Année 11, Automne
Quelques-mois après l'arrivée des Jisetsu au Shukaï
Shozaichi



Ils m'ont abandonnés, sous prétexte qu'être renié par le clan Suzurane ne permet pas de vivre convenablement dans le même village qu'eux. Quel argument grotesque! Le deuil est fait, ils m'ont promis de revenir me rendre visite une fois par mois, et avec des bonbons et des gâteaux. Mais, ça n'excuse qu'à moitié leur abandon. Je vis seul, comme beaucoup d'orphelin, je loue un petit appartement dans le quartier résidentiel des Jisetsu, le tout financé de moitié par le Shukaï, et l'autre par ma famille adoptive. C'est la classe d'habiter en ville, et surtout seul! Mais y a des inconvénients, je suis très jeune, et c'est loin d'être du gâteau de faire son lit, le ménage et tout ce tralala! Croyez-moi. Alors pour éviter de salir ma maison, je passe une grande partie de mon temps dehors, assistant à la construction du quartier, et l'arrivée massive d'autres Jisetsu, jour après jour. Lorsque j'ai pas cour à l'académie je zone, et j'essaye de me faire des amis.

Aujourd'hui, je rien sur mon agenda. Mes leçons sont bouclées, j'ai réussi le contrôle de clonage haut la main, j'ai donc du temps libre, pas à perfectionner l'apprentissage de l'académie puisqu'il est maîtrisé. C'est une journée qui va être consacrée à l'amusement! Hop, je plante un drapeau virtuel de l'amusement, m'habille, et sort dehors sous les coups de midi, là où le soleil est à son zénith et frappe sur ma petite tête. Ce qu'est bien, c'est qu'avec mes parents j'aurais eu le droit à des: Mon chérie, met de la crème! Mais là, j'ai personne sur mon dos, je suis libre, je fais ce que je veux. Vous avez bien entendu, ce que je veux.

J'ai des activités sur mon calepin, la moitié sont barrés d'un trait rouge signifiant: Effectué. Glissant mon doigt sur les activités qui me restent à faire, je réfléchi, quelle activité m'amusera aujourd'hui? J'ai tranché, je vais jeter des ballons d'eaux sur les passants du quartier. À tout les coups ils le prendront bien et voudront me remercier pour la douche! Oui, tout le monde réagit comme ça en année onze, c'est archi à la mode d'être mouillé. Dévalant les marches à toute vitesse je fonce à la boutique de farce-et-attrape du quartier voisin et j'achète un stock important de ballon, avant de revenir ni une ni deux chez moi pour commencer les préparatifs. Des ballons en caoutchoucs, et de l'eau ainsi que des sceaux fournis par l'académie! Je vais pas puiser dans l'argent de poche que me verse le Shukaï et m'exercer au base du fuinjutsu que j'apprend à l'école, c'est une bonne chose. Déballant les ballons, je remplis ceux-ci un à un d'eau avant de les refermer d'un noeud.

Plusieurs-ballons sont prêts, place à la tâche la plus difficile: Rentrer quelques-ballons dans le sceau pour facilement les transporter. C'est une technique de rang D qu'on apprend à l'académie, mon point faible, j'espère réussir. Les yeux fermés, un sceau dans les mains, je visualise le rendu voulu et insère du chakra dans les sceaux pour sceller à l'intérieur trois ballons. L'un réussi, l'autre attire les ballons qui m'éclatent dessus. Trempé, mais déterminé je réitère l'opération qui cette fois un franc succès. Trois sceaux, neuf ballons! Je suis fin prêt, sortons.

