Je suis fan, comme les jeunes diraient sur un truc nommé Internet, J’aime ou même +1. Vous, vous demandez de quoi je parle ? C’est simple je parle de l’ambiance que se désert a en ce moment. Rien n’est mieux que les animosités que peuvent avoir des hommes qui se battent de tous les côtés, la seule chose qui est chiant, c’est la limite du corps humain. Quand je parle de ça, ce n’est pas des blessures, mais deux autres facteurs encore plus pénibles. Oui plus pénible, car les blessures ce qui est cool c’est qu’il ne concerne pas que soit même. Ce qui est le plus embêtant, c’est l’épuisement et le temps de repos qu’un corps doit automatiquement combler par des temps de repos. Un facteur des plus chiants. Rien faire attendre que le temps passe et fait de ton corps une arme qui de nouveau sera assez forte pour en profiter de la totalité de l’utilisation. La seconde c’est l’éspace. Pour trouver de l’action il faut bouger et donc marcher jusqu’à trouver un lieu ou le sang coule à flot et ça, ce n’est pas partout. Imaginez le panard, si un monde existe et ou l’on ne voit que lieux de combat. Un pied d’enfers, pour ma pars ayant eux une dispute habituel avec le vieux avec qui j’ai pris la route après avoir liquidé mon père. Je me vois prendre le chemin d’un village ou j’ai entendu que des tensions ont lieux.
Pour ceux qui ne connaissent pas mon père, c’est un type qui est cherché dans tout le désert, un homme dont la réputation n’est plus à refaire. On le surnommait, « l’ombre ensanglanté ». Pour la simple raison c’est que quand il passe à un endroit, il n’y a que peu de personne qui reste vivant. A vrais dire souvent il ne reste que moi. La vie d’un fugitif c’est génial. Des fois on à la visite de type voulant le tuer. Des mecs qui en outre viennent pour qu’on leur hôte la vie. Ce n’est pas génial ? Moi pour lui je suis un amusement, un gosse qu’il a épargné pour une raison simple. Faire de moi un jeu. Je suis une sorte d’occupation vivante, me montrant toutes sortes de tortures sur ses cibles, me faisant subire des épreuves les unes plus hard que les autres. Je n’ai connu que ça et à vrais dire s’en ais même devenus normal dans mon esprit.

Bon, je marche dans se désert, donc me dépêchant pour avoir de quoi m’occuper avant que les conflits entre les deux partit fasse du village, un village sans vie. Bon, je ne me leurre pas, n’étant pas dans les lieux au moment où les attaques eurent lieux, j’ai peu de chance d’avoir quelque chose sous la dent, mais tant que je n’ai pas se papy sur mon dos autant tenter quand même d’avoir un petit amuse-bouche. Me posant sur une dune pour regarder au loin. Je me mets à voir le village. Le regardant maintenant depuis plusieurs minutes. Je peux voir de la fumée sortir de part et autre du village. Les attaques semblent terminées. Réfléchissant à ce moment même de voir les possibilités qu’il y avait de m’amuser dans ce village. Je me dis que peut-être, il reste des survivants. Qui sait un semblent de combat qui n’a pas terminé. Me mettant d’un coup à reprendre la route après un petit temps de course j’entends un bruit inhabituel derrière moi. Le bruit du métal touchant le sol. Ce bruit je l’ai connue. Mon, père me l’a déjà fait entendre Regardant derrière moi. A une vingtaine de mètres, je vois un homme me suivre. Etonné, je le regarde me demandant si je le tue ou si j’attends de voir qui c’est. Bon le fait de pouvoir parler tranquillement sans avoir un vieux qui me râle dessus sans arrêt car je parle d’égorger un type ou de décapitation, me donne plus d’envie d’entamer par une discussion que de voir le sang couler en directement. Enfin cela dépendra que s’il est relou ou non.

