La Mégalopole de Kawa me faisait penser à Suna dans un certain sens. En effet celle-ci ne vivait, ne resplendissait vraiment qu’une fois la nuit tombée. Passé le sable du désert, puis la nature verdoyante, je me retrouvais à présent au sein de cette jungle faite de béton, d’acier et de lumière, d’on la cime des buildings remplaçait celle des arbres. La population quant à elle me faisait penser à une immense marrée avec ses centaines de milliers d’âmes fluctuant entre les ruelles, les magasins et les habitations. Je pouvais sentir chacune d’elle agir. C’était plus que je n’en avais jamais ressenti. La lumière n’était pas en reste, cela brillait de partout.

Que ce soit des lueurs provenant des résidences, en passant par les imposants néons fixés aux devantures de quelconques pub et autres bars malfamés. Car en plus d’être la cité de la grandeur, il s’agissait également de celle de tous les vices. Gang, prostitutions, drogues et bien d’autres encore étaient tout autant de maux agglutinés entre ces murs. Ce n’était pas la première fois que je me rendais dans cette cité. A une époque j’avais eu l’occasion de la cartographier totalement en plus d’avoir eu une altercation musclée avec un monstre tout droit sorti de nulle part. Aujourd’hui je venais ici pour une toute nouvelle raison. La première étant de faire affaire, la seconde étant de justement recruter ces fameux monstres disséminés aux quatre coins de cette immense structure tentaculaire là où la nature n’avait plus sa place.

Malheureusement force fut de constater que mes sens désormais considérablement accru étaient incapable de supporter le désordre ambiant, que ce soit par les lumières où les bruits. Je redoutai qu’une crise surgisse à tout instant me laissant ainsi à la merci de tout éventuel danger. Aussi n’eus-je d’autre choix que d’avoir une nouvelle fois aux drogues, mais cette fois-ci davantage pour atténuer mes facultés sensorielles. Faire usage de ce genre de substances était une très mauvaise idée sur le long terme, seulement je n’avais d’autres choix que de m’y plier sans quoi je ne pourrais que craindre que mon corps me lâche dans les pires situations. Il m’aurait par ailleurs été impossible d’approcher la cité sans cela. Hors cette dernière représentait une des artères névralgiques de mon plan. Ce fut donc plongée dans cette passable léthargie saupoudrée de lucidité que je déambulai dans les rues en m’appliquant à me faire le moins remarquer possible. A me voir on devinait aisément que j’étais une voyageuse, Saibogu qui plus cela étant, mais qui ne suffisait pas à me détacher de ce bouillon culturelle et ethnique qui donnait forme à la population de la ville.

Je portais un long manteau en tissu doté d’une capuche d’un beige sombre recouvert par un gilet de cuir plus foncé qui me serrai au corps. De longs gants faits de la même matière recouvraient mes mains ainsi que mes pieds caractérisés par des bottes de marches taillées pour les longs voyages. Parfois les deux pans de tissu de mon manteau s’élevaient sous la foulée de mes pas pour laisser entrevoir mes deux pistolets attachés à mes cuisses ainsi que la ceinture qui soutenait l’essentiel de mon équipement. Je les laissai volontairement visible pour m’assurer que nul n’oserait prendre le risque de venir me chercher des problèmes en étant conscient que j’étais armée jusqu’aux dents.

Pas à pas dans la nuit, j’arrivais finalement jusqu’au lieu de rendez-vous. Un casino, c’était assez peu commun, mais ce dernier était suffisamment malfamé pour y accueillir toute la plèbe de la cité. Dès mon arrivée j’avais pris soin d’entrée en contact avec un des courtiers du Johoukokan pour recruter des mercenaires correspondants à mes attentes. Le mot d’ordre était anti-shukai. Et étonnement ce dernier ne tarda pas à m’assigner un premier rendez-vous. Ce dernier avait effectivement lieu dans ce casino clinquant dont les lumières laissaient présumer de la quantité d’électricité consommée chaque nuit. Quoi que l’on dise, la mégalopole resplendissait de richesses dans sa globalité, aussi invertueuse soient-elles. J’entrais à l’intérieur. Quelques gardes m’interrompirent, me demandant de laisser mon équipement à l’accueil. Je les avisai d’un œil méfiant avant de me plier à leur exigence, comprenant que c’était d’affaire pour tous ici. Naturellement je gardais des armes scellées dans des sceaux dessinés à même ma peau, mais cela, ils n’étaient pas obligés de le savoir.

