Pas de cafe, pas de dodo !  

Il était environ vingt-deux heures, malgré mes efforts, je n’arrivais pas à dormir. Beaucoup de questions me venaient à l’esprit et malheureusement comme d’habitude, il y avait très peu de réponse. Je me levais donc de mon lit et je me dirigeais vers la cuisine afin de me préparer une bonne tasse de café. La plupart des gens disaient qu’il est impossible de dormir après avoir bu une tasse de café, contrairement à ce qu’ils disent, moi j’arrivais très bien à dormir après avoir bu une bonne tasse de café. Le café me permet d’évacué certaines questions qui m’empêchent de dormir, ainsi je peux avoir l’esprit tranquille et donc dormir comme un bébé.

Décidément on dirait que ce n’est pas mon jour : en arrivant dans ma cuisine, ouvrant le tiroir, j’apercevais la boite à café qui était totalement vide. Je soupirais un bon coup, je me rinçais vite fait le visage et je décidais de sortir prendre un peu l’air. Parcourant le centre-ville, j’avais l’impression que la ville était une ville fantôme. Mise à part les fous qui riaient dans les bars, il n’y avait pratiquement personne. Les magasins étaient fermés et donc il m’était impossible d’acheter du café. Il ne me restait plus qu’une solution, c’était de poser dans un bar et commandé une bonne tasse de café.

Dans cette rue, il y avait trois bars qui étaient ouvert, je rentrais à l’intérieur de celui qui se trouvait devant moi sans me poser de question. Il semblerait que c’était celui le plus populaire. Il y avait beaucoup de gens, surtout des fous qui faisaient la fête à l’intérieur d’une pièce bien fermés et écrit sur la porte en rouge « interdit aux mineurs ». Cela voulait tout dire, donc hors de question que je rentre là-dedans, même si je ne suis pas mineur. Les filles, les fêtes, les boissons alcoolisés n’étaient, mais alors là vraiment pas mon truc.

Tous les gens me regardaient bizarrement, je ne voulais pas d’ennui, donc je décidais de baisser yeux et m’installer tranquillement devant la grande table qui me séparait du barman. Certaines personnes commençaient à être vulgaire, sûrement parce que je ne leur avais pas dit « bonsoir ». Calme, restons calme. Je commandais donc ma boisson anti-stress préféré : le café. Les gens qui avaient entendu ma commande étaient plutôt surpris : ils devaient sans doute se dire « il est fou ce type, il vient à minuit pour commander une tasse de café ! » Je m’en foutais complétement de ce qu’ils pensaient de moi. Je donnais donc l’argent au barman et je buvais tranquillement ma tasse de café. Je tournais sur ma gauche et  j’apercevais un homme bizarre. Il n’avait pas l’air d’être en forme. Je le fixais quelques secondes et je décidais de lui adresser la parole en disant :

« Excusez-moi, monsieur, vous allez bien ? » Il empestait l’alcool, une odeur dont j’ai du mal à supporter longtemps. Je prenais le verre qui se trouvait devant lui et je le donnais au barman en lui demandant : « Excusez-moi, vous pouvez donner un verre d’eau à ce monsieur, s'il vous plaît ? Je vous donnerais l’argent ! » Je me tournais vers l’homme qui empestait l’alcool et je lui adressais de nouveau la parole en disant : « Vous savez que l’alcool n’est pas bon pour la santé. Je n’ai aucun droit de vous empêcher de boire, mais je vous conseil en tant qu’ami et en tant que Sunajin »

Le barman exécutait « l’ordre » dont je lui avais donné en donnant de l’eau dans un verre au mystérieux personnage qui se trouvait près de moi. Je m’apprêtais à donner l’argent pour le verre d’eau que le barman décidait de m’adresser la parole en disant :

« Inutile ! Je lui donne gratuitement vu qu’il a beaucoup consommé aujourd’hui. Vous le connaissez ? C’est bien la première fois que je vois une personne boire autant de fois sans tomber. »

Hum ! Dans quoi m’ais-je fourré ? J’ai empêché un homme que je ne connais pas à finir son verre, je lui ai adressé la parole alors qu’il empeste l’alcool. Attention, je ne suis pas sorti cette nuit pour me battre contre un alcoolique ! Donc j’espérais qu’il n’allait pas être agressif, connaissant les alcooliques, j’ai de quoi m’inquiéter.

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Alcool dangereux pour la sante, Cafe bon pour la sante !  

L’alcoolique me regardait avec un air bizarre et me disait qu’il préférait être amnésique et malade qu’en bonne santé au milieu d’un cauchemar. Je fronçais les sourcils essayant de comprendre ce qu’il voulait me dire par cette phrase. Malheureusement, je ne voyais pas où il voulait vraiment en venir. Enfin c’était un alcoolique donc c’est compréhensible qu’il dise des choses sans savoir vraiment ce qu’il est en train de dire. Il avait une tête vraiment bizarre, une chose était sûre, il n’allait vraiment pas bien. Je ne savais pas ce qu’il avait, mais je ferais mieux de l’aider avant qu’il pète les plombs. Donc je prenais un air gentil, souriant et je m’apprêtais à lui adresser la parole que malheureusement il reculait sa chaise et se dressait de toute sa hauteur face à moi, puis il me fixait droit dans les yeux.