Hé ben voilà, putain de merde. Un grognement déçu sort de ma bouche. Puis ensuite rattraper par ce type bizarre. Je me mets à attendre faisant dos à la petite ville en feu. L'homme qui me suit se met à parler, me disant une conclusion que l'on a tous les deux devant les yeux. Un cumul de sang et de cendre. Plusieurs morts par le feu, je peux sentir d'ici l'odeur des cadavres étant carbonisés. Les maisons tenant à peine debout. Le village lui-même fut le champ de bataille d'un assaut. Écoutant l'homme qui semble se présenter. Je me mets à en faire de même sans vraiment tendre la main :

Moi c'est Goren.

Simple et court, dans un sens quoi dire de plus pour le moment, j'attendais sagement qu'il parle. Voyant ça démarche une chose est certain, il n'est pas du coin. Un homme engagé pour des informations sur Konoha et Suna j'écoute les dire et l'homme semble me demander si je suis du camp adverse. Il ne me semble pas ? Enfin qui sais, curieux moi ? Pas du tout, après tout qu'elle intérêt je peux avoir pour un mec comme lui ? Rien, avec un peu de chance qui sait, il sait peut-être se battre. Me baissant, je laisse une jambe au sol et je me mets à respirer de plus belle telle un animal sauvage cherchant une proie. Fermant les yeux j'écoute aussi. Puis d'un coup j'entends un petit bruit. L'odeur aussi. Dans ce mélange d'odeurs de bois brulé, je sens l'odeur d'un parfum. Ce n'est pas vraiment précis, mais j'ai l'impression que des gens sont encore vivants. Laissant un petit sourire, je me mets à dire :

Suna, Konoha ? Je ne connais pas du tout. Enfin, j'en fais un peut rien à cirer des noms de bande a deux francs ou le mec renommé. Puis Shinobi, c'est quoi ça. J'en ai entendus parler, mais sérieusement ça ne me dit plus rien. Enfin tant qu'ils sont balaises ça reste des types intéressants. Enfin s'ils le sont vraiment, par contre. Regardant l'homme tout en courant avec un sourire des plus malsain.Je ne pense pas que t'ai vu un vrai malade à l'œuvre.

Je me la pète. Pas le moindre du monde, je suis l'unique le meilleur. Je suis Goren. Puis ses dires peuvent parler d'un autre type que moi dont j'ai croisé ultérieurement qui sais. J'aimerais bien voir si un de ses Shinobi est encore là, mais ça ne semble pas. Sauf si bien sûr il se terre tel des rats. Je déteste les rats. Marchants, les cadavres se longent. Des corps flambent d'autre coupé. Des bandeaux que pas mal de personnes portent en ce moment sont portés par ses morts, mais pas seulement. Puis regardant dans un coin, je me mets à dire :

Ses types. Ha, ha, ha. Je les connais. Ben Ouai, c'est des trafiquants de drogue. Je me rappel j'en ai tabassé un à morts par ce que. Heu, pourquoi déjà. Merde je ne m'en rappel plus. Enfin, ces types n'étaient pas des tendres. Ceux qui les ont tuées devaient avoir des couilles. Putain, mais j'ai dû louper un de ses putains de massacre.

Ha, j'ai plutôt bien parlé là. Enfin ça m'importe peux, de toute façon il y a peu de chance que je le laisse s'enfuir vivant d'ici. Le regardant, je me mets à dire :

T'es engagé » par qui au fait? Trainer seul n'est pas vraiment prudent ? N'importe qui peut être une menace ici.

Plus je passe du temps avec lui, plus j'ai l'impression, qu'un truc est louche. Il dit travailler dans les renseignements, un mec qui semble d'après ce que je comprends, me montrer qu'il est inoffensif. Je peux en même temps voir qu'il regarde de lieux à autre pour tenter de quitter en douce les lieux. Venir et partir ? Il a peur ? Non, aucun signe ne montre ça, il n'est pas comme ces petites proies à deux francs. Lui faisant signe d'avancer en même temps qu'il parle, je m'approche d'un corps de Ninja me posant une question dont j'ignore la réponse, il continue sur une tentative de recrutement avec salaire à la prime. De l'argent ? Personnellement je n'en ai pas besoin. Le vieux ne dit pas non. Pff comme si j'en ai à faire de quelque chose de ce qu'il veut. Après ses dires, je me mets donc à prendre l'arme de ce fameux ninja et tout en parlant, je me mets à dire :

Ce monde est vraiment plaint de surprise. La mort est partout où est la vie. Des fois c'est le contraire. Ton argent je n'en ai pas besoin. Il va falloir trouver autre chose pour me payer.

