Ces soirées d’errance. Ces pérégrination intemporelles qui me prenaient bien souvent. Un sentiment de nomadisme qui m’envahissait, quelques fois, et qui me poussait à flâner, ici et là. Un petit voyage qui m’avait cette fois emmené à Kaminari no Kuni, il y’a maintenant quatre ans de cela. J’étais jeune, extrêmement jeune, mais déjà un homme. A cette époque, j’avais douze, ou treize printemps, je ne m’en rappelle plus trop. Mon corps était bien celui d’un jeune enfant, mais maturité était d’orées et déjà palpable, omniprésente. J’arborais avec plus ou moins de fierté mon bandeau frontal sur lequel était gravé le sigle de l’hydrométéore. Tout nouveau village, voilà que j’étais un genin de la brume, Jisetsu Xaldin. Mes mains quant à elles avaient déjà connues le sang. Le massacre sur les terres de Mizu no Kuni, j’y avait pris part. J’y avais tué. Je connaissais déjà tout, je n’étais plus innocent.

Mais à peine le village avait été conçu que je m’étais lancé dans une balade sauvage. La sécurité au sein de ce nouveau né des villages n’était pas encore totale, aussi, j’avais pû me glisser en dehors des terres de Misu plus ou moins facilement. Encore plus ? Ils ne pouvaient pas savoir que je n’étais plus là bas. J’étais un Jisetsu. J’avais nombre de techniques de téléportation. Pour exemple, il me suffisait d’insuffler une quantité minime de mon chakra temporel pour me transporter vers elle. Une sorte de check point qui me permettait chaque jour de m’éloigner un peu plus de kiri, pour y revenir la nuit, comme-ci de rien était. L’utilité de tout ceci me direz vous ? Découvrir. Tout, et n’importe quoi. Que ce soit des plantes venimeuses, d’autres villages, d’autres civilisations, ma soif de savoir était déjà présente. Mon périple fût donc de passer à travers différents îlots, pour ainsi mettre pied à terre sur le gros continent, Kiri étant établies sur les terres du Kirigakure, un retranchement d’ilions.

La petite escapade m’avait donc conduite au pays de la foudre, mon chemin entrecoupé de bars que je retrouvais un peu partout sur mon chemin, et où je faisais parfois halte, que ce soit pour me reposer ou me désaltérer. Il faut dire que j’avais un peu usé mes pieds. Mais plus tard, ce trek géant m’aura servi pour nombre d’occasions, me servant de relais aux quatres coins du monde.

Montant sur une colline, je me penchais sur une plante sauvage, l’examinant avec précaution. J’avais fait un détour par ici pour une seule et unique raison. Cette plante. J’en avais entendu parler dans les quelques bars avoisinants. Une pousse spéciale, dont on pourrait apparemment extraire une toxine causant une cécité.

Je sortais une pince de ma confection, me préparant à scalper la graminée délétère, quand tout à coup un son... Je me stoppais en pleine action. Il ne fallait pas faire de faux mouvement sous peine de ne plus pouvoir voir.

Je retournait ma petite tête, regardant le passant qui avait causé ce bruit de pas. Un petit enfant, dans mon âge, peut être même plus jeune que moi, oui. Recouvert dans un grand manteau noir qui ne lui saillait pas, voilà qu’il me fixait de son enfantin soupirail. S’étant arrêté un moment, le môme reprit sa marche vers moi qui avait mis la pince à terre, devant la pousse délétère, le mini scalpel s’étant imbibé de la plante que j’avait commencé à scalper. Le fils d’Eve m’interpella d’un ton empli d’arrogance et d’un palabre qui ne manquait pas de culot. Voulait il m’effrayer, c jouvenceau qui n’avait pas encore détaché du lait en poudre ? Oh, il se risquait à un jeu dangereux avec moi, surtout qu’en pleine analyse, je n’avait jamais eu pour habitude que l’on me dérange, et encore moins de cette inadmissible façon. Mon œil marron tourna au flavescent, et l’espace d’un instant je malaxais mon chakra, d’une façon primitive, afin de se retrouver à quelques mètres, à l’opposé de ce garçon qui me faisait maintenant dos. Ce n’était qu’une technique lambda, et que je ne pouvais pas réitérer en combat, mais vu son âge et sa manière d’être, il ne devait point être habitué. Je relevais le menton légèrement, essayant d’aggraver le son prépubére provenant de mes cordes vocales :