Une fois passé cette étape je saluais mon initiative de faire usage de drogues, sans quoi je n’aurais certainement pas pus tenir plus d’une dizaine de seconde dans ce milieu où tant les lumières que les sons étaient exacerbés. Je pouvais toujours entendre le bruit de fond des sonos pulsant aux rythmes des strip teaseuse qui se déhanchaient autour de leur barre, du son des machines à sous hurlant le chant de l’aléa lorsque ces pauvres humains avide de richesse facile tiraient sur les manches qui actionnait le défilement des roues. Sans prêter attention au reste, j’empruntai la direction du bar duquel le serveur me demanda ce que je souhaitai prendre.

-Rien… Répondis-je dans un murmure froid.
-Si vous voulez rester ici vous êtes obligé de consommer. Lança-t-il d’un ton hargneux.

Je lui demandai un cocktail sans alcool, le tout dans un soupir à peine retenu. Les minutes passèrent jusque ce que finalement un individu à la carrure imposante prenne place à mes côtés. Il correspondait à la description que m’avait faite le courtier.

-Le Barbare Rouge si je ne m’abuse.

En guise de salut je renvoyai l’entement mon capuchon en arrière afin de lui dévoiler mon visage. Celui si n’appartenais plus à Oniri, tout comme sa signature de chakra qui était autre.

Red:

-Je suis Saibogu Red. Ravis de faire votre connaissance. J’ai cru comprendre que vous seriez intéressé à l’idée de mener quelques investigations envers et contre le Shukaï. Je pourrais vous fournir ce que souhaitez. Naturellement vous serez payés comme il se doit et aurez même droit à un « supplément » si vous parvenez clairement à votre but et si tout se passe comme prévu.

Malgré mon semblant de politesse, je m’étais adressée à lui sans un regard. D’un geste habile le barman fit glisser le cocktail jusqu’à moi. Un mélange de sirop de pina colada, de carribean et de lait, le tout accompagné d’un petit parapluie et d’une tranche d’ananas pour décorer le tout. Je n’y touchais même pas, préférant lever les yeux aux plafonds, quand bien même l’un fut toujours aveugle.

-Sachez que vous ne saurez pas grand-chose de moi. Si ce n’est ce que je désir accomplir. Cependant je ne connais que peu de chose à votre sujet. Tout du moins en l’état et ce faisant je souhaiterai savoir ce dont vous êtes capable. Le réputation m’importe peu. Je tiens à m’en tenir au fait. Et les faits sont ceux que je vois par moi-même.

J’en vins finalement à tourner la tête dans sa direction. L’homme en question portait bien son surnom. Il était effectivement immense. Dans un sens cela m’allait. Je n’étais pas à la recherche de cerveau, mais de muscle.

-Avez-vous des idéaux ? Un but précis ? Il n’est pas question de fantaisie. Il s’agit précisément de savoir ce que vous aimeriez obtenir en retour de ce contrat. Autrement dit votre véritable prix.

Tout individu avait un prix. Mais il n’était pas toujours question d’argent.

