Aucun retour en arrière possible

a foudre.

Arrivant sur les hauteurs mes yeux scanné l'horizon pour m'orienter vers l'odeur que dégager l'homme ou la femme tant recherché. Il fallut quelque minute pour trouver sa position. Au dessous de moi, en bas de la falaise, juste à coté du petit cour d'eau. Il devait sans doute faire une pause suite à son périple. Sautant du haut de mon perchoir aidé par mes facultés de contrôler le vent, j'atteignais alors le sol. Face à l'individu mon chakra en circulation dans mon corps près à en découdre si il agissait hostilement.

- Alors vous voila. L'espion que je recherche depuis plusieurs heures. Qu'elle sont vos intention en venant ici en terre de foudre ?

[/font]

@"Jisetsu Id"

Aucun retour en arrière possible

Son allure n'était pas hostile malgré le fait qu'il n'avait rien à faire ici. Alors en vient le début du pourquoi. Semblant faire allusion au fait que je sais qu'il est un espion, et que je sais pourquoi il est la, je devrais lui fournir les réponses qu'il attends ? Rien de compliqué. Il était venu ici pour tenter de récolter des informations via un informateur présent sur place, ou alors de rentré en douce vers les frontières pour en apprendre plus sur le système de défense du pays.

Dans tout les cas, un individu seul, dans les alentours avec aucun signe distinctif de Kumo n'était pas de bonne augure. Surtout sur la suite de ses paroles. D'après lui, les villages ce servent des ninjas pour assouvir leurs envies. Logique, nous sommes des soldats, nous agissons sous ordres. Comme tout assassin qui ce respect, j'étais donc dans l'obligation d'agir selon un schéma prédéfini. Lui voulait découvrir le qu'elle des grands villages pouvait sans doute changer la face du monde. Je lui rétorquais alors ma façon de voir les choses.

- Assouvir ? Dessin ? Je crois qu'il y erreur sur la question. Que je sache, je n'ais jamais mentionner être un ninja de Kumo. De plus si tu en déduit ceci, tu dois donc être très bien informer. Je vais donc être très clair ...

Marquant une pose celui ci ne me laissait le temps de finir qu'il rétorquait une nouvelle fois. Pour lui je venais d'être envoyé au suicide. En quoi pouvait t-il en juger ? Qui dit que autour de nous il n'y aurait pas deux voir trois ninjas haut gradé attendant dans l'ombre ? Sur la fin des paroles de cet personne, je levais mon bras dans sa direction. D'une façon très gracieuse, ma main s'ouvrait laissant alors apparaïtre une boule de chakra. Le préparation du Big bang ... mais avant il fallait que je termine ce dont j'avais commencé.

-Je disais donc. Qui es tu ? et qu'attends tu de moi ? réponds vite et bien, au qu'elle cas, ceci ira directement te faire rejoindre Lucifer pour une dernière valse.

[/font]

@"Jisetsu Id"

Aucun retour en arrière possible

nt la boule de feu en train d'être formé. Je sentais au fond de moi mon sang ne faire qu'un tour, passant du chaud au gel le plus froid du nord. Tanto je tremblais rien quand pensant à tout cela. Je devais en savoir plus.

- Tu attire ma curiosité. Même si cela vient de remonter des sentiments enfoui depuis longtemps à la surface, je te donne le crédit de n'avoir rien tenter contre moi. Tu aurais pu m'éliminer, toi et moi nous le savons. Alors suis moi, il y a un bosquet à quelque minute d'ici.

Ajustant ma capuche ainsi que mon masque, je me dirigeais vers le coté droit de l'espion. La route allait être courte et je n'avais toute façon pas de temps à perdre. Mes pieds s'élançaient du sol pour me faire atteindre une vitesse de marche suffisante pour ne pas perdre de vue mon hôte.

[/font]

@"Jisetsu Id"

Aucun retour en arrière possible

Que l'homme qui est dirigé par le crédo ce doit de suivre l'éthique écrite et inculqué depuis l'enfance. J'avais à faire maintenant à deux cas de figure qui m'embêté. J'écoutais les paroles de cet homme qui semblait vouloir parler carte sur table. Je me mettais alors contre un rocher sur mon flan droit pour m'appuyer dessus. J'attendais de voir ce qu'il avait comme information à me donner.

Il en venait donc à parler directement des sujets qui fache. La mort de ma mère, le fait que le clan kadoria y soit pour quelque chose. La querelle Seki Kadoria avait donc couté la vie de ma mère. D'après lui, il y aurait eu un moyen de sauver ma mère de l'accouchement. Mais rien ne fut vu qu'a l'heure d'aujourd'hui elle reposait sous terre. Je ne savais pas trop quoi faire de toute ses informations. Je m'attendais pas trop à recevoir une telle chose à chaud. Prendre du recul, faire le trie, comprendre, gérer la situation qui devenait critique. Le village de la foudre m'avait donc menti depuis le début en me cachant la vérité.

Le sang de ma mère avait couler sur la table d'opération pour rien, sans même avoir pris le temps de tenter quelque chose pour la sauver. Rien. Mais cela d'après cet personne qui pouvait sans doute lire les pensées les plus profonde et de la même enfoui de longtemps.

Bras croisé, la tête baissé, un air pensif, je me relevais lentement de la roche froide du bosquet. Faisant quelque pas de gauche à droite, ma main sous mon menton montrant une certaine réflexion je rétorquais.

- Je t'écoute, j'analyse, et quelque chose me titille l'esprit. Je me souviens vaguement de mon enfance et du moment de ma naissance. La version officiel sur la mort de ma mère est du à un accident durant l'accouchement. Je comprends mieux maintenant. Il va de soit que ci t'es dire son vrai alors je me vengerais. Mais seul cela risque de mettre difficile.

Me venger ? je devrais faire saigner ceux qui n'ont pas empêcher la mort de ma mère ? cette solution semblerait logique mais comporterait des risques. J'étais seul. Mise à part mon père, qui pourrait sans doute me venir en aide si il serait informer. Pour l'instant il ne fallait pas tirer de conclusion hâtive encore. Je ne pouvais, et ne devais pas faire confiance en quelqu'un malgré ce qu'il à pu dire.

- Alors en me disant tout cela, ou veux tu en venir ?

Me plaçant à nouveau sur mon rocher, l'esprit plein de doute, plein de question que j'aurai à poster directement au personne visé. Mais tout cela ne répondait pas à ma première intérrogation. Pourquoi me dire tout ça ?

Aucun retour en arrière possible

J

Lui me proposait de déjouer le système en le devenant moi même. Espionner mon propres village, ma propres patrie, ceux qui ont fait ce que je suis aujourd'hui. Quelqu'un sans famille, sans mère sur qui poser mon regard, aucun frère, aucune soeur. Il n'y avait rien, une vie de solitude à ce souvenir du pourquoi j'en étais la. La proposition était tout à fait plaisante, de pouvoir me venger sans que l'on sâche vraiment.

[b]- Être un espion tu dis. Rester moi même pour que personne ne me suspecte. Tu parle à un assassin, être furtif, passer pour monsieur tout le monde est mon mode de vie, c'est mon travail. Tel est mon crédo. Alors pourquoi pas, si cela me permet d'atteindre ceux qui on trahit ma famille et moi en particulier.

J'acceptais alors le proposition. L'heure était venu d'entré dans la phase numéro deux du crédo des assassins. Tu devrais faire t'es preuves, tu devras montrer que la confiance est maître chez toi. N'oublie pas qu'aujourd'hui je te laisse la vie sauve. N'oublie pas que cette faveur à un prix, celle de ton alliance envers moi. Tu es lié quoi qu'il arrive, ton secret et mon secret, t'es paroles son miennes, et t'es agissements seront toujours à porté de mes yeux.

Je m'approchais de lui, lentement sans faire de geste brusque pour prendre le parchemin qui me tendait. Je prenais soin de toucher alors son bras avec ma main pour imprégner l'odeur de sa peau. Mon odorat avait scanner se que dégager la peau. Ou que tu sois maintenant dans les alentours de Kumo je pourrais te trouver, quoi que tu face jamais tu m'échapperas.

- Notre moyen de communiquer je suppose. Bien il est temps pour moi de partir. Je suis absent depuis trop de temps maintenant. Ton odeur mets maintenant connu, je te trouverais quand il le faudra. Bonne route.

Me retournant vers le flan droit du bosquet, je m'élançais à travers les bois sautant d'arbre en arbre laissant mon interlocuteur vaquer au occupation qui lui était cher. Quand à moi je devais rentrer au village avant qu'il trouve ceci louche.