Le hasard avait parfois de bien de drôle de façon de présenter les choses, je voulais prendre l'air pour libérer ma frustration, ma colère et au final tout cela nous avait conduis ici. Dans ma cave.

Chanceux étaient ceux qui ne connaissaient pas cet endroit ou l'inverse peut-être que c'était ceux qui l'avaient occupés qui l'étaient, qui m'avaient eu pour eux seuls. BREF. Face à moi une tignasse blanche laissée à l'abandon depuis plusieurs jours s'éveillait dans ses ténèbres profonds, écartelé à mon plafond, il servait de lustre à mes bougies suspendues, dont la douce chaleur rougissait son corps. En contrebas, mon claquement de doigts avait donné vie à une lueur bleutée, la même qui animait les bougies. A demi allongée, j'observais l'homme prisonnier, un sourire en coin, j'attendais.

C'était peut-être même ce claquement de doigts là qui le réveillait, pauvre diable, qu'avait-il fait pour mériter châtiment pareil ? Il était au mauvais endroit, au mauvais moment, face à la mauvaise personne. Et alors que le Samui avait son corps soigné, je savais qu'à tout jamais on avait détruit son esprit, j'étais frustrée et impuissante, soumise à la volonté du destin, colérique aussi, ainsi il aurait mieux vallu qu'il ne me parle pas. Lui c'était impudent dont je ne connaissais même pas le nom. J'avais juste frôlé le même espace que lui et nous voilà lié, lui pauvre créature si diminuée.

Mon oreille s'était perdue quand deux hommes, les mêmes qui sauvaient mon Rei avait prédis, prédis à quel point il était perdu, non pas Rei, mais bien lui, dont les jambes faisaient défaut. Et dès cet instant, j'avais voulu les faire mentir. Que leur science ne soit pas infuse, que leur dire ne soient jamais vérité. Alors j'avais ouvert la porte et en silence observer de haut celui qui n'avait pas tardé à me remballer. Une folie non négligeable que je ne pouvais ignorer ou laisser se gaspiller.

Mon regard azur se perdait dans celui qui s'éveillait, seuls au milieu du néant, qu'est-ce que ça lui faisait ? Pas comprendre grand chose. La vie n'était pas faite toujours de grande logique, il n'était au fond qu'un enfant chanceux, comme moi, un jouet de cette citée et inlassablement, je lui demandais...

~ Sais-tu pourquoi tu es là ?

Question à laquelle je savais qu'il ne pourrait répondre, mon esprit s'était invité dans le sien, coupant son moyen de parler. Mais ça, est-ce qu'il le savait ? Peu importe, il avait déjà dû se rendre compte que ce n'était pas n'importe quelles chaînes qui le retenaient avide de son chakra. Je souriais et patienter, qu'avait-il su observer ? Les clefs de sa libération dans mes dires ou cacher au milieu de la cire ?

J'étais à l’hôpital quand les médecins m'annoncer que je ne pourrais plus me battre au front à cause de ma blessure et que je ferais mieux d’arrêter d’être un shinobi. C'est alors qu'une inconnu entre et je lui dis gentiment.

« Casse toi j'ai pas envie de voir du monde ! »

Mon erreur fut que je ne savait pas à qui je parlais à se moment là. Je le compris alors à mon premier réveil dans sa cave pendu comme un cochon au plafond. Je la regarder et elle partit puis reviens plusieurs fois.

Cela faisait plusieurs jour que j'étais ici et je ne pouvez pas répondre à cette folle qui ce sert de moi comme lustre que j'aurais aimé lui dire ma façon de pensé à son égard, tu es une connasse une folle enfin tout le baratin classique du type enrager, mais aucun son sortait de ma bouche. Petit à petit je m'étais habituer à la douleur de la cire brûlante et je cherché le moyen de me libéré. Mon chakra était comme scellé et j'avais beau bouger dans tout les sens rien à faire ça bouger pas même pas un peu de poussière qui montrerai que le plafond ne supporter pas mon poids.

Puis à un moment une bougie tomba sur le coté et je sentis une forte chaleur pas celle de la flamme mais plus du fer chauffé à blanc. Voulant savoir ce que c'était j'essayais de bouger pour la faire glisser mais elle bouger à peine et la j’eus une idée un peu dur mais il le fallait, je me déboîter mon bras qui venait tout juste de guérir pour faire glisser la chose vers cette épaule et je vis une clef que je pris en bouche pour pas la faire tombé et essayer de me libérer.

La clef en bouche je donne un coup vif de la tête pour jeter cette clef à ma main droite en me tordant un peu le poignet j'arrive à glisser la clef dedans mais dès que je commence à tourner cette dernière elle casse dans la serrure. La déception étais grande et le peu de courage qui me rester après cette action désespérer pour me libéré. Elle avait alors un petit sourire satisfait que je voulais lui faire ravaler, si seulement je pouvais bouger je lui démolirai sa petite tête.

Je me laissa pendre alors une bonne dizaine de minute sans bouger essayant de me redonner du courage avant de donner un grand coup vers l'avant pour faire tomber une autre clef elle passa devant mon visage et je la pris de la même façon entre mes dents avant de l'envoyais à mon autre main. La même chose se produisis la clef cassa dans la serrure et l'autre garce sourie de plus belle alors que je pendais comme un vulgaire objet.

Je le regardais et très vite le spectacle devenait intéressant alors qu'il déboîtait son bras, j'observais avec attention sa résistance sa folie alors que maintenant qu'il avait récupéré la clef il espérait naïvement que ça serait si simple... Quand la chaleur des bougies auraient fini de brûler sa bouche, je mettrais fin au gen... Il ne pourra plus crier de toute façon, j'avais des voisins après tout !

~ Hum... C'est bien tu as l'oeil ! Mais ça ne suffira pas. Peut-être sont-elles trop chaudes ?

Deux clefs, je regardais les bouts tombaient sur ma table, il venait de désactivais deux sceaux, libérer l’emprise anti-chakra de deux bouts. Définitivement ce n'était pas assez et j'attendais bien mieux de lui, alors qu'il reprenait des forces, mes doigts claquaient pour inviter mes lucioles histoires qu'elles remplacent les bougies manquantes. Pas question qu'il perde sa belle lancée, aujourd'hui je le laissais méditer en attisant les petites flammes bleues autours des bougies, toutes montraient à nouveau des clef alors qu'une soudaine concentration d'eau les faisait durcir à nouveau.

~ Il faudra patienter à nouveau qu'elles fondent.

Ma présence disparaissait à nouveau quand il fut à l’épuisement et je restais perplexe, jusque là je ne voyais rien de bien extraordinaire et pourtant j'en attendais bien mieux, pourtant, sans surprise, le lendemain il était toujours là et je reprenais ma place une glace à dévorer en guise d'accompagnement. Une bouchée et enfin, le son de ma voix...

~ Sais-tu pourquoi tu es là aujourd'hui ?

J'interrogeais en regardant son corps meurtrie sa fatigue, les bougies, visiblement toujours pas non, pourtant c'était simple, plus il avait mal, plus je l'aidais à sortir d'ici non ? Et malgré mon aide je sentais dans son regard cette envie de m'arracher les yeux qui le fixaient tant impunément. Une deuxième bouchée dans ma bouche et je riais avant de monter sur la table pour appliquer le métal gelé de ma cuillère sur une brûlure fraîche.

~ Cela fait du bien... ? Ou c'est pire ?

Ma tête était penchée en arrière pour bien faire à la sienne alors que la chose s'appuyait pour accentuer la douleur, encore une fois, pas de torture un enseignement alors que j'attisais un membre dans la chaîne n'avait plus de barrière à chakra, dommage que cela soit son bras à l'épaule déboîtée. Encore que....

~ Bon tu trouves ou bien ?

Et je me laissais subitement retomber dans mon fauteuil en contre bas, on allait pas y passer des jours... D'autant que ça faisait déjà des jours... demain j'avais prévu autre chose, il fallait accélérer et mon gen prenait fin subitement, sans que je n'en dise rien. Mon doigt s'agitait comme déjà prêt à punir les mots déplacés...

En dehors du fais que mon dos me brûler encore à cause de ses flammèche bleuté que faisait l'autre je sentais une drôle de chose dans mon bras déboîté comme si il reprenait un peu de force peu à peu je compris que mon chakra circulé à nouveau dans ce bras et ce seule bras pour le moment et ne pouvant pas accédé avec autant d’aisance au autre cadenas je pouvais peut être me servir d'un de mes fuinjutsu pour me libéré sans trop de difficulté. En plus je vais pas attendre que sa refonde et j'ai un compte à réglé avec la greluche d'en bas.

