La guerre… Déjà… A peine l’alliance avec Suna fut-elle conclue, que je devais annoncer au conseil clanique et à mon village entier que nous partions en guerre. Dans ces moments il pouvait surement m’être permis de regretter la création de ce conseil. Car le combat se présentant à moi n’était pas des plus aisés. Annoncé la fin de la traque de Gabushi, car elle était devenue une Sunajin jusqu’aux ongles. Je doutais que la garantie de Reï quant à ses yeux suffit à calmer les ardeurs des Jisetsu d’ailleurs. L’alliance avec Suna en vue de l’un des projets les plus ambitieux du monde Shinobi… La libération de tous les pays neutre et les nôtres y compris. Libérer nos conquêtes, même vu d’une alliance avec tous les pays neutres réunis et donc pouvant être concevable en tant qu’investissement, ne pouvait pas être suffisant pour convaincre cette assemblée de la justification de cette guerre. Je savais d’avance quand m’annonça son départ directement pour Kumo, que ceux-ci refuserait catégoriquement de libérer le pays du Fer. Et qu’en conséquence la guerre entre l’alliance Konoha Kumo contre Kiri Suna en découlerait inexorablement. Je mettais en quelque sorte mon pays au pied du mur avec cette annonce. Sans vraiment lui laisser le choix de refuser…
En y repensant, moi, jeune Mizukage, qui avait connu la guerre et l’avait maudit, je venais de déclencher une guerre qui n’avait encore jamais eu un tel écho. Le monde Shinobi avait déjà été en guerre dans son intégralité certes. Mais jamais deux alliances ne s’étaient unis l’une contre l’autre à ce point. Même les Nukenin et les errants ne pouvaient y échapper. Quand j’ordonnais la réunion du conseil dès que j’eu reçu le message stipulant que la guerre était déclaré, je me maudissais moi-même. Je ne craignais pas tant nos ennemis. Kiri,… la réputation de notre village n’avait pas été volée. Chez la guerre était une religion et je ne voyais pas comment nos adversaires pouvaient s’assurer la victoire. Il n’en demeurait pas moins que le conflit devrait être manœuvré avec volupté et justesse, sous peine de se voir anéantit. Déjà de petits affrontements auraient promptement lieux entre les shinobis déjà sur le continent. Les souvenirs sanglant refaisaient surface. Finalement, peut-être était-ce la seule chose pour laquelle j’étais fait…
Pour ce cas exceptionnel, j’autorisais tout shinobis non membre du conseil à y participer. Ou du moins à y assister. Dangereuse manœuvre si il en est, mais je ne voulais pas me conduire en total tyran. Une salle immense en cercle, tel les théâtres anciens, faite de pierre et de marbre pour accueillir une tribune plus que conséquente. En son centre siégeaient trois fauteuils. Le miens et celui de mes deux seconds. Quand j’arrivais en ce début d’après-midi, il y’ avait tellement de monde rien qu’à l’entrée qu’il était difficile de se faire un chemin dans la masse. La rumeur de la guerre dû se reprendre comme une trainée de poudre… Et si des membres du Misuto s’affairaient à repousser la masse pour que je puisse facilement passer. Cela n’empêchait pas les regards de se poser sur moi. Et moi, cela ne m’empêchait pas de regarder droit devant, fier, décidé et l’œil plus ferme que jamais. Je n’avais pas comme à l’accoutumé l’air abattus, sans manière, et le faciès je m’en foutiste. Non, je me tenais droit, pourvu d’une prestance qui surprenait même ceux me côtoyant souvent. Prenant place sur le fauteuil ? Non, je restais debout au centre de cette immense assemblée qui ignorait alors le sens du mot silence. Je les fixais tous au hasard, dévoilant dans le même ton l’imputable témérité qui faisait mon état. Levant deux doigt à hauteur de mon buste, un membre du misuto, parmi nombre d’entre eux chargé de maintenir un peu d’ordre annonça qu’il était temps d’écouter justement.
-Silennnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnce !
Et me voici, avançant d’un pas décidé, et proclamant mes intentions d’une voix grave et affirmé.
