Depuis qu'elle a retrouvé la mémoire, Naoko n'avait plus tellement le même but. Oui, elle voulait toujours retrouver son frère, mais elle s'était aussi promis d'aider tous ceux et celles qu'ils auraient de la difficulté. Elle avait aussi le projet d'être un soutien moral comme en combat pour Haru-sama. Mais bon, pour commencer, elle devrait plutôt être plus forte mentalement pour survivre à plusieurs choses choquantes de la vie. Bref, après avoir passé du temps dans son pays d'origine, la demoiselle retourna sur son chemin pour retrouver Haru-sama, sachant approximativement les endroits où le Natsumi arrête pour se reposer. Prenant le bateau, la petite Nao se disait qu'il ne fallait pas qu'elle soit vu dans le village de la brume ou sinon elle serait cuite. Alors, elle enfila une grand veston blanc avec des motifs à capuchon pour cacher son visage. Seul ses cheveux dépassaient de la capuche. Après quelques jours de bateau, elle arriva sur le territoire de Mizu no kuni et, vu qu'elle ne voulait pas se faire prendre facilement, la petite Nao eut la brillante idée d'aller dans la forêt de la brume qu'elle ne connait guère la sortie. Ce n'était pas tellement géniale comme idée, vu que, quand elle entra dans la forêt et marcha un peu, elle se perdit. Oui, elle s'était réellement perdue dans cette forêt dense. Alors, ne voulant pas se perdre encore plus dans ce territoire, Naoko arrêta en plein milieu du chemin et s'assit confortablement sur un tronc d'arbre. Ensuite, la demoiselle sortit de sa poche son ocarina. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait fait de note sur cet instrument. Déposant tranquillement ses lèvres dessus, Nao commença à jouer une belle mélodie. Soudain, elle entendit un craquement non loin et ni proche d'elle, ce qui fit arrêter brusquement la ninja de jouer. Ensuite, la eiseinin avança un peu en demanda s'il y avait quelqu'un, puis, après quelques secondes rapprochement et de n'avoir toujours pas avoir reçu de réponse, elle sortit son épée de son étuis et la leva doucement.
-Sortez de votre cachette, svp. Je sais que vous êtes là. Si vous n'êtes pas là pour m'attaque, je vous pris de sortir de là. demanda Nao, gentiment