Le jour était arrivé aussi vite qu’un faucon filant dans le ciel et Gengo avait droit à sa première rencontre avec nul autre que le célèbre kazekage Araakoa Aare.
L’excitation l’avait déjà envahie une semaine auparavant quand il avait su qu’il aurait la chance d’avoir une séance d’entrainement avec cette légende
vivante survivante, mais la le comble de l’attente était fini. Il avait déjà eu la chance de le voir et d’entendre des récifs à son sujet, mais la chance de l’affronter et d’apprendre de lui était simplement inimaginable. De plus comme tout le monde le savait à Suna, la guerre approchait et tous devaient être prêts au moment décisif. Cette rencontre ne serait donc pas seulement un point décisif pour son avenir, mais sa survie proche.
Une fois son meilleur arsenal préparer, il pue partir pour le rejoindre au terrain d’entrainement. S’y rendre ne fut aucunement dur et bien qu’il soit parti en avance, le vieil homme l’avait devancé. Honteux de ne pas pouvoir le surprendre d’une visite prématurée, il se présentât d’un simple signe de tête baiser, poing lier et une courbe de son tronc vers l’avant. Ensuite, papy Suna comme certains l’appelaient se présenta suivant le code d’éthique que les gens élever utilisaient. Le disciple tendit l’oreille et but les paroles de son maitre comme s’il était asséché depuis des jours. Une fois qu’il eut fini de parler et seulement là, Gengo se présentât sur un ton calme et soutenue, tout en évitant de soutenir son regard, chose qui aurait pu être prise pour de mauvaises manières.
« Heureuuux de vous rencontrer honorable kazekage, je suis plus que près pour apprendre de votre expérience et à vraie dire j’attends se moment depuis un moment déjà. »
Ne sachant pas trop quoi faire, le Genin garda ça posture militaire tout en gardant ses sens en alerte, bien qu’il est une confiance aveugle en cet homme qu’il rencontrait pour la première fois, la surprise et les pièges étaient un quotidien chez tout ninja, or ce vieux shinobi pourrais aisément être un farceur qui aimait prendre ses élèves par surprise pour les tester alors qu’il ne s’y attend pas. Dans l’éventuelle possibilité où il devrait faire une démonstration de ses talents, il ne put par contre retenir son souffle et demanda hâtivement.
« J’ai l’agréaaable sensation que cette fameuse technique sera à couper le souffle. J’espère, sans vouloir vous manquer de respect, que vous êtes aussi près que moi pour cet entrainement, car je compte bien vous donner tout ce que j’ai. »
L’assurance se dégageait de ce fier jeune homme aux yeux brillants de détermination, le combat était un art et il était prêt à tout pour le maitriser.