-J’ai souvenir d’une folie autrefois que tout individu assumait sans déférence. Une folie appelé guerre clanique. Aujourd’hui, par le concours de quelques braves, celle-ci fait définitivement partis du passé. Une folie qui s’étend maintenant toute fois au monde. Car oui, mes frères et sœurs. Le monde est en guerre, et nous avec lui. J’ai conclu une alliance avec le pays du vent, pour notre bien et notre salut, mais aussi pour celui de tous ces pays neutre qui n’ont que trop longtemps souffert de notre avidité. En échange de la sauvegarde de la Jisetsu Gabushi, maintenant Sunajin, la garantie de la protection de ses pupilles, nous avons pacte de guerre face aux puissances du feu et de la foudre. Et déjà surement sur le continent nos shinobis sont chasseurs ou chassés. Nous voulons que les pays neutre, les nôtres compris, s’unissent sous notre protection en fédération indépendante, jouissant de cette cinquième et grande puissance à laquelle notre alliance et notre appui permettra finalement de mettre fin à la guerre des conquêtes qui n’aura que trop durée. Moi, Kaguya Tenzö, Yondaïme Mizukage, je vous mets le dos au mur en vous obligeant à entrer dans ce conflit. Kiri, si belle et si glorieuse, n’en demeurera pas moins victorieuse, car vous qui la composé êtes parmi les plus grands. Aucun village n’a donné plus de légende que le nôtre. Et pour la première dans l’histoire, notre nom ne sera pas suivit d’infamie dans cette guerre. Nous voulons libérer et non asservir. Konoha et Kumo dévoilent leur vrai visage. Protecteur de la haine, de cette tradition ancestrale de la domination. Alors mes frères et sœurs, trouverons-nous de la fierté dans cette quête ! Ou serons-nous les ignobles que l’histoire dans le futur qualifiera de bestiaux et bêtes sanguinaires ! En vérité je vous le dis ! Moi ! J’irais à ce combat, avec vous, dans la boue et le sang, la braise et dans la flamme, n’exigeant jamais plus que ce que je pourrais moi-même donner. Car de mon vivant, je préfère que l’on dise de moi et des miens, que nous avons affronté la mort si brillamment, qu’en notre présence, se surpasser devint facile aux hommes.
Jisetsu Ayato
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Cela était enfin le grand jour, le jour du tout premier conseil clanique.. Demon était très curieux d'y assister et puis peut être qu'avec un peu de chance le Jeune Jisestu aurait l'occasion de rencontrer la dénommer Jisestu Hikolaî car, malgré tout le jeune homme n'avait pas renoncé a en apprendre plus sur lui, même si cela semblait dangereux ou impossible... La guerre qui venait d'éclater était certes importante, mais il ne perdait pas de vue son objectif personnel. Cela restait la priorité numéro une a ses yeux... Mais il comptait tout de même participer a cette guerre...
Non par obligation, mais bien seulement et uniquement pour le village. Ce village ou le jeune manieur de temps avait parfois rit... Souvent pleurer, vu des personnes qui n'étaient pas forcement des amis mais seulement comme lui, des habitant de Kiri, des pères, des mères, des fils, des personnes ayant eux aussi des être cher a protéger... Le but de cette guerre n'était pas la conquête de konoha ou de kiri mais seulement la libération de plusieurs pays mais malheureusement, la guerre va forcement avec mort, larmes et sang et Demon ferrait de son mieux afin que le moins de gens possible n'ai a vivre cet enfer.
Le jeune Jisestu avait une confiance totale envers le Mizukage et il était certain que lui aussi ferrait de son mieux, malgré ses airs un peu marginal les Yomdaine était quelqu'un sur qui on peut compter, il ne laisserait pas tomber son village ni aucun de ses habitants.
Demon était l'un des premiers a être arriver dans la salle, il pris donc appui sur le mur en attendant que cela commence, très vite la salle se mit a se remplir, cela n'était pas vraiment surprenant car, beaucoup de personnes était curieux de connaitre la réalité des faits et des intentions du chef du village car des rumeurs avait déjà commencé a circuler même les plus folles.
Au bout d'une bonne heure les Yomdaine Mizukage Kaguya Tenzö, était enfin arrivé, il prit donc place puis il commença a expliquer tout ce qu'il y avait a savoir, lorsqu'il eu fini de parler, le jeune manieur de temps bien que n'étant pas membre du conseil clanique pris la parole calmement :
-Mizukage-sensei, sans vouloir vous manquer de respect.. Eté vous sur que l'on peut faire entièrement confiance a Suna ? Personnelement je n'ai pas confiance en eux et en particulier a cette Gabushi, elle a déjà trahi une fois Kiri, son propre village natal... Qui nous dit qu'elle ne le refera pas ? Demon avait pour le moment dit le fond de sa pensée, il se mit donc a attendre des réactions.
Su U
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Voilà que le conseil doit se réunir pour parler de cette guerre. Je fus donc logiquement appelé à m'asseoir à côté de Tenzo. Il en est évident que mon titre n'autoriserait aucunement de rater une réunion aussi importante. Donnant mes derniers ordres avant de partir à la réunion, j'eus un petit retard. Devant arriver avant le Kage à mon arrivé une foule monstrueuse est déjà devant les postes pour pouvoir entré. Il est certain que la pièce ne pourra contenir tant de monde faisant signe à un des Ambu, je me mets à lui dire :
Faite installer des hautparleurs, tout le monde ne logera peut-être pas, mais tousse ont le droit d'entendre ce qui va se dire.
Oui chef.
L'homme disparu. Je sais que l'installation ne prendra pas de temps vu l'importance que cela à. La section du Misuto de Aoji est chargée à canaliser la foule et à nous laisser un chemin pour passer. Je regarde la foule de droites à gauche certains hué mon nom et d'autre faisant de drôle de grimace. Comme quoi les changements apportés ne plaisent pas à tout le monde, mais qu'elle changement peut plaire à tousses. Je n'en ai jamais connu, puis l'importance n'est pas ce que les gens pensent de moi, mais ce que nous dessinons pour eux. Je suis un homme de l'ombre et aussi de la lumière, ses deux côtés me doivent d'être assumé pleinement. C'est donc en marchant l'aire certaine de soi que j'entre dans le domaine ou déjà une question fut posé. La confiance que l'on peut donner à Suna et notamment à Gabushi. Arrivant donc dans l'enceinte, je me mets à prendre parole :
Suna est une grande nation et Gabushi n'est qu'un de ses membres apparents. Certes elle est devenue un grand pilier pour leur village. Néanmoins, nous avons donné la confiance à Suna. Gabushi a déjà accepté notre proposition. Celle que vous avez vous même demandé pour que cette alliance se face. Demon. Votre représentent Aizen vous à représenter dans votre ensemble et à voter oui. Cependant je comprends cette peur. Ne vous en fais pas, nous avons un pacte avec Suna, mais nous savons que les écrits ne valent pas grand-chose dans le monde Shinobi. Nous resterons donc vigilantes quand même, mais il y a peu de chance qu'il nous trahisse, car ils ont besoin de nous autant que nous avons besoin d'eux. Pour Gabushi, elle n'a aucun intérêt à trahir les dessins de Suna et donc les nôtres en ce moment, sinon elle se verrait avec de fortes chances de se voire deux villages à dos ce qui signifie pour ceux qui la protégerons qu'ils se frottent à deux villages.
Mon arrivé fut fait à la fin de ma phrase, je me suis posé sur mon fauteuil. Tenzo quant à lui est resté debout. En faisant cette action, je laisser Tenzo prendre les devants et l'initiative qui souhaite pour les autres questions que les villageois auront. Je le regarde. Je sais que cette guerre n'est pas ce qu'il veut, mais qu'il en devient une nécessité afin qu'un village ne conquit pas un nombre trop grand de pays pour que cette guerre en devienne plus dévastateur.
Après un long voyage, accompagné d’une importante délégation de Yuki no Kuni, l’homme imposant sortant d’un monde de glace foulait de nouveau le sol de sa terre natale. Toujours emmitouflée dans ce vêtement épais que tout soldat du Pays de la Neige devait porter pour résister aux températures les plus rudes et les plus glaciales, la compagnie avait silencieusement quitté son embarcadère, sans se faire remarquer, et avait traversé le port sur un pas calme et rapide. Quelques minutes plus tard, l’étrange assemblée s’était dirigée vers les portes secrètes ; vers les longs tunnels, menant vers le village caché de la Brume.
Après quelques heures de marche, le comité était arrivé sur les lieux, et s’était dispersé. Tous avaient profité du voyage imposé au Gouverneur de Yuki no Kuni ; ils désiraient retourner auprès de leurs proches pendant un temps. De son côté, notre homme bourru n’avait que faire de toutes ces jacasseries de bonne femme. S’il avait fait le déplacement, c’était pour assumer ses fonctions. Et ce, à double titre : en tant que dirigeant de la province du Pays de l’Eau, et comme représentant du Clan Samui au sein du Conseil Clanique. Même si les dernières nouvelles lui laissaient un goût amer dans la bouche … . On l’avait renseigné sur la situation sur la route. Cette réunion, qui devait résumer de nombreux points sur les derniers éléments survenus au Village, ne rassemblerait pas uniquement les membres du Conseil Clanique. Pour des circonstances « exceptionnelles », c’était l’ensemble de la fratrie militaire qui serait convié à la rencontre. Les intéressés, des plus sages aux plus idiots, auraient droit d’opinion et d’avis sur les questions les plus brûlantes. Un signe de grandeur de la part du Mizukage, qui rappelait là ses intentions premières : un temps de paix et une ouverture vers une démocratie du pouvoir. Balivernes et billevesées. Tout cela n’était qu’un énorme coup de pub pour s’attirer les faveurs de la foule, et faire démonstration d’une image noble et grande. En attendant, aucun des représentants n’avait assez de jugeote pour se rendre compte de la supercherie. Sous couvert de grandeur et de magnanimité, le Mizukage s’emparait du dernier pouvoir détenu par les Clans de façon autonome. Ce n’était plus les Clans qui étaient aujourd’hui représentés au Conseil Clanique ; c’était l’intégralité d’un village, sans le moindre respect des traditions ou des promesses politiques formulées plus tôt. Encore un moyen d’écraser tout contre-pouvoir … .
N’allez pas croire que notre Kakeshuou Samui était contre cette portée politique ! Pour lui, seukle l’autorité suprême sans contestation et toute puissante – quel que soit ses outils – avait intérêt d’existence dans un village militaire, dont les hommes devaient suivre les ordres et être prêts à donner leur vie. En revanche, faire des promesses ridicules pour ne pas les tenir, et donner une façade démocratique à ce qui semblait être un coup d’État sans intérêt concret ne faisait que mettre du sel sur des plaies encore ouvertes. Rien qui ne réjouisse vraiment notre vétéran. Lui qui avait connu les grands conflits du Temps, qui avait traversé les régimes et les époques, il préférait être soumis à un pouvoir totalitaire plutôt qu’avoir la sensation d’être arnaqué à chaque manœuvre politique illusoire … .
