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Je tenais une de ces formes moi ce matin. J’aurais mangé un lion si y’en avait eu un devant moi. Pourquoi ? Parce que j’étais parvenue à m’éclipser assez tôt de chez nous pour venir dans mon bar préféré sans avoir Aoji sur le dos. Ce qui voulait dire que je pouvais avoir mon café à moi personnellement et le foutre sur ma note de comptoir que je n’allais sans doute jamais payer. Faudrait que je pense à régler mes ardoises un jour d’ailleurs. Mais bref. Si tôt le matin il n y’a personne dans les bars sauf les bons travailleurs. Chose que je ne suis pas certes, mais disons que je suis l’exception qui confirme la règle n’est-ce pas. Accoudé au comptoir et assis sur ma chaise je profitais de fraiche matinée donc, le soleil était à peine levé. Et voici qu’une main tabasse le bar en y plaquant un feuillet. Misuto de mes deux qui a cette mauvaise manie d’apparaître de n’importe et de refiler des missions sans demander l’avis… Je zieutais le feuillet un instant en finissant mon café sans jamais tourner le regard vers le masque de l’autre machin. Posant ma tasse avec classe, je croisais les bras, et dans le ton plus sérieux du monde qui fit presque transpirer le barman tant c’était intense je lui répondis fermement.

-Rien à battre je suis en repos.
-C’est drôle parce que, je me souviens pas du moment où je t’ai dit que tu avais le choix.
-Normal vu que tu l’as pas dit. M’en fou je ne prends pas j’ai la flemme.
-Allons Tenzö. Même si c’est avec une jolie fille qu’elle a lieu ?
-HE POURQUOI TU NE COMMENCES PAS PAR CA ?!

Je me jetais sur le feuillet de mission. Evidemment, ce n’est pas les ordres que je lisais alors mais avec qui j’allais faire équipe. Une fille que je ne connaissais absolument pas. Encore Genin ! J’allais avoir la classe avec celle-là ! Ça sentait bon. Mais soudainement je jetais une œillade suspicieuse sur le blaireau du Misuto.

-Elle est où l’entourloupe ? Tu vas me balancer à Aoji toi j’en suis sûr !
-Mais non voyons. C’est une mission officielle. Aucuns coups fourrés je te le promets.

Je mis le feuillet de la poche de ma belle veste rouge. Je jetais des pièces sur le comptoir. Preuve que j’étais tellement heureux que je prenais même le temps de payer pour le coup. Tout ceci avec le plus grand calme. Me craquant la nuque et prenant la pause du beau gosse je me retournais de nouveau vers le mec du Misuto pour lui poser une dernière question.

-Elle est vraiment bonne ? Comment je la reconnais ?
-Une beauté je te dis. Et elle est blonde. C’est plutôt rare chez nous tu l’as manquera pas…

Pas le temps de le laisser terminer. Je ne le laissais qu’une trainée de vent dans mon sillage tant je partis la rejoindre à la vitesse… Ouais à grande vitesse quoi. Une bonnasse rien que pour moi ! Finit Yuki la petite fille qui n’a rien de sexy ! Finit Aoji qui me tabasse dès que je me cure le nez ! Ou même shord qui me jette ses battons de foudre dans la tronche ! Ce coup là j’allais pouvoir le jouer comme bon me semblait ! Direction le Tunnel bleu sans faire la moindre pause ! Les ailes que me donnait cette mission étaient si grandes que je ne ressentais même pas la fatigue ! Et en plus, c’était moi son capitaine pour cette mission ! Mouahahahaha ! Aucun risque de se faire prendre ! Aucun mal à la repérer sur le banc où elle était assise. Est-ce que je soignais mon arrivée pour autant ? Mais totalement quoi. Un super saut bien classe pour atterrir pile devant elle. Appelez ça un numéro de joli cœur si vous voulez parce que c’était le cas ! Sans lui dire le moindre mot. Je la scrutais, mais genre de la tête au pied avec le regard des plus insistant en penchant sur elle. Sondeur, effroyablement sérieux.  Bref la totale. Me redressant pour reprendre une pause beau gosse. Je m’exclamais enfin.