• Ne serais ce pas l’inverse plutôt ? Allez le mioche, tu peux encore fuir, ma prochaine action, c’est un poing dans ta gueule, ou un kunai dans ton ventre. J’hésite encore vois tu ?

Oh oh, j’avais dû lui foutre la trouille à ce moins que rien, en plus, je ne mentais qu’ moitié. Il n’était pas à exclure que je lui enfonce un kunai dans le ventre histoire de me défouler. Il devait soit me donner une réponse convaincante, soit fuir. Dans le cas échéant, il allait mordre la poussière. Ou plutôt, le venin de cette plante. Ca fera un bon rat de laboratoire, un peu chétif certes, mais il servira quand même. Oh, à cette époque là, il ne m’aurait manqué que la cigarette dans la bouche pour faire le Xaldin d’aujourd’hui, la difference que j’étant que j’étais un peu plus arrogant et provocateur, comme tous les mômes quoi. Bien que cette facette de ma personnalité soit restée enfouie en moi même. Disons que je sais canaliser cette arrogance afin d’en faire quelque chose de plus subtil, plus « mûr ».

Pour l’instant, l’issue de la rencontre ne dépendait que du petit garçon qui se dressait devant moi. J’espère tout juste me débarrasser de lui pour pouvoir me remettre à mes expériences, après tout, la science n’attend pas... Un léger froid commençait à se lever sur la contrée, cependant, je restais impassible. J’en avais l’habitude, j’étais un Shinobi, et pas n’importe lequel. Ce qui impliquait ma résistance à la blessure, au froid, et même aux petits connards qui osent me déranger dans mes moments de découvertes...

Spoiler:

Je pense que je n’avais pas réellement l’intention de le tuer, je voulais juste jouer un peu avec lui, lui montrer que j’étais bien à un tout autre niveau que lui. Il paraissait plus jeune que moi, aussi. Alors oui, il devait être entrain de faire dans son froc. Le marmouset était accoutré d’une pèlerine qui ne lui siédait pas du tout, et qui lui arrivait aux genoux. Quelques cernes de fatigues et même d’effroi parsemaient son visage, déformant les fins traits de son faciès enfantin. En bref, c’était un bien étrange personnage, tout comme moi. Je fus bien forcé de constater ça.

Alors, qu’allait il faire maintenant ? Prendre mes piètres menaces pour une réalité que je n’allais pas mettre à exécution –enfin pour l’allonge dans sa margoulette, ça m’avait bien démangé-. Je haussais le sourcil, apaisé. Il avait compris qui était le boss ici. Cependant il aurait ajouté dans son palabre qu’il aurait volontiers répondu à ma provocation si il en avait eu la force, car son énergie spirituelle ne semblait point être présente pour le moment. « Alors, fais ce que tu veux. Si l'envie te dis de tuer un enfant sans défense et bien fait le. Sache en tout cas que tu n'en tireras aucune gloire. De toute façon j'ai déjà fait ce que j'avais à faire sur cette terre. »

Ca, c’était définitivement le pompon. Pour le coup j’ai vraiment failli le tuer. Il se permet de dire ça, ce petit connard ? Si je veux le tuer, je le ferais, gloire ou pas, qu’il soit un petit enfant ou pas, qu’il ait le chakra de Sanbi en réserve ou qu’il soit épuisé. Je ne suis pas de ces hommes qui se laissent vaincre, petit. Alors qu’il soit un petit jouvenceau sans défense et sans chakra, il n’avait qu’à y penser avant de m’aborder de cette façon. C’est alors que le garçon se désapa de son manteau.

