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 La danse du sable [Festivité : Ogami, Mizuki]

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Suna
Meïka A. Oniri
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Message(#) Sujet: La danse du sable [Festivité : Ogami, Mizuki] La danse du sable [Festivité : Ogami, Mizuki] EmptyDim 1 Nov 2015 - 12:20

Aujourd'hui était une journée importante pour le clan Kawaguchi. Quelque part c'était difficile à croire. Non pas que je doutai un seul instant des nouvelles capacités de leur nouveau chef, au contraire, seulement cela me paraissait étrange : quelque peu déroutant. En effet il y avait peu d'année encore nous étions ces trois jeune femme fortement alcoolisée passant notre soirée à écumer les ruelles pour finir dans une chambre d’hôtel autour d'un narguilé. L'une était devenue conseillère, l'autre chef du Kakumeigun et enfin la dernière obtenait le titre de chef de clan gagnant ainsi la reconnaissance de chacun des siens. Ou plutôt n'était-ce pas parce qu'elle avait la reconnaissance de chacun que ceux-ci l'avait élevé à ce titre ? Je ne pensai pas être capable d'en faire autant. Parmi les miens voir même vis-à-vis de l'ensemble de la population du village je n'étais guère la plus appréciée. Mais cela n'empêcha pas de me fendre d'un franc sourire lorsque Kazekage lui présenta ses respects en plus de lui rendre son titre de Jonin. Le Yamada et moi avions eu cette discussion un peu plus tôt. Elle s'était racheté de ses fautes, était devenue digne d'exemple alors il fallait lui rendre ce qui lui revenait de droit. C'était indéniable, la petite Tsukiko avait bien grandi. Quelque part je me rendais compte à qu'elle point je la jalousai, moi qui ne serait jamais capable d'accomplir ce qu'elle avait fait.

Désormais elle vivait dans la lumière, sous les feux des projecteurs aux yeux de tous tandis que moi je m'enfonçai de plus en plus dans l'ombre. Mon humanité perdue n'aidait en rien à cela. Déjà, j'éprouvai de grande difficulté à rester au milieu de cette foule. Toutes ces odeurs, tous ces sons, toutes ces énergies... S'en était beaucoup trop pour-moi. Je me forçais cependant à rester pour rendre hommage à la chef Kawaguchi. J'avais bon espoir qu'elle puisse guider Suna sur la bonne voie après ma disparition. Hors seul le temps nous le dirait. Je pouvais déjà pressentir les pourtours amers de la dissidence parmi nos rangs. Aucun nom, aucun visage, seul le manque d’enthousiasme de certain qui visiblement ne se rappelaient plus pourquoi ils étaient là, pour qu'elle raison ils avaient prêté serment. Il s'agissait du commun de l'histoire. Suna ne cesserait jamais d'être le théâtre de complots, de conflits et de guerres. C'était précisément en attisant toute la haine du monde sur nous que le restant de Kaze était épargné. Suna avait grandement souffert depuis la décennie qui avait précédé sa création, mais à contrario les enfants du désert avaient tous pu grandir en paix et j'étais prête à me sacrifier corps et âmes pour qu'il en demeure ainsi. L'ironie étant que c'était déjà le cas en témoignait les nombreuses cicatrices sur mon corps ainsi que ma stabilité mentale chancelante.

J’applaudissais franchement suite à ce bref discours, tentant de me focaliser sur la Kawaguchi et non sur le déluge d'informations que m'accordaient mes sens. Par chance la lune était encore loin ce qui me permettait de garder la maîtrise de moi-même. La fête commença de plus belle et je commençai à faire la queue en direction de ce trône pour présenter mes respects. Attendant patiemment j'arrivais finalement jusqu'à elle. Il mettait possible de percevoir les quelques variations instables de chakra qui se dégageait de son corps. Visiblement quelque chose n'allait pas. Elle ne semblait guère au milieu de sa forme. J'avais cru entendre que les événements de Ki ne l'avait pas laissé totalement indemne. Était-ce lié ?