-Il m’avait pas mentis c’est une bombe ! Un bonnet C au bas mot ! MOUAHAHAHAHA

Merde… Ma perversité prenait le pas sur mon bon sens. Il fallait que je me reprenne vite avant de tout foutre par terre. Je découvrais maintenant mon regard le plus masculin et viril que je pouvais pour effacer mon facies niait et pervers qui me fait si souvent défaut. Ma voix et mon timbre changèrent aussi pour retrouver un semblant de sérieux.

-Kaguya Tenzö. Je suis ton coéquipier pour cette mission et ton capitaine en quelque sorte. N’est crainte, avec moi il ne peut rien t’arriver.

Ce n’est pas magnifique comme phrase d’intro ça ? Je n’ai pas la classe sans déconner ? ET AOJI N’Y PEUT RIEN !!!! Comme quoi, il y’a une étoile qui a fini par me bénir. Pour la suite ce fut plus cafouilleux, car n’ayant pas lu le feuillet je le sortis rapidement de ma poche pour le relire tout en foutant mon petit doigt dans l’oreille à la lecture de tout ce charabia.

-Mouais… En gros nous devons aller au port… C’est simple. On est un couple qui voulons acheter une animal exotique et on a les moyens. Ça roule ? Toute façon je te demande pas ton avis, aller ma belle on y go.

Le coup du faux couple. Ça marche à chaque fois !

Ok ! Premier contact is good ! Expression qui si vous regardez bien ne veut absolument rien dire, mais c’est comme ça que parle les jeunes d’aujourd’hui parait-il… Ma foi pour la suite tout s’annonçait sur le meilleur augure. (Augure étant un mot qui n’est plus du tout employé par les jeunes en revanche…). En gros ! Le courant passait comme papa dans maman ! Sans mauvais jeu de mot hein (en fait si mais je n’assume pas). Du coup je pointais l’ouest du doigt, tel un vainqueur, forçant le plus beau sourire dans je disposais. Puis, à plein poumons j’hurlais simplement !

-Alors au port ! Mouahahaha

Puis il y a eu comme qui dirait un bug…. En effet… Je pointais l’ouest. Mais je l’avais pointé au pif, dans l’élan vous voyez… En gros si je dois résumer… Je ne savais absolument pas où se trouvait le port principal de Kiri. Je sais que pour un habitant de Kiri c’est l’air con. Mais que voulez-vous, je suis pas marin moi hein. Je manipule des os. Je n’ai même pas l’affinité suiton… Donc moi les bateaux hein. A chaque fois que je devais les prendre en plus normalement ce n’était jamais au port principal… Bon, ma foi, s’agissait de ne pas passer pour un con à cause de ça… Ce n’était pas gagné je vous l’accorde. Alors première chose. On prenait une posture moins voyante. Quand je disais « on » je parlais de moi bien entendu. Tournant le dos à la bombasse je fouillais mes poches…Ressortant discrètement une carte je vérifiais la direction dans laquelle nous devions nous rendre… Il se trouvait alors qu’il s’agissait du sud… On appelle ça un fail donc… Rangeant aussi discrètement la carte je toussais et m’emparait de sa main pour la diriger vers le sud. Le coup de la main dans la main c’était pour plusieurs choses. Mon regard absolument machiavélique ne devait surtout pas me trahir là-dessus ! La première ! Passer pour un couple amoureux et unis. Vue la bombe que c’était j’aurais pas de mal à me mettre dans le rôle. Pour elle par contre hein ! La deuxième ! En profiter bien sûr ! Imaginez une seconde que je prenne la main d’Aoji ? Ha oui j’ai déjà tenté… Je me suis pris une crampe !Bah voilà vous voyez ce que je veux dire ! Pour cette fois j’avais la carte en main j’allais la saisir non de dieu ! (oui je jure !)

Bref, je vous épargnerais la suite concernant le voyage. Ponctuer entre mes regards pervers sur sa poitrine et l’horizon. Une paire de nichon pareil ce n’est pas correct ! Cela frôle l’indécence même ! Mais je ne parlais pas pour autant. Ou du moins assez peu. Tailler la bavette pour rien, ce n’était pas mon grand dada. Je dirais que cela me gonflait. Peut-être était-ce l’une des raisons qui faisaient que j’aimais les filles belles et qui causent pas (je ne suis pas sexiste !). Pour la suite c’était relativement simple. En arrivant au port, et s’accommandant aux si bonnes odeurs qui vont avec (c’est ironique hein), je nous dirigeais en premier lieu vers les docks. Nous devions nous faire passer pour des clients potentiels. L’idée était simple. Et je la lui soumettais directement.

-Bon, moi je suis le mari, j’emmène ma femme chercher une bestiole parce qu’elle me le réclame. La femme c’est toi. Prend un animal bien chelou. Argumente le pourquoi de celui-là et essaye de faire parler le marin sur où le trouver, au près de qui, a combien bref tout ce que tu peux !

La suite ! Simple ! Une main aux fesses à la seconde où nous arriverions devant le marin pour lui parler. Afin de crédibiliser notre couple bien entendu.

Lui ou un autre me disais-je tandis qu'elle me pointait le gaillard du doigt... Quelle différence ? Dans tous les cas nous ne savions pas réellement à qui nous adresser de base, alors ce n'est qu'un d'un hochement de tête que j’acquiesçais à sa proposition. Un pêcheur un peu en recul par rapport au reste du port donc. C'est vrai que c'était plutôt suspect. Surtout avec cette façon de regarder un peu partout qu'il avait. Plusieurs chose à noter sur ce port. Déjà l'odeur. Horrible. La transpiration des matelots ou le poisson ? Difficile à dire. Je pencherais volontiers pour un savant mélange des deux. L'éducation des matelots ? Certainement pas au beau fixe. La manière de siffler Aya à son passage ne fit que dévoiler un manque flagrant de féminité sur leur navire. Ou même en dehors d'ailleurs... Comme quoi, les muscles ne faisaient pas tout... Etre propre aidait aussi surement un peu je pense ! Mais revenons en à notre marin pêcheur un peu en retrait. Gand gaillard. D'ordinaire je dirais que même son visage transpirait l'arnaque, mais pas un seul marin ici n'avait l'air honnête alors il était bien difficile de juger ce point. Une chose était certaine. Il était beaucoup plus intéressé par le décolleté plongeant de ma coéquipière que part ma démarche gracieuse. Il ne s'agissait donc pas d'un gay !

Bref, à peine arrivé je lui fis comprendre nos fausses attentes. Fausses attentes qui devait paraître réelles bien entendu... En espérant que Aya suive parfaitement le jeu ! Mais je ne faisais pas vraiment de soucis là-dessus. Je m'adressais à lui avec arrogance. Tel le roche touriste qui venait acheter au pauvre pêcheur de quoi le divertir un peu... Et l'arrogance je savais parfaitement la jouer assurément !

-Hola mon brave !
-T'veux quoi ! Les putes c'est sur les docks est qu'on les place.
-Hum... C'est ma fiancé manant.
-Ha... Bah t'veux quoi alors ?
-Lui offrir un animal de compagnie pour notre anniversaire. Tu n'aurais pas une bestiole peu commune à nous vendre ?
-Elle cherche quoi en particulier ?
-Cela c'est à elle qu'il le fait le demander. Moi je paye et j'ai les moyens.
-Bonne nouvelle. Bon bouge pas je vais montrer à la dame.

Il découvrit de leur tissu plusieurs caisses. Plus ou moins grosse y dévoilant de la sorte des créatures toutes plus exotique les une que les autres derrière lui... Elles n'avaient pas l'air spécialement heureusement et encore moins bien traités... Helas nous n'étions pas ici pour la défense des animaux (quoi que ?). Aussi me rappelais -je intérieurement de m'occuper de son cas une fois que nous aurions appris ce que nous voulions. Pour le moment il montrait ces bêtes à Aya tandis que moi je m'attardais sur l'une d'elle. Une sorte de singe minuscule avec une étonnante paire de crocs. Je tentais de le titiller en approchant le doigt et il poussa un cri horrifiant et plus que démonstrateur de violence... Surpris j'en tombais sur le cul pour me redresser vivement en montrant le poing.

-Tu veux te battre tarlouze !! Je te défonce moi !!

Oui bon bref passons...

Et bien tout semblait se porter pour le mieux. Nos gugusses mordaient à hameçon si je puis dire. Comme quoi, le coup du couple ça fonctionne toujours je n'arrête pas de le dire ! Et Aya jouait son rôle à merveille ! Une bourgeoise bien chieuse jamais satisfaite. Ouais une femme dirons certain... Mais ne nous étalons pas sur ce débat... Donc ! Nous voici alors conduit par ce curieux personnage en retrait du port... Enfin je dis du port. Pas tellement ! En réalité il nous emmenait semblait-il simplement vers des entrepôts. Un en particulier, qui se trouvait aussi spacieux qu’insalubre. Bon dieu que ca puait là dedans... A se demander s'ils nettoyaient les cages ses cons. D'ailleurs, de un pignouf qui nous fit marcher tout de même dix bonnes minutes. Lorsqu'il ouvrit son hangar, c'est une trentaine de bonhomme qui se présentaient à nous. J'en restais tout de même surpris. Avec au moins... non en fait je n'aurais pas su dire combien de caisses et d'animaux logeaient dans ce boxon tant il n'y avait. Ça braillait de partout, des cris d'animaux que je n'aurais parfois même pas su reconnaître d'ailleurs... Quant à nos gugusses. Un mélange de transpiration et d'allure négligée... Ils connaissaient pas la douche les contrebandiers ou quoi ? Un petit effort quoi !!! Je plaignais Aya d'avance d'ailleurs. C'était vraiment gonfler d’accueillir des clients dans cet état...

La suite me direz-vous ? Et bien ma foi je pense que nous étions en plein dedans non ? Par contre d'où venaient-elles toutes ces bestioles ? Je veux dire. Faut les capturer tous ces trucs. Ensuite faut les acheminer, les stocker, les vendre et j'en passe. C'est une vraie organisation tout ça. Et je doutais sincèrement que ce soit l'un de ces illettrés qui avait monté cette affaire. Alors que faire pour le moment ? Aya jouait bien son rôle. Etait-elle cependant du genre bourrin rentre-dedans ou plus subtile ? Personnellement l'envie de leur rentrer tous dedans à ces poivrots me démangeait déjà... Ma foi je devais en parler avec Aya avant. Alors pour commencer il fallait nous isoler. Aussi lui pris-je la main en m'adressant dans le même temps ou connard qui nous guidait à travers les cages d'animaux.

-Permettez je dois lui parler en intimité.
-Faite faite je vous attends là.

Je l’entraînais vers le coin des signes en tout genre. Leurs cris assourdissant devant sans mal couvrir le bruit de notre conversation dans le cas ou des oreilles indiscrète viendraient nous épier.

-Ok beauté. On se la joue comment maintenant ? Y'a tellement de bestioles je sais plus où donner de la tête moi. On les massacre tous ou on en chope un seul pour l'interroger ou on fait genre qu'on prend finalement rien et on surveille l’entrepôt ? Je te laisse décider perso... Se battre ici je suis pas contre mais je le sens pas. C'est trop exigu y'a trop de cage... A tous les coups on va en péter et un lion va s’échapper et bouffer quelqu'un... On aura l'air fin... Bref t'en dit quoi ?