Longeant avec ma main la lame pour nettoyer la lame du sang qui lui est posé dessus. Je me mets d'un coup avec rapidité viser avec la pointe de la lame juste à côté du compagnon de fortune que j'ai :

Là, c'est derrière cette porte que l'on va.

Passant la lame dans le creux de la poignet. J'utilise l'arme comme levier pour ouvrir la porte qui est fermée à clef. Plusieurs petits crient se fait entendre. De la vie. Je le savais. Cette odeur ne pouvait qu'être ça. Des rats se cachant des combats qui eux lieux. Mhh la première impression qu'il doit avoir de moi est surement celle d'un beau crétin. Un mec incapable de réfléchir par soit même. D'un sourire lui montrant l'entré. Je lui montre l'envie que je veux pour qu'il passe en premier. Après son action, je me mets à dire :

Une chose, me turlupine quand même. Tu prêtant travailler sur des recherches et de vouloir de l'aide physique pour te défendre, mais je ne lie pas la peur dans ton âme. T'es qui avant que je ne t'enlève les boyaux de ton corps ?

La force, voilà la seule monnaie d'échange que je trouve potable dans ce monde. Si je ne me trompe pas ce mec peut me donner ce que je veux. Maintenant, surement, mais quelque chose me dis qu'après quelques années, il deviendra plus puissant et donc deviendra un mec dont l'affrontement risque d'être «Puissant » Le liquidé est ma première envie. Enfin attendre pour le tuer après l'avoir fait souffrir à petit feu.

Le calme de cet homme montre bien que la mort ne lui est pas inhabituelle. Que d'une certaine manière, ce Chaos que je convoite tant ne lui échappe pas. Je suis un homme avide de sang, sans la moindre retenus, c'est totalement vrai. Ma vie que j'avoue vivre à mes idées. Les faibles ne servent à rien, seul les puissants m'importent et non pour leur intérêt, mais bien pour poursuivre mes dessins. Faire de ce monde un monde ou les guerres ne cesseront. Une vie de Chaos totale. Un monde pour ma rage et ma haine sera vécu de tousses ou chaque combat sera d'une intensité telle que tu ne veux guerre la finir. Un monde triste ou les jours se ressemble n'est pas ce que je souhaite.

Je sentais que cet homme me cache quelque chose. Il dit être faible et pourtant tout en lui me dit le contraire. Je le regarde et après plusieurs interventions qui furent plus ou moins calculé-je lui pose la question sous une menace qui n'en était une que pour avoir ce que je souhaite. La vérité. Je suis un piètre menteur. Pourtant quand je dis vrai souvent l'on ne me croit pas. Ce qui fait de moi un bon menteur et cela sans le vouloir. Ironique, par contre me mentir, ça je ne suis pas du genre à apprécier. Le secret dévoilé, un spectacle des plus intéressants apparait devant moi. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas intervenu, surement par étonnement, mais l'homme posant des questions dont il eut les réponses. Il se met à immiscer la haine dans l'âme de ses gens. Une graine qui peut servir pour mes dessins. L'excitation fut intense en voyant avec si peu, ce que l'on peut faire. Pourtant cette graine était un acte servent à long terme et surtout une haine ne pouvant agir que dans plusieurs années. Certes, je suis impatient, mais pour ce genre de chose, je peux attendre. L'homme passant juste à côté de moi, me laisse une marge de m'manœuvre plutôt grande. Je voulais tester se procéder et le moduler à ma manière. Je serre la poigne de l'épée que j'ai empreinte à un mort puis d'un coup la jette pour fendre le crâne de la mère en deux. Le sang giclant sur les visages et habites des trois enfants, je me mets à dire :

Hé moi je suis certain que vous retiendrait mon visage.