Je voyais maintenant de quoi il voulait parler. Son anatomie estropié le rapprochait plus du cadavre que du Fils d’Eve. D’innombrables lésions et meurtrissures parsemaient son chétif corps, et de faramineuses quantités d’hémoglobine vermeil teintaient sa carcasse. Ce même sang c’était déversé sur ses affublements qui étaient tombés en lambeaux : Une chemise et un pantalon. Et merde, je hais aider les gens, mais que faire ? Ce petit ne le mérite pas. Et puis, cette reconnaissance qui se reflète dans les yeux des gens, oh oui, je hais ce sentiment, au plus profond de moi. Mais au moins avec celui là ça risque pas.

• Je n’en ai que faire de la gloire.

Cela laissait présager une attaque de ma part, mais ce n’était que mon ultime récréation. Je repris, plus sérieux :

• Finalement tu aura eu de la chance d’être tombé sur moi, p’tit.

Je l’allongeais sur la terre ferme, examinant son corps mutilé. A cette époque, je n’avais pas encore acquis l’Irou no Jutsu, mais j’avais les quelques rudiments concernant les soins. Ma dextre s’alluma d’une pétuleuse véhémence. J’allais tout d’abord cautériser les blessures avec du katon. Bien rapidement, ma main passa sur les blessures les plus graves, puis sur les plaies moins dangereuses. Je sortis de la doublure de mon manteau une fiole de ma confection que j’agitais :

• Tiens, ça te permettra de surmonter la douleur. Tu est loin d’être guéri de tes blessures, mais c’est un point de départ. Tes paroles s’entremelent, se rassemblent en un point. C’est ce que tu avais à faire sur cette terre qui t’a causé ces scarifications, n’est ce pas ?

Bon ce petit gars était bien mal en point, hein. Maintenant que je regardais avec un peu plus d’insistance, malgré la cautérisation des plaies, il devait être entrain de passer un sale quart d’heure. Les scarifications apparentes l’avaient complètement affaibli, rendu à l’état de simple larve, lui qui ressemblait déjà à un gringalet, ça n’allai pas bien. Je débouchais la petite fiole, déversant son contenu dans la petite gueule du garçon. Un pseudo anesthésient par voie orale, il m’avait fallu nombre d’études et de malaxage de toxines pour arriver à le concocter. Et voilà qu’il allait maintenant dans le ventre d’un vulgaire plèbe pour le soulager de ses petits bobos. Heureusement que j’ai des plantes venimeuses et de la cellule grise en abondance. M’enfin, de par son apparent déconcertement, le jeune jouvenceau ne devait pas comprendre qu’il était tombé sur la bonne personne. Ou plutôt qu’il était tombé sur moi au bon moment, vu que je suis d’humeur assez.... Changeante, on va dire. Il a lui même eu le privilège de faire cette expérience, même si ce n’était que mon côté taquin qui avait agit.

Mais bon dieu qu’est ce qui pouvait faire qu’un petit enfant encore plus jeune que moi, et apparemment pas ninja, était aussi sale, aussi mutilé ? De qui avait il peur ? Que fuyait-il ? Voilà ce qui commençait à m’intriguer un peu. Je rangeais mon scalpel dans une sacoche, écoutant ce que le petit avait à dire. Après une serie de bêtes interlocutions, et une boutade de remerciement, le futur genin de la foudre affirma mes dires, se présentant sous le nom de Shinji. Comme le joueur de Manchester, ouais. M’enfin, j’pense pas qu’ils aient les Barclays sur SnH. A moins d’avoir Irana comme Pom-pom girl, là ça d’viendrait l’sport numéro 1. M’enfin, passons.

Après que le garçon eusse émit un ravissement de cette rencontre en ces « circonstances », je lui répondit tout en me levant :

• Hm, je prends ça pour un compliment. Quand à ma réaction, disons que tu ne veux tout simplement pas savoir... Enchanté aussi, et de rien pour les soins. Ah... Intéressant.