C’était donc sur une mine patibulaire, les dents grinçantes et le regard terne, que le quinquagénaire du Clan de la Glace avait pris le pas en direction du Palais du Mizukage. En chemin, tant de monde. Avec une telle invitation, pas étonnant que tout le monde souhaite être présent. Dites à un touriste que vous avez vu la Joconde de Léonard de Vinci dans un McDonald à Paris : il les fera tous. L’être humain, débile par nature, veut être dans l’évènement pour la simple raison qu’il veut être dans l’évènement. Rien d’autre ne l’y pousse, et rien d’autre ne l’en démotivera. Quelques coups d’épaule afin d’avoir un aperçu des premiers rangs. Quelques mètres, tout au plus … et nous y sommes ! En tout cas, assez prêt pour voir ce qu’il se passe sur le devant de la scène. Et devinez donc : les trois sièges, symbole de l’autorité de Kirigakure no Sato ! Pour beaucoup d’imbéciles, la preuve que le pouvoir était partagé entre trois personnes et que seules des bonnes décisions pouvaient en naître. Pour les plus sages, la spoliation des places réservées aux anciens pour y mettre femme, copain et autre népotisme infâme. Décidément, la journée serait bien difficile.
Plusieurs figures s’étaient déjà détachées. Le thème principal semblait tourner autour de Gabushi Jisetsu. Ce qui tait compréhensible. Sur le résumé qu’il en avait obtenu, Kakeshuou Samui avait déjà eu vent de la venue du Kazekage avec l’ancienne traitresse de Kiri no Sato. Déjà, bien avant cette rencontre, il avait parlé de ce cas bien particulier avec des responsables, et avait formulé la nécessité de voir ses yeux scellés, si cette femme diabolique devait venir à mourir. Un excellent moyen de conserver là un atout précieux pour le village de la Brume, qui ne livrerait plus ses Dojutsus à autrui. Et notre vieux soldat avait été soulagé de savoir que l’une de ses propositions avait été retenue et qu’elle avait porté ses fruits. Grand bien. Du coup, cette partie de la conversation n’avait pour lui pratiquement aucun intérêt : les choses étaient désormais entérinées sur ce sujet. Mais il y avait déjà plusieurs choses d’entérinées. Des choses sur lesquels les Clans n’avaient pas véritablement donnés leur avis. Kakeshuou Samui, en tant que Gouverneur, ne pouvait s’empêcher de penser à la place qu’aurait le Pays de la Neige dans cette alliance des pays neutres pour former un tampon entre les grandes nations. Y-avait-il un but philanthropique derrière ? Le fait de laisser la mémoire de nos camarades tombés au combat derrière nous était nécessaire alors que leur sacrifice avait permis cette gloire ? Et ces pays, seraient-ils capables de s’en sortir seuls à l’avenir ? Il y avait assurément besoin d’une tutelle ! Mais notre homme ne pouvait se permettre de revenir sur ce sujet : il n’avait aucun intérêt à faire scandale ici et maintenant devant le village entier et les hautes instances … .
~ Que nous fassions confiance à nos alliés ou pas, peu importe. La guerre et déclarée, et il va falloir lutter, quoi qu’il arrive, et peu importe le nombre d’ennemis.
Avec cette phrase d’entrée en scène, Kakeshuou savait qu’il attirait l’attention. Peu importe, il tenait à parler et à faire avancer cette histoire. En particulier les points les plus intéressants, et ceux encore dignes d’intérêt. Tout en faisant passer ses arguments, cela va de soi.
~ Les Samui étaient opposés à l’idée de créer une ligue de pays indépendants confiés à des renégats et des personnes non soumises. Trop des nôtres sont morts pour ces terres. Mais soit, le Conseil en a décidé ainsi. En revanche, tant que cette guerre n’est pas achevée, ces mêmes provinces restent sous notre contrôle. Il est donc important de connaître nos véritables objectifs dans cette guerre. Pour nos ennemis, qui ne veulent pas de cette ligue, s’emparer de nos provinces serait le choix le plus logique. Cela nous couperait de toute prétention dans cette guerre. Quel est notre plan d’action, voilà la question essentielle qui se pose ici !
Voilà qui m'étonnait. Je m'attendais à beaucoup plus de ressentiment. De plaintes. Voir même à une sorte de révolte. Mais non. Tous acceptèrent sans le moindre problème mon annonce. Devais-je me méfier de cette soudaine docilité, ou bien me féliciter d'être parvenue à les éduquer dans le sens que je désirais ? Voilà une question qui ne mériterait une réponse que bien plus tard. Car pour l'heure, il y'eu cependant des questions tout à fait sujette à réponse immédiate. Heureusement je m'y étais préparé. Si la politique et la diplomatie n'était pas mes meilleur qualité, la guerre elle, je la concevais avec une lucidité tout à fait remarquable. Et peut-être même plus que cela. C'était donc le moment de prouver que matière de chef d'armée, cette fois, je pouvais bien mériter ce titre de Mizukage que l'on m'avait confié par un hideux concours de circonstance. En effet, le gout qu'elle laisse dans la bouche, sa saveur, ses lois et ses jeux, je les maitrisais d'instinct. Et alors que je dressais la main pour ordonner à nouveau le silence. Je me prononçais sans hésitation sur mes attentions. Ce qui n'allait faire aucun doute, ce fut que je me trouvais en totale confiance quant à mes prévisions.