Cet individu était passablement répugnant en plus d'être agaçant au plus haut point. Pour autant je n'étais guère surprise. Tel était ainsi fait le monde dans lequel j'avais mis les pieds. Ici l'on ne vivait que par et pour ses intérêts personnels. Dans un sens je ne faisais pas exception même s'il aurait été odieux de me comparer à cette boîte de conserve ambulante. Son attitude grossière témoignait d'un cruel manque de facultés cognitives, où était-ce s'est muscles qui s'étaient gonflés en puisant dans l'essentiel de sa masse cérébrale ? Peu importait car j'étais certaine d'une chose : qu'il serait parfait pour ce travail. Je n'en demandai pas davantage. Il me fallait de la main d’œuvre. Aussi me contentais-je d'arborer un sourire en coin tandis que lui descendait les verres de vodka un à un.

-Vous ne cherchez pas l'argent ? Voilà qui est plutôt étonnant. Cela signifierait-il que votre intérêt est ailleurs ? Dans tous les cas il est rare d'entendre quelqu'un comme vous parler de confiance. En soit ce marcher me semble plutôt abordable...

J'entamais les premières gorgées de mon verre. Le colosse s'était retourné pour faire face au casino dans toute son immensité. Une fois encore son attitude me débecta, mais je ne laissai rien paraître. Il fallait bien que je m'habitue à devoir supporter ce genre de connerie. Cela irait tant qu'il ne cherchait pas à s'en prendre à moi, car, à la place de cette cliente, j'aurais gracieusement retourné son du en lui logeant deux balles dans la boîte crânienne. Ce faisant, je fis à mon tour pivoter mon tabouret pour explorer du regard l'immensité de la salle des jeux. Cela brillait, clignotait et tintait dans tous les sens et direction. La musique de fond se répercutait lourdement jusqu'à la voûte qui servait de plafond.

-Je vous déconseillerai de toucher à ces lieux mon cher. Voyez les deux gardes-là bas. Ils ont une réserve de chakra similaire à la votre. Les sept autres éparpillés dans la salle et la dizaine à l'étage oscillent entre les niveau de genin et de chuunin. Pour être franche tenter le deux contres vingts n'est pas un problème pour moi du moment que je me retrouve dans le groupe de vingt.

Petite indication pour lui laisser comprendre que j'étais de type sensoriel. Hors de mon côté je pensai deviner sa nature. Celle-ci se détachait encore plus de mes principes. L’au delà une seconde maison ? Il ne manquait plus qu'un Mamoru... Je détestai ceux de cette espèce. A mon sens les morts devraient rester à leur place tout comme il en était de même pour les vivants. Cependant le temps des principes, de l'éthique et de la moral était depuis longtemps révolu. Je comptais bien placer tous les moyens à ma dispositions pour déchoir l'empire. Cela me faisait mal de l'admettre, mais avoir à son service une personne commandant aux morts était un atout non négligeable. Aussi me contentais-je de l'écouter parler. Il prétendait vouloir rester au même niveau de mystère que moi. Pour autant cela ne l'empêchai pas de beaucoup parler de lui.

-Je l'ai bien signalé au courtier. Mon objectif n'est autre que l'empire. Je n'ai que faire des autres pays. Et si Taki vous intéresse tant, libre à vous d'en faire ce que vous souhaitez une fois cette affaire réglée. Voyez-cela comme un futur paiement. Quant à ma façon de procéder...

Je savais qu'il mourrait d'envie de le savoir ce fut pourquoi je pris un malin plaisir à le faire attendre le temps d'allumer également une cigarette. Tirant quelques lattes dessus, je laissai les volutes de fumer s'élever avant de m'accouder contre le barre.

-Lever une armée ne servirait à rien sinon à faire beaucoup de bruit. Je suis actuellement en train de recruter plusieurs nukenin dans le but de former un groupuscule. Une dizaine de shinobi expérimenté tout au plus. Il n'en faudra guère davantage.

Je ne comptais naturellement pas lui dévoiler l'essentiel de mon projet, mais il me fallait malgré-tout faire mes preuves. Il devait réaliser par lui-même que je savais exactement ce que je faisais et qu'aucune de mes initiatives n'étaient mues par le hasard.