Ce qui m’avait fait dire cette dernière exclamation était le fait que j’avais maintenant devant moi deux gus, eux aussi apparemment exténués par le voyage. Ils fixèrent le petit Shinji avec hargne. Apparament, ils en avaient après lui, et comme toujours, je devais jouer aux héros. C’est à dire que ce rôle ne me sied plus, à force... Mais bon, ce sont apparament des civils, en ma qualité de piètre genin, je peux tout de même les abbatre. Enfin j’espère. Sinon j’aurais l’air bien intelligent. Je pris un Kunai de ma main droite, et le lançais nonchalamment sur eux. Je regardais les deux alguazils comme-ci de rien n’était stoïque. Et un mudra uniforme, le kunai se dupliqua une trentaine de fois. Mais toute la magie, toute la puissance de mon art, résidait ici... Un portail se créa devant les missiles, pour les faire réapparaître derrière les deux reîtres costumés. Les surins tailladèrent la chair des deux colosses qui se convulsèrent de douleur, avant de tomber sur le sol inconscients, mais non pas morts. Je me retournais à nouveau vers le garçon, lui demandant :

• T’a fait quoi au juste ? Et y’en a encore beaucoup comme ça ?

Putain, dans quel merdier il m’avait foutu ce gosse ? Ces mecs, qui étaient-ils ? Il a cambriolé une banque ou un truc du genre ? Wesh, j’veux pas être embarqué dans des embrouilles de ce genre. Et puis, si il y’en avait encore, de gus comme ça, j’pourrais pas tous les niquer. M’enfin, j’sais à peu près comment faire pour les éviter, j’éspére juste avoir le temps nécessaire pour ça. Pis, j’ai pas des réserves de chakra de oufzor, déjà là je viens de niquer le bon tiers de mon énergie spirituelle. Espérons que le gosse sache répondre, ma patience a des limites.

Esquissant un sourire, le futur genin de la foudre répondit par une des précedentes répliques que j’avais employé. Il ajouta qu’il y’en aura certainement d’autres. Le gnard me demanda quel était mon pouvoir, fasciné par une telle maîtrise de l’art de combat. C’est vrai que pour un genin, j’me débrouille pas mal. Mais bon, mes chevilles commencent à enfler là, en effet.

Interrompus par un bruit de pas en constant approche, le garçon à la crinière de jais commença par dire que nous devions nous separer, se justifiant par le fait qu’ils le cherchaient lui, pas moi, et que je n’avais pas de raisons d’être impliqué dans c’te machiavélique démence. Ok, si tu veux je me casse, baybaye, bon débarras débrouille toi, j’viendrais déposer des fleurs sur ton cercueil défoncé. Mais alors que je tournais les talons, pour ainsi vaquer à mes nouvelles occupations, l’mioche commença à geindre de nouveau, mettant un pied à terre, adoptant ainsi la posture du guerrier courageux vaincu mais insoumis. Dans son cas, il essayait d’être séditieux à la douleur, mais celle-ci l’avait apparemment reprise de plus belle.

Soupirant, je retournais vers le garçon à toute vitesse, avant que les mercenaires l’ayant entrepris en chasse n’arrivent à destination. Putain, avec toutes ces conneries je n’avais pas pu obtenir ce dont j’étais venu pour. La fameuse plante venimeuse. Ah, je vais me venger en plantant un kunaï dans sa gorge, ce con. ._.

Après un énième facepalm de ma bonté en ce qui semblait être un parfait déchet de la société, un civil en plus, je le tînt par le coude, malaxant mon chakra Jisetsu pour ainsi me téléporter vers d’autres horizons, plus surs, et surtout où cette bande connards n’aurait pas la brillante idée de s’aventurer.

