Un matin comme les autres, le soleil tapait sur le village caché du pays du vent, pour ne pas changer, nous commencions à entamer une période très chaude à Suna, et c'était bien évidement le début des sorties exhibitionnistes, sorties dont j'avais bien évidemment sut profité comme il ce doit, il n'y avait rien de tel que de la présence féminine pour revitaliser convenablement un homme, je le savais, et aimais récompenser mes efforts par cette présence fort alléchante, la luxure était un de mes défauts, mais je n'en étais absolument pas dépendant, je savais m'en passer. J'étais d'ailleurs ce matin la en présence d'une sublime créature que j'avais accosté dans un bar du coin la veille, elle était bronzé, une sublime latina aux formes parfaite dont j'avais fait ma proie, ce n'était bien entendu qu'une soirée parmi tant d'autres, elle le savait. Oui toutes mes conquêtes savaient à quoi s'en tenir, je n'étais pas un vieux fornicateur sans cœur, toutes les femmes que je ramenais chez moi ou bien que me ramenaient chez-elle étaient prévenus sur mes intentions, et si elles n'étaient pas assez intelligente pour le comprendre ce n'était absolument pas mon problème.

Je me levais donc de ce lit, réveillais délicatement la demoiselle, pas question pour moi de lui préparer le petit déjeuné, au contraire j'espérais qu'elle partirait rapidement, j'allais donc déjeuner tout seul sur ma chaise surélevé tout en contemplant mon reflet dans mon réfrigérateur, cette nuit avait été mouvementé, j'avais mauvaise mine, aussi je décidais pour mieux me réveiller d'aller prendre une douche bien chaude. Une fois celle-ci terminée, la bomba latina prit le relais dans la douche, elle c'était donc décider à retirer ses jolies forme de mon lit, je me coiffais rapidement, m'habillais, contemplait rapidement la jeune fille à travers la vitre de ma douche, puis allais vers la porte d'entrée pour vérifier mon courrier, une lettre de ma très chère maman qui prenait de mes nouvelles, aussi je ne comptais lui en donner que lorsqu'elle daignerait bouger pour en prendre elle même, je jetais donc la lettre de ma maternelle afin de me concentrer sur quelque chose de plus important. Un ordre de mission parlant de probable prostitution, ces femmes salissaient donc Suna, je comprenais que pour une femme, c'était honteux que ces demoiselles vendent leur corps au sein de son village. Mon partenaire pour cette mission allait-être Kibô, encore ? Sans doute avaient-ils trouvés que nous faisions de belles prouesses ensemble, tant mieux le courant passait très bien avec lui, et le fait que nous nous connaissions allait optimiser les chances de réussite de cette mission.

Rapidement ça frappait à ma porte, sans aucun doute c'était le genin à la chevelure blanche, aussi j'allais ouvrir oubliant la présence de la jeune fille chez moi. Kibô avait l'air ailleurs, ses yeux étaient écarquillés, il était pensif, nostalgique, aussi je préférais ne pas le questionner, si il désirait en parler il allait falloir qu'il le fasse de lui même, je n'étais absolument pas fouineur quant à la vie privée d'autrui, non pas que ça ne m'intéressait pas, mais que tout le temps que l'on ne m'en parlait pas je n'étais absolument pas concerné par ceci.

Soudain la jolie jeune fille à la peau bronzée me poussa de la porte, m'embrassa avant de repartir bousculant légèrement Kibô, oui, elle avait un tempérament de feu, j'avais eu plusieurs occasions cette nuit pour le constater.. Mais bon, c'était triste de ce dire que la prochaine fois qu'on ce verrait elle et moi, elle ce contenterait de me servir dans le bar dans lequel elle travaille. Je ne me considérais pas comme un pervers, mais comme un jeune aillant plusieurs années de sa vie à rattraper après les avoir passé dans le coma.

"Aucun commentaire Kibô je te pris, on est partit ?"

Lui dis-je amusé, nous allions donc réussir rapidement cette mission, et peut-être allions nous devoir infiltrer ce réseau et nous dévouer à des actes de débauche ? Je n'en savais rien, mais une chose dont j'étais sur, c'est que si c'était le cas, il ne serait pas bon de le signaler dans le rapport...

J'avançais vers mon partenaire et lui tendais mon poing afin que nous puissions nous saluer de la manière qui était devenue systématique lorsque nous nous voyons.

Kibô tapait dans mon poing sans grande conviction, lui qui habituellement était excité et dynamique semblait mou, il avait une démarche nonchalante, il était ailleurs, loin de nous on aurait dit qu'il volait au dessus du village et survolait pleinement notre mission. A vrai dire ça m'énervait assez car je ne voulais pas qu'on échoue lors de cette mission, voir qu'il n'était pas dedans m'insupportait, sans doute car je ne ressentais que très rarement des sentiments, et je ne pouvais sans doute pas comprendre ce que ressentait Kibô, une chose était sur ça venait directement de son coeur et de son cerveau. Il avait l'air perdu, brisé, mais bon si il ne ce confiait pas ce n'était absolument pas mes affaires, mais je l'appréciais et le voir dans cet état, au delà de la mission, m'énervait grandement.

Nous avancions donc vers le centre ville, et plus nous avancions plus ce grand silence et le visage dépité de Kibô m'énervaient, je ne supportais pas ce genre de baisse de tensions, il était mou, bien trop mou, dans une mission de haut rang il serait déjà mort et c'était impardonnable, si il était réellement désireux de devenir un grand Shinobi, il allait devoir accepter d'être au maximum même pour ce genre de missions de bas rang, surtout que mener une enquête et dénicher un Mac n'était pas rien, bien loin de là, c'était quelque chose d'important, nous ne pouvions tolérer que des prostitués ce baladent librement dans Suna et que quelqu'un ce permette d'établir son "commerce" en ces lieux, si des personnes hauts gradés d'autres villages venaient et voyaient ça, ça allait empiéter sur la réputation du village, et ça, ce n'était absolument pas acceptable, je ne pouvais l'accepter.

Bien que j'adorais la présence féminine, je n'avais aucun respect pour celles qui vendaient leur corps, exposant ainsi un corps saint aux pires maladies, que ça soit pour elle ou bien pour la personne qui la paie pour ses services, les deux étaient celons moi des êtres lamentables, c'était un manque de respect pour la femme, et c'était contribuer à l'exercice de ce honteux métier, bien que je pouvais comprendre que certaines femmes n'avaient pas le choix, il y avait une certaine estime de soit même à avoir, et celons moi ces personnes n'en avaient aucune, et c'était réellement déprimant de ce dire qu'au delà du non respect d'autrui, le non respect de soit même existait.

Kibô s'écroula ensuite, il ce confiait sur ses douleurs, après quoi il décidait de changer de sujet, c'était triste de le voir comme ça, oui il fallait ce concentrer sur la mission, mais j'étais bien conscient qu'il ne serait pas capable de l'effectuer pleinement si il n'arrivait pas à faire le point. J'avais bien évidemment compris qu'il s'agissait d'une histoire de coeur, c'était débile de ce prendre autant la tête pour ça celons moi, mais bon je me devais d'essayer de ramener les pieds de notre ami sur terre sans pour autant détruire tous ses espoirs. Aussi en réfléchissant à ce que j'allais dire je pris la parole.

"Kibô, tu ne trouveras jamais l'amour si tu souffres, être mal pour une fille peut arriver, mais es-tu sur de vouloir risquer ta carrière de Shinobi, et donc la réalisation de ton rêve, uniquement parce que tu te met mal par amour ? Fais le tri dans ta tête ce soir, mais libères toi."

Lui dis-je tout en continuant de marcher, je n'étais pas un expert en résolution de problème matrimoniaux mais je savais que celons moi ce mettre mal pour une fille n'était absolument pas bon signe.

Kibô me remercia pour les conseils que je lui avais donné, je savais qu'ils n'étaient pas si bon que ça bien au contraire, mais bon je n'étais absolument pas le genre de personne à éprouver des sentiments à l'égard d'une personne de sexe opposée, je ne pouvais donc absolument pas comprendre ce que ressentait mon jeune ami, mais une chose était sur, il n'était pas bien et ça ce voyait, mais c'était à lui de réussir à ce ressaisir, je ne pouvais absolument rien pour lui si ce n'est lui conseiller de faire le tri dans sa tête de manière à ce qu'il comprenne ce qu'il veut vraiment. Souffrir par amour est normal, mais Kibô était trop jeune pour ça, et puis, y avait-il une raison à cette baisse de tension ? Je n'en savais rien mais je savais que si il perdait ainsi la motivation ce n'était absolument pas une bonne chose, aussi j'espérais qu'il arrive à ce reprendre, pour la mission, mais aussi pour la vie de tout les jours, pour son propre bien c'était le mieux à faire, réussir à ce poser, à faire les bons choix et de ne plus ce prendre la tête.

C'était important pour moi que Kibô arrive à être au top de sa forme au moins aujourd'hui, car je ne supportais pas les prostitués et les mac, c'était un manque de respect envers eux même, envers nous, une insulte envers notre village, une grosse insulte car le village de Suna est bien trop noble pour tolérer ce genre de métiers, je ne tolérais pas que l'on empiète ainsi sur le territoire du village caché du pays du vent, car ce n'était absolument pas respectueux envers notre terre, je voulais combattre ce genre d'insulte car celons moi notre village méritait une certaine reconnaissance, et des personnes comme ce mac qui refusaient de vouer ce respect que l'on a tous envers le village, il n'était donc bon qu'à être enfermé, et j'en faisais limite une affaire personnelle. Le seul point positif, les mac ce placent sur un trône vis à vis de leurs prostitués, mais en vérité ils sont faibles et l'emprisonner serait des plus simple.

Kibô ce tapa la tête comme pour ce motiver, puis il partit au pas de course en direction le centre ville, je lui suivais et le rattrapais aisément étant un grand sportif, puis nous arrivâmes rapidement sur les lieux où les femmes accostaient les passants, des prostitués, mal coiffé, mal maquillé, mal habillé, rien de sexy celons moi, elles n'avaient pas le charme qu'ont les jeunes filles humble, Kibô me proposa donc un plan, mais je trouvais quelques failles.

"Non, le mac ne pense qu'à l'argent, le meilleur moyen de le faire venir, c'est de refuser de payer, mais pour ça il faut passer à l'acte, il est sûrement dissimulé quelque part dans les passants et nous surveille, faits semblant de la forcer, il interviendra."

Oui j'espérais que Kibô fasse le sale boulot, mais bon si il refusait je me dévouerais donc à cette tâche, même si c'était vraiment à contre coeur.

Spoiler:

Kibô semblait s'exécuter, il me fit énormément plaisir en acceptant de faire le sale boulot, j'avais une réputation après tout, et ça aurait empiété sur celle-ci si on me voyait auprès d'une vulgaire prostituée comme celles qui ce pavanaient et accostaient les humbles habitant du village caché du pays du vent, je devais avouer répugner à l'idée de toucher ce genre de femmes, après tout elles étaient désireuse de gagner de l'argent, et ceux, peut importe les maladies qu'elles attrapent, je ne comptais cependant absolument pas me faire contaminer, bien au contraire, mais bon étant donné l'état moral de Kibô j'aurais compris qu'il préfère que je m'en charge, mais bon il en avait décidé autrement, tant mieux pour moi après tout car bon l'idée de respirer le même air que ce genre de toxicos au vagin déformé ne me plaisait absolument pas, me dire que bon nombre de passants devaient accepter de coucher avec ces femmes pour qu'elles désirent rester ici me répugnait, c'était absolument dégueulasse, un grand manque d'hygiène.

Kibô avançait donc vers la prostituée, cette femme de joie après avoir brièvement parlé avec Kibô qui avait évité tout contacte physique avec elle se dirigea vers moi, l'avait-il envoyé pour que je l'interroge ? C'était possible, mais la démarche satisfaite de la dame me semblait douteuse, de plus, il n'avait pas choisit la plus belle, bien loin de la, sa mocheté n'avait aucune égale, elle était sans aucun doute la plus laide de doutes les prostitués qui étaient présentes. Une fois proche de moi elle me dit que mon ami lui avait annoncé que j'avais besoin de ses services.. L'enfoiré, il voulait donc la jouer ainsi ? C'était vraiment un coup bas de sa part, il voulait la jouer vicieux ? J'allais sans aucun doute le battre à ce jeu la, aussi j'écrivais l'adresse de Kibô sur un papier et envoyais la prostitué là bas lui disant d'attendre le temps qu'il faudrait, je lui conseillais aussi de ramener des copines à elle avant de lui tendre une belle liasse de billets.

Non mais, il croyait vraiment pouvoir jouer au plus vicieux avec moi ? Quelle naïveté. Après cette petite scène assez marrante, Kibô fonda sur la somme qu'un passant de Suna adressait à une des catins. Je me demandais ce qui pouvait bien passer par la tête de ces personnes, cette envie de ce vider au risque d'attraper toutes sortes de MST plus ravageant les unes que les autres. Kibô attrapait donc la somme et refusait de la rendre à la fille de joie qui allait donc chercher trois brutes pour l'aider à récupérer son argent, grossière erreur. Kibô m'avait titillé et ces personnes allaient en payer le prix. Ils étaient dos à moi, aussi je lançais deux Kunais dans la nuque des deux premiers et fit exploser les parchemins que j'avais relié à ceux ci, le résultat était évident, et assez dérangeant pour les passants, il n'en restait qu'un, aussi je le laissais à Kibô, j'espérais qu'il allait prendre quelques coups avant de le mettre K.O car bon, il était évident que mon camarade à la chevelure blanche allait gagner.

"Bonne chance."

Lui dis-je d'une voie extrêmement amusé, je pensais à sa réaction lorsqu'il rentrerait chez lui et verrait les prostitués.

Les deux masses tombèrent par terre, et le troisième fut propulsé, deux bâtiments furent légèrement amoché par l'explosion, il était fort possible que c'était irresponsable de ma part d'avoir provoqué une explosion en centre ville, sûrement une action débile et démesurée, j'avais perdu l'habitude de faire des choses idiotes, aussi je me cherchais des excuses, j'en avais et savoir pourquoi j'avais fait ça, mais j'étais tout de même en tord, ça ne faisait aucun doute. Kibô me le fit d'ailleurs remarqué et s'emporta sur moi, tel un père disputant son fils, sauf que l'erreur la dedans était que je ne suis absolument pas un gamin et n'en serais jamais plus un. Le genin à la chevelure blanche ligota le troisième gros bras, mais Kibô me fit la morale, me passait un savon devant les passants, ça me donnait envie de le brûler vif, mais je devais savoir écouter, chose que je faisais, je prenais ce qui était bon à prendre. Mais je savais que Kibô était quelqu'un de peureux, il était effrayé par la mort, effrayé par le sang, effrayé par son rôle de Shinobi.

J'espérais que Kibô allait s'endurcir que ça soit physiquement et mentalement, il était très faible dans le sens ou il ne supportait pas le danger, à toujours vouloir la paix et faire les choses de manière presque "amicale" le village allait perdre son sérieux, il fallait savoir faire des exemples, la prostitution n'était pas toléré dans les rues de Suna, et après un exemple aussi explosif je doutais qu'un passant ose recommencer à payer les services d'une femme de joie et qu'elles décident de prendre le risque de ce prostituer en ces lieux. Que croyaient-elles ? Qu'elles étaient protégés par de vulgaire gros bras ? Non elles sont dans un village Shinobi, dans un des plus puissant village Shinobi d'ailleurs, sans aucun doute celui ayant le plus magnifique des paysages, et un tel paysage ce préserve et ne peut pas être salit par de vulgaires prostitués pour ne pas dire p.te, je ne tolérais pas que ce genre de personnes salissent la réputation de notre magnifique village, aussi, j'étais probablement fatigué et énervé, ceci expliquait cela et ne m'excusait nullement.

Kibô commençait donc à interroger la masse de muscle qui était apeuré, on aurait dit un vulgaire chien ayant peur que son maître lui mette un coup de bâton, sans doute était-ce par ma faute, aussi Kibô posa une seule question et le troisième homme ne ce fit pas prier pour répondre, il pointait directement du doigt la plus haute tour de Suna, ainsi c'était ici que ce cachait cet enfoiré, bien, il était temps de le dénicher et de le sortir de notre village, avec la peau carbonisé si possible, il allait porter la brûlure blanche en forme de main de Yamada Mikoto. Nous nous mirent donc en route, et une fois éloigné des habitants, j'attrapais Kibô par le bras, il fallait que les choses soient clair.

"Kibô, il faut que tu acceptes qu'on fasse des exemples, je n'ai peut-être pas agit comme il fallait, mais si tu veux instaurer la paix, il faudra des exemples, avec un exemple aussi explosif, elles ne sont pas prête de revenir et les passants pas prêt de payer pour leurs services, je conçois que tu n'acceptes pas mes méthodes, et j'avoue avoir un peut exagéré, mais à l'avenir ne t'emporte plus ainsi."

Lui dis-je décidé à ce que les choses soient clair avant de reprendre notre mission de plus belle, je tenais à ce qu'elle soit réussite, et si il y avait de la zizanie entre nous ça allait la compliquer, repartir sur de bonnes bases, c'était ce que je voulais.

Kibô s'excusait de m'avoir reprit devant tout le monde, enfin bon il n'y avait rien de bien grave j'allais m'en remettre après tout ce n'était qu'un égard de comportement de nos deux côtés, je ne me considérais pas comme seul fautif dans cette altercation mais savais que les tords étaient partagés même si je prenais la responsabilité d'une majorité des erreurs commise qui nous ont amenés à cette légère dispute où les sons sortant de nos bouches ont peut-être été assez fort. Mais bon, j'avouais avoir abusé dans mes actes, mais bon, celons moi pour qu'un exemple soit marquant il faut qu'il soit violent, après je savais que j'avais eu tord du point de vue où j'avais failli blesser mon ami à la chevelure étincelante, chose qui était regrettable, et j'avais abîmé les habitations de civiles qui n'avaient absolument rien à voir dans cette histoire mais en payaient quand même les pots cassés. Aussi je ne ressentais cependant aucune culpabilité vis à vis des trois gros bras que j'avais blessé, au contraire j'étais satisfait du résultat.

Nous arrivâmes ensuite prêt de l'entrée de la tour, il y avait deux gardes, je voulus d'abord m'en charger, mais Kibô me fit comprendre qu'il voulait le faire lui même, oui il était vrai que j'avais quelque peut merdé juste avant et que je comprenais qu'il ne veuille pas prendre le risque que je faillisse à nouveau, après tout c'était autant sa mission que la mienne, et puis étant un peut fatigué et sur les nerfs il était préférable et plus raisonnable de ma part que mon ami Kibô ce charge de tout, et puis c'était bien de pouvoir observer sa façon de faire pour pouvoir voir où j'avais fais des erreurs, même si je savais très bien quelles erreurs j'avais faite. Aussi je ne m'y serais jamais prit de la même manière que pour les trois autres abrutis, étant donné que je favorisais l'effet de surprise, mais bon j'avais pleinement confiance en Kibô et en sa capacité à neutraliser ces deux personnes sans faire trop de bruit.

Aussi il attrapait les personnes à l'aide clef de bras et coup dans la nuque et les immobilisa avec une facilité et une rapidité qui avaient faillit me surprendre, mais bon, failli, après tout il n'avait rien fait d'exceptionnel non plus, mais bon il avait fait ce qu'il fallait pour neutraliser les deux hommes sans ce faire repérer, aussi je le rejoignais et une fois à son niveau nous décidions de pénétrer dans le hall. Il semblerait que ce n'était pas une tour premier prix, bien au contraire, on sentait la richesse dans ce décors luxueux, aussi j'appréciais les lieux aussi bien ordonné. Kibô me demandait ensuite ce que l'on faisait, et bien on favorisait encore l'effet de surprise.

"Et bien, même si ce n'est pas utile, nous n'avons qu'à prendre l'apparence des deux gardes, aller voir ce foutu mac et admirer son visage changer quand il comprendra qui nous sommes vraiment, puis après et bien nous le livrons au Kazekage."

Oui, on pouvait bien prendre du bon temps en martyrisant le Mac qui dégradait notre village avec son métier irrespectueux.

Nous arrivions au bout de cette mission.. Nous allions enfin mettre fin à ce réseau de prostitution dégradant pour notre village, à quoi pouvait bien ressembler la personne ayant mit en place une telle honte ? J'essayais de l'imaginer, et dans ma tête je ne voyais que des barons, des personnes aux allures vraiment suspecte, et pourtant, je me doutais bien que les personnes exerçant ce métier, si on peut appeler ce travail d'enflure un métier, chose qui n'était sûrement pas adapté pour définir un tel gagne pain, enfin bon.. Je me doutais bien que la personne à la tête de ce réseau devait avoir l'air innocent, un physique passe partout qui ne permet pas de le suspecter et donc de passer inaperçus aux yeux de tous, sans doute était-il venu sous la couverture d'un riche seigneur ou autre, mais bon il n'était rien de tout ça, il n'était qu'un enfoiré de mac n'ayant aucune respecte pour les femmes et pour notre village, en temps de guerre c'était grave que des abrutis pareil arrivent à monopoliser des Shinobis, ça m'énervait au plus haut point.

Nous avancions donc vers l'ascenseur, nous quittions le hall luxueux après avoir prit l'apparence des deux gardes que Kibô avait neutralisé, le Henge pouvait vraiment être très utile et permettait de duper aisément, c'était impressionnant de voir qu'un jutsu qu'on avait appris à notre plus jeune âge, et aussi simple d'utilisation nous permettait de duper tant de personnes et était une telle arme en mission, oui j'adorais tromper mon adversaire à l'aide ce Ninjutsu si facile d'utilisation. Mais bon je savais aussi que ça marcherait bien moins bien lorsque je partirais en mission de haut rang avec des adversaires plus puissant, plus intelligent, et surtout avec des talents de Shinobi, j'avais hâte d'affronter des ninjas assez puissant pour me tenir tête, mais avant d'envisager ce genre de combat il allait falloir que je progresse histoire de ne pas me faire écraser comme le vulgaire insecte que ma faible puissance me permettait d'être, je n'étais pas du tout assez puissant, mais j'espérais rapidement le devenir.

Lorsque nous arrivâmes en haut, l'ascenseur nous avertissait à l'aide d'une petite sonnette qui produisait un son grave qui raisonnait dans ma tête, j'avançais avec la démarche d'un des gros bras qu'il avait engagé aux côtés de Kibô. Cette salle aussi était luxueuse, une magnifique baie vitrée offrant une superbe vue sur Suna, c'était sans doute d'ici qu'il surveillait ses prostitués, il avait bien choisit le lieux. Le mac était derrière un bureau, deux gros bras à ses côtés. Il c'était donc assuré une sécurité supplémentaire, après tout, quand on est à la tête d'un réseau de prostitution on a les moyens, même si à sa place j'aurais engagé des Shinobis, un seul Shinobi aurait été plus inquiétant que ces brutes épaisses, ils étaient de faibles mercenaires. J'en concluais donc que notre mac était donc un avare ayant engagé des gardes du corps au rabais, c'était une erreur de sa part et il allait en payer le prix.

Kibô prit la parole, il jouait convenablement son rôle, et signalais que deux Shinobis de Suna mettaient des bâtons dans les roues au réseau. Le mac redressait la tête, il avait ce visage de tueur, j'avais envie d'attraper sa tête et de l'écraser sur son bureau, seulement quelque chose m'inquiétait, ce regard certains, était-il plus puissant que ce que j'avais pu imaginer ? Ce qui me choquait c'était lorsqu'il ouvrait les yeux, ils étaient blanc... J'observais ensuite son bureau, un bandeau de Konoha avec l'emblème rayé été incrusté dedans. Un Hyuga, c'était donc un Shinobi, et en tant que Hyuga il nous avait percé jour... Aussi je pris rapidement un Kunai dans mes mains et mit fin à mon Henge.

"Kibô, c'est un Hyuga, un déserteur, occupes toi des deux gardes du corps je te pris et viens vite m'aider !"

Sans perdre de temps je lançais plusieurs boule de feu sur le Hyuga qui me les contrait avec un tourbillon divin, comment allions nous le neutraliser ? Je n'en savais rien, j'espérais juste que Kibô allait rapidement venir m'aider.

Spoiler:

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Un Hyuga... Ce clan correspondait à l'élite de Konoha, des Shinobis aux pouvoirs incroyable, venant des yeux, leur vision était en tout point supérieur et leurs capacités au corps à corps étaient surprenantes, il était capable de faire sortir son Chakra de son corps, ses mains déversaient des vagues de Chakra, et il était capable de ce battre avec une grande puissance, je savais que ce combat serait dur et que je n'avais sûrement aucune chance seul face à cet homme malgré le fait que je ne me considérais pas comme spécialement faible, mais je n'étais pas assez puissant, et bien trop faible pour affronter ce Nukenin.

Je comprenais mieux pourquoi il était si serein, les gardes du corps qu'il avait engagé n'étaient donc que de la déco, il était tout à fait capable de ce débrouiller tout seul, mais bon, si il était vraiment un puissant Shinobi il aurait sans doute eu d'autres vocations que d'être un vulgaire mac. Mais bon à en voir la manière avec laquelle il avait stoppé mes boules de feu j'en concluais qu'il était sans aucun doute assez expérimenté, de plus la technique défensive qu'il avait effectué était connu comme étant une des grandes armes du clan Hyuga, car ce tourbillon divin était aussi puissant offensivement que défensivement. Mais ils avaient un atout en plus, le Byakugan, ces magnifiques pupille permettant de localiser les adversaires de loin, de différencier les Bunshin et les Henge.

Kibô en finit rapidement avec les deux gardes en leurs lançant des aiguilles électrique, ils étaient aussi faible que les autres et tombaient d'un coup, après quoi dès que le Kaiten fut dissipé il fondait sur notre adversaire commun et posait le sceau dont j'avais été victime aussi, oui il m'avait posé ce sceau par ruse, mais à notre adversaire, c'était différent, il le touchait juste après son jutsu, ce fut rapide, et c'est ce qui faisait l'efficacité de son action, aussi notre adversaire ce mit en position de combat, il plaçait ses mains de manière symétriques, il allait donc utiliser les poings du Hake ? Dommage pour lui... Dès qu'il commençait à malaxer son Chakra, il tombait par terre comme immobilisé, à ce moment même des pétales de flammes sortirent de ma bouche et vinrent brûler notre mac. Après quoi je l'accrochais de manière à ce qu'on puisse le transporter facilement au bureau de la Kazekage.

"Bien joué mon ami, la Kazekage jugera cet homme pour ses crimes, j'imagine qu'on est pas prêt de le revoir exercer son métier."

Je ligotais donc celui qui était désormais notre victime, je me demandais donc comment deux Genins comme nous avaient réussis à venir à bout d'un Hyuga ? Après tout ce clan représentait l'élite de Konoha, un clan de Shinobi aux compétences incroyable dont même les Genin surpassaient bon nombre de leurs égales. Ce clan avait une telle réputation que même moi, après bon nombre d'années dans le coma j'en avais entendu parler et leur vouait une certaine admiration. De plus j'avais ouï dire que tous les membres de ce clan avaient les cheveux bruns, or, en ligotant l'individu, je remarquais que la racine de ses cheveux était blonde, cet enfoiré c'était teint jusqu'aux sourcils, il m'avait trompé, je me sentais assez nul de ne pas avoir remarqué cela plus tôt, mais bon, l'important était que nous l'ayons arrêté, c'était tout ce qui comptait, la mission était un succès, aussi une fois le suspect arrêté, Kibô le prit et le forçait à marcher malgré sa fatigue, j'aurais eu tendance à penser que notre défenseur de la paix aurait eut la mauvaise idée de l'aider à marcher. J'étais rassuré de voir qu'il n'avait pas fait cette erreur.

Une question persistait, comment ce pseudo Hyuga avait-il pu utiliser les techniques de ce puissant clan ? J'imaginais qu'il avait sûrement volé les yeux d'un de ces Shinobis, mais quelques questions persistaient, déjà, comment un tocard pareil avait-il réussi vaincre un Hyuga ? Car même avec ses gros bras, il n'avait celons moi aucune chance face à un Hyuga, enfin bon j'imaginais que la chance était un facteur dans cette histoire. Mais je me demandais surtout comment faisait-il pour utiliser le tourbillon divin ou bien les poings du Hake ? Était-il au final un bâtard ? Je voulais dire le fils non assumé d'un membre du clan avec quelqu'un d'autre, ceci expliquerait ce pourquoi il avait le Byakugan malgré sa faible puissance ce qui faisait tomber à l'eau la théorie du vole, et expliquait pourquoi et comment il pouvait maîtriser les Ninjutsus de ce clan. C'était celons moi la meilleure des théories possibles, c'était celons moi presque évident que c'était ça.

Nous marchions ensuite dans la rue, les prostitués nous voyant avec leur mac ce mettaient à courir direction la sortie de Suna, je trouvais marrant de voir à quel point elles ce sentaient vulnérable lorsque leur mac tombait. Elles semblaient faible, c'était puéril celons moi, vraiment exaspérant, elles faisaient honte à la gente féminine, ça me donnait envie de les enfermer en prison, on venait de leur offrir leurs libertés, et pourtant j'étais presque sur qu'elles allaient soit ce laisser mourir soit trouver un autre mac alors qu'elles auraient pu commencer une nouvelle vie, ici même, en gagnant leur vie honnêtement, il n'y avait rien de honteux à être honnête celons moi, bien sur ça demandait un certain dévouement, c'était certainement bien plus dur que de vendre son corps. Je n'avais en effet aucun respect pour ce genre de femmes.

Les passants nous acclamaient, ils avaient compris qu'on avait arrêté le mac en voyant les prostitués détaler comme des lapins. Ils nous applaudissaient comme-ci nous étions des héros. Et pourtant il y avait bon nombre de vrais héros enterré dans le cimetière qui n'avaient pas été acclamé, nous avions réussi une mission facile alors que certains étaient mort à la guerre, aussi je trouvais ça débile que nous nous fassions applaudir ainsi par la foule. Mais bon, je restais impassible et faisais mine de rien entendre, je me contentais de surveiller notre prisonnier tout en surveillant mes alentour pour protéger mes arrières.

Nous arrivâmes rapidement au bureau du Kazekage, nous délivrions l'ex mac, la stupéfaction put ce lire sur le visage de la Kage lorsqu'elle vit que notre prisonnier avait les yeux du clan Hyuga, aussi je lui soumettais mon hypothèse quant à la raison des yeux de l'individu, elle semblait assez d'accord avec moi. Après avoir fait notre rapport, dit où trouver les associés de l'individu que nous avions neutralisé, nous sortions du palais de la Kazekage.

Une fois en bas, Kibô me proposait d'aller boire un verre, il semblait en avoir besoin, aussi je n'étais pas pressé et pouvais lui accorder mon temps libre après tout il était mon ami. J'acceptais donc d'aller boire ce verre avec lui avec une phrase très simple.

"Très bien."

Nous avancions donc jusqu'au bar ce trouvant dans la résidence des Yamada, après avoir salué le gérant, je prenais place à une table pour deux et commandais leur meilleur Whisky, je regardais désormais Kibô, attendant qu'il me dise ce qu'il avait à me dire.