Les sceaux dans les poches, une canette de coca que je bois à la paille, marchant dans la rue à la recherche d'un spot idéal pour sniper mes victimes. Après quelques-minutes de marche, je trouve l'emplacement rêvé: Un toit qui donne sur l'avenue. Escaladant un poteau, je finis par réussir à monter sur le toit. Ni une ni deux, j'extrait un premier sceau que j'ouvre pour obtenir son contenue. Un amas de fumée est provoqué par l'invocation, mais les ballons sont bel-et-bien là. Je me penche, et j'aperçois une première victime, un dame en tenue blanche. C'est l'occasion, je m'empare d'un ballon et lui tire en pleine poire! L'éclaboussure arrose même les passants à ses côtés, et l'eau a l'incroyable pouvoir de rendre le blanc transparent, retirant à cette pauvre femme toute intimité.


Petit merdeux, tu vas me le payer! J'en ai marre de toi, même pas deux semaines que t'es là qu'tu fais tes conneries à longueur de journée.


Je reste couché le temps que ça se calme et réapparaît ensuite, cherchant une victime le sourire jusqu'aux oreilles. Bingo, un gars à peine plus âgé que moi à la chevelure rouge.


Yosh, il va prendre tête de tomate.


J'attrape un nouveau ballon, je me stabilise, et je balance au moment propice... Le ballon fuse, le touchera-t'il?

Je suis le temps. L'horloge du monde dont je suis l'aiguille. Je fais parti d'un clan dit reconnu comme des hommes et des femmes capable de contrôler l'incontrôlable. Nous ne sommes pas limité au 24h du monde, mais nous sommes notre propres source du temps. Nous l'utilisons à des fins à rendre la paix sur terre. Je suis Jisetsu Ako, manipulateur de nunchaku, et mes yeux seront apporter la paix dans le monde Shinobi.



Me voila maintenant membre de l'alliance des pays neutres. J'avais élu domicile avec ma famille, qui était encore en vie malgré les problèmes sur l'archipel. La destruction de l'ile avait couté la vie à plein d'ami, d'enfant, et de famille. Quelque chose que personne n'aimerait vivre. A chaque fois que je fermais les yeux pour m'endormir, je revivais tout. Les flammes rouge avec des reflets jaune orangé, comme les flammes de lucifer. L'enfer s'était abattu sur Kiri, détruisant tout, et emportant la chair humaine sur son passage. En plus de voir notre pays, nos amis mourir, on assisté tous impuissant devant l'ampleur des dégâts. Les corps calciné par le feu, mais aussi tuer, tranchant par des lames de fer. Des brigands, ou des révoltés je ne savais pas trop qui avait pu manigancer une chose pareil.

Tout était détruit, l'air était difficile à respirer, la respiration ce faisait en légère suffocation. J'étouffais, même le foulard que j'avais devant ma bouche, ne filtrer plus les particules de fumé provenant des flammes. Je courrais encore et encore, comme me disait mon père, je ne regardais pas derrière moi. Mais devant moi, le spectacle était tout aussi affreux à voir. Des personnes luttant pour leurs vies, essayant d'échapper à leurs destin. Dieu, le destin, peu importe, écrit à l'avance ou non. Je ne me laisserais pas mourir sans rien faire. C'est durant cette nuit la, ou sans nul doute, mes yeux avait réussi à atteindre leurs deuxième stade.

Rien n'avait été prévu ou quoi que ce soit, le choc de voir tout partir en fumer, toute ma vie, et celle de mes parents. Voir les gens perdre leur vie, allonger sur le sol, devant presque marcher sur les cadavres pour pouvoir continuer notre course folle contre le temps. Etrangement, nous en étions sorti rapidement, passant par une petite clairière. Mon père me regardait de façon douteuse. Fixant mes yeux, il venait de voir, que mes pupilles étaient devenu comme l'or.

Mais tout ceci n'était que de l'histoire ancienne, grâce à un membre du clan, qui avait réussi à nous trouver un nouveau foyer. Celui du shukai ou j'avais moi et mes parents élus domicile. Heureux d'être en paix, je pouvais respirer le plein air, vivre tranquillement sans risque. L'alliance était puissance, et comptait de nombreux partisan. Dont à présent, moi !

