INFORMATION:

La table venait de bondir, à l’impact du poing refermé de la trentenaire. Le coup était partit dès l’annonce de la mauvaise nouvelle : sa nièce, Kadoria Aoko, pointait absente de son domicile. La sœur de Yoko s’était aussitôt dirigée vers sa frangine. Cela n’était pas habituelle, la jeune fille était genin et était toujours rentrée pour le soir. En la contactant, la direction de Kumo apportait qu’elle était partie en mission, sur une île inconnue, mais qu’on connaissait déjà dangereuse. La veuve cligna des yeux deux fois quand on lui dit qu’une équipe de genin y avait été envoyée. Inquiète pour sa nièce, elle s’emporta en déclarant que les shinobi n’étaient pas de la poudre à canon, après s’être levée puis avoir flanqué la porte. La balafrée n’en revenait pas. Elle était déçue du système, et se sentait trahit par le responsable qui avait autorisé cela : Karasu Tsumei. Néanmoins, elle avait pu collecter qu’une certaine Seki Osore faisait partie de l’expédition suicidaire. Et donc, que le chef du clan Seki, également conseillé de la défense du village des nuages, était désireux de mener une mission sauvetage. C’est tout naturellement que Yoko s’y greffait.

Les échanges de la team étaient dictées par l’efficacité. Il faut dire qu’avec deux Jônin ayant un lien direct avec les disparus, l’angoisse parfumait l’atmosphère et une tension permanente s’en dégageait. Hakushi Mihawk, un autre chef d’une des lignées principales de Kumo, avait rejoint l’équipe pour prêter main forte. Le Seki créa trois dragon de chakra qui permirent au groupe d’avancer, sans se fatiguer et en gagnant du temps ; le vol d’oiseau épargnant bien des imprévus. Une fois sur les côtés les plus proche de l’objectif, un bateau fut prit. Durant tout le trajet, la blonde à la balafre était restée accoudée sur la proue du bateau, le regard porté sur l’horizon infini de bleu. Puis enfin, au loin, une courbe se dessinait, d’une couleur autre. Le conseillé de la défense prit la parole, Yoko acquiesça : une approche discrète était effectivement de mise. Sur le moment, elle ne comprit pas le plan du Seki qui ne s’expliqua pas d’avantage. Une fois à la bonne distance, la trentenaire sauta par-dessus bord et atterrissait sur l’eau, puis enjamba simplement à barque pour y prendre place.

L’initiateur du plan se mit alors à faire et défaire les courants d’eau, augmentant sa domination de l’élément de seconde en seconde et propulsant la barque vers l’ile. Souriante, la Kadoria se réjouissait de faire équipe avec lui. Puis, la vague devint immense et fit regretter la Jônin. L’infiltration de l’archipel devenait démesurée. Yoko lançait un regard perçant de mauvais augures au manipulateur de Suiton, ils s’étaient mal compris. Le moyen tapageur utilisé, certes efficace, les fit gagner plus de temps qu’ils n’espéraient, ignorant les marécages, mais le lourd prix à payer était la surprise. Un mur opaque, menaçant et violet se présentait à eux, le Seki recommandait de n’avoir aucun contact avec. En pleine mission sauvetage, avec des bouts de cadavres et leurs restes exposés sur une île, ayant déjà causé la mort de ninja, ainsi que la disparition de la précédente équipe, il n’en fallait guère plus à Yoko pour se munir de toute la méfiance du monde. La trentenaire aperçut soudainement un élément important. Au sol, là-bas, près de cet étrange mur, des tâches s’étaient éparpillés. Yoko prit appuis pour se dégager de la crête du tsunami et observer l’effet qu’il aurait. Attendant que les remous se calment, la Jônin déclara enfin :

J’ai vu du sang là-bas.

Dit-elle en pointant du doigt le lieu désormais lavé par l’eau. Se mordant la lèvre, elle continua :

C’est peut-être eux… Et donc, quelque chose nous attend.

Finalement, l’approche du conseillé se révélait plus que bonne. Il fallait continuer sur la lancée.

Récapitulatif:

Spoiler:

Une masse, une secousse et le terrain de jeu ravagé, l’ombre maîtresse des lieux ne s’en offusquait pas bizarre, encore les enfants de la foudre ? Oui, mais ces derniers usaient de la puissance de l’eau…

Un ricanement infernal et les griffes de la bête se détachaient de la Seki inconsciente, cette odeur, ce chakra, sur elle qui l’avait senti, l’ombre comme un animal au aguet se penchait pour humer l’air, tous membres frémissaient sous le plaisir et il la sentait venir, il le sentait approcher n’attendant que cela.