-Mes respects Kawaguchi-sama. Je suis heureuse de vous voir finalement occuper ce post.

Les bras le long du corps, je m'inclinais sagement devant elle, le visage toujours éclairé par ce sourire. Ma tenue légère au fin tissu couleur sable ne me permettait pas de me distinguer au milieu de la foule. Quelques bijoux d'ors bracelet, boucle d'oreille et pendentif tout aussi discrets ornaient ma peau devenue mate. Ma longue et épaisse chevelure d'ivoire retombait jusqu'au milieu de mon dos. Le tout me donnait davantage des airs de douce nomade sortie du désert plutôt que de prétentieuse bourgeoise Saibogu. Ces humbles apparats m'étaient devenue familier. A dire vrai, je ne me rappelai même plus de la dernière fois où j'avais porté des bijoux avant aujourd'hui. Je me rendais alors compte à quel point j'avais moi aussi changé.

-Sachez que je me tiens à votre disposition si d'avenir vous auriez une quelconques demandes à formuler que ce soit dans un cadre formel ou personnel. Que ce soit en tant que Conseillère où qu'Aozora S. Oniri. Je me tiendrais quoi qu'il arrive à votre écoute. J'ose espérer qu'une coopération avenir puisse être profitable à notre nation. En effet j'aimerais si possible pouvoir m'entretenir avec vous vis-à-vis de sujets importants. Mais gardons cela pour plus tard. Il s'agit aujourd'hui de votre jour de gloire.

J'avais en effet beaucoup de chose à lui dire. Tout ceci pourrait cependant attendre. L'heure n'était pas à la politique, mais à la fête.

-En attendant, je te souhaite de réussir Tsu... Bon nombres de personnes comptent sur toi ici...

Le ton de ma voix fut à peine audible au point où elle devait être la seule à m'avoir entendu. Je m'éloignai ensuite sans plus se cérémonie, prenant soin de me détacher de la foule vers les quartiers plus calmes. Tout ce qui se passait autour me donnait l'impression que ma tête allait exploser. Je m'adossai contre un mur renvoyant en arrière les quelques mèches de cheveux qui retombaient devant mon visage. J'entrepris de me masser les tempes dans l'espoir que cela apaise cette migraine latente de plusieurs jours. Malgré ma peine je parvins à sentir une aura familière se manifester. Elle venait dans ma direction. Savoir que c'était lui me rassurant car quelque part car cela me donnait l'impression de ne plus être seul dans mon mal. Ogami arrivait dans ma direction.


Dernière édition par Aozora S. Oniri le Ven 6 Nov 2015 - 0:54, édité 1 fois
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Toshiro Ogami
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Message(#) Sujet: Re: La danse du sable [Festivité : Ogami, Mizuki] La danse du sable [Festivité : Ogami, Mizuki] EmptyJeu 5 Nov 2015 - 22:04


Une invitation m'était parvenue par courrier, un soir en rentrant d'une mission j'avais eu le plaisir de la découvrir. Après avoir posé mon sac sur la table et m'être assis sur le canapé, je lisais celle-ci avec attention. J'étais invité à une fête en l'honneur de la nouvelle dirigeante des Kawaguchi, en ce même honneur des personnes étaient conviées. J'esquissai un sourire à cette idée, aurais-je le temps d'y participer ? Peut-être que oui, peut-être que non. Cela dépendait grandement de mon emploi du temps au Kakumeigun. Celui-ci était très variable, quelques jours plus tard j'étais fixé et je pouvais finalement répondre à la missive et ça, de façon positive. C'était dans l'optique de changer un peu d'air, ça faisait un moment maintenant que j'évitais de me mêler à la foule, que j'évitais les gens. Je ne les méprisais pas comme à l'époque non, je voulais seulement les préserver de la bête enfouie en moi.

Pour une fête de ce genre, il fallait être vêtu correctement. J'avais donc décidé de mettre mon plus beau Kimono, je n'avais pas l'habitude de faire des achats de ce type mais j'avais fait une exception il y a quelques semaines de ça. En soit il était plutôt simple et sobre, seulement la qualité des matériaux utilisés d'après le vendeur n'était pas à revoir. Après une bonne douche, j'enfilai ma tenue. Je disposai d'un tissu collé au corps blanc, par-dessus se trouvait un autre de couleur bordeaux faisant office d'une première veste. Mon bas était noir et une veste large de même couleur et ouverte venait se mettre sur le tout. Un accoutrement qui pouvait donner chaud, seulement même à Suna on pouvait être vêtu de la sorte. Pour cette fois, je ne mis pas à mes côtés mon Katana, je n'en avais pas besoin en ce jour, du moins je l’espérais.

« Allons-y. »

Me dis-je à moi même. Ironiquement, même si je pouvais donner l'impression de parler tout seul, ce n'était pas vraiment le cas. En moi se trouvait une entité puissante que je n'arrivais pour le moment pas à dompter. Je ne comptais pas être freiné par cette chose, dans cette optique je quémandais l'aide de Oniri afin de rendre ma vie plus facile. En marchant, je pouvais apercevoir que la venue d'un nouveau dirigeant de clan n'était pas passé inaperçue. Certains en parlaient, d'autres critiquaient, d'autre affichaient clairement cet événement sur leurs devantures. Je souriais à la vue de cet effervescence. L'heureuse élue se trouvait d'ailleurs être une de mes connaissances, malheureusement je n'avais pu me lier avec elle-ci mais je la considérais tout de même. La première fois qu'elle était venue à moi, c'était pour me demander de surveiller mon maître pendant un moment, en tant qu'espion je devais communiquer avec elle. J'avais accepté, petite erreur de ma part qui avait causé une discorde entre moi et Kibo.

L'histoire était maintenant close mais il n'empêchait que ça m'avait causé du tort. Ce n'était pas sa faute ni celle de Kibo, seulement la mienne. Je m'étais trompé-.. Dans tous les cas, elle me semblait être une bonne personne. Elle s'était beaucoup inquiétée pour mon senseï et j'appréciais.

J'étais arrivé à l'heure, j'observai brièvement les personnes invitées. J'en connaissais certains, certaines. La foule faisait que je n'avais pas la vue sur tous, je vis par contre Oniri au loin. Je croisai les bras en attendant que la couronnée vienne s'exprimer. Je suivais les applaudissements avant de me diriger vers le buffet, j'avais un peu soif mais je ne voulais rien d'alcoolisé. Je me contentais de prendre un jus de fruit. Ça faisait un moment que je n'avais pu me joindre à une fête de cette ampleur, la dernière fois étant l'enterrement de vie de garçon de mon maître. Je posai mon verre, que pouvais-je bien faire ? Il était coutume de se joindre à une conversation, de rencontrer de nouvelles personnes et pourtant je n'osais pas faire le premier pas. Non pas par gêne, peut-être n'en avais-je tout simplement pas envie ?

Finalement je revis la conseillère et après quelques secondes de réflexion, je me décidai à la rejoindre. J'arrivai de derrière elle, je posai doucement ma main dans son dos pour la prévenir de mon arrivée avant de lui faire un sourire et de me placer devant elle. J'étais certain qu'elle m'avait déjà remarqué cependant.

«  Bonjour Oniri, comment vas-tu ? Tout est si bien préparé, on remarque qu'une fête aussi belle est à l’effigie d'une personne importante. Diriger un clan ne doit pas être une chose aisée surtout s'il est un des piliers de Suna. »

Le « comment vas-tu » était bien plus important que le reste, j'appuyais d'ailleurs légèrement ces mots comparé au reste.
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Konoha
Yamanaka Ayumi
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Message(#) Sujet: Re: La danse du sable [Festivité : Ogami, Mizuki] La danse du sable [Festivité : Ogami, Mizuki] EmptyVen 20 Nov 2015 - 13:05

Comme tous les matins, je suis fauchée en plein rêve, frappée par le glaive de la sonnerie du réveil. Et comme tous les matins, je le maudis : je commençais sérieusement à prendre goût à cette chambre immense et confortable. Le personnel changeait mes draps tous les jours, nettoyait tout de fond en comble : sincèrement, rien n’était à jeter dans cet hôtel. Je pouvais demander ce que je voulais à n’importe quelle heure : je l’obtenais. Mais en attendant : direction la salle de bain, qui à elle-seule devait coûter mon salaire sur trois ans. Brut. Bon je ne gagnais pas non plus une fortune considérable, mais quand même. C’est limite indécent... Mais ça le serait encore plus de pas en profiter. Alors, tous les matins je prenais une longue douche, pas trop chaude parce que je savais que j’allais devoir affronter la chaleur étouffante du désert sous peu, mais pas trop froide non plus, et là j’ai pas d’excuses autre que « Bah le froid c’est pas génial sous une douche ». Et tu me diras, c’est déjà pas mal comme excuse : certains en donnent des moins cools.

J’enfilai un short et un débardeur, attachai mes cheveux rapidement, empoignai une sucette au passage et me dirigeai vers le palais du Kazekage. Ou en tout cas, un palais, qui n’avait plus rien « du Kazekage » depuis que le Yamada avait décidé de se la jouer princesse du désert en élisant domicile sous une tente, au pied dudit palais. C’est comme si je pouvais devenir une sorcière surpuissante aux pouvoirs cosmiques phénoménaux, mais que je disais « Non bof, mais je veux bien être capable de me transformer en tortue »… Aucun sens. Mais avant de quitter le hall de l’hôtel, mon sac en bandoulière oscillant sur ma jambe, je fus apostrophée (héhé) par le personnel qui m’indiquia que j’avais du courrier. Pensant naturellement que c’était Konoha qui me donnait encore des nouvelles (et étrangement, depuis quelques temps, ce n’était plus Miko mais « Konoha » qui m’écrivait… Mauvais pressentiment, mais je lui en parlerais quand elle sera là), je déchirai nonchalamment l’enveloppe. Et quelle ne fut pas ma surprise (olala) quand je vis que ce n’était pas Konoha mais une certaine Tsukiko Kawaguchi, qui m’invitait à une soirée pour fêter sa promotion à la tête du clan Kawaguchi. Un effort mental me permit de me souvenir de cette jeune blonde dans le bureau de Miko, il y a quelques temps de ça.

La journée fut assez banale. Kibo et moi travaillions aujourd’hui sur la supervision des « travaux » qui seraient faits dans le désert pour les deux premières épreuves de l’examen : la tour, dans un premier temps, qui demandait beaucoup de ressources, mais aussi certains obstacles, comme des ruines ou des crevasses artificielles. Les Hommes en Noir seraient dans des circonstances plus que favorables pour une traque digne de ce nom. Et nous comptions sur eux. Pourtant, je ne parvenais pas à me sortir de la tête cette invitation. Etrange, au fond, vu que ce n’était qu’un bout de papier, pour une fête dans laquelle ma présence ne serait même pas remarquée, au fond. Mais j’entendais l’Aburame hurler dans mon oreille, avec des mots aussi doux que « Mizuki, espèce de balai à chiottes, t’es là-bas dans un rôle diplomatique. On t’invite dans une fête, tu vas dans cette fête et tu gardes tes envies de coucher avec ton oreiller pour toi. »

Du coup, à peine rentrée que je me dirigeais vers la salle de bain (oui encore, mais ma consommation de bain à tripler depuis que je suis à Suna. J’en prends douze par jour. Il fait trop chaud) après avoir préparé une tenue plus à propos : une robe noire, simple, mais élégante. J’enfilai aussi deux boucles d’oreille d’argent, détachai mes longs cheveux et je me dirigeai vers l’endroit de la fête.