Je me grattais la tête tandis que la belle blonde d'Aya me répondit favorablement. Ouais en gros, en somme, nous étions tout à fait d'accord. On devait s'occuper de ces imbéciles sans risquer d'ouvrir les cages de toutes ces bestioles de malheur. Bon, passons le fait que mon regard était plus plongé sur le décolleté de la demoiselle que ces lèvres. Cela ne m'empêchait pas de l'écouter je vous assure ! Mais bon, elle fout ses nichons juste sous mon nez qu'est ce que j'y peux moi ? Ouais bref passons. Je lui répondis d'un clin d'oeil et lui passa à côté tout décidé. Tel un vainqueur je m'annonçais en braillant comme un veau.

-HOOOY !!!! ON EN PREND TROIS ! BOUGEZ-VOUS LE CUL BANDE DE FEGNASSE !

Ouais je suis comme ça moi, j'impose ! La classe hein ? Avouez, tout ces mal-odorant ne pouvaient que s'incliner devant tant d'autorité ! Il y'eu cependant un petit imprévu que je n'avais justement pas prévu (elle est bidon cette phrase hein). L'un des marins se pointa vers moi avec ce sourire assez repoussant. Ouais parce que déjà qu'il avait plus beaucoup de dents, si celle qui lui restait étaient jaune en plus... Enfin bref. A côté de cela aucun des marins ne bougeaient. Du moins pas dans le sens que j'aurais voulu. Ils nous encerclaient en fait. Ça sentait mauvais cette histoire. J’arquais les sourcils surpris et en pointant le boss du doigt je lui hurlais dessus.

-Je proteste ! Votre service après-vente c'est de la merde !
-On vend pas aux Shinobis nous.

De grands yeux écarquillés fut ma réponse. Puis me passant la main derrière la tête ou souriant gêné, je me demandais surtout comment il avait pu deviner ce gros tas de graisse. Nous n'avions pourtant commis aucune erreur. Tout c'était déroulé parfaitement. Alors comment diable avait-il pu deviner et surtout depuis quand il le savait ce connard ? Voyant mon interrogation il me répondit sans que je ne lui en fasse la demande.

-Je l'ai vu tout de suite. Premièrement, un gars comme toi ça ne se tape pas des bombes comme elle. Deuxièmement, les deux points rouge sur ton front, c'est le symbole du clan Kaguya et c'est connu. Faut vraiment être con pour ne pas penser à se l'enlever... On vous a juste attiré ici pour vous faire la peau.

Qu'est ce qui m'énervait ? Le fait de m'être fait avoir comme un bleu ? Tout ça à cause de deux points à la con sur mon front ? A moins que cela ne soit que notre plan était définitivement à l'eau ? Je craquais la nuque une fois en lui souriant en coin. Un petit regard de sadique pervers, comme ceux que je porte aux femmes qui me résistent vous voyez ? Non, bref pas grave on s'en fou. Ce qui m'énervait, c'était qu'il avait osé mettre mon charme en doute ! JE ME TAPE QUI JE VEUX OU JE VEUX QUAND JE VEUX MOI ! Non mais ! Et puis il s'était pas regardé ce con ! C'est le timbre de de voix bas et menaçant que je lui répondis tout en invitant ma coéquipière et se mettre dos à dos avec moi.

-Mec ! Tu connais quedal à la dague ! Ce soir si je veux je me la fais ma coéquipière !
-Tu sais que que je viens de te menacer là hein ?
-JE M EN FOU ! Je suis trop beau moi pas comme toi face de mouette ! VIENT TE BATTRE !
-Mais il est taré ce type !
-Allez vient ma chérie on va leur montrer à tous ces gueux ! TANT PIS POUR LES BÊTES ! ET MES DEUX POINTS ROUGES ILS VOUS EMMERDE !!!!
-Attrapez les !!!

Par quoi commençait le combat ? Par un doigt que je fis à nos adversaire ! Parce que la classe, c'est important !