Impact.

L’eau contre le mur et ce dernier restait intact, à un point près, celui qui laissait surgir la créature se faufilant à travers l’eau, dans cette dernière, elle était si rapide, que seule une traînée noire était visible longtemps après son passage. La masse liquide se mettait à fumer, non seulement elle chauffait, mais en plus elle vibrait comme se révoltant du contrôle qu’on avait sur elle… Un qui n’excitait plus subitement quand la masse s’effondrait sur les kumojins, mais c’était se leurré que d’imaginer que ça serait le sort unique qui les attendait. Un puissant courant raiton la parcourait et pour couronner le tout, la silhouette noire surgissait de nulle part en plantant ses griffes dans le dos de l’Hakushi…

Résumé:

Informations:

Effectivement, quelque chose les attendait. En observant correctement à travers l’eau, Yoko observait un étrange phénomène. L’imposant mur de chakra impur semblait se déformer. La Jônin y regarda à deux fois pour vérifier s’il ne s’agissait pas tout simplement des remous de l’eau qui provoquait une distorsion de sa vision. Mais la déformation était trop stable, trop immense pour que ce ne soit qu’un simple phénomène aquatique. Puis soudainement, elle distinguait une silhouette noire et rapide qui surgissait du mur. Hasaki en bon stratège, rassembla l’eau puis la fit léviter dans les cieux, au-dessus de leurs têtes. Depuis cette vue, on voyait la sombre créature nager d’une manière que seule elle était enclin a exécuter. La Kadoria se questionnait si ce monstre était à l’ origine de la disparition des genins. Puis, sur l’essence même de la bête. Comprendre pour mieux vaincre. L’ile en contenait peut-être d’autre, car son écosystème est différent de tout ce que les Hommes connaissent d’aujourd’hui. Ou peut-être qu’une personne, voir un Furyou, l’avait appelé tel un Kushiyose. La veuve avait beau retourner la situation dans tous les sens, elle n’arriva qu’à cette unique conclusion :

Partons ! Ce n’est qu’une perte de temps !

La récupération des genin était LA priorité. Un pessimiste dirait qu’au pire les genins ont été mangés par ce phénomène de la nature, tandis qu’un optimiste tenterait sa chance par delà du mur. Chacun avait comprit. Ils largueraient la créature ici, qui ne servait que de diversion, profitant du sillage qu’elle avait laissée pour passer de l’autre côté. Seulement, comme attendu, le monstre s’agitait de plus en plus, et de la fumée provenait de l’eau. Son corps était entouré d’une faible lumière, gardant ainsi son aspect de spectre, mais l’expérience de la trentenaire lui avait permis de détecter un raiton. Et elle n’était pas la seule à percevoir le danger, Hasaki aussi, plus avancé qu’elle dans cette compétence étant senseur. Sous les yeux de Yoko, le chakra bleu de son compagnon donnait naissance à une noble bête, aussi puissante qu’effrayante et mythique : un dragon. La masse d’eau commençait à retomber. Les deux majestueux animaux se heurtèrent, protégeant Mihawk d’un coup sournois. L’ailé cracheur de feu fuyait en piquant. Ils ne devaient pas oublier le sauvetage. La voix du Seki résonnait alors que Yoko s’était déjà saisit d’un kunai qu’elle avait prit soin de marquer.

La créature était à leur poursuite et l’eau était l’élément dans lequel elle pouvait se mouvoir. Elle avait saisit le message. Prenant un peu d’élan vers ses compagnons, elle sauta sans hésiter dans la gueule béante de la légende reptilienne, elle savait que le Seki lui faciliterait la tâche. Une fois ayant suffisamment remonté à contre-sens la création de chakra, elle lança le kunai qu’elle tenait, en activant le sceau. Une sphère de répulsion se créait, d’un côté, retenant l’eau et le monstre des mers, et de l’autre, propulsait le petit groupe de Kumo. La balafrée préparait déjà d’autre kunai marqués pour la suite, sans perdre de vue son adversaire. Mais déjà, ils s’engouffraient dans la faille, alors que l’eau mettrait encore du temps avant de chuter. Dans ce tunnel au cœur du mur, obscur comme les ténèbres, la Kadoria se préparait à tout moment à protéger ses camarades qui étaient prêt à tout pour secourir leurs protégés. Poussé par le hurlement du conseiller, la veuve lâcha doucement plein d’espoir et de détermination :

J’arrive…

Aoko.
Plus personne n’avait le droit d’arracher une personne a qui la blonde tenait. Plus personne.