Je n’étais pas vraiment à l’aise dans ce genre de festivités mondaines avec des gens que je ne connais pas. Mais soit. J’écoutai le discours de la nouvelle chef de clan, qui allait donc compter dans l’échiquier mondial – les Kawaguchi, c’est pas non plus le clan de Joe le Clodo – et attendis mon tour pour aller présenter mes hommages à la jeune blonde. Arrivée à sa hauteur, je lui adressai un large sourire chaleureux.

    - Bonsoir ! Mizuki Aburame, ravie de vous revoir ! Sachez que Konoha et moi-même vous souhaitons toute la réussite et la gloire qui incombent à votre nouveau rôle. Je suis sûre que votre clan a fait le bon choix.

Des banalités, mais que dire d’autres ? Après tout, Tsukiko n’était pas mon amie. Le jour où Kihran devient chef du clan Hayashi, je fais le bordel comme je ne l’ai jamais fait. Mais en attendant, sobriété. Je me dirigeai donc vers un endroit un peu plus calme, où seules quelques personnes se trouvaient, empoignant au passage une coupe en verre qui semblait très fragile et dont le breuvage m’intriguait. Une lampée me fit comprendre que l’intrigue aurait dû rester sur le plateau du serveur… Enfin, j’étais entourée de Sunajins, dont certains se connaissaient déjà vu qu’ils discutaient ensemble. Ô joie.
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Konoha
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Message(#) Sujet: Re: La danse du sable [Festivité : Ogami, Mizuki] La danse du sable [Festivité : Ogami, Mizuki] EmptyLun 23 Nov 2015 - 0:09

Une petite fille ne cessait de vagabonder parmi les hommes et les femmes, apostrophant plus d’un pour leur montrer un chemin non loin, disant qu’un grand jeu les attendait en l’honneur de la fête. Beaucoup s’y dirigeait, tout sourire, tout pompette. Ainsi, sans tarder, la petit brune au teint basané s’approcha du trio, et commença à réciter son discours.

- En l’honneur de la Fête Kawaguchi, un modeste labyrinthe a été construit non loin du quartier. Celui qui atteint son centre aura droit au grand prix des Jeux Kawaguchi ! annonça-t-elle fièrement.

Sans tarder, elle s’empara de la main de la Konohajin – celle qui semblait la plus commode – et traîna sans tarder parmi les grandes rues du quartier pour finalement, petit à petit terminer dans un lieu avec toujours très peu de monde. Finalement l’entrée du Labyrinthe était en face d’eux.

- Une fois à l’intérieur, la porte se fermera derrière vous ! Ne vous inquiétez ! Plus vous vous approchez du centre, et plus la musique se fera forte ! Plus vous vous éloignez, la musique se fera faible.

De sa petite force, elle poussa sans tarder chacun à l’intérieur. Aussitôt un mur de sable s’érigea et se solidifia. Que le jeu commence ! Trois chemins s’offraient mais aux contours difficiles à distinguer dû aux couleurs similaires. D’une manière ou d’une autre, cette illusion d‘optique ressemblait à la Voie Illusionnée. Enfin, pour égayer le tout, une douce musique résonna dans les environs.

Et puis, soudainement, les murs commencèrent à bouger et à se mouvoir … Pour prendre une sortie, il fallait donc se dépêcher et courir … tout en surveillant la musique ! Autre point étrange, il n’y avait pas d’autres personnes, à moins qu’ils ne se soient déjà perdus dans ce labyrinthe mobile ! Certes modeste, mais bien ardu, en fait.

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Message(#) Sujet: Re: La danse du sable [Festivité : Ogami, Mizuki] La danse du sable [Festivité : Ogami, Mizuki] Empty

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