Sans perdre de temps, je me mets à reprendre de vue cet homme. Ne sachant pas encore de quelle idéal il était parcouru, je me mets à lui dire :

Mec, dis-moi. Quelle sont les pas qui te guide dans ce monde ?

Cette phrase ne se colle pas vraiment dans mon répertoire, j'avoue, une phrase que le vieux m'a donnée. Une, dont j'ai fait une réponse ne lui ayant vraiment pas plus, malgré cela, cette phrase est resté gravé dans ma mémoire et c'est dans ce moment-là, que je me mets à la ressortir.

Le désert semble plus propice pour reprendre la route. Le sang a de nouveau coulé cette nuit et de mes mains. Sa fait longtemps que je n'ai pas tué. Dans un certain sens cela me manquait. Laissant la porte ouverte afin que le sable recouvre le corps de la femme assise. Je ne sais même pas si ses deux enfants allaient réussir à vivre dans un désert des plus hostiles. Des gens vont-ils les sauver? Je m'en contrefous. C'est leur problème pas le mien. Après être revenus au niveau de cet homme, je me mets à lui poser de nouveau une question. D'une phrase simple, il m'explique qu'il fait cela pour un monde meilleur. Bordel, je ne me ferais jamais à cette phrase qui me donne la nausée. Une vrais calamitée, « un monde meilleur », rien que cette phrase n'a vraiment aucun sens à mes yeux. C'est quoi un monde meilleur ? Un monde où tout le monde trouve son compte. Se monde n'existe pas, il ne faut pas se leurrer. Toutes personnes vies de manière différente et aucun d'entre eux n'arrive à être d'accord avec un autre. L'humain peut qu'au grand max se supporter, et encore, certain n'y arrive pas.

Ses dires sont floue, il voulait éradiquer l'hypocrisie des hommes, cela revient à engendrer le Chaos, car sans fioriture, chaque homme cherchera à abattre un autre pour recevoir ce qu'il croit lui être due. La véritable humanité n'est rien qu'un instinct primaire, ce n'est qu'un animal enragé qui ne demande qu'à sortir de leurs carcasses de chaire. Cet homme va peut-être avoir un rôle dans le Chaos que je souhaite. Cela ne se fera peut-être pas côte à côte, mais je suis sûr qu'il peut être utile à ce genre de dessin. M'approchant de lui, je me mets à dire :

Tu as surement raison. Donc nous nous quittons maintenant.

Tapant sur son dos comme une franche camaraderie j'impose deux sceaux se superposant. La seule chose que mon père m'a bien inculquée dans ce monde. Un truc qui à l'époque je ne savais guère l'utilisé et surtout l'intérêt de savoir ce genre de chose. Un sceau fait pour oublier des moments dans le passé et un autre fait pour que le sceau soit possible d'enlever que par moi-même. A vrais dire je ne savais pas exactement ce que je faisais. Je sais le faire c'est tout. Le sceau posé, je lui enlève tout souvenir de moi. Tout sauf ses précieuses informations qu'il souhaite tant vouloir, ça et une chose. Le moment où je lui donne mon nom. Une sorte de petit détail qui lui fera poser le doute dans son esprit. Assez pour que je l'intrigue à notre prochaine rencontre. Cet homme semble prudent et tant qu'à faire autant utiliser cette prudence dans mon intérêt personnel, car avec ce détail il cherchera automatiquement à savoir ce que je sais exactement et le pourquoi de cette oublie. Voilà qui je suis vraiment un homme pensant qu'à moi rien qu'à moi et cela au détriment des autres. C'est donc d'un sourire des plus machiavéliques que je disparais pendant que l'homme qui m'occupe de lui se remet de ses souvenirs perdus.

hrp: