récupéra l'argent et se dirigea devant un des clients du bar. C'était un habitué, il a habituellement le teint bronzé mais là, face à l'homme, il devint blême de frayeur. Le braqueur masqué enfonça légèrement la pointe de sa lame dans la gorge du monsieur. Le client commença a le supplie en s'agenouillant mais d'un coup il arrêta du supplié et fixa l'homme qui lui faisait si peur et il prononça des mots qui m'ont glacé le sang.

" La... La petite fille, elle fait partis du clan Samui ! Prenez la et épargné moi je vous en pris ! "

Sur ces mots, le visage de l'homme masqué se raidit. Un sourire sadique décorait son visage... Mais... comment savait il que je fais parti du clan Samui? Et puis même ! Livré une petite fille pour sauver sa peau, quel genre d'homme ferait sa...? En plus de sa tout le monde me fixait maintenant, comme si j'étais une bête de foire. Et avant que quelqu'un ne comprenne ce qui se passa. La lame du katana cisela finement la gorge de l'homme en prononçant ces mots :

" D'où tu me donne des ordres petit insecte? "

Le client tomba par terre baignant dans son sang. J'étais apeuré, il avait tué un homme, juste devant mes yeux?! Je n'ai même pas eu le temps de m'en remettre que l'homme se dirigea vers moi avec un grand sourire... Non il n'allait quand même pas le faire...? Apparemment si, puisqu'il m'agrippa le poignet et des mots sortis de sa bouche sur un ton mielleux :

" Toi tu vien avec moi la jolie Samui ! "

Oh non...

L'homme m'emmena à l’extérieur du bar et profita que les rues soient déserte le matin pour me trainer de force en me tirant les cheveux. je pleur e et hurle aussi fort que je le peux, seulement mon ravisseur plaqua sa main contre ma bouche pour étouffer mes cris. Il avait rangé son katana mais il gardait quand même une main sur le manche au cas où. Nous nous dirigeons vers les marais au sud de mon village. Je me demande vraiment ce qu'il compte faire de moi... peut-être ma t-il prit comme trophée ? Qui sait... Nous voilà arrivée dans les marais, je n'ai jamais aimé l'air humide des marécages, c'est toujours lugubre et le pire dans tout ça : On a toujours les pieds dans l'eau.

Après de longues minutes à marcher dans l'eau l'homme enlève sa main de sur ma bouche et lâche son arme. je songe à m'enfuir, mais après réflexions je pense ne pas pouvoir aller loin avant que l'homme ne me rattrape vu son allure sportive. En plus dans cette eau glacée je n'aurais pas pu aller bien loin même avec personne pour me poursuivre.

Ça commence à être vraiment très long... Ha ! Je vois une sorte de maison au loin, elle m'a l'air assez modeste de l’extérieur, je dirais même pittoresque. Quelque fenêtre pour éclairer vaguement l’intérieur et des murs en bois pour protéger du froid... Après que nous nous sommes rapproché le cambrioleur exclame avec un grand sourire :

" Nous y voila ! "

L'intérieur est un peu moins modeste, un canapé et une table entourée de chaises mais bonne je suppose que ce n'est pas ici que je vais être séquestrer... Et bah oui j'avais raison, l'homme me pousse violemment dans une petite pièce sombre avec une toute petite fenêtre et un matelas pour dormir. Même si j’essaie d'être positive, il n'en reste pas moins que j'ai peur, très peur. Après tous il peut même faire n'importe quoi à n'importe quel moment... je suis sans défense, a son bon vouloir.

Un heur que je suis enfermé dans cette pièce, je commence à avoir faim, vraiment faims, j'espère qu'il va au moins me donner à manger. De toute façon je ne vois pas à quoi sa lui servirait de me laisser mourir de faims. nan mais il oserait quand même s faire sa...? C'est un humain il a un coeur... Du moins je l'espère. Je pense à mes parents tous à coup, pourquoi maintenant? Je me blottis d'un coin et pleur encore et encore, jusqu'à m'endormir doucement.

" Debout feignasse ! "

" ... "

" Et c'est ça la jeunesse? On va va pas aller bien loin alors... "

Un homme me crie dessus, je ne comprends rien à ce qu'il raconte... j'ouvre délicatement les yeux, ou je suis? C'est quoi ce vieux matelas moisit? Ha... Oui... ! Je me rappelle, le bar, le braquage... Et actuellement mon kidnaping.

" Tiens, faut pas que tu meures de faims sinon tu me serviras à rien ! "

Ouf ! j'ai sérieusement cru qu'il allait me laisser mourir de faims ! Il me donne un petit bout de pain et de l'eau. Je ne vais pas me plaindre, hein... L'homme tourna les talons et claqua la porte. je mange doucement mon bout de pain puis je bois une gorgée d'eau, ça promet d'être long....

24 heures, oui 24 heures où je suis enfermé ici. Il fait nuit noir, les seuls amis que j'ai sont les cafards errant et les moustiques qui s'amusent à venir boire mon sang comme si c'était open bar... On pourrait croire que c'est insupportable de dormir ici mais c'est limite mieux que ma tente, à vrai dire se reviens au même. Mon ravisseur est partis dormir, enfin je suppose puisqu'il n'y a plus de bruit a par les chouettes qui s'amusent à ouvrir la bouche en pleine nuit. Je me lève doucement sans faire de bruit pour ne pas réveiller l'homme et je me dirige vers la fenêtre pour espérer y trouver quelque chose un minimum intéressant de l'autre côté. A par une chouette posé sur un arbre tranquillement, je ne vois rien. Elle veut quoi celle-là? À l’ouvrir en pleine nuit? Elle ne peux pas se taire? Pendant que je m'énervais sur cette pauvre chouette innocente un petit " psssst " me parviens aux oreilles. Je regarde autour de la fenêtre mais je ne vois personne, puis une voix retentis dans la nuit.

" Écoute, je suis venus te libérer, recule de la fenêtre pour que tu ne sois pas touché par ma technique. "

Je m’exécute sans broncher puis après quelques secondes, je vis une grande lumière bleue à travers la fenêtre. Du chakra? Surement. Mes doutes se sont dissipé quand l'homme utilisa une technique de taïjutsu sur le mur.

" Poing divins ! "

Suite à c'est quelque mot le mur éclata sous la technique de l'inconnu. Un brouillard de poussière accompagna la destruction du mur. Après que la poussière est disparu l'homme me prend la main et me fait sortir de ma " cellule " je ne peux pas voir son visage à cause de l’obscurité de la nuit. Avant que je n'ai le temps de comprendre quoique ce sois mon ravisseur défonça la porte à grand coup de pied en criant:

" C'EST QUOI CE BORDEL ! "

Mon sauveur et mon sauveur se cherchent du regard puis ce dernier se positionne de façon à barrer la route entre mon ravisseur et moi. Il me dit de reculer - Encore - et a ce moment un court dialogue commença entre les deux hommes:

" Ton un problème a pété mon mur, toi? "

" Je viens libérer dame Natsumi ! "

Dame Natsumi? Heu... Dame...? C'est qui luit et pourquoi il m'appelle comme sa... On ne m'a pas appelé comme ça depuis que j'ai quitté le clan Samui. Pendant que mon esprit s'amuse à comprendre le pourquoi du comment les deux amis - Ironie - se mirent à se taper dessus. C'est l'homme au katana qui ouvre le bal en attaquant de toute vitesse avec son arme mais l'inconnu répliqua avec une technique du clan Samui:

" Hyôton - prison de givre éternelle "

Aussitôt dis aussitôt fait, l'homme victime de l'attaque se retrouva piégé dans de la glace turquoise. C'est une technique du clan Samui sa... Je leur ai pourtant dit de me laisser tranquille... L'homme m'agrippe le poignet et prononce ces mots :

" Rentrons a la maison Dame Natsumi. "

Et c'est là que j'ai vu son visage, c'était lui. L'homme qui m'a aidé il y a longtemps quand je venais de perdre mes parents. C'était donc un Samui, même si je leur ai dit de me laisser tranquille, ils ont quand même envoyé quelqu'un me surveillé...

" Je croyais vous avoir dit de me laisser tranquille non? "

" Il est vrai oui que vous avez émis cette requête mais vos grands-parents s'inquiètent... "

" Je m'en fou, laissez-moi tranquille c'est tout. "

Avant même qu'il n'ait eu le temps de répondre, je tourne les talons et m'en vais vers le village. J'espère que cette fois ils vont vraiment me laisser tranquille.