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Rang : Y'a vraiment des gent qui lisent ça ?
 | | (#) Sujet: Mission de rang C : Le monde est un moulin qui moud bien des farines. Lun 23 Avr 2012 - 17:48 | |
| Ma vie de ninja :
Chapitre 2 : Le monde est un moulin qui moud bien des farines. Résumer de la mission
- Spoiler:
Un boulanger doit impérativement recevoir sa cargaison de farine pour pouvoir assurer son service. Problème... Pas de livreur en vue et son champ est basé sur une petite île de l'archipel du Pays de l'Eau. Votre rôle consiste à vous y rendre et à ramener le chargement dans les temps. Bonne chance.
Je note sur mon carnet de bord « Il est vingt heures plus une brise ne chatouille voiles, plus un courant qui me poussent vers le rivage ou l’horizon ». Quand tout à coup ! Je me réveille, pas un bruit, pas une ombre sauf moi gesticulante et en sueur. Encore un mauvais rêve assez réaliste tout de même, il faut dire que j’ai une imagination débordante. Raion l’air surpris me regarde et se rendort en boule, à mes pied, comme ça il me tient chaud car les températures baisse pas mal en ce moment. Je prends mon MP3, l’allume et je me mets à somnoler. « Six heures du matin c’est le 6/9 sur Kiri’Musik ». Six heures, parfait je vais me préparer calmement. Aujourd’hui comme d’habitude ma tunique, ma jupe et mon sac son mes seuls habits de toute façon. Je sors de ma chambre, je veux descendre et là … je me dis que j’aurais dû mettre mes chaussons … Je glisse et dévale les escaliers sur les fesses. Je me relève difficilement et là un homme du clan m’apporte un papier roulé avec le sceau du Mizukage. Une mission pour moi chouette, je vais m’assoir à table et là … AÏE AÏE AÏE mon coccyx. Je m’assois difficilement, je bois mon lait et je me décide à ouvrir l’ordre de mission :
Je me chausse en quatrième vitesse et enfile mon manteau. Je sors dans la forêt il faisait très sombre. Je marche d’un pas décider quand un loup passe devant moi, il se retourna vers moi me regarda dans les yeux et continua sa route et moi aussi. J’arrive dans les champs ou je vois Zuko (voir Les cornichons ne sont pas tous dans les pots). Je lui fais signe et lui un sourire. Je continu ma route me voilà en centre-ville. Je m’arrête devant un magasin pour marin, je dois prendre le bateau, J’erre entre les étales et un vendeur viens me voir me conseille deux ou trois chose et je ressors avec un petit sac contenant : une boussole, un carnet de bord et des pilules contre le mal de mer, on ne sait jamais. Le vendeur m’avait indiqué que le dernier bateau partait dans trente minutes. Je couru jusqu’au port mais le bateau atteignait déjà l’horizon que faire. Un marin rentrait de la pêche sur son bateau à voile. Je sortis mon carnet de bord en déchira une page et écrit un petit mot gentil à l’attention de l’homme. Je descendis furtivement le long de la berge. Raion alla glisser sous la porte le petit mot et je sauta dans le bateau et mis les voiles. Je vis l’homme sortir et me sourire. Dire qu’on est en mission c’est pratique. Nous ne voyons presque plus le rivage quand Raion tomba à l’eau en voulant attraper un poisson, il se débâter mais avait le poisson dans la gueule je le rattrapa, il se sécha et mangea son poisson dans son coin. Les côtes sont en vue enfin ! Je descends à quai et marcha quelque heures. La nuit tomba quand j’atteignis le champ et le moulin du boulanger. J’entra dans le moulin il y a quelqu’un qui fait tournée la meule. Je m’approche l’ordre officiel dans la main. L’homme ou plutôt l’armoire à glace pleine de cicatrice, aussi haut que large et au regarde sombre et froid se tourna vers moi :
- Je t’attendais, me lance-t-il, tu es envoyé par le Mizukage n’est-ce pas ?
- O…O…Oui monsieur je viens chercher la farine. Je ravale ma salive
- Vas dormir là-bas, me dit-il en me montrant une meule de foin, sois en forme demain tu as une rude journée qui t’attend
Sans chercher plus d’explication je me dirige vers le tas de foin. J’ai une sensation bizzard je devrais entre intimider par cet homme mais non au contraire je me sens comme en sécurité. Un coq me réveil. L’homme se tourna vers moi
- Tu es enfin réveiller, la farine t’attend dans la salle d’à côté.
Je m’apprête à partir et j’esquisse un pas de côté et je fais un bisou sur la joue au meunier.
- Au revoir …
- Erglug … Moi c’est Erglug
Je prends les sacs de farines enfin j’essaie des sacs de dix kilos ce n’est pas pratique à porter et là j’entends une grosse voix crier
- Prend la charrette a côté mais il faut que tu l’a tire-toi-même
Je quitte le moulin, que c’est beau le soleil de l’aurore sur les blés je crois que c’est pour de chose comme ça que je voyage. J’arrive sur les côtes un bateau en direction de Kiri allait bientôt partir mais je me rappela de ma promesse faite au marin je dois lui rapporter son embarcation. Je pris donc la mer dans ce vieux rafiau. Vers midi Raion nous a péché du poisson mais j’ai eu une drôle d’impression je regarde les voiles et là horreur plus de vent. Nous n’avancions plus d’un cheveu. Je vais écrire la malheureuse aventure en mer d’une ninja en mission. Je note sur mon carnet de bord « Il est Midi plus une brise ne chatouille voiles, plus un courant qui me poussent vers le rivage ou l’horizon ». Cela me dit quelque chose. Quand tout à coup une tempête éclata. Le bateau tanguait dans tous les sens quand un sac de farine m’assomma. Je suis morte c’est ça. Je me trouvais sur une plage de sable blanc et là je vis quelque chose d’assez déconcertant un drapeau de Kiri … Je suis à Kiri Je ne suis pas morte c’est génial. Je me lève encore tout étourdie et regarde l’heure, 16 heures je dois me dépêché. Je prends ma charrette Raion dort paisiblement dedans. Je marche, je me traine et j’arrive au bout de deux bonnes heures de marche en ville. A 18h15 le boulanger m’attend et dès qu’il me voit se met à me crier dessus :
- Encore un quart d’heure et j’aurais eu des problèmes demain matin !
- Excuser moi monsieur
- Que faisiez-vous ? Vous dormiez je suppose
- Pardon monsieur. Au revoir monsieur
Je l’entendais marmonner des injures surement à mon égard, je m’en alla et quitta la ville. Je fis sourire au GENTIL Zuko qui me le rendit encore plus chalereux que la dernière fois. J’entra dans la forêt le cœur léger en me disant qu’il y a des gens à qui on aime rendre servir mais d’autre on espère ne plus jamais les revoir. Il faisait déjà sombre dans la forêt les bête de nuit sorte leur museaux et sorte de leur cachette. Moi c’est la contraire je suis un animal de jour. Je traversa une meute de loup inaperçu mais bon vous savait ce que l’on dit la nuit tous les chats sont gris. De retour dans ma chambre je m’étendis … sur le tapis le lit était trop loin.
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