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 On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa)

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Suna
Meïka A. Oniri
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Message(#) Sujet: On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa) On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa) EmptyVen 11 Mar 2016 - 12:48

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-Où est Tenbatsu Kurasa ?!
-Je.. Je n’en sais rien…
-Mauvaise réponse...

J’attrapais la tête de cet errant, tout juste au niveau d’un genin, et allait la lui fracasser violemment contre la rambarde de l’escalier. Il eut une belle éclaboussure de sang, une dent perdue et un râle guttural des plus profonds. Toujours en le tenant par les cheveux je tirais sa tête en arrière pour le ramener à la hauteur de mon visage qui, contrairement au sien, était en parfait état.

-Bien… Dans ce cas tu vas me dire qui peut m’indiquer où le trouver. Sinon…

Je posai lentement la paume de sa main de sorte à lui faire intiment comprendre que, sous couvert de négation, sa prochaine réponse risquait d’envoyer sa face de lépreux s’encastrer directement dans le décor de cet immeuble miteux. Ce n’était pas vraiment de ma faute. Il l’avait cherché…

Quelques jours plutôt j’avais reçu un message du courtier du Johoukokan me disant qu’un homme pourrait convenir à mon affaire. Seulement ce dernier était injoignable depuis quelque temps et tout aussi difficile à trouver. J’avais pour seule information son nom, mais selon le dit courtier il s’agissait du candidat rêvé pour mon projet. N’ayant d’autres affaires que d’attendre la venue de nouveaux intéressés par mon entreprise j’avais pris l’initiative de partir à la recherche de ce fameux Kurasa. Ma première investigation m’avait menu jusqu’à un certain Sanjihorono. Un punk pouilleux prétendu informateur et trafiquant vivant dans un appartenant tout aussi pouilleux aux cinquièmes étages d’un immeuble. J’avais gentiment toqué à sa porte avant de lui poser quelques questions. Il m’avait gentiment traité de pute ce qui nous ramenait à la situation présente. A savoir s’il était possible t’imprégner suffisamment sa face de rat dans chaque surface de cet escalier de sorte à dessiner une figure d’art contemporaine.

-Heu… Demandez à Takayuri… On… On le surnomme le Rock… Vous… vous le trouverez facilement à trois pâtés d’immeuble d’ici. Dernier étage… Il connait un paquet de monde chez les nukenin…

Un sourire espiègle se dessina sur mes lèvres.

-Tu vois quand tu veux… Maintenant avant de partir tu vas t’excuser pour m’avoir insulté tout à l’heure.
-Heu… heu… Désolé ?
-Désolé qui ?
-Désolé… heu… Madame ?
-Voilà un garçon bien élevé…

Je le saisissais par le col et l’envoyai valser dans les escaliers pour s’écraser tête la première contre la dernière marche. Sans plus attendre je me dirigeais vers le lieu indiqué.

___________________________

-Quelque chose à dire pour marquer le coup ? Dis-je avec une certaine lassitude tout en retirant le canon de mon arme de sa bouche.

L’homme surnommé le Rock, était suspendu la tête en bas tout emmailloté à une corde accroché au plafond. Son visage portait la trace de nombreux hématome et mes gants étaient couverts de sang. Pour la peine il n’était pas nécessaire de résumer pourquoi nous en étions arrivés là.

Le Rock passa sa langue sur l’intérieur de sa joue avant de cracher sur le sol. La poudre n’était visiblement pas à son goût.

-Non, là y’a rien qui me vient…

Le ton de sa voix était étonnamment détaché malgré tout ce qu’il s’était pris dans la figure en plus de la situation délicate dans laquelle il se trouvait. Cette histoire commençait à me faire perdre patience d’autant plus que je sentais la présence d’un individu ayant une source de chakra assez conséquente trainer dans l’immeuble. Je n’étais pas là pour fracasser tous les rebus de cette maudite cité.

-Dernière chance… Où est Tenbatsu Kurasa ?
-Derrière-vous.

La source de chakra s’était effectivement arrêtée sur le seuil de la porte encore ouverte. Je découvrais mon homme conformément à la description que m’avait fait le courtier. J’étirais alors un grand sourire pincé à son encontre.

-Tenbatsu Kurasa… à la bonne heure… Vous savez vous faire désirer mon cher…

De son côté le Rock, toujours suspendu la tête en bas, essayai de se balancer pour mieux apercevoir le nouvel arrivant.

-Hey Kurasa !! S’te plait ! Je suis légèrement dans la merde comme tu vois. Cette gonzesse elle est complètement tarée. Tu veux bien me la descendre ?

Sitôt dit si tôt fait, j’envoyais un violent coup de coude dans le ventre du beau parleur qui se tut dans un soupire étouffé. Je réalisai alors à quel point j’étais sur les nerfs comme quoi combiner des amphétamines à une surdose de café n’était définitivement pas une bonne idée. N’importe quel médecin se serait vrillé les tympans en tentant d’écouter mon rythme cardiaque. Pour autant cela ne m’empêcha pas de me comporter de façon plus « amical » avec mon hôte.

-Voyons… Il serait mal venu de s’en prendre à une dame sans écouter ce qu’elle a à vous dire n’est-ce pas ? Aux premiers abords laissez-moi me présenter. Je suis Saibogu Red et je suis plus que ravis de faire votre connaissance.

Le Rock tenta de lâcher un semblant de parole, mais un raclement de gorge bien distinct de ma part lui intima de en pas aller plus loin au risque pour lui de finir défenestré.

-Je suis depuis peu à votre recherche car ayant ouïe dire que vous êtes un individu n’appréciant guère le système actuel. Et par la plus heureuse des coïncidences tel est mon cas également. Pour faire simple je suis en ce moment même en train de recruter des collaborateurs via les coursiers du Johoukokan pour mener une petite investigation à l’encontre du Shukai qui se résumerait purement et simplement à son anéantissement. Bien évidemment cela ne se fera pas en un seul jour, mais mon instinct me dit que vous pourriez y trouver votre intérêt.

Je laissai planer un instant de silence pour lui permettre de méditer sur cette proposition. Dans le même temps j’en profitais pour l’aviser plus en détail. Cheveux noirs, yeux rouges, peau pâles. Plutôt séduisant pour un criminel bien qu’il me faisait énormément penser à un Ketsueki de par ses traits.

-Bien entendue je suis prête à verser le prix du moment que vous me faites part du votre. Mais si vous êtes intéressé. Pourquoi n’irions-nous pas en discuter dans un lieu plus adéquat. Ne vous inquiétez pas pour votre ami Rocky. Je suis sûr qu’il saura se débrouiller comme un grand.

Ce faisant je pointai le canon de mon arme sur la corde puis pressai sur la détente. La détonation retenti dans un bruit sourd et l’informateur s’écrasa sur le sol, toujours ligoté.
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Message(#) Sujet: Re: On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa) On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa) EmptyDim 13 Mar 2016 - 0:20

Des bruits de pas résonnaient à travers cet immeuble devenu inhabituellement silencieux. Un homme continuait de monter les escaliers inlassablement, laissant seul le bruit de ses pas lents et lourds, ainsi que sa grande quantité de chakra signalé sa présence. L’énigmatique personnage traversait les étages, passant à côté de nombreux corps ensanglanté qui trouvait encore l’énergie pour gémir de douleur. Alors qu’il arrivait proche de l’appartement occupé par celui qui se faisait appeler le « Rock », une de ces bêtes blessées utilisa ses dernières forces pour saisir la jambe du ninja. Peut-être voulait-il l’empêcher d’avancer ? Ou alors, comme le témoignait le fait qu’il essayait difficilement d’ouvrir la bouche, voulait-il prévenir le shinobi de la puissance dont bénéficiait leur assaillant ? Quoi qu’il en soit, son regard se pétrifia et ses yeux s’écarquillèrent de peur sitôt qu’il remonta jusqu’aux iris sanglants du déserteur…

Son emprise se relâcha alors doucement, sans même que le Nukenin recherché n’ait eu à sortir un son. Ce dernier n’avait pas besoin de mise en garde, ni de protection. Les informations ont tendance à rapidement défiler au sein de la mégalopole et l’ancien membre du Youhei no Sekai était parvenu à avoir la mainmise sur quelques-unes d’entre elles. C’est pourquoi il n’était pas surpris par le carnage qui l’entourait, c’était à prévoir. Ce n’était pas tout, sa présence en ces lieux était, elle non plus, pas dû au hasard…
Les échos d’une personne le recherchant étaient rapidement arrivés jusqu’à ses oreilles et le messager, entre deux crachats de sang, dévoila également qui était le prochain sur la liste. Il ordonna alors à ses « pions » de mettre en place un plan afin d’être mis au courant dès que l’assaillant se mettrait en mouvement. L’objectif de cette manœuvre ? Établir virtuellement un rapport de force entre les deux personnes afin de ne plus être celui qui était ciblé, mais plutôt celui qui ciblait ! Le voilà maintenant arrivé au seuil de la porte, observant la dernière scène de ce spectacle sanglant…