Récapitulatif:

Spoiler:

Important :

Après vérification avec le staff Technique, vos actions basées sur une anticipation ne sont pas valides. Cf règlement si dessous. Cependant, je ne vais pas vous faire refaire vos posts par logique, mais il serait bien de connaître et suivre les règles. Donc non, non, on oublie l'idée d'en finir aussi simplement.

Rappel sur les anticipations:

Ils l'avaient repoussé, ils avaient osé...
La créature percutait à nouveau son mur, sa propre Matrix, jetée comme si elle n'était rien. Insultants humains Imbus d'eux même... Ils allaient payé leur affront.

La silhouette noire se fondait absorber par le mur de défense que les fous du pays de la foudre tentait de passer comme une simple formalité, toute cette puissance dont elle pouvait user... Oui, elle seule.

Elle les laissait s'approcher de la brèche la traverser sans être inquiété du moins et une fois tous à sa portée, l'offensive qui reprenait, la terre tremblait et un mur remontait pour les empêcher de fuir en arrière, il se recourbait jusqu'à rejoindre le mur... Prisonniers, qu'une seule issue, rentrer? Mais là des pattes aux griffes acérées qui sortaient du mur de ses deux côtés, prêtes à les lapider.

Il fallait leur survivre pour passer, survivre tout court en fait.

Résumé:

Plus personne, plus jamais.

Peur. Le monde autour d’elle s’arrêta. Ses battements de cœur ralentissaient, s’espaçant de plus en plus. Le laps de temps entre chaque coup de tambour, qui résonnait si rarement dans ses entrailles, étaient si long qui lui paraissait semblable à une éternité. Comme une personne s’apprêtant à mourir, une lueur disparut dans les pupilles de la balafrée. Sa peau se tendait, la douleur omniprésente de sa cicatrice s’atténua jusqu’à ne plus rien sentir. Son corps s’endormit. Son esprit devint suractivé. Son cerveau se faisait conquérir par une puissance infinie, universelle, dont pourtant la contenance avait ses limites : la mémoire. Dans les yeux de la Kunoichi, la réalité cédait la place aux images du passé. La voici en l’an 6. Elle se revoyait, encore belle, jeune, au corps et au visage que son compagnon qualifiait de parfait. Tsuku complimentait encore le grain de beauté qu’elle arborait sous son œil gauche, qu’elle avait détesté jusqu’à le rencontrer. Elle se blottissait dans ses bras, ressentant à nouveau sa chaleur et s’embrassèrent amoureusement. La scène se floutait. Elle fissura. Les débris laissaient entrevoir des cendres. A droite, à gauche, partout. Puis ce qui était le sol, se révélait en vérité être un paysage des plus désolants : un champ de cadavre.

Devant elle, son bien aimé, recouvert de poussière qui s’imprégnait de son sang, tandis que la moitié du tronc et des membres étaient calcinés. Sans vie, sans âme, animé uniquement par la froid et la mort. Une douleur. Deux douleurs. Son corps réagissait à son esprit. Le feu entourait désormais la Kadoria de sa suprématie. Elle n’avait jamais vu pareil brasier, si intense en lumière qu’il brûlait les yeux, et si insupportable que même à distance, il léchait la peau avec bien trop de passion qu’il en faisait reculer. Telle était la toute-puissance du bourreau. Son assaut, ravageur, avait d’un trait extirpé l’existence de son amant qui s’était sacrifié, mais qui n’avait pas pu empêcher le feu de parvenir jusqu’à Yoko. La partie droite de son visage fut perdu a jamais. La faucheuse portait un nom, celui de Gogyou Makka. Le picotement devint tiraillement, l’iris de ses yeux se rouvrit. L’anesthésiant qu’était le choc de ses fantômes sur son esprit, déclina son efficacité jusqu’à l’agonie, revenant hanter son visage. La balafre subissait à nouveau la torture de ses tourments, et l’éclat des globes oculaires reflétait une peluche. Un lapin borgne qui rappelait un pirate, portant toutefois une tenue de bouffon : Le doudou d’Aoko. La trentenaire plissait ses yeux de douleur, dont les rides naissantes, brûlées comme vifs, dessinaient le regret et la peur.

La crainte d’échouer, de ne pas être a la hauteur et de faillit encore. L’angoisse d’être impuissante, de ne pouvoir agir et de n’être qu’un élément de décors. Dans ses convictions les plus profondes : plus jamais. A aucun moment, elle passerait sa vie à méditer sur ce qu’elle aurait dû faire, et être consumé par le remord jusqu’à l’Omega de sa destinée. Oh non, jamais plus !