Nous nous trouvions maintenant au bord d’une rivière de Ta no Kuni. Marmonant quelques insultes envers ma personne pour ma sooi-disant bontée dont j’avais fait preuve à l’égard dudit garçon, je m’assis en tailleur sur l’herbe, encore exaspéré. Je regardais le ruisseau limpide filler tandis que je disais au garçon :

• C’bien beau de vouloir te débrouiller tout seul, mais apparemment tu manque encore un peu de préparation physique, voir même psychique... Et à cause de toi j’ai pas pu avoir ce dont j’étais venu pour...

Je pris une pierre, la jetant sur l’eau, tout en la regardant ricocher sur la surface plate et lisse avant de sombrer finalement :

• Sinon bah, je suis un ninja, c’est ça qui me permets de refaire la gueule aux connards qui m’cherchent des embrouilles. Je contrôle l’espace et le temps sous certains aspects pour faire bref. Toi, vu ta trogne et ton comportement, t’es un civil, j’me trompe ?

Au fond, ce petit garçon n’était pas un mauvais bougre. Disons juste que son manque de maturité faisait de lui un petit gnome arrogant à première vue. Une mauvaise herbe qu’on voulait arracher, mais qui devenait part du jardin peu à peu. En parlant de mauvaises herbes, avec tout ça je n’ai pas pu avoir mes graminées poisoneuses. Heureusement j’avais insuflé mon chakra Jisetsu dans une zone approximative de la plante. Je pourrais me débrouiller pour y revenir lorsque j’aurai le temps.

Ce petit quant à lui était apparemment trempé dans les ennuis jusqu’aux os. J’sais pas ce qu’il a fait au juste, mais il a une belle cavale aux fesses. Vol, aggression ? Ces enfants d’la street, ça fait des dêgats de nos jours. Mais il me semble que celui-ci n’as pas grand chose pour se défendre. Il faut refaire son éducation en matière de ninjation. (Nouveau mot, sisi)

Le jeune quidam, après avoir présenté ses excuses, me demanda de quel village je faisais partie, pour ainsi poursuivre une ribambelle de questions. Après avoir affirmé qu’en sa qualité de civil, il venait tout juste de faire la découverte de ses pouvoirs –en somme comme un gosse qui avait un nouveau jouet du style pistolet à eau- le garçon me demanda si il n’y avait pas une agglomération reître à proximité.

Bon, je n’allais pas lui révéler que j’appartenais à la Brume, il y’a quelques informations que je ne dois pas lâcher je suppose. Encore, mon pouvoir en bref, on s’en tabernak, mais quand on assemble beaucoup d’informations ensemble, ça peut devenir potentiellement dangereux.

Surtout quand on voit à quel point il paraît naïf. Je suis un peu parano sur les bords oui. Puis en plus, il veut rejoindre un village ninja. Je ramenerai pas ce bras cassé à Kiri, hors de question. De plus, il demande l’agglomération la plus proche. C’est à dire le village de la foudre. Ces tantouzes seront heureuses de l’accueillir.

• Je suis un ninja érrant, une sorte de nomade pour faire bref. Quant au village le plus proche, Kumo se trouve à quelques lieus d’ici. Mais avant, voyons ce que u peux faire.

Je me relevais, executant un mudra. Tout porterait à croire que je vais l’attaquer mais la vérité est toute autre. Tout autour de moi se forment cinq clones consistants. Voyons si il peut en faire de même. Un petit test pour voir ce qu’il a dans le ventre et qui lui sera du moins instructif.

• Non, tu ne va pas te battre. Je vais plutôt tester un des capacités cruciales à un ninja. La capacité d’appréhension. Ceci est la base du ninjutsu, le ninpô, plus communément appelé multi clonage. Ces automates peuvent agir, écouter, répondre, attaquer à ta place, dans la limite du possible. C’est en quelque sorte le passe parout du ninja, c’est à dire du futur toi.

Voyons ce dont il est capable. Les bases du style concentrer son chakra et autre lui seront forcément nécessaires.