Tenbatsu Kurasa était apparu derrière la mystérieuse femme aux cheveux rouges, sans dire un mot, sans même essayer d’arrêter les actes violents de celle-ci envers Takayuri. Pourquoi le ferait-il d’ailleurs ? Il n’en avait que faire de ces quelques misérables individus qui prétendent avoir du pouvoir ou de l’influence dans le monde obscur et silencieux de la mafia. Face à des ninjas, ils n’étaient rien. Sans compter le fait que ce genre de manifestations brutal rentrait en total accord avec l’idéologie que prônait le déserteur à chaque seconde de sa vie. Un nindô qui constituait sa manière de vivre et sa principale source de puissance…
L’ancien Kirijin se contenta d’observer, avec ce regard toujours aussi féroce, attendant les explications de la kunoichi. Ignorant, par la même, les paroles du « Rock ». Ainsi, toute une flopée d’informations toutes aussi surprenante les unes que les autres commençaient à affluer. Il s’était trompé sur toute la ligne en se croyant pris pour cible !

Le Tenbatsu baissa légèrement son visage et ferma les yeux l’espace d’une seconde. Lorsqu’il les rouvrit, le chakra qu’il laissait se dégager depuis son entrée dans l’immeuble se déploya d’une seule traite ! Son regard était fixé dans ceux de Takayuri qui se figea immédiatement de peur. Cet insecte était à présent sous l’emprise d’un Genjutsu qui lui avait laissé entrevoir pendant quelques fractions de secondes la pire des morts qu’il puisse vivre. Aussitôt fait, Kurasa commença à marcher en sa direction, prolongeant le profond mutisme dans lequel il s’était plongé. Il dégaina son katana, qui produit un bruit strident de lame aiguisée. Le voilà maintenant qu’il dépassait la rousse. Celui que l’on surnommait le ninja masqué arriva enfin devant le Rock. Toujours silencieux, il lui planta lentement, presque avec délicatesse, son sabre en plein milieu du cœur. Le regardant de haut, ses yeux remplis de froideur fixaient ceux de sa victime. L’incompréhension couplée à de la frayeur sera la dernière expression qui marquera le visage de ce pion inutile…

« Je ne suis ni à ton service, ni ton camarade. Tu aurais dû apprendre où est ta place… »

Le corps du cadavre gisait à présent sur le sol. Puis, Kurasa secoua d’un coup sec son arme pour y retirer un maximum de sang avant de la rengainer. Il pouvait maintenant s’atteler au plus important, la proposition de la kunoichi. Le Tenbatsu se retourna pour de nouveau faire face à celle qui se présentait comme étant une Saibogu…

« Saibogu Red hm ? Le Johoukokan fait une sélection très stricte parmi ses collaborateurs et est digne de confiance avec ceux qui sont sérieux, alors j’imagine que s’ils ont accepté de te donner des informations à mon sujet, c’est qu’ils voient un potentiel de réussite dans ton entreprise.

Ce que tu as entendu sur moi n’est pas dénué de vérité, je souhaite la destruction du système shinobi ! Alors l’anéantissement du Shukai ne peut que m’intéresser. Cependant, je ne suis pas prêt à accepter un marché aveuglément. C’est la deuxième fois que l’on vient me faire une telle proposition.

La première fois à résultée en un travail inachevé et à la mort de mon partenaire. Aujourd'hui, le Shozaichi est en grande partie détruit et c’est là, la conséquence de cette première tentative. Mais, les troupes de Samui Kakeshuou sont déjà en train de réparer les dégâts. Enfin, si tu t’intéresses à l’élimination de l’Empire, alors tu dois déjà être au courant de sa situation. Alors dis-moi Saibogu Red. Pourquoi je devrais te faire confiance ? Qu’est-ce qui me garantis que cette fois, le Shukai sera rasé de la carte pour de bon ? »


Quoi qu’il en soit, Kurasa ne semblait pas prêt à quitter cet endroit tant qu’il n’aura pas un minimum confiance en son interlocutrice…
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Suna
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Message(#) Sujet: Re: On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa) On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa) EmptyVen 18 Mar 2016 - 0:03

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L'atmosphère changea soudainement lorsqu'il rouvrit les yeux. Mes sens en éveil analysèrent les fluctuations du chakra dans le corps des deux protagonistes. Je compris aussitôt que le nouvel arrivant avait enfermé mon martyre dans une illusion. C'était donc ainsi qu'il fonctionnait. Voilà qui était plutôt intéressant en même temps que terriblement redoutable. Les utilisateurs de Genjutsu n'étaient pas à prendre à la légère ce qui signifiait que cet homme pouvait autant se présenter comme un allié de taille qu'un ennemi à craindre. Pour autant je restai impassible devant se constat. Me contentant d'adopter la mesure anti-genjutsu que j'avais mise au point. Aussi malaxais-je mon chakra dans mon cerveau et se sans composer le moindre mudra. Quelques neurotransmetteurs entrèrent en état stase, attendant patiemment de se remettre en marche lorsque je l'aurai décidé. Suite à quoi je me contentai de suivre la scène sans le regarder.

Le Nukenin enfonça lentement sa lame dans le corps du Rock qui, a partir de cet instant, serait énoncé au passé. Cela me permis de savoir quel genre d'individu j'avais face à moi. Du sadisme couplé à une forte antipathie. Il n'avait eu strictement aucune raison de tuer cet homme, pourtant il l'avait fait. Décidément ce Kurasa ne tirait pas uniquement son apparence des Ketsueki. Par ailleurs, je commençai à avoir un sérieux doutes quant à ses origines. Venait-il vraiment de Kiri ? Toujours fut-il qu'une fois son travail achevé le Nukenin daigna reporter son attention sur moi. A chacun son sens des priorités en sommes, ce qui ne l'empêcha pas de se montrer direct en annonçant tout ce qui devait être dit de but en blanc et ce en une seule tirade. Décidément cet homme me plaisait de plus en plus.

-Vous pouvez avoir confiance en moi car nous avons tous les deux les mêmes ambitions et un objectif commun ; à savoir annihiler l'empire. Quant à ma méthode pour y parvenir et bien... Disons que je compte directement attaquer ses points faibles. Une armée entière n'en viendrait pas à bout, comme vous avez pu le constater il suffit d'un minimum de moyen et de beaucoup d'organisation pour causer un maximum de dégât. Je suis actuellement en train de former un groupuscule avec cette perspective.

Les noms s'accumulaient sur la liste et mes chances de succès continueraient de croître avec. Je n'avais qu'à leur convaincre de la bonne tenue de mon projet. La soif de sang et de carnage ferait le reste du travail. Ce faisant j'adressai un regard vide au Nukenin avant de reporter mon attention vers la porte d'entrée que j'allais fermer sans pour autant interrompre mon discours.

-Je ne peux vous en dire davantage avant de mettre assurée de votre totale dévotion pour cette cause. Mais sachez que je cherche à étouffer l'empire tout en le faisant brûler à petit feu. Ses fondations sont fragiles et il est possible de faire en sorte que toute la structure s'effondre sur elle-même. Je suis également en contact avec des membres de la rebellions. En groupe de dissident Shukajin sévissant au sein même de l'empire. Je compte en outre me servir d'eux pour parvenir à nos fins.

La porte se referma avec fracas suite à un coup de pied habile. Je m'adossai alors contre cette dernière sans pour autant réussir à me décontracter, comprenant que j'avais fortement intérêt à mieux gérer le dosage de mes drogues. J'étais néanmoins satisfaite de constater que cela me permettait, dans une certaine mesure, d'être capable de contrôler mes pouvoirs d'Akuma. Aussi mes yeux inexpressifs se tournèrent de nouveau en direction du dénommé Kurasa.

-Navrée. Je préfère éviter que nous soyons déranger. Il y a encore beaucoup de monde dans cet immeuble et vu le désordre causé je me doute bien que d'autres ne vont pas tarder à rappliquer. Pour ce qui est du reste du plan, je vous en dirais davantage si vous acceptez de me rejoindre. Je possède également les financement nécessaires à la mise en œuvre de ce projet, bien que je devine que l'argent ne fasse pas parti de vos priorités.

Mon index s'interposa devant mes lèvres pourfendues d'un sourire complice adressé à son encontre. Aussitôt j'allais le rejoindre vers le centre de ce dépotoir qui jadis servait d'appartement au Rock. Paie à son âme, moi qui jugeai ce pnj fort sympathique. Arrivée devant le Nukenin je levais le regard vers-lui. Ce dernier était facilement plus grand d'une tête.

-Alors que décidez-vous Tenbatsu Kurasa ? Serez-vous prêt à me suivre dans ce projet ? Soyez certain que je saurais accomplir ce que d'autres n'ont jamais accomplis avant moi. Mais également que je ne pourrais y parvenir seule. Hors vous me semblez être quelqu'un de parfaitement apte pour ce travail. Dans le pire des cas je ne vous empêcherai pas de partir de votre côté, cependant je puis vous assurez... Je me levai sur la pointe des pieds pour lui murmurer à l'oreille sur le ton de la confidence. Qu'une fois la machine lancée vous n'aurez aucune envie de revenir en arrière. Je vous promet monde et carnage. Ce foutu système tombera, quoi qu'il en coûte...

Je m'écartai alors lentement depuis, penchant lentement la tête sur le côté comme pour le dévisager quand bien même mes yeux ne voyaient rien. J'ignorai si cela était dû à toutes ces substances qui circulaient dans mes veines, mais je me sentais d'humeur folle ce soir.
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Message(#) Sujet: Re: On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa) On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa) EmptyDim 20 Mar 2016 - 15:35

Le Tenbatsu venait de terminer son monologue en interrogeant de façon assez directe sa mystérieuse interlocutrice. Cette dernière, qui ne semblait pas le moins du monde perturbée par l’exécution de Takayuri, ne tarda pas à lui répondre en ôtant quelque peu le voile autour de son plan d’action visant à faire chuter l’Empire ! Cette conversation rappelait étrangement à l’ancien ninja de Kiri celle qu’il avait eut avec Daisanji et qui s’était également déroulée au sein de la Mégalopole. Tous deux tenaient la même promesse au Nukenin, à savoir accomplir ce que nulle autre n’a été en mesure de faire dans le monde shinobi : faire tomber le jouet de Samui Kakeshuou ! Ce serait mentir que de dire qu’un tel discours ne chatouillait pas les oreilles de celui qui visait le système dans son ensemble. Surtout que le Shukai pouvait se targuer d’être la plus grande puissance à l’heure actuelle, grâce à ses nombreuses conquêtes, alors éliminer un tel obstacle permettrait à Kurasa de faire d’une pierre deux coups…

Premièrement, il ferait un grand pas dans l’entreprise de sa propre ambition, mais cela lui permettrait également de libérer Mizu de sa mise sous tutelle, créant alors une brèche pour en avoir la mainmise. Si le plan de la belle jeune femme fonctionnait, l’ancien mercenaire ne pouvait qu’en sortir en grand vainqueur ! Alors qu’elles étaient les principales différences avec ce qui lui avait été proposé par la fausse identité du Godaime Raikage, Seki Zennosuke ? Tout d’abord, le style de l’assaut ! Celui-ci semblait s’éloigner de l’idée de foncer sur le Shozaichi avec l’idée de tout faire exploser d’un coup. Deuxièmement, l’effectif qui allait s’atteler à cette énorme tâche devrait être bien plus conséquent que la dernière fois, Red lui ayant indiqué qu’elle tentait en ce moment de rassembler un véritable groupuscule. Voilà les seules bribes d’informations que l’envoyée du Johoukokan était prête à livrer. Néanmoins, ceux-ci se montraient intéressants, voir tentant ! Ce n’était pas fini…

Voilà qu’il apprenait l’existence d’un groupe de rebelles au sein même de l’Empire ! Si cela était vrai, pourquoi ne profitent-ils pas de la fragilité que connaissait leur village depuis des jours pour en renverser le pouvoir ?! C’est une occasion rêvée ! Au lieu de ça, peut-être que quelques-uns d’entre eux étaient lamentablement en train de participer aux opérations de rénovations et à la mise en place d’un perfectionnement de leur système de défense ! Néanmoins, Red avait raison. Si leur rébellion était née d’une réelle conviction et n’était pas de la poudre aux yeux, il serait plus qu’intéressant de s’en servir. Demeurant silencieux, Kurasa continua d’observer la Saibogu, qui après avoir brusquement fermé la porte d’un violent coup de pied vint jusqu’à lui. Son long monologue se termina par un doux murmure à l’oreille du Tenbatsu. La balle était maintenant clairement dans le camp de ce dernier.
L’ancien ninja de Kiri plongea quelques instants son regard dans celui de son interlocutrice. Ses yeux d’un rouge sanglant fixaient ceux de Red, comme s’il tentait de desceller quelle personne elle était et ce qui la poussait à entreprendre un projet aussi destructeur. Finalement, il prit la parole…

« Personne ne viendra nous déranger. Si je suis apparu devant toi, c’est parce que nous savions que tu me cherchais et que ta prochaine cible était le Rock. Ces insectes n’étaient là que pour me prévenir de ton arrivée et te transformer en cible, mais nous nous trompions dans tes intentions. »

Puis, le Nukenin s’éloigna un peu de la kunoichi, se permettant même de ne plus lui faire face. Il enjamba sans distinction sa récente victime et se dirigea vers la fenêtre sans dire un mot de plus. Sa vue se portait maintenant sur l’extérieur semblait s’être plongé dans une petite réflexion. L’heure du choix était imminente. Cependant, en se repassant toutes les informations qu’il venait de recevoir, c’était comme si sa décision était déjà prise tant les raisons étaient suffisamment nombreuses pour donner une suite favorable à cette alléchante proposition. Qu’il en soit ainsi. Son visage se retourna légèrement pour avoir en vue la jeune femme…

« Bien, Saibogu Red. J’accepte de participer à ce qui amènera la chute de l’Empire et de Samui Kakeshuou !

Frapper aux bons endroits ne sera pas suffisant, il faut avoir suffisamment de personnes pour le faire. Je suis capable de convaincre trois ninjas de participer à cette attaque. Tous sont dignes de confiance et n’ont plus à faire preuve de leur talent. Quant à leur intérêt de se lancer dans un tel projet, il n’y a pas de quoi s’inquiéter.

Ozaï, le premier d’entre eux, est un mercenaire et avant tout un de mes plus vieux partenaires. Il aspire à la domination du monde et à perpétué le but de l’organisation à laquelle il appartient. À savoir, continuer le mercenariat et gagner des fonds.
Aedran est le deuxième. Il n’est autre que le frère du Shodaime Mizukage, Samui Mahan. Il m’a rejoint il y a quelques mois seulement et faisait partie du groupe qui a frappé le Shozaichi il y a quelques semaines. Pour l’heure, il ne cherche qu’à devenir plus fort en exprimant sa violence comme il l’entend.
Enfin, Milly, la cheffe du clan Kaguya. Ce n’est pas à proprement parlé une de mes alliées. Cependant, elle ne pourrait que trouver des intérêts à détruire l’Empire pour libérer Mizu et le futur village de Kiri de son emprise. »


L’ancien Kirijin avait omis de manière intentionnelle son jeune médecin, Sana Kiseki, et ce, pour plusieurs raisons. La première d’entre elles étant son appartenance au Shukai. Certes, cela pouvait s’avérer au contraire être un immense avantage pour le groupe en passe de se former, mais les retrouvailles venait tout juste de s’effectuer et la confiance était plus difficile à se maintenir qu’avec Ozaï. De plus, une deuxième raison rentrait en jeu. Le petit binoclard avait pour projet d’aller, en compagnie du Tenbatsu, à Nami no kuni pour résoudre un mystère concernant l’apparition en tant qu’esprit de ses parents. Il ne savait pas encore que ce qu’il allait découvrir dans son pays natal n’était rien d’autre que les cadavres de monsieur et madame Kiseki. Des vies dont le déserteur s’était lui-même chargé de retirer ! Alors qui sait comment l’adolescent allait réagir ? Il était donc préférable de l’écarter…
Visiblement pas capable de tenir en place, Kurasa se retourna de nouveau vers Saibogu Red. Son monologue allait bientôt trouver sa fin et avec elle, il espérait, un accord entre les deux partis.

« Quant à moi… Ton intuition ne te trompe pas, l’argent ne m’intéresse pas. En revanche, j’aimerais en retour que tu m’aides aussi dans l’accomplissement d’un contrat donné par le Johoukokan…

Celui de renverser le Patriarche et prendre le contrôle de Ta no Kuni. »


Dernière édition par Tenbatsu Kurasa le Ven 25 Mar 2016 - 14:54, édité 1 fois
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Suna
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Message(#) Sujet: Re: On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa) On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa) EmptyJeu 24 Mar 2016 - 21:17

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Pour ne rien changer ce Tenbatsu Kurasa ne prenait guère la peine de s'éparpiller sur plusieurs chemins. Se contentant d'aller directement aux faits. Sa réaction était claire et concise et plus que tout, elle était positive. Dans un sens j'étais moi-même surprise d'être parvenue à le convaincre si facilement. Auquel cas je n'allais pas m'en plaindre. Et au comble de la providence, le Nukenin était tout disposé à me fournir trois alliés de choix pour participer à notre entreprise. C'était parfait. Plus on était de fou et plus et plus il y aurait de mort. Cependant, un des noms de sa liste tinta dans mon oreille avec une étonnante familiarité.

-Kaguya Milly dites-vous....

J'avais peine à le croire, mais elle se révélait effectivement être la cheffe de son clan, comme elle l'avait prétendu lors de notre dernière rencontre. Ce que je savais d'elle étant qu'elle ne méritait pas son titre en plus d'être particulièrement influençable. Il serait donc aisé de l'exploiter selon mes intérêts. La question était donc de savoir jusqu'à quel point cette petite cruche innocente pourrait-elle nous servir.

-Compter une cheffe de clan parmi nos rangs pourrait effectivement se révéler salutaire. Mizu fait également parti de mes objectifs sur le long terme. Quoi qu'il en soit vos propositions sont intéressantes, mais avant toute chose j'aimerais pouvoir rencontrer vos compagnons et notamment cette fameuse Kaguya.

Sous cette nouvelle identité elle ne risquait certainement pas de me reconnaître, d'autant plus que les traits de mon visage s'éloignaient progressivement de ceux de l'Oniri originel au fur et à mesure que j'apprenais à maîtriser cette faculté de métamorphoses. Mon corps avait beau faiblir de plus en plus, ma volonté demeurait intact. Et je comptais bien mettre tout en œuvre pour maintenir Kaze éloigné de toute menace quitte à mettre le restant du continent à feu et à sang.

De son côté le Nukenin allait et venait dans la salle tandis que je le suivais du regard. Ce dernier me fit comprendre que ses services ne seraient pas gratuit. Éradiquer l'influence du Patriarche à Ta no Kuni ? Qu'est-ce qu'il ne fallait pas attendre...

-Chaque chose en sont temps. Ce sera un donné pour un rendu. Je vous aiderais soyez en certain. Mais avant cela, vous devriez passer par le missionnaire du Johoukokan qui, en retour, m'informera des tenants et aboutissants de ce projet.

Je souriais de nouveau, la tête légèrement penchée de côté, continuant de le suivre du regard. Après quoi je remettais en marche mes terminaisons nerveuses afin de retrouver la vue. Être aveugle préservait efficacement des genjutsu, mais ce n'était vraiment pas pratique... Je pus alors voir que la nuit était toujours aussi pleine. Au travers des quelques rares fenêtres qui délimitait les ouvertures de cet appartement miteux, était visible les multitudes de lumières parsemant les building en face. Cela n'avait plus rien avoir avec le désert. Ici le sable avait laissé place au béton et les hommes non plus n'étaient pas les mêmes, car imprégnés de la même souillure qui gangrenait cette citée. Et comme pour mieux admirer cette folle perfidie, j'imitais mon compatriote pour aviser le décor extérieur en contre-bas. Alors que le silence venait d'être posé, que les murmures de la cité se faisaient entendre au loin, je brisais un nouvelle fois se semblant de sérénité au milieu de l'obscurité en m'exclamant.

-Soit ! Si cela vous convient, nous pourrions prendre rendez-vous avec vos compagnons dans la nuit de demain sur les coups d'une heure du matin. Retrouvez-moi au sommet de cet immeuble.

Mon index vint se poser sur la vitre crasseuse pour désigner ce building qui était certainement un des plus hauts de toute la mégalopole. Cette pôle position nous assurerait une certaine intimité notamment à l'attention des oreilles indiscrète.

-Si cela vous va nous ferons ainsi. A présent si vous permettez...

Cela fait je me dirigeais de nouveau vers la sortie pour cette fois-ci littéralement démanteler la porte fermée d'un coup de pied bien placé. Franchissant le seuil je me tournais une dernière fois vers le Nukenin.

-Ravis d'avoir fait votre connaissance Tenbatsu Kurasa. Je ne puis hélas m'attarder en votre compagnie. Détruire un Empire ne se fait pas en un jour et j'ai encore énormément de chose à mettre en place. Toujours est-il que je suis satisfaite de pouvoir vous considérer comme un allié. Sur ce...

Je joignais mes doigts sur ma tempe avant de les envoyer fouetter l'air en guise de salut. Dans la seconde qui suivit je disparu. Ne laissant plus aucune trace, tant par le chakra que part ma présence. C'était comme si je m'étais littéralement volatilisée, ne laissant dans mon sillage que cet immeuble retourné où pullulaient d'innombrables corps inertes maculés de sang.
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Message(#) Sujet: Re: On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa) On aime ceux qui nous font du mal (Kurasa) EmptySam 26 Mar 2016 - 0:35

Le Nukenin écoutait attentivement chaque mot qui sortait de la bouche de son interlocutrice. Les deux ninjas ne se connaissaient que depuis quelques minutes et ne devaient vraisemblablement pas encore se faire pleinement confiance. Chaque réplique se révélait alors déterminante pour conclure à un accord dès maintenant, et ce, bien qu’ils semblaient tout deux prêt à coopérer pour mener à bien ce projet supposé amener la chute du Shukai ! D’ailleurs, les premiers mots intrigants venaient d’être soufflés par Red lorsque que celle-ci réagit à la possible présence de Kaguya Milly dans le groupe. Elle estimait la présence d’une cheffe de clan comme étant salutaire, mais jusqu’à présent, Kurasa n’avait jamais été témoin d’un quelconque caractère de leader de la part de sa camarade native de Mizu. Était-elle réellement la dirigeante de cet illustre clan ? Qu’en était-il des troupes qui le composent ? Cela, même le Tenbatsu n’en avait pas encore eut les réponses, ni même un semblant de démonstration. Cependant, il faisait pour l’instant mine de la croire sur parole…

De toute manière, ce n’était que la suite des propos tenus par la Saibogu qui attisa sa curiosité, voir sa méfiance, lorsque que celle-ci dévoila que Mizu no kuni faisait partie de son projet sur le long terme. Cela ajoutait une dimension bien plus mondialisée aux objectifs mystérieux que menait la kunoichi. Là où le problème pouvait résider était que l’ancien ninja de Kiri avait également un œil sur ce pays. Dès lors, deux cas de figure pouvaient se voir réaliser. Soit cela était une aubaine pour les deux Nukenins qui allaient trouver un nouveau point d’accord, donc une nouvelle possibilité pour s’allier, soit cela allait se présenter comme le point de discorde qui allait faire naître un conflit entre eux deux. Mais comme l’avait dit la jeune femme à propos du contrat donné par le Johoukokan au Tenbatsu, « chaque chose en son temps ». Justement, qu’allait-elle répondre à cette demande ?

À vrai dire, elle n’y semblait pas franchement hostile, mais voulait avant tout y voir un intérêt pour sa personne. Cela pouvait apparaître comme un cheveu sur la soupe tant le Nukenin aux yeux rouges s’était montré facilement coopératif, néanmoins cette réaction était tout à fait normale. Kurasa réfléchissait exactement de la même façon. Il ne se serait jamais engagé dans un nouvel assaut sur l’Empire dirigé par Samui Kakeshuou s’il ne voyait pas quelque chose à y gagner au bout. Puis le projet visant à détruire le Shukai était tout de même d’une envergure bien plus important que le petit pays de Ta ! Cependant, il ne fallait pas pour autant sous-estimer l’influence et la puissance dont pouvait faire preuve le Patriarche ! Surtout depuis les derniers événements s’étant déroulés à Suna où ce dernier se distingua particulièrement. L’arrogance du natif de Mizu devait alors être contrôlée, sans quoi, il perdrait la vie sans même avoir pu goûter à l’accomplissement de son objectif.

« Tu n’as pas à t’occuper du Johoukokan pour ce qui est du projet me liant à Ta no Kuni. Si le Patriarche tombe, le pays tombera entre mes mains, donc les intérêts que tu pourrais y gagner me sont directement liés. Je t’évoquerai les détails uniquement lorsque le Shukai sera réduit en cendres… »

Avec ces mots, Kurasa voulait continuer de se positionner dans ce rapport de force imaginaire qu’il y avait entre lui et la Saibogu. Il tentait de lui faire comprendre par une attitude sérieuse et un ton ferme qu’ils parlaient d’égal à égal. Elle avait autant besoin de lui, que lui aurait besoin d’elle à l’avenir. Le temps où il acceptait véritablement d’avoir un chef était révolu, cela valait pour la Grande Grue, pour Michiki et pour son interlocutrice du moment. Il avait déjà fait son temps lorsqu’il était Genin de Kiri ou plus récemment quand il appartenait au Youhei no Sekai. Red se présentait pour l’instant comme une collaboratrice, avant de devenir une alliée si jamais leurs objectifs futurs concordaient. Voilà que celle-ci s’avançait aussi vers les fenêtres de cette pièce devenue, à l’image de tout le bâtiment un lieu de crime. Elle ne fit pas non plus attention au corps de ce déchet qu’était Takayuri. Les deux êtres encore debout étaient d’un tout autre niveau que les insectes mafieux qui polluaient cette ville. De son index, elle désigna un des plus hauts bâtiments de la Mégalopole et brisa ces quelques instants de silence…

C’était le prochain lieu de rendez-vous. Un lieu tutoyant les sommets de la cité où elle allait pouvoir rencontrer les camarades du Tenbatsu. Bien que ce dernier se soit montré confiant quant à leur participation, Red ferait une erreur de croire que cela était gagné d’avance. Chacun des alliés de Kurasa avait un caractère bien trempé, leurs propres intérêts et présenterait un personnage à convaincre. Et pour se faire, elle allait devoir se séparer de cette épaisse brume de mystères qui l’entouraient depuis son apparition et qui l’accompagnaient encore en ce moment, alors qu’elle salua une dernière fois son futur acolyte. C’était l’occasion pour lui de prendre une dernière fois la parole avant de la voir disparaître pour de bon...

« Nous te retrouverons là-bas. »


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