-Il n'a jamais été question de libérer nos nations soumise avant la fin de cette guerre. Ce serait prendre le risque de les voir se retourner contre nous. En outre l'avantage que nous offre leur position, je ne peux y renoncer. Leur libération surviendra dès lors que nos ennemis et notamment leur conquête libérer.
Les rassurer. Tel fut le but de ce discours toute somme assez simpliste et sommaire. Passons alors au vif du sujet. La stratégie Kirijin. Le sujet qui me passionnerait sans doute le plus, au moins autant que mes chers compatriotes. Le génie de la guerre, c'est dans saisir toute la fourberie qu'il en émane. C'est ainsi que je la voyais. Telle une partie d'échec. Nous devions ainsi devancer les intentions de nos ennemis. Et au demeurant, elle me paraissait tellement prévisible qu'il était honteux de considérer ingénieux de les devancer. Mais, ma foi, l'exposer était de toute façon nécessaire.
-Je refuse de voir la mère patrie envahit par les hordes Konohajin et Kumojin. Je compte organiser une opération amphibie sous très peu de temps, moi-même, je vous guiderais. Nous ferons en sorte que l'ennemi viennent nous intercepter sur les côtes du continent. Ainsi, vous, Kirijin, maître de l'eau, serez avantagez et en charge de les repousser. Organisant vous équipe avec savoir et justesse, vous serez disposer selon des lieux qui vous seront profitable. Puis, une fois débarqué et l'ennemi obligez de nous céder leur côté, en coopération avec Suna, nous procéderont au début de l'invasion. C'est le plan de base que je vous soumet. Je refuse d'attendre qu'il débarque sur nos terres. Il nous revient d'imposer le rythme de cette guerre, nous qui sommes l'élite guerrière du monde.
Jisetsu Ayato
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Demon écouta la réponse du chef de la section espionnage du misuto... Celle-ci n'était pas du tout en accord avec la vision qu'avait le jeune Jisestu avait des choses, même si Gabushi était devenu une Sunajin, elle restait une menacer, le jeune démon du village caché de kiri ne comprenait même pas comment son village pouvais accepter que Suna et mit la main sur le Kinnegan. Tous ses politiciens étaient-ils au courant que grâce a Gabushi, il pouvait mettre la main sur tous les secrets du clan Jisestu ? Tout un clan était mis en danger a cause de la simple existence de la nomade. Le jeune Kirijin ne comprit surtout pas pourquoi avoir laissé partir cette femme, elle était venue la a Kiri, pourquoi ne l'avait-il pas arrêté? Si kiri était un village aussi puissant que le prétendait il n'avait pas a craindre une guerre contre le village du sable, le génin cria donc:
-NON! JE NE SUIS PAS D'ACCORD AVEC CETTE MANIERE DE PENSER ! ETE VOUS QUAND MEME AU COURANT QUE SUNA PEUT PERCER LES SECRET DES JISESTU A CAUSE D'ELLE ? C'EST TOUT UN CLAN QUE VOUS METTAIENT EN DANGER EN LA LAISSANT COMME CA ! ET QUI EST CETTE AIZEN ? ET-IL SEULEMENT DANS LA SALLE ?
Demon reprit donc son calme :
-Et qui nous dit que suna ne cherche pas a mettre la main sur la force de sa fameux météora? D'après la rumeur, il s'agirait du corps du Sandaime Kazekage. Cet homme est un monstre, son seul nom fait trembler des milliers de shinobi dans le monde, ... Quand a cet homme masqué ? Et il y faisait alliance ? Tout le monde sait quel danger il représentante. En rendant tout les territoires sans surveillance qu'est-ce qui nous dit qu'il ne chercheront pas a trouver un moyen de le faire s'allier a eux? Qu'est-ce qui se passerait si jamais ont devait les combattre? Combien de nos shinobis y laisserait la vie avant de parvenir a en venir a bout...
Demon se tourna ensuite vers le Mizukage puis il lui expliqua :
-HEIN SENSEI ? VOUS SAVEZ QUE JE VOUS RESPECT PLUS QUE N'IMPORTE QUI DANS CE VILLAGE ? JE SAIS QUE JE VOUS DOIT TOUT EN TEMPS QUE SHINOBI, QUE SANS VOTRE ENSEIGNEMENT JE NE SERRAIT PAS LA OU, J'EN SUIS ALORS COMMENT TOI PEUT TU PRENDRE UN TELLE RISQUE ? REPOND SENSEI !
Demon entendait une réponse, il venait de dire tout haut ce que surement, tout le monde penser tout bas... Le village entier avait les yeux river sur le Yomdaine Mizukage, devant la réponse qu'il n'allait donner non pas a son disciple mais a un village entier...