Serrant les dents, le coin droit de la lèvre supérieur fut déformé par le courroux qui habitait la veuve. Son regard s’assombrit, alors qu’une flamme de malveillance s’installait. L’ambiance autour de la blonde changeait pour devenir démoniaque. Pourtant, la kunoichi ne bougeait pas, impassible, inflexible, ne laissant rien paraitre. La femme avait toujours son calme habituel. Tromperie. Sa sérénité avait succombé à sa fureur. La trentenaire avait suffisamment d’expérience pour contrôler en partie son état, en tout cas, assez pour qu’il ne devienne pas dangereux pour ses compagnons. Mais l’heure était à la vengeance, le temps du châtiment était arrivé. Nul doute que le caractère le plus impur, le plus catégorique, le moins tolérant de la balafrée surgissait. L’extrémiste amatrice n’égalait pas les plus grands fous que la planète avait vu foulé son sol, mais Yoko avait sa propre conception de ce qui devait être fait ou non. Et attaquer, enlever et dépouiller sa famille, sa nièce, avait depuis longtemps fait progresser les limites humaines de l’acceptable et du moral. La tante et la nièce en ressortiraient changées, assurément, chacune a leur façon.

L’obscurité du mur apparaissait d’un ridicule désormais, lorsqu’on contemplait la tension qui parcourait la veuve. Son poing était serré d’une étrange façon. Ses doigts et son pouce étaient a l’extérieur de sa paume, étendue, exerçant une force démentielle, qui aurait entaillé l’intérieur de sa main depuis ses ongles, si elle n’avait pas prit cette disposition. Elle avait lâché le kunai de son autre main, qui s’était logé au sein du dragon de chakra, pour la même raison. Cela permettrait de plus de protéger le Seki qui était aussi motivé qu’elle. Elle préparait également d'autres kunai qu'elle marquait aussi. Quand le mur se refermait, ne laissant plus la place à la fuite, la Kadoria se réjouit que sa proie ne puisse qu’affronter son destin. Des pattes aux griffes acérées commençaient à émerger de la substance du mur. Ainsi, une bête se donnerait tant de mal pour les empêcher de progresser ? C’était une bonne nouvelle, car cela voulait dire qu’ils étaient sur la bonne voie, et que les forces cachées n’étaient peut-être pas aussi considérable. Les retrouvailles avec Aoko étaient donc proche, mais la kunoichi appréhendait dans quelles conditions elles se feraient. Elle ferait tout pour une seule chose.

Plus personne, plus jamais.

Récapitulatif:

Spoiler:

Ils passaient, sans plus de soucis que cela, face à eux Osore allongée sur le sol, semblant dormir à poings fermés, mais son visage grimaçait par moment, un mauvais rêve? L'illusion de la petite Kadoria balayée et la gamine qui se réveillait dans le néant, un noir intense et lourd, puis ce froid autour sur elle...

-"Regarde, ta peluche, vas y vite avant qu'elle ne disparaisse..."

Murmurait une voix pour la petite fille, au loin, un seul point indication, son jouet qui brillait...

Non loin de là, la même voix pour la Seki qui elle était sortie de l'ombre...

-"Il ne peut y en avoir qu'un, tu abandonnes ta place?"

Une force inconnue qui lui faisait relever la tête vers les Kumojins et cette chaleur qui reprenait le dessus sur elle...

-"C'est leur faute, la leur, tout, toujours, tu vas mourir pour eux ou c'est eux qui meurent?"

Cela se répétait en boucle et elle avait chaud, de plus en plus chaud, la rage et la raison qui fuit, elle elle ne pas fuir, c'est eux qui doivent lui laisser sa place. Les ailes noirs fluides et denses dans son dos, ce vent chaud qui balayait tout l'espace à nouveau. Le terrain de jeu. Le jouet, mais cette fois, son temps comptait, le fluide noir la parcoure, il dévore son corps à vue d'oeil et cette odeur dans les narines de tous : Celle de la mort.

Résumé:

HRP:

Infos:

Le groupe traversait le tunnel sombre. Un trou dans un rempart d’énergie néfaste, infranchissable, emplit d’un danger tranchant, qui disparaissait au fur et a mesure de leur avancé. Le monstre abandonnait. Enfin, ils parvenaient de l’autre côté, saint et sauf, avec la volonté de déjouer chacun des pièges que leurs tendrait l’Île. Le regard accrocheur de la balafrée était suspendu à tour de rôle sur la peluche de sa nièce et la genin du clan Seki. Kadoria Aoko ne se séparait jamais du lapin pirate, c’était mauvais signe. De plus, la dame avait croisé bon nombre de Seki en une décennie, mais jamais elle n’avait vu un chakra si noir, à part celui d’un certain Namiko. Même cette ténébreuse couleur de ce dernier, n’arrivait pas à dégager l’hostilité et la malveillance du mur de chakra de l’Île. Les ailes qu’affichaient Osore dans son dos semblaient maudites, à l’instar du mur, étant donné leur ressemblance. La substance noire ruisselait sur le corps de la femme, englobant chaque parcelle, prenant de pus en plus de territoire et de contrôle. Une voix s’échappait de ses lèvres, mais qui n’était pas la sienne, proposant de fuir ou de mourir.

Dans les cieux, un voile bleuté recouvrait le domaine des astres. Des petits points qui se rapprochent telle une pluie qui commence. Un déluge, qui n’avait rien de naturel cependant, étant l’œuvre de la nouvelle adversaire. Celle-ci se protégea, confirmant que le phénomène céleste était bien un jutsu. En d’autres circonstances, la Kadoria se serait immédiatement protégée, mais elle avait confiance en Hasaki et son dragon. C’est donc sereinement qu’elle observait que la genin était sortit de son champ de vision un court instant. Elle avait réussi à entrevoir ses intentions, la Jônin étant aussi rapide. Quoi que, peut-être un peu moins. La femme possédée, apparut aux côtés de Yoko, avant d’essayer de lui assener un coup, stoppé par la résistance du mythique cracheur de feu. Voyant l’inefficacité de son action, la femme maudite se retira aussi tôt du champ d’action de la veuve. Elle matérialisa deux puissants anneaux dont les cibles étaient Mihawk et Hasaki, avant de pulvériser l’arbre qui lui avait servit de perchoir, sous sa puissance indéniable ? Etait-ce réellement une genin ? Le pouvoir qui coulait dans ses veines était impressionnant, autant que la créature du mur. En un éclair, la Kadoria fit le lien. Les ailes, le mur, la puissance : une seule et même personne était responsable de tout cela.

Le chef de clan pacifiste décida de contre-attaquer. Il aurait tout le soutient de la blonde. Le dragon chargea, et tenta d’arracher les ailes de la menace. Apparemment, cela ne suffirait pas. C’est alors qu’en donnant un grand coup, la Kadoria relâcha dix kunai en dehors du dragon, lévitant autour, dont elle contrôlait la trajectoire. Elle encercla le pantin de l’Île, sachant que si la marionettee bougeait, Yoko saurait la retenir à sa place en attendant la puissance du dragon. Après son déchainement, la balafrée accompagnait la voltige de la Seki avec l’un de ses kunai, qui se colla à elle. Puis, elle exécutait la même technique que tout à l’heure, une sphère de gravité, qui cette fois-ci, enfermait Osore et la guidait vers le mur. Si elle répliquait, elle devrait annihiler la force du clan Kadoria, et alors, il serait trop tard. L’homme au habit de conseiller fit de même avec Aoko, mais cette fois, un pincement au cœur de Yoko s’inquiétait de sa chute. Même scénario, un second kunai accompagnait sa nièce, la scrutant, prête à la défendre à la moindre occasion, laissant Hasaki mener la danse. Sa seule initiative fit d’attacher un fils de fer a deux de ses kunai qu’elle avait fait revenir, pour ramener la peluche, qu’elle maintenait toutefois à distance, craignant un piège.

Néanmoins, elle l’incluait dans la queue du dragon. Puis soudainement, Yoko glissait du dragon, qui s’envolait vers les deux genin et le dôme. La Jônin prit soin de récupérer les huits kunai de marqués qui lui restait. Rassurée, elle l’était. Si le conseiller prenait sur lui pour assurer le retour de sa nièce et de sa bien-aimée, elle ne pouvait qu’en être reconnaissante. Alors elle cria :

MERCI, OCCUPEZ-VOUS BIEN DE MA NIÈCE !

Récapitulatif:

Spoiler:

Spoiler:

Une grimace à la place du sourire dont tous les invités avaient eu le droit.
Un mauvais signe.
Un mauvais jeu.
De mauvais jouets.

L'enfant capricieux hurlait et comme il était le maître absolu...
Le néant les vidait de leurs vies.

Fin du jeu.

Résumé: