Le début de mon nouveau périple commence ici, mon mental étant prés sur tous les côtés, le reste est tout à faire. Que se soit sur le plan stratégique qui n'est pas vraiment mon fort comme sur les renforts à trouver. Il me faut du monde à recruter, un lieu sur où poser un camp et surtout une force bien plus grande que celle que j'ai en ce moment. Je me dois d'être bien plus puissant, plus fort et plus rapide. Je me dois aussi de trouver un moyen d'épanouir ma puissance sur un autre domaine que le Kinton. Mes pensées étaient dedans. Le fondement est en place, j'ai récolté des informateurs et des renseignements pour une parti de mes projets. Yu no Kuni, comme le hasard fait bien les choses, ce même lieu où je croise l'affrontement faisant de moi Nunkenin et le lieu où je pense faire croisé la plupart de mes projets. Je me dois de me faire discret, ne pas montrer ce lieu comme un endroit de débauche bestiale. La raison de ma venue dans l'hôtel? Je me dois de changer mes habitudes. Dormir à la belle étoile en est devenus plutôt trop indiscret, surtout dans des lieux tels que celui-ci. Un hôtel est parfait. La seule chose gênante c'est de payer. Pas d'argent pas de monnaies et donner de l'argent à de là sous-race n'est pas vraiment dans mes habitudes. Autant être claire, je vais en gros emprunter subtilement avec mes deux mètres cinquante la chambre et quelle en soit honoré de mon geste de bonté, car elle n'aura point à subir de torture ou d'une mort quelconque ce qui est plutôt un miracle en soit même. La main de dieux elle-même s'abattant sur son hôtel qui pour l'instant à part je ne sais quel miracle aucun dégât apparent, du moins pour l'instant. Une heure passe où je me dois d'attendre. Réfléchissant à la suite des opérations, mon esprit est plutôt perturbé par ce changement. Pourquoi? Ben simple fait que le fait de quitter Suna n'a pas rendu la vie plus sanglante, non car je me doit d'être discret et discrétion n'est pas ma signature de fabrique, j'aime quand l'on doit foncer dans le tas saluer ses opposant avec une petite vanne à deux balles, mais là rien de ça.

Le temps passe jusqu'à que ce silence et ce calme nauséeux soit rompue. Une gène? Non une occupation, voir une distraction que je serais prêt à arrêter par un tordage de coup en règle. Rien d'extraordinaire en somme. Une simple pression sur le coup pour couper la circulation de l'air et faire par la suite arrêter le cœur. Enfin une chose qui m'a traversé l'esprit mais dont j'ai dû calmer les pulpions sans en stopper celle du cœur de la charmante femme ayant crocheter MA serrure. En même temps cette manière de faire n'est pas vraiment pour me déplaire, du moins si je l'avais vue faire ça à une autre personne que moi car sur ma personne, c'est loin d'être une bonne idée. Restant calme et surtout sans un mot je la regarde faire. Une pointe d'autorité et aussi d'imposition. Elle impose par force orale ses désirs sans en laisser le choix à la personne concerné. Une chose plutôt marante, mais le dernier à m'avoir commandé c'est vu avec les deux bras en moins et laisser au milieu de nul par se vider de son sang. Pas vraiment discret? Ben si j'ai bien dit au milieu de nul par non? Enfin prêt, restant sans bruit au dire de la femme, je calme mes envies de meurtre me répétant dans la tête de ne pas faire de dégât. Tout en sortant un petit:

La chambre est prise.

Qui sortit sans même que cela se fasse entendre. "La chambre et prise" Une phrase qui d'ordinaire aurait pue sortir par une chose du genre" dégât si tu ne veux pas finir avec tes organes internes à dix mètres de toi". Elle s'allonge et commence à m'envoyer des tunes. Hein? De l'argent? Elle pense me soudoyer? Je ne voyais pas vraiment l'idée, mais je pris les tunes, me lève et montre comme si je quitte les lieux. Que nenni, vous y croiriez? Non tout en mettant une main au-dessus du lis comme pour m'étirer, je me mets à dire:

Profite bien de la chambre.

De là, un marteau géant se met à apparaitre d'un sceau posé sur ma main, un marteau en Kinton venant s'écraser sur le lit et donc sur la femme qui c'est allonger dessus. Traversant le sol la chute se fis au premier étage. Ou je ne sais guère, mais rien à foutre, l'hôtel ne sait même pas que je séjourne chez eux et donc je n'aurais rien à risquer avec ce malentendu, même si j'avais préféré rester discret. Prenant tranquillement la porte, je change de chambre qui maintenant que j'ai fait les petits changements ne me plais plus vraiment. Gardant dans ma tête l'idée de rester discret. Purée moi qui voulais rester tranquille voilà encore une fois que j'ai cassé quelque chose. Un cuisinier arrive devant la porte, un cuistot me disant:

Voilà madame, votre repas est prés.

"Madame" oui, j'ai pris son Hengen pour passer tranquille sans que l'on sache qui je suis remercient rapidement l'homme je lui fais signe de dégager. Le plateau à la main le cuistot partit je pris la chambre d'à côté pour commencer mon repas gratis.

Voilà de nouveau tranquille. Enfin tranquille est plutôt vite dis et dans une logique que même un crétin comme moi peut voir à des lustres d'ici, c'est le retour de la pimbêche aux manières si délicate. Enfin qui sais peux être qu'elle a compris la leçon, mais cela m'étonnerait. Pour le moment j'y vais mollo, mais qui sais jusqu'ou mes nerfs peuvent être titillés. Je dis cela, mais cette femme me plait, oui son caractère ne lâchant pas le morceau sur se qu'elle veut est dans un sens vraiment ressemblant à ma manière de faire. Ce que je veux, je le prends. Simple à comprendre et c'est toute une idéologie derrière. Qui sais si cette femme n'est pas capable de comprendre mes motivations. Cette femme semble mettre en avant ça personne avant tout une chose qui est plutôt bonne pour ce que je cherche et surtout pour mes projets avenirs. Cependant là n'est pas le moment. Pour l'instant, je me doit de finaliser quelques détails et elle est pour l'instant dans mes pâtes et cela est plus que gênant. Après quelque temps, je me mets à me poser sur le lit du moin sur un côté du lit puis à poser l'assiette sur le côté. Réfléchissant à la suite des opérations quand d'un coup revenant à la charge cette femme qui comme de rien n'est. Vient pour reprendre ça place sur le lis. Je la regarde, puis l'entends critiquer mon Hengen. Dans un sens c'est l'une des premières fois que j'en fais un. Je ne suis pas vraiment du genre à me mettre dans la peau des autres. Mon affiche personnelle me convient parfaitement. Me disant que le repas est offert, je me mets à lui dire:

Tu ne voulais pas la chambre d'à côté fillette? Sauf si c'est mon sexe à pile qui t'attire.

Prenant la viande, je la coupe avec le couteau. Sauf que là le couteau se met à se briser? J'ai trop forcé? Peux être après tout, ça n'aurait pas était la première fois. Prenant la viande à la main, je me mets à mordre le morceau qui m'a presque bousillé une gencive. Heureusement que j'ai des dents en béton. Sinon j'aurais perdu plusieurs dents sur le coup. Regardant la femelle avec un regard de tueur j'ai qu'en tête de l'étriper et pour cela qu'y a-t-il de mieux qu'un bon sceau de rang A posé sur le corps? Commençant à mouvoir ma main rapidement en ça direction, quand je me mets à la toucher, elle disparut de là ou elle était, ça présence se sentant plus loin elle est hors de la chambre. J'enrage, mais pourtant je sais qu'elle convoite la chambre que j'ai choisis. Surement pour me rendre l'appareil de l'état dans lequel j'ai mis la chambre dont elle a décidé de crécher. C'est donc attendant de nouveau le retour au grand gallo de la dénommer Yuzuna.

hrp:

L'attente d'un autre assaut se fait pas si long que ça. Quelques minutes et voilà un serveur. Bizarre quand même non? Un serveur m'ayant déjà vue me redire une seconde foi bonjours. Une erreur qui est loin d'être à son avantage. La voyant avec son gâteau en train de me dire qu'il a oublié le dessert. Je vois le tableau de manière flagrante. Une folle voulant jouer avec la nourriture. Un si bon gâteau qui se met à voler en direction de mon visage. Un raté monumental, mais qui continuait à voler direction la pâtisserie derrière. Encore une nouvel chambre qui tombe dans un état désastreux. Je souffle et commence à suivre la fille qui a déjà pris les jambes à son coup. La voyant au loin en train de dire à la direction qu'un gros costaud à foutu un bazarre monstre dans des chambres. Merde deux choses me viennent en solution. Soit je tue tout le monde et quitte les lieux direction un autre Pays. Sois, je me tire discrètement sans me faire remarquer ce qui donnerait les foudres du service sur elle et ensuite je n'ai plus qu'à la cueillir un peu plus loin dehors. La seconde possibilité est la plus évidant pour mes projets avenir. Ne pas me faire remarquer telle est la clef de la survie quand l'on commence à être recherché. Avec le repas sur le lit les preuves furent bien posées contre elle. Moi sortant par la fenêtre se n'est pas la hauteur qui me fait peur. Personne? Hasta la bista. Fuck les emmerdes, vive la liberté. La chambre est passée au second degré, maintenant ce qui m'intéresse maintenant c'est cette fille et non pour me venger, mais pour un potentiel projet. Qui sais, cette femme sera peut-être un pion dans l'échiquier. M'éloignant à la recherche d'un lieu caché. Je trouve non loin de là, une grange ou me lotir sans que l'on ne me voie. Fixant le lieu avec en vue la porte d'entrée en évidence je vérifie en même temps si le grabuge fut bien mis sur le dos de cette femme mais aussi si elle ne quitte pas les lieux par elle-même ou éjecté par un coup de pied par une autre sortit. Comment? Par un œil en kinton posé sur une feuille qui entrepose un sceau cachent des ustensile métallique.

Cet œil faisant le tour du bâtiment. Jais la totalité de la baraque mise sous surveillance de ma propre personne. Mécontent de cette rencontre loin de là j'ai même une chance dans cette histoire de me faire une allier dans mes projets machiavélique. Le temps est pourtant un facteur qui commence à me rattraper. Pourquoi? Ben disons que j'ai rendez-vous dans peu de temps pour quelque chose.

hrp:

Quitter les lieux pour mieux faire chier. Rare sont les moments où ma présence hors d'un lieu en devient plus gênant que d'y rester. Du moins pour cette femme, c'est donc avec cette idée en tête que je quitte les lieux et donc la chambre d'hôtel qui ne m'intéresse guère plus. Faire chier le monde est ma seconde nature, une sorte de technique, mais sans l'utilisation de chakra, cela semble aussi être dans la nature de cette femme et je dirais même qu'elle excelle dans ce domaine et qu'elle peut surement même jouer dans une autre catégorie. Le caractère différent , mais une puissance de "je m'en fous, mais je fais chier tout le monde" mis à un paroxysme de " je pense qu'à ma gueule et je trouve ça cool" débordant pleinement. Après un temps d'attente pour que ma non-présence fasse effet. Je regarde la gamine sortir de derrière. Arquant le sourcil d'un bref rictus d'étonnement. Je me mets à voir cette femme crier au et cour en me nommant d'enfoiré et de gros lard ce qui personnellement fut pour plusieurs personnes ayant avant elle osé dire ce genre de chose une raison suffisante pour les tuer et les pendre haut et cour. Enfin comme j'ai dis cette fille m'intéresse elle repend le Chaos à ça manière et d'une façon plutôt subtile dans son genre. Vérifiant aussi si mes parties génitales sont toujours en place. Vérification purement faite par sécurité. Qui sais si un Ninjutsu fait pour les enlever n'existe pas. Regardant la femme utiliser de ça vois après qu'elle ait fait plusieurs pas hors du restaurant et pris une certaine distance avec. Je me mets à m'avancer vers elle, puis à dire:

Hé si je te tue ici et maintenant? Qu'es qui m'en empêcherais?

Question pertinente non? Je ne m'étais toujours pas décidé. Après tout, cette femme ne semble pas être une citoyenne du pays et donc son absence ne montre aucune agitation des autres citoyens dans les alentours. Le temps passe et ça réponse se fait attendre, sans faire apparaitre un signe de technique je me mets à la regarder. Pendant que la nuit commence à tomber je la regarde puis dis:

Reddition. Faisons la paix et trouvons un lieu ou dormir. On verra pour le conflit demain. Sinon moi c'est Goren.

Tournant le dos, restant toujours sur mes gardes et l'œil de ma technique toujours activé pour avoir une vue sur elle. Je regarde si elle me suit. Cherchant un lieu à l'abri du vent froid de la nuit tombé. Les lieux ne manquent pas de grotte et de bois sec. Cela suffira largement pour dormir. Surtout avec mon sceau de stockage qui renferme une quantité de peaux de bête suffisante pour faire un lis douillet. Le lieu trouvé, je me contrefiche qu'il plaise à la demoiselle. Je la regarde, puis dis:

On dormira ici. Tu n'aurais pas l'affinité Katon par hasard?

Oui non? Si ce n'est pas le car je l'allumerais avec une étincelle faite avec deux cailloux. En deux temps trois mouvements le lis quatre étoile fut fait et nous pouvions être pénards pour la nuit.

Nous sommes donc maintenant dans une grotte, tous les deux. Une chose qui semble en totale opposition à se qui est au point de départ, qui je résume étions en train de se disputer pour conquérir une chambre luxueuse que l'on ne veut pas du tout partager. Nous étions même en train de nous battre pour faire dégager l'autre personne. Son caractère toujours aussi piquant, commence à bien me faire rire. Une chose rare, car souvent avec ce genre de caractère ça finit toujours par une tête coupée et c'est rarement la mienne qui roule au sol, du moins elle n'a toujours pas roulé. Après une vanne qui me pendait au nez depuis des lustres, mais don personne n'a soit osé ou pensé me faire. Je la regarde d'un aire meurtrière. Moi un goret? Retenant mon poing pouvant faire des dégâts conséquents. Je ne dis rien. Après un petit temps, voilà la question qui doit bien à un moment ou à un autre me tomber dessus. Dans un sens, le genre de mec que je suis, n'est pas vraiment du genre à partager ça journée avec qui que se soit sans un intérêt allant de son côté et comme c'est mon caractère naturel. Cela peut bien paraitre étonnant. Je l'entendais bien et cela est vrai. Je vois en elle une possibilité d'entrainement. Oui un entrainement. Celui de mes nerfs. De pouvoir garder mon calme de manière extrême. Cette femme qui semble être toute aussi chiante, mais d'une manière différente de moi est un entrainement parfait pour parfaire ma patience et ma détermination à ne pas répliquer ou de foncer dans le tas sans réfléchir. Je la regarde, puis dis:

Simple, je souhaiterais que tu me suives dans ma route.

Bizarre. Une réponse donnant à une question et qui envoie tant d'autre interrogation au lieu d'effacer ces interrogations. Je rigole en sachant que ce genre de chose est plus agacent que n'importe quoi. Réponse de manière vague en sachant qu'en faisant ainsi des questions trottinant la tête viendra automatiquement une chose vraiment irritante. Pourquoi vouloir de ça compagnie. Elle-même se sait chiante et donc difficile à supporter dans le quotidien. Après un temps de silence en tout cas de ma part et qui même si accompagner de question de la part de la femelle à côté de moi dont j'ignore totalement les dires, je me mets à dire:

On va partir voler ton matelas si tu veux. Cependant accepte de faire le chemin avec moi. Je t'entrainerais dans l'ars Ninja et répondrais à mes raisons me faisant donner cette proposition. Tu es ok?

La regardant voilà une proposition qui va encore être gênante pour ce restaurant qui a déjà souffert de nos nombreuses routes misent dans leur direction. Pour ma part j'avais hâte de savoir si ma première élève sera-t-elle ou non.