Elle s'amuse encore avec moi me faisant un mal de chien à chaque occasion, mais je ne m'inquiète pas d'ici peu j'aurai concentré suffisamment de chakra pour mon fuinjutsu et elle comprendra que je suis pas un lustre ou un jouet à cette garce. Au moment ou elle se laisse tombé ma lance apparaît et tape dans un geste circulaire fracassant mes lien en détruisant le plafond et frôlant le torse de cette folle, mais la chance lui souris je n'ai pu que la frôlé et lui faire une légère entaille.

_ « Toi là, je vais te pendre au plafond pauvre folle ! » La rage se faisait entendre dans ma voix.

Un premier coup se fais donné avec la dite lance sur la tortionnaire qu'elle esquive avec aisance ne me préoccupent pas pour le moment des sceau qui bloque mon chakra tant je veux la coupé en rondelle. Je frappe encore et encore vers elle me je ne fais que tapé en force et elle esquive avec tant d'aisance que cela en devient énervant.

Le chakra commence à circuler dans son deuxième bras lui permettant de se servir d'un autre fuinjutsu de stockage sur se dernier, une lance de plus apparu et la les coup fur plus rapide sur cette dernière et bien plus difficile à esquivé. La rage monté en flèche laissant place au coté le plus barbare de Riku qui pense surtout à tué lui. Les coups fur dévastateur forçant la femme à se reculer un peu, et n'étant pas fou je ramasser les clé pour briser mes dernier lien, le mouvement fut rapide mais la femme se rapproché rapidement mes deux lance en main je frappais en force d'un vertical et l'autre horizontal sur cette dernière, rare était les personne assez intelligente pour esquiver un coup de se genre. Elle esquiva en souriant comme si rien n'était.

_ «  Mais putain qui es tu ? » La fixant alors avec un regard dur

La bonne question était posé à cette femme étrange et à première vu folle.

Enfin un peu d'action, je commençais à désespérer alors que l'esquive se faisait de justesse, fallait-il croire que je commençais vraiment à le prendre pour une larve, mais la sensation chaude du liquide tiède sur ma peau faisait le rappel. Un guerrier assoiffé de sang. Sans nul doute vu l'acharnement qui allait suivre, un diminué par la fatigue et les conditions, ça n'empêchait pas une certaine maîtrise, pourtant, toujours pas l'ombre de cette surcharge de puissance bien connu à la souffrance de ce clan. Je restais perplexe quand il s'impatientait, non pas sans omettre de se désencombrer.

~ Eh, eh bien, tu en as mit du temps, j'ai failli attendre, pour me pendre il va falloir faire mieux que mon hamster !

Définitivement mieux effectivement, bien que je ne doutais pas quand plus grande forme, il sache davantage me faire danser, mais là n'était pas la question, je me tâtais plus depuis longtemps sur son cas. Il avait abîmé ma maison... Impardonnable, car qu'on se le dise, il y avait des choses qu'il ne fallait pas toucher, le Kyu pouvait en être témoin, des mois de salaire allaient disparaître à ne pas en douter... Il payerait pour ça, mais de plusieurs façons ! Mais déjà, il avait posé une des bonnes questions, voilà sa réponse, avant que son premier acompte ne tombe... Qui j'étais ?

~ Ta Senseï ! Bienvenue dans la team Kamikaze ! Ton enseignement a commencé avant ton réveil ici. Je suis Aoji' Kaguya, enchantée ! Mais on se connait, rappelle-toi l'hôpital, c'est ce qui a valu ta sélection! Heureux?

Et la balance faisait contrepoids, mon tour de lancer l'assaut, moi aussi je savais faire pop des armes, quoique la mienne était légèrement plus volumineuse ; une masse d'une tonne dans une rotation d'élan... Le tout offert à ses lances. Mais n'allez pas croire, elle n'était qu'une diversion rapidement abandonnée à peine utiliser au profit de l'arrivée de ma vraie spécialité, des patins osseux sous les pieds, des tonfas dans les avants-bras. Le tout n'ayant qu'un but, jouer avec ces lances, s’infiltrer et faire mal, je commençais de plus en plus à croire qu'il ne savait pas encore utiliser son ps. Un détail qui aurait tôt fait de changer, mieux valait pour lui en tout cas alors qu'un de mes patins prenait appui sur une lance pour me faire prendre de la hauteur et rabattre cette dernière alors que la lame jumelle à mes pieds voulait rejoindre sa tendre joue.

Une caresse d'une Senseï attentionnée ~