Encore un braillard ?! C’est pas vrai, ça sert à quoi de gueuler comme ça, pour ne rien apporter de neuf à la conversation ! Tu vois bien qu’on a compris ton point de vue, non ? Et en l’occurrence, hurler aussi près des autres n’était en aucun cas le moyen le plus adapté pour rallier des gens à ta cause ! Lorsque l’on est en public, l’une des premières choses à apprendre … est de rester à sa place ! Sur cette pensée sauvage et colérique, le Genin reçut un violent coup de poing d’une main ferme et dure comme de la glace, s’abattant sur le sommet de son crâne. Bientôt, la bosse ridicule n’allait pas tarder à se former sur son haut-de-corps, tel un haut de forme aux allures pathétiques. L’auteur de cette frappe ? Votre dévoué serviteur, évidemment ! Il aimait participer à des débuts, même quand il savait qu’ils n’auraient pas toujours d’intérêt réel ni de décision retentissante : toutes ces choses étaient établies bien avant que le reste du peuple n’en soit informé. Mais il était toujours amusant pour notre vieux loup de plaisanter et de manipuler la scène politique pour tirer les vers du nez des maîtres de marionnettes. Or, ce jeune homme, avec son intervention aussi débraillée, ne servait à rien ! Si ce n’était troubler le cœur de ses camarades d’armes, ce qui pourrait valoir aux yeux de certains pour de la trahison ! Il est certaines choses qui ne sont pas à dire n’importe où, gamin ! Et ce poing saura t’en rappeler.
~ Les choses sont telles qu’elles sont ! Inutile de tergiverser dessus ! Le Mizukage a pris cette décision après mure réflexion, et même si nous nous y opposons, cela ne servirait à rien de débattre pour quelque chose qui ne changera pas !
Le puissant corps avait placé sa figure en première ligne de l’assistance, son regard droit sur le Chef des lieux, ses bras croisés. Il était tout à fait conscient du danger de la situation, et savait le risque qu’encouraient les siens. Aucune peur, pourtant. La guerre, c’est prendre un risque par essence. Faire une alliance, c’était montrer son dos à un homme qui pouvait à tout moment sortir son poignard. Pas besoin d’être choqué de la manière dont sont faites les choses.
~ J’ai été parmi les premiers à proposer que les yeux de Gabushi soient protégés d’un sceau, et je suis content de voir que cela ait été validé. J’eus préféré qu’elle reste un temps au village pour apporter son enseignement à la jeune génération Jisetsu. Il en a été décidé autrement ; tant pis. Quant au plan d’attaque, il me semble ingénieux. Attention à voir quels seront les enjeux et les sacrifices. Car il faudra bien que le terrain d’affrontement soit voulu par nos ennemis … .
Cela, à la vérité, Kakeshuou Samui s’en moquait. Il savait bien qu’il n’aurait aucune décision à prendre dans cette histoire, et qu’il se contenterait d’obéir aux ordres, comme il l’avait toujours fait. C’était CA, la mission d’un véritable ninja. Un soldat de l’Ombre, qui accomplit sa mission, sans chercher à en comprendre le sens. La seule chose digne d’intérêt est de savoir si son trépas sera d’un quelconque intérêt dans la réussite de sa tâche. Il n’y a aucune raison de voir plus loin que cela. Ceux qui s’entichent de rêves personnelles et de souhaits de grandeur feraient mieux de ranger leurs idéaux. Place à l’action et au devoir, le temps viendra pour la satisfaction personnelle. Croyez-en l’expérience d’un vétéran du Monde Shinobi.
En revanche, il y avait des questions plus intéressantes. Maintenant que les choses étaient posées, notre Lion des Neiges savait déjà ce qu’il allait perdre. L’animation sur l’île de la Neige était une chose à laquelle il avait participé, et qu’il avait alimentée. Alors que ce Pays blanc était en proie à de nombreux conflits sociaux, il avait su développer de son côté un gouvernorat où les missions s’étaient multipliées, où son équipe avait grandie et où les choses s’étaient progressivement stabilisées. Nul doute que ces pays seraient concernés par le conflit à venir. Et que leurs positions avant-gardistes auraient un intérêt stratégique de première importance dans la guerre mondiale qui se présentait. Si la guerre venait à être gagnée, c’en serait fini de ce temps de plaisir sur l’île de Yuki no Kuni. Mais cela n’était que peu de choses si les gains derrière étaient plus importants que les pertes. Et voilà quel était le point le plus important ! Les gains ! Certes, une alliance avec des pays neutres serait intéressante, mais pouvait être à double-tranchant. Pourtant, c’était avec ce risque que l’on jouait. La guerre revêtait donc pour le vieux combattant un tout autre intérêt. Un autre objectif qui devait être officiel. Et sur lequel il comptait bien obtenir des réponses.
~ Par contre, une question subsiste. Nous allons nous battre pour l’Indépendance des Pays Neutres, soit. En revanche, il est quelque chose d’important à déterminer, il me semble. Pour quel objectif nous battons-nous. Pour gagner ? ou pour exterminer … . Mizukage, part-on en guerre pour remporter ce duel sur la question des pays neutres, ou part-on en guerre afin d’écraser nos ennemis jusque chez eux ? C’est un enjeu crucial de ce conflit qu’il nous faut connaître ! ….
Je retournais m’asseoir, le regard affaissé par les beuglements de mon propre élève. Le fait est que j'aurais surement agit avec plus de déférence et de passion que lui encore si je m'étais trouvé à sa place... La charge de Kage est si pesante, que nous n'existons plus qu'en tant que Kage dès lors que nous avons occupé ce poste... Cela vous change un homme. Même un homme comme moi... Autant d'objections et d'interrogations auxquelles je tournais le dos le temps de prendre place sur mon propre fauteuil... Je paraissais déjà épuisé de cette assemblée... Mais je me retins de faire une brimade. Reposant bêtement le visage sur mon poing en soupirant. Voici alors que Kakeshou qui brandissaient lui aussi ses objections et interrogations. Moi qui n'était pas homme de publique. Je me disais alors que j'aurais simplement dû envoyer Shord et Ao faire ce boulot à ma place et me rendre déjà sur le terrain pour le préparer... Telle une prison de mot, je me retrouvais coincé dans cette salle froide à justifier encore et toujours la moindre de mes opinions et de mes actes... Avec de la chance je me ferais capturer dans cette guerre et je pourrais ainsi prendre un peu de repos tiens... Mais pour l'heure il ne s'agissait surement pas de cela... Je levais la main pour faire signe que j'allais prendre la parole et imposer le silence. Et usant d'une voix braillarde à souhait comme un ivrogne possédant encore toute sa tête je me prononçais.
-Les avantages de la nomade dans cette guerre valent plus que ces pupilles. Que les Jisetsu n'oublient pas qu'elle est une fondatrice de Kiri, qu'elle a été de ceux qui ont vaincu la première Sanbi. Et qu'au delà de votre clan, ces informations acquise comme Sennin nous seront bien plus utile si elle combat avec ferveur. J'aimerais faire confiance aux hommes pour changer. Si nous ne pouvons avoir confiance en la parole de Suna ne serait que sur ce point. Alors nous sommes déjà vaincu mes amis. Et cela je le refuse. Je me porte garant de ce pacte. Si il est offensé ou trahis. C'est ma tête que j'offrirais au Jisetsu. Ainsi ils ne pourront dire au moins que je n'ai pas assumer mes convictions... Passons à la guerre... Nous nous battons pour libérer les pays... Je croyais que c"était relativement simple. Dès lors que Konoha et Kumo auront libérer leur conquête. Nous n'aurons plus de raison de les affronter. Et si nous devons aller jusqu'à leur porte pour les obliger alors nous le ferons... Du reste, je compte bien porter la guerre jusque sur leur terres. Je ne veux pas que notre population soit témoin de ces batailles. Je ne compte pas tergiverser des siècles ici-même. La guerre est une affaire à prendre avec justesse. Aussi mes priorités seront désormais dans sa préparation. D'autres questions ?
Comme à son habitude, la princesse des neiges s’était réveillée assez matinalement pour tout d'abord faire des petits exercices de mise en forme devant la fenêtre de sa chambre avant de s’arrêter pour contempler le dehors. Le paysage était tellement terne ce matin, qu’il donnait l’impression que quelque chose de mauvais se tramait à l’intérieur des nuages. Ce n’était vraiment pas un temps qui donnait envie à la demoiselle de le contempler avec allégresse. N’étant désormais plus tenaillée entre son envie de ravissement et celui de la revanche, encore moins prisonnière des ténèbres, les paysages grisonnants ne la charmaient guère. Assurément, plusieurs choses avaient changé pour la jeune femme qui, autrefois, possédait un regard criant représailles. Terminant de scruter le paysage grisâtre, la belle Aya prit une grande inspiration puis soupira fortement de lassitude. Elle alla ensuite se préparer un petit déjeuner. Tandis qu'elle faisait cela, son regard se posa sur l'horloge qui était accrochée au mur. Il était encore tôt, elle avait donc le temps de flâner comme elle l'avait prévu avant de se préparer pour sortir.
Aujourd’hui, la jeune femme se devait d'oublier ses vagabondages sans importance, pour la simple et bonne raison qu’elle avait été conviée à se rendre à un conseil pour une affaire ayant une importance capitale. Le défilement n’était donc pas admissible. Sans compter que le Mizukage allait avoir besoin de tous ses sujets pour l’affaire en question. C’est donc en se disant qu’elle aussi était une habitante à part entière de ce village, qu’elle prit la décision de se rendre là où devait se tenir le conseil. À son arrivée, elle balaya du regard l’endroit, qui était pas mal bondé, avant de soupirer de lassitude. Parmi toute la foule qui se trouvait là, la jeune femme reconnut l'escadron de son bien aimé, qu'elle n'alla cependant pas accoster. Malgré qu’elle en eut envie. L'instant n'étant pas aux frivolités, elle adopta son faciès le plus bienséant. Son attention se cantonna ensuite sur les paroles de leur cher Mizukage qui s’exprimait plus formellement que jamais. Connaissant le bonhomme, elle fut en premier lieu surprise de le voir faire preuve d’autant d’éloquence mais très vite, elle fit preuve d’allure conforme à son tour.
Écoutant attentivement le discours éloquent du Mizukage, elle arbora un visage plutôt grave. Depuis là où elle était positionnée, elle ne se fit pas remarquer par les personnes qui la connaissaient et ne donna pas non plus d’avis, préférant de loin prêter l’oreille aux dires des uns ainsi que des autres. Au départ la discussion tourna autour d’une dénommée Jisetsu Gabushi, qui était apparemment une ancienne kunoichi de Kiri, qu'elle avait trahi. Dorénavant elle était résidente de Suna. S’ensuivirent plusieurs points fondamentaux avant que le vif du sujet ne soit abordé dans sa globalité. Cette guerre qui était déjà aux portes du village caché de la brume, personne n’allait pouvoir s’y soustraire autant la princesse que ses compagnons. Décidément les temps n’étaient pas prêts de changer, ne put s'empêcher de se dire la princesse en s'adossant contre le mur se trouvant derrière elle pour finir par croiser ses bras. Quoi que les hommes fassent, ils ne parviendraient jamais à écarter la guerre de leur tabloïd. Répandre le sang, était-ce là, la cruelle destinée des shinobis ?
La princesse commença à se poser de nombreuses questions existentielles en écoutant ses compagnons qui dévoilaient chacun leurs pensées et appréhensions quant à la suite de ce qui attendait Kiri. Était-il vraiment nécessaire d’en arriver à de tels ressentiments ? La guerre quelle chose cruelle. Parmi les choses que la princesse n’affectionnait pas, cela en faisait parti. Aussi invraisemblable que cela puisse être, la jeune femme possédait un fond non imprégné d’antipathie voilà pourquoi, elle préférait de loin les temps de quiétude. Quelle ironie, qu’une telle chose provienne d’une jeune femme qui, il y'a encore quelques temps, était prête à tout sacrifier dans le but d’accomplir une vengeance. Songeant à cela, elle arbora un visage imprégné d’ironie, qu’elle effaça assez vite pour porter son attention sur le discours suivant du Mizukage. Ce dernier proposait un plan d’attaque, qui semblait être pleinement méthodique. Ce Tenzö, il méritait incontestablement son titre de Kage. Se rendant compte de cela, la princesse hocha vivement la tête et prit dans le même temps la décision de ne guère rechigner quoi qu’il se passerait à l’avenir. Elle comptait suivre leur jeune Mizukage dans n’importe quelle frénésie aussi saugrenue soit-elle.
Jisetsu Ayato
Informations
Grade : Nukenin de Rang A Messages : 1005 Rang : A+
Demon écouta la réponse du Mizukage puis il baissa les yeux, cela était vraiment navrant... La survie de tout son clan était portée sur les épaules d'une traîtresse, dire que la nomade fut un temps la fierté et l'orgueil des Jisetsu... Et aujourd'hui, elle était la plus grande menace qui pesait sur son prendre clan. Si par malheur, un jour, elle décidé de révéler le secret du Kinnegan, le clan aux yeux doré était fini. Demon avait pu mal a accepter que son destin et celui de son clan était porter par un simple renégat qu'importe sa force, ce qu'elle fut ou bien ce qu'elle a fait pour le village ainsi que pour son clan. Cela était maintenant dû passé et son nom était même a balayer du clan Jisetsu dont elle n'avait plus que les yeux.
Et qui plus est... Qui est cette Aizen ? Ce représentant clanique qui n'avait même pas fait acte de présence ? Cela était une attitude totalement inacceptable de la part de la soit disant voix des manieurs de temps , comment peut-on prétendre servir les intérêts de son clan en ne prenant même pas part a ce genre d'événement ?
Mais pour le moment cela était peut-être a oublier.. La guerre avait belle est bien fini par éclater, cela était déjà imminent depuis quelque temps, mais cela avait fini par belle est bien arrivé. Surtout que le motif de cette guerre était un peu bizarre et est du tout dans les habitudes de Kirigakure no Satô... Une guerre pour rendre l'indépendance a des pays ? Cela était du jamais-vu... Le village de la brume n'a jamais était connu pour avoir ce genre de but, kiri était avant tout un village de guerrier et non pas de libérateur où l'on se sait quoi d'autre.
Mais Demon avait une totale confiance envers son sensei et il se battrait, non pas car des stupide politiciens on décidé que cela était la meilleure chose a faire, mais simplement car le Yomdaine lui a juger que cela était le mieux pour son village… malgré ses airs arrogant et marginal, Tenzö était un grand Mizukage. Ne le jugez que par rapport aux apparences était une très lourde erreur, il était d’une très grande justesse.
Demon remarqua ensuite une blonde arriver, elle était assez charmante, mais pour une fois, le démon de Kirigakure no Satô n’était pas vraiment d’humeur a rire, l’heure était grave, il décida donc de ne plus rien dire et d’attendre de voir ce qui aller se produire.