En me baladant, je pouvais entendre au loin des passants ce plaindre de recevoir des sortes de ballon piégé. Tiens donc, un petit malin voulant s'amuser. Pourquoi pas, les moments de joie son les meilleurs et il fallait les prendre tant qu'on le pouvait. M'avançant alors j'aperçus une femme pas vraiment très heureuse d'après l'expression de son visage et l'état de son tee shirt. Un petit sourire vers la jeune femme, et je continuais ma route vers l'endroit ou l'impact avait eu lieu. Bien entendu, arrivant sur place, je fus touché par un ballon, venant d'un toit. Je n'étais pas vraiment en colère, j'ai moi aussi était enfant, et j'ai fais des bêtises bien sur. Trempais, mais rafraîchissant du moins. J'activais alors le sceau de ma ceinture du pantalon pour libérer du chakra afin de gagner en vitesse. Sans activé mes pupilles, je me lançais vers l'endroit ou le jeune petit voyou devrait être caché.

Sur place, le jeune était allongé face contre terre, histoire de passer en mode furtif. Je me voyais à son age c'était marrant. Me posant fesses sur le rebord du temps, je regardais le jeune homme avec un sourire montrant que je ne lui en voulait pas.

- Bien bien, tu es donc un petit plaisantin toi. Mais ceci est du déjà vu, que dirais tu d'aborder la chose autrement ? de façon plus marrante.

Il l'a prit en pleine face, cette explosion d'eau va lui permettre de mûrir et passer une saison pleine pour finir étendu sur les marchés à faire jouir nos palés. Excepté le miens, c'est pas bon les légumes. À peine la bombe à eau ayant touché sa cible, je me couche pour éviter d'être repéré et pouvoir continuer mon petit jeu. Récupérant les parchemins, j'influe du chakra à l'intérieur et libère trois nouvelles bombes à eau, prêt pour la suite de ce carnage. Du moins, avant qu'un homme apparaît à une vitesse monumental, les pieds face à ma tête. Je regardais ses pompes, pas trop mal, et mal-à-l'aise je remontais le regard petit-à-petit, jugeant sa dégaine, jusqu'à découvrir à qui j'avais à faire!


MINCE, C'EST TÊTE DE TOMATE, JE SUIS FOUTU, UN-DEUX, UN-DEUX, ROGER VOUS ME RECEVEZ!? Je fais face à une victime de mes bêtises, prenez le chien et faîtes vite Roger, l'unité numéro une est en danger.


Restant couché, je l'ignorais toujours, essayant de me faire petit pour qu'il m'oublie. Astucieux vous me direz, je suis un génie de temps moderne. Le génie de l'année onze, ça sera moi! Malgré mon stratagème de génie il se tient toujours devant, un sourire équivalent à celui des requins lorsqu'ils aperçoivent une proie. Je vais pas me laisser impressionner par un légume, nom d'un pirate farfelu barbu mal-vêtu.


Alors tu as le courage de rester debout, malgré mon appel aux autres unités, très bien, très bien.


J'allais bondir en arrière, et engager le combat, avant qu'il ouvre enfin sa bouche.


Un plaisantin? Tu t'adresses à super-Shiro, Super-héros débutant sa carrière depuis seulement deux semaines. Mais va pour une approche plus amusante, et puis toute façon, mon unité ne devrait pas arriver avant un quart-d'heure.


Il venait de s'asseoir avant de prendre la parole me laissant à découvert, aux yeux de tout les passants du dessous. La charmante victime que j'avais arrosé était toujours là, dénudé d'intimité, ses sous-vêtements visible de tous, dû à sa robe blanche transparente à cause de l'eau. On l'entendait d'ici hurler après moi, sous l'oeil charmé des poivrots au bar qui n'avaient d'oeil que pour elle et ses formes dévoilées.


Excusez-moi madame, je suis sincèrement désolé!
Eh, ça suffira pas espèce de délinquant! Je vais appeler la police, on verra qui rira le dernier.
C'est quoi ton idée? On devrait se bouger avant que cette charmante hystérique monte m'en coller une.


Je suis peut-être qu'un mioche, mais la beauté des femmes me subjuguent déjà, j'épouserais toute les femmes avec un minimum de poitrine plus-tard. Ouais-ouais! Mais là n'est pas le sujet, il n'a pas l'air remonté contre moi, voyons ce qu'il a à me proposer.

Je suis le temps. L'horloge du monde dont je suis l'aiguille. Je fais parti d'un clan dit reconnu comme des hommes et des femmes capable de contrôler l'incontrôlable. Nous ne sommes pas limité au 24h du monde, mais nous sommes notre propres source du temps. Nous l'utilisons à des fins à rendre la paix sur terre. Je suis Jisetsu Ako, manipulateur de nunchaku, et mes yeux seront apporter la paix dans le monde Shinobi.



Le jeune garçon face contre terre débité des mots vraiment bizarre. Il parlait de tomate, puis d'un certain Roger. Avec un nom pareil, difficile de croire qu'un enfant pouvait porter un tel nom. Il semblait passer un appel à une unités, accompagné de chien, et de ce fameux Roger. Soit j'avais loupé un épisode, soit j'étais victime de délire. Je ne comprenais pas ou le jeune homme voulait en venir avant qu'il ne ce relève pour me parler. J'étais un peu perdu par rapport au dire du jeune garçon. Il me disait être un super héros, ce nommant lui même Super Shiro. Mais si lui il s'appel Shiro, qui est donc ce Roger la. Je ne cernais pas trop de quoi il me parlais, mais bon, c'était encore qu'un enfant, ce prenant avec une certaine fierté pour un héros.

- Super Shiro ? pourquoi pas. Moi c'est Jisetsu Ako. Je ne suis pas un super héros, mais j'ai quelque chose à te montrer qui pourrait être marrant.

Terminant ma phrase en affichant un petit sourire, mais le sourire qui annonce quelque chose de bien marrant. La femme qui avait repérer le plaisantin commençait à faire une esclandre sur la place. Auparavant, en croisant cette femme en bas, je lui avais touché son épaule, pour lui parler quelque seconde, histoire de comprendre pourquoi elle était dans cette tenu. En touchant son épaule, un sceau était venu prendre forme sur sa peau. Le sceau était une technique de ralentissement, qui d'après mes calcules devrait être une sacré farce rigolote pour notre héros national.

La femme malgré les excuses de l'enfant, ne voulais pas en terminer ainsi. Oh que non, elle menacé même d'appeler la police pour que justice soit rendu. Pour un peu d'eau, il fallait pas en arriver la pour si peu. C'était juste une blague faite par un jeune garçon encore dans une vision de la vie complètement belle. Des supers héros, des dragons, la petite souris, voir même le père le noel. On ne pouvait pas lui en vouloir, alors que la femme elle, le lâchait pas l'affaire. Montant nous rejoindre sur le toit en passant par l'intérieur du bâtiment, elle s'apprêtait à mettre la gifle du siècle. Ou pas. Son bras devenait de plus en plus lent, ses phrases ne voulait plus dire grand chose. Les mouvements de la femme, était comme une sorte de slow motion. Tout au ralenti à mon plus grand des plaisir.

- Alors super Shiro, pas mal hein ? Je pourrais être un super héros moi aussi.

Lui lançais je en le regardant avec un large visage ouvert jusqu'au oreille. La femme ne pouvait plus bouger comme quelqu'un de normal. Les mouvements, complètement ralenti par mon sceau, la femme ne nous causerait plus trop d'ennui. J'attendais de voir la réaction du garçon, avant de continuer notre discussion.

Mes appréhensions ont disparus aussi vite qu'elles sont survenus, il n'est pas là pour me mettre la branlée du siècle, mais plutôt pour s'amuser à mes côtés, contrairement à cette fou furieuse à la culotte. Mais là n'est pas le sujet, le temps qu'elle pointe le bout du nez pour me déculotter, on a le temps de boire un thé et entamer plus en profondeur les présentations. Tête de tomate est chic type, finalement, je m'attendais à quelqu'un qui prend le melon. Vous avez compris le jeu de mot? Tomate, melon, c'est de fruits et des légumes, c'est drôle. T'aimes pas? T'as pas d'humour. Enfin bref, on a un maintenant un nom à coller sur cette tronche de cake, cake à la tomate... Ok, ça vous amuse pas. Il s'appelle Jisetsu Ako, et tout comme moi, il est membre de mon clan, chose banal puisque je me trouve dans le quartier résidentiel des Jisetsu vous me dîtes.


Je m'appelle Shiro, Jisetsu Shiro. Tout comme toi je suis un Jisetsu, ça t'embouche un coin, pas vrai Ako! Un génie de ma crampe partage le même nom que toi, c'est classe. Si c'est marrant, alors montre-moi! Je n'attend que ça, des personnes avec qui m'amuser.


Voyons ce qu'il nous réserve ce p'tit gars, j'ose dire petit gars mais le garçon est âgé de quelques-années de plus que moi, alors dans l'histoire c'est moi le morveux. Mais au moins ce gars est réaliste, il a comprit qu'il n'était pas de la crampe de Shiro, Super-Shiro. Rare sont ceux qui se proclament super-héros sans l'approbation du plus puissant de tous, moi, enfin, un jour ça sera comme ça. Vous qui allez suivre mes aventures, vous comprendrez le pourquoi du comment j'ai les chevilles gonflées. Mais toute ça, c'est pas pour aujourd'hui, madame aux nichons trempées va pas tarder à débarquer me faire la tête au carré. Vous le savez, j'ai beau avoir une maîtrise infime de mon chakra, une femme énervée pourrait briser n'importe quel ninja pour arriver à ses fins, l'un des capitaines du triumvirat ou un genre d'hokage y comprit.

D'ailleurs, pas le temps de continuer à naviguer dans mon esprit qu'elle éclate la porte d'un coup de pied, les manches remontés, un regard métamorphosé comparé à celui de tout-à-l'heure, en bref: Ce n'est plus la même personne, elle qui avant d'être visé était princesse qui se pomponne, maquillé, bien habillé, n'est plus que maintenant une gonzesse au maquillage dégoulinant, les cheveux ébouriffés et les vêtements transparents marqués par le maquillage qui a dégouliné. Je ravalais ma salive une dernière-fois, je reculais jusqu'au muret avant d'affronter la vérité en face, j'ai merdé, les filles c'est vraiment les dernières personnes qu'il faut emmerder. Elle approchait les jambes écartés, se remontant les manches, tel un homme prêt à se bagarrer pour la dernière pinte du bar.


Je vais te botter le cul, morveux! C'était la dernière robe de Yves Saint Mizuki, un grand couturier de Suna.
Comment est-ce que je pou... Fermant les yeux, je n'ai même pas fini ma phrase, préférant serrer les dents pour mieux encaisser le choc.
Alors super Shiro, pas mal hein ? Je pourrais être un super héros moi aussi.
TROP CLASSE, COMMENT TU FAIS!? WOUAH-WOUAH-WOUAH. N'empêche qu'elle bouge toujours, mais au ralentis, je ne devrais pas trop m'attarder ici, viens je vais te montrer quelque-chose.


Ne m'attardant pas sur le tour de passe-passe d'Ako, je m'approcha de la femme presque fixé dans le temps et l'embrassa sur la joue, jouant de mon côté enfant mignon, pour finir par lui hurler en partant.


Encore désolé madame! Sautant sur un autre toit, je vérifie bien qu'Ako ne soit à la traîne et reprend la parôle dans la foulée. Tu sais Ako, tu pourrais devenir un super-héros, mais si tu le deviens, tu deviendras dans la foulée mon rival! Et je ne fais pas de cadeau à mes rivaux.