-L'idée étant d'exploiter les faiblesses de l'empire. Je le vois comme une pille de cubes qui, une fois assemblée, forme un immense bloc de marbre reposant sur des fondations en plâtre. L'unité de ses cubes fait sa force, mais il n'y a pas grand chose pour les maintenir entre eux. Sans parler de la base fragile de laquelle est né ce que certains appellent la rébellion.

Sans en dire davantage je lui adressai un regard en coin accompagné d'un sourire espiègle. Cette fois-ci je mettais à l'épreuve ses synapses. Si ces paroles pouvaient paraître évasives elles n'en démontraient pas moins le fondement de mon projet qui m'était clairement en évidence les faiblesses de l'empire. C'était l'occasion pour se barbare en armure de me prouver qu'il possédait un tant soit peu de jugeote en comprenant où je voulais en venir. Suite à cela je pris une grande gorgée qui vida de moitié mon cocktail sans alcool. Pas besoin d'en ajouter. J'étais déjà saoulé par le cadre environnant. Malgré les drogues qui circulaient dans mes veines, le déluge d'informations sensorielles qui provenaient des lieux parvenaient à faire naître en moi un semblant de migraine. Je me frottai l’œil avant de m'en prendre à nouveau à ma cigarette.

-Ne vous en déplaise mon cher, si j'ai choisi de ne pas révéler mon vrai nom c'est que j'ai mes propres raisons et ces dernières ne vous concerne pas. Pour le coup je ne pouvais être plus honnête. Mais dans le fond savoir qui je suis n'a aucune importance pour vous. Et vous le savez bien. Ce que je peux cependant vous dire c'est que je suis effectivement une Saibogu originaire de Kaze. Je suis spécialisée dans les armes à feux et la sensorialité. Sachez également que j'ai une sévère dent contre l'empire et que je suis prête à tout pour le réduire à néant. Voilà tout ce que pouvez savoir pour le moment. Et si d'aventure vous acceptiez ma proposition, vous ne manquerez certainement pas d'en apprendre davantage.

Souriant cette fois-ci d'arrogance, je tournais la tête dans sa direction pour le regarder dans les yeux. C'était bien la première fois depuis notre rencontre.

-Je suis réglo temps qu'on l'est avec moi. Vous pourrez me considérer comme une alliée aussi longtemps que vous suivrez ce principe. Détournez-vous en et vous finirez avant autant de plomb dans le corps qu'il n'y a de métal sur votre armure. Concluais-je sur un ton presque humoristique.

Le parie était lancé. Sauf que je ne comptais pas sur la chance pour réussir.

-Cela prouve simplement que je suis de nature opportuniste. Dis-je simplement tout en restant au demeurant accoudée dans le sens opposé au bar.

Puisqu'il fallait tout lui expliquer autant ne pas y aller par quatre chemin. Car visiblement ce dernier comprenait uniquement ce qu'il désirait comprendre et ses remarques concernant ma tactique d'approche envers l'empire confirmait clairement ces suppositions. En soit je n'étais pas surprise et dans le fond. Posséder un énorme tas de muscles pour jouer sur la ligne de front ne me déplaisait guère. Si son rôle devait se limiter à cela, alors il en serait ainsi. Je devais simplement prendre soin de ne pas briser cet ego démesuré. Une simple parole prononcé de travers semblait suffire pour le transformer en traître.

-Ces précisément ce que j’essaie de vous dire depuis le départ. Le but n'est pas de foncer tête baissé sur l'Empire auquel cas j'aurais effectivement cherchée à lever une armée. Et quand je parlais de futur paiement je faisais bel et bien allusions au Pays des Cascades.

Je détestai me répéter. Un instant je me demandai même s'il avait relevé un traître mot de mon précédent discours. Cela en devenait lassant. Seulement le voici qui s'énervait à nouveau et pour le coup j'avais du mal à en saisir le sens. Évidemment que je le considérai comme un moins que rien, pour autant à aucun moment ne l'avais-je traité comme tel. Je m'étais contentée d'énoncer clairement les règles du jeu et ce en toute transparence. Hors je doutai qu'il soit en mesure de lire dans mes pensées. A mon sens son excès de colère était totalement injustifié, j'allais même jusqu'à penser que sous cette grosse armure se cachait un homme ayant peur d'être trahis. Le problème étant que je n'étais pas ici pour jouer les thérapeutes désireuses de de pencher sur son complexe d'infériorité refoulé.

-Soit je n'ai jamais eu l'intention d'être votre cheffe. Soyons des collaborateurs et moi la coordinatrice veillant au bon déroulement des opérations. Vous n'aurez aucun compte à rendre à qui que ce soit. Cependant l'accord tien toujours. Je serais réglo avec vous tant que vous le serez avec-moi. A partir de là tout dépendra de vous.

Peu m'importait la forme du moment que la finalité restait la même. Mon projet n'avait pas pour but de me transformer en impératrice ou encore comme cheffe d'une quelconque organisation criminelle mondiale. Je recrutai simplement des Nukenins pour une mission bien précise, peu importait comment ils se considéraient du moment que le travail était fait. En soit cela ne changeait rien à l'institutions Shinobi. Un contrat, une mission, des exécutants et un devoir accompli. La seule grande différence étant les énergumènes avec lesquelles il fallait composer. Et sans comprendre ce qui l'avait poussé à agir, je me retrouvai avec un verre d'alcool entre les mains fraîchement offert par le géant rouge. Entre temps il s'était amuser à utiliser sa brume pour mettre à mal le système d'éclairage du casino ce qui n'était pas pour me déplaire, bien que je trouvais ce comportement puéril.

-Je suis comme vous. Je veux m'assurer de ne pas être trahis dès que l'occasion se présentera. En soit après ce qui a été dit, nous ne savons pas davantage de chose l'un sur l'autre, si ce n'est nos motivations ainsi que nos capacités respectives. Et je pense que vous comprenez que je tienne à rester à garder mon jardin secret. Cependant... Je fis glisser mon verre le long du bar qui s'arrêta à hauteur de la main colossal du géant qui referma ses doigts dessus. Il n'est pas nécessaire d'en apprendre davantage pour nous apprivoiser. Vous pouvez être certain que je m'en tiendrais à ce que j'ai dis jusqu'à présent. Pas de cheffe, Taki en récompense si tout venait à se passer comme prévu et surtout une confiance mutuel du moment que cette dernière reste réciproque.

Toujours fut-il que ses dernières paroles m'apportèrent une certaine satisfaction et je ne me fis pas prier pour laissai paraître ce petit sourire en coin au bord de mes lèvres, desquelles pendaient encore ma cigarette. Je tirais quelques lattes avant d'envoyer la fumée vers le plafond.

-Voilà ce que j'aime entendre. Le côté pro vous sied bien également vos savez ?

Simple plaisanterie qui, je l'espérai l'inciterai à continuer dans ce sens, même si au fond je me doutai que cela ne se passerait pas ainsi.

-Je suis actuellement en train de rassembler les derniers membres de notre groupe. D'ici deux semaines j'organiserai un petite réunion afin de vous donner les détails du projet. Si vous pouviez être encore en ville, je vous contacterai directement le moment venu. J'espère que vous n'avez rien contre le travail d'équipe...

Écrasant mon mégot dans le cendrier sans même un regard pour ce dernier je me relevai de mon tabouret pour commencer à emprunter la direction de la sortie.

-Vous semblez attacher de l'importance à l'équité, la confiance, mais également à tout ce qui attrait à la guerre. Dans ce cas aidez-moi à foutre un bordel monumental au sein de l'Empire et je puis vous assurer que nous nous entendrons à merveille. Lançais-en lui adressant un dernier regard complice avant de partir.