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 | | (#) Sujet: L'annonce d'un défi Lun 1 Mai 2017 - 10:35 | |
| Le combat final était terminé. Le combat final ? Pas vraiment. Il y en aura d’autres. Pleins d’autres. Notamment si les bruits concernant le pays du Soleil se confirment. Un autre bijuu. Et bien d’autres encore.
Rokubi vaincu, par la seule force de deux villages. Malgré les nombreuses pertes, les hommes l’avaient emporté. En ajoutant Kumo et l’Empire dans la balance, les bijuus étaient-ils une réelle menace pour l’humanité ? Quand le danger se fera trop grand, ils se rassembleront naturellement pour éliminer la menace, comme ils l’avaient fait pour Makka.
Les quelques brûlures et hématomes du Yamanaka avaient été soignés. Des dégâts écopés lors d’une confrontation avec des cultistes. Il n’avait eu aucune blessure de l’ultime face à face. Rokubi avait été une déception… Quoique, le rituel avait bien dû donner quelque chose ? Mais Shigo n’avait pu admirer l’étendue du spectacle. Les Sunajins si, lorsqu’ils rentrèrent chez eux. Mais y avait-il vraiment quelque chose à voir ? Une dune de sable ou un creux parmi tant d’autres dans le désert. Sans doute plus aucune trace de la civilisation. Et tous ces civils sacrifiés pour le rituel, Shigo n’en portait pas le moindre regret. Il avait déjà oublié leurs visages et se souvenait à peine de leurs cris. Les râles d’agonie étaient tous similaires de toute façon. A part ceux des bijuus, peut-être. Plus risqué pour leur tympan.
Derrière le va-nu-pieds, la porte menant à la chambre d’hôpital de Kibõ. A ses côtés : d’autres membres de l’ANBU, signifiant par la même occasion l’importance de leur invité. Seuls des médecins accrédités avaient pu entrer au début. Shigo en profitait d’habitude pour jeter un coup d’œil à l’intérieur. Le Sunajin était encore en vie, sorti d’affaire à présent. La surveillance devint moins stricte tout comme les visites, mais il demeurait toujours plus d’un membre de l’unité spécial devant la porte.
Celui au masque blanc, sans motif aucun, avait remarqué un point intéressant : un marteau particulier, dans la chambre du patient. Lorsque ça n’était plus son tour de garde, il rejoignit la bibliothèque, questionna certaines personnes, à la recherche d’informations sur le marteau. Il n’en avait jamais vu de tel : était-ce simplement une création Saibogu particulière ? Suna raffolait d’originalités mécaniques et instrumentales. Mais les légendes qui témoignèrent de cette arme étaient bien plus anciennes à l’édification de Suna. Même de Konoha. Qu’était-ce donc ? Un objet d’une grande valeur marchande, sans aucun doute. Mais si un guerrier de l’acabit d’une Ombre le portait à la guerre, elle devait aussi avoir son utilité au combat.
Cependant, le vol n’était pas possible. Kibõ était conscient et il y avait toujours d’autres membres de l’ANBU aux côtés de Shigo. Il fallait donc trouver autre chose. Des détails, des informations auxquels le Yamanaka avait à présent accès depuis qu’il avait intégré les forces spéciales. Ca n’était pas la première fois que l’ancien Kazekage se trouvait dans cet hôpital. Il aurait déclenché la guerre entre Suna et Konoha parce qu’il avait été manipulé… Jusqu’à quel niveau s’élevaient ses regrets ? La bonté humaine : sa plus grande faiblesse. Jouer dessus serait le plus logique.
Alors, lorsqu’il put pénétrer dans la chambre, il fixa Kibõ de son unique œil de derrière son masque. Là, il patienta à la porte, silencieux, jusqu’à ce qu’une certaine gêne s’installe pour le patient. Ou jusqu’à ce qu’il parle ? Le Yamanaka s’approcha enfin et déposa un bout de papier sur le ventre du Sunajin. Sans un mot, il resta là, toujours à le fixer, pendant que ce dernier lisait son message. Des mots maladroitement écrits mais lisibles. La calligraphie d’un enfant qui écrivait rarement ou qui apprenait à dessiner les lettres.
« Vous êtes l’auteur de la guerre, coupable de bien des crimes, mais surtout un voleur. Vous m’avez volé ma famille et mes amis, mes proches. Vous m’avez réduit à la solitude et jamais leurs âmes ne pourront trouver le repos. A part si vous mourrez.
Mais je ne peux vous toucher. Pas ici, dans cet hôpital, alors que vous êtes en convalescence.
Si vous avez un tant soit peu d’honneur, retrouvez moi à cette adresse, à l’extérieur de Suna, quand vous serez rétabli. Et apportez votre marteau : vaincre un infirme sans qu’il soit au sommet de sa forme ne me satisfera pas.
Je vous attendrais, assassin. Vous paierez pour vos crimes. »
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| | (#) Sujet: Re: L'annonce d'un défi Lun 1 Mai 2017 - 20:14 | |
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Mes derniers souvenirs étaient flous, voir nuls. Je me rappelle avoir pris Tsukiko et l'avoir emmener derrière le groupuscule de Taiyôjin mené par Dame Uma. J'avais demandé à ce qu'on aide la Kawaguchi, puis le néant.
Étais-je mort ?
Non, je voyais l'intérieur de mes paupières se tinter de rouge, signe qu'une source lumineuse donnait sur mon visage. Péniblement, j'ouvrais les yeux. Un plafond blanc, voilà ce que je voyais. Cependant, je connaissais cet endroit rien qu'en ayant les yeux rivés contre le haut. Konoha. Je me retrouvais une fois de plus à l'hôpital du village de la feuille. Comment était-ce possible ? Aucune idée. Satochi ? Il était le seul Konohajin sur le terrain. Avait-il réussi à maintenir Kyubi en cage ? Si je vivais, je suppose qu'on avait réussi, qu'ils avaient réussi.
Je tentais de bouger la tête pour par-delà la fenêtre, mais une douleur insupportable interrompit mon mouvement. Je bougeais mes pupilles pour comprendre un tant soit peu ma situation et je voyais mon corps bandé de la tête au pied. Je n'avais qu'une seule chose à dire : Merci Tsukiko. Allais-je récupérer la totalité de mon corps après les importants dégâts subis lors de cet affrontement ? Je l'espérais, je ne pouvais pas rester les bras croisés après ce que j'avais vu. Miraculeusement, j'avais survécu, une fois de plus, était-ce un signe ? Mon moment n'était pas venu, j'avais encore des choses à accomplir sur cette terre avant de la quitter ?
Je refermais les yeux et m'endormais, j'avais besoin de quelques jours avant de pouvoir bouger.
***
Aujourd'hui, j'avais pu me lever pour la première fois de mon lit. J'en avais profité pour ouvrir la fenêtre et sentir la brise carresser mon corps recouvert de bandage, mais ce fut une très mauvaise idée. Même le vent, aussi faible soit-il, me faisait mal. Je ne savais ce qu'avait de spécial le nuage de vapeur de ma coéquipière, mais il était très corrosif, malgré l'opération et les soins quotidiens, mon corps récupérait très lentement. J'avais néanmoins récupérer l'usage de mon Chakra et j'en avais profité pour sceller mes effets personnels dans mon corps. Le marteau qu'Ema m'avait légué avait été exposé de manière inconsciente dans ma chambre, j'espérais que personne ne l'ait remarqué ou comprenne l'importance de ce trésor.
Je me reposais dans mon lit, tout ayant pris la peine de refermer la fenêtre. J'avais demandé à ce que l'on amène mon fils ici, je ne l'avais pas vu depuis mon retour à Suna. Avait-il grandi ? Savait-il parler ? Se souvenait-il de moi ? Plaçait-il Miko avant moi dans son coeur ? Tant de questions sans réponse. Soudainement, la porte s'ouvrit, était-ce lui ? Non. Un homme masqué rentra et resta au pied de la porte sans piper mot.
Disais-je la voix obstrué par mes bandages. Les secondes passèrent et mon visiteur ne bougea pas. C'était louche... Heureusement, l'individu se décida de bouger et il s'avança vers moi, je n'étais pas serein, il était étrange, mais si les gardes l'avaient laissé pénétrer dans ma chambre, cela voulait dire qu'il n'était pas dangereux, non ? Il me déposa un papier sur mon lit et continua de me regarder de son seul oeil. Je pris le billet sans le lâcher du regard, mes pupilles voyagèrent entre le papier et mon invité.
— Malheureusement, l'auteur de cette guerre et des crimes que vous mentionnez est mort lors de la "purification".
Annonçais-je calmement à mon invité. Je sentais qu'il n'allait pas me laisser comme ça, il voulait que je paye pour les fautes de Yamuro.
— De plus, le marteau en question est un cadeau d'une valeur sentimentale inestimable, jamais je ne le donnerai. Désolé.
Il s'agissait du dernier présent de la part de mon épouse, comment pouvais-je le mettre