Détournant un œil vers ma tasse, il m’adressait la parole en disant qu’il pouvait dire autant de moi, vu que j’étais en train de consommer du café. Donc il ne savait pas que le café était plutôt bien pour la santé ? C’était prouvé d’ailleurs, il était vrai que si l’on en abusait, cela risquerait d’avoir un effet néfaste sur la santé. Il n’y a pas de quoi me vexé, je me levais à mon tour et je demandais une nouvelle tasse de café au barman, puis me je me retournais vers l’alcoolique en écoutant ce qu’il avait à me dire. Il me provoquait en m’appelant de petit et ensuite il me demandait d’amener ma tasse à ma grand-mère et de récupérer son verre. Ensuite il me faisait savoir que j’avais de la chance, comme quoi il n’allait pas se souvenir de mon visage et encore moins de ma bêtise.

Mais de quoi parle –t-il ? Tous les alcooliques étaient comme lui ? En tout cas, sa provocation avait failli marcher, mais je m’étais rendu compte que ce n’était qu’un alcoolique, pas besoin de m’énerver. Il terminait sa phrase en me demandant de lui rendre ce que je lui avais pris avant qu’il ne me vomisse dessus. Hum ! Mon sourire s’envolait, mais je décidais de tout de même de rester gentil avec lui :

« L’alcool c’est très mauvais, remercie-moi plutôt de t’avoir empêché de mourir à cause de l’alcool. Contrairement à l’alcool, le café c’est excellent pour la santé, il est vrai qu’en abusé peut avoir des effets néfastes. Mais ces effets néfastes ne dur généralement pas trop longtemps, contrairement à ce que tu étais en train de boire. »

Muite à ces phrases, le barman me donnait ma nouvelle tasse de café, dont je terminais rapidement, puis je m’approchais de l’alcoolique en lui adressant de nouveau la parole :

« Approche » Lui disais-je tout en posant ma main sur son épaule : « Je vais te raccompagner chez-toi, tu vas prendre une bonne douche, puis dormir. Et tu verras que demain matin, tu te sentiras beaucoup mieux. » Je me retournais vers le barman en lui disant : « Un dernier verre d’eau s’il vous plaît. » Une fois que l’eau était servi, je m’adressais à l’alcoolique en lui disant : « Tiens boit ça et on y va  »

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Tu veux te confier a moi ?  !  

Comment pouvait-il dire que mes mots étaient trop compliqué pour lui, alors que j’avais essayé d’être le plus simple possible ? Ah mais oui ! C’était sûrement dû aux effets de l’alcool … Je commençais en avoir marre de perdre mon temps inutilement avec lui, il me faut un plan rapidement pour me débarrasser de lui. Il semblerait qu’il n’aimait pas trop voir ma main sur son épaule, pour le moment il ne m’avait rien dit à ce sujet. Par contre, il répondait à ma proposition en disant qu’il n’y avait pas autant à boire chez lui qu’ici et il en profitait pour me provoquer en disant qu’on devait aller peut-être chez-moi, où il devait sans doute avoir que du café.

Il se trompait, car s’il y avait du café chez moi, il ne me verrait pas ici en train de perdre mon temps avec lui. Quoiqu’il en soit, il fallait que je fasse quelque chose et d’ailleurs, une petite idée me venait à l’esprit. Dès qu’il terminait le verre d’eau, il retirait ma main de son épaule et prenait un air pas très content. Quant à moi, j’esquissais un léger sourire et je faisais tomber mon sac près de son pied. Il posait sa main sur chemise et s’approchait de moi, front contre front, me fixant dans les yeux, il me faisait savoir que je l’avais eu deux fois, mais cela ne voulait rien dire. Je ne disais pas le contraire, en tout cas, toujours sourires aux lèvres, je retirais document sa main de ma chemise et je me baissais pour récupérer mon sac.

Une fois que j’étais au niveau de sa jambe, j’en profitais pour faire quelques signes de main et poser rapidement ma main sur sa chambre. C’était une technique de cristal qui consistait à cristalliser mon adversaire. Bien évidemment, une fois la technique en marche, il suffit de quelques secondes pour que le corps de la cible soit totalement cristalliser. Je prenais mon sac avec mon autre main et tout en restant en contact avec la technique, je portais l’alcoolique et je quittais le bar. Je ne savais pas où se trouvait sa chambre, mais je le portais jusqu’aux quartiers résidentiels. Une fois que nous étions arrivés, j’annulais ma technique et je lui adressais la parole avant qu’il ne l’étrangle en disant :

« Ne fait rien de stupide, je t’ai rendu un grand service. Je ne sais pas qui tu es, ni pourquoi tu as bu autant, mais je te conseil fortement de rentrer chez toi, c’est pour ton bien que je dis cela. Je suis un habitant du village, tout comme toi, donc je m’inquiète quand je vois des gens qui ne vont pas bien. » Lui disais-je d’un ton sérieux. J’enchaînais ensuite en disant : « Si tu veux te défouler sur moi, n’hésite pas, et si tu veux te confier et me dire ce qui ne va pas, tu peux le dire sans crainte. J’aime écouter les autres et leurs donner des conseils. »

Changement de visage ! Ceci est ma dernière carte, j’espérais vraiment qu’il allait enfin se calmer et que nous pourrions parler tranquillement malgré son taux d’alcoolémie. Ou encore, ce qui serait bien ce qu’il rentre chez lui, s’il refusait de me dire ce qui n’allait pas. Quelqu’un qui boit autant en une journée, ou plutôt en une soirée, ce qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Je restais bien sur ma garde, connaissant les alcooliques, je pourrais très bien me recevoir un coup de poing, tout comme des câlins. Hum... Ils sont tellement imprévisibles !

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Conseil d'ami !  

L’alcoolique me faisait comprendre qu’il voulait oublier et non se rappeler de ce cauchemar. Je comprenais mieux maintenant, si j’aurais su dès le début, je l’aurais sûrement aidé plutôt. Sa façon d’oublier un cauchemar n’était pas si bonne, il pouvait boire autant de fois qu’il le voulait, sur le coup il oublierait sûrement le cauchemar, mais le lendemain celui-ci reviendrait pour le hanter de nouveau.

Evidemment, il y a plusieurs sorte de cauchemar, je ne savais pas pourquoi, mais j’avais l’impression que quelque chose s’était produite dans sa vie, sûrement une perte importante ? Ou peut-être ses parents qui l’on abandonnée ? Autres choses ? En tout cas j’étais persuadé que ce n’était pas le genre de cauchemar que l’on fait quand on dort. Quoiqu’il en soit, ce n’est jamais facile d’oublier un cauchemar, même si l’on parvient grâce au temps, tôt ou tard, elle resurgirait à cause d’un objet ou d’une personne lié à ce cauchemar.

Pendant que je réfléchissais à son problème, il m’interpellait en me demandant si je lui avais bien dit de se défouler. Je n’avais pas eu le temps de lui répondre qu’il envoyait son poing dans le mur qui se trouvait devant lui. Il n’était même conscient qu’il saignait et il ne semblait même avoir mal, mais dans quelques heures, il sentirait bien la douleur. Je le regardais sans l’empêcher de se faire mal, en ne faisant rien, je voulais lui montrer que se frapper ne résout pas nos problèmes. Dans la seconde qui suivait, il envoyait carrément sa tête dans le mur, aie ! Ça, ça devait faire mal et je pense qu’il l’avait bien sentit. Comme je vous le disais, il avait bien sentit la douleur, car aussitôt il recrachait une bonne quantité d l’alcool. Je sursautais en arrière afin de ne pas être touché par son vomi dégelasse.

Il se trouvait à genoux  face à son vomi ! Celui qui habite dans la maison où nous nous trouvions devant n’avait vraiment pas de chance. Non seulement son mur était taché de sang, mais juste devant son entrée se trouvait une flaque de vomi dégueulasse. Je sortais de mon sac ma petite serviette, une bouteille d’eau et je relevais l’alcoolique en le mettant sur le banc d’accoté. Je m’installais près de lui et je lui donnais la serviette pour nettoyer son visage et l’eau nettoyer sa bouche. Il m’adressait la parole en me demandant de ne rien dire au Kazekage, cela voulait dire qu’il était ninja, il n’y a aucun doute là-dessus. Premièrement, je n’aimais pas vraiment le Kazekage vu le rumeur qui circulait sur lui, deuxièmement, je n’avais pas que ça à faire de rapporter tout ce que je vois au Kazekage. Je lui esquissais un léger sourire et je lui rétorquais en disant :

« Ne t’en fais pas ! Je ne suis pas du genre à aller voir le Kazekage et lui dire tout ce que je vois, d’ailleurs je n’ai jamais parlé au Kazekage. Je suis un simple Genin pour le moment et puis tu as le droit de te sentir mal parfois, les ninjas sont également des êtres humains. » Lui disais-je tout en marquant une petite pause ... J’enchaînais aussitôt : «  Comme tu as pu le remarquer ce n’est pas en te faisant mal que tu peux oublier ce que tu veux oublier. Le mieux c’est d’essayer de penser positivement, je ne sais pas ce qui s’est passé, mais sache que la personne que tu as perdu était destiné à finir ainsi et tu n’y peux rien. Tu dois progresser en allant vers l’avant, cette personne te regarde en ce moment même et je suis persuadé qu’il ou qu’elle n’est pas content(e) de te voir dans cette état. » Lui disais-je en espérant qu’il se sentirait mieux. Je terminais en disant : « Ah, j’oubliai : Je m’appelle Nagato, Yu’wazaki Nagato. Je pense que tu dois aller dormir, je ne te dis pas ce que tu dois faire, mais c’est un conseil … Disons un conseil d’ami ? »

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Hors rpg : Désolé du retard, j'ai du m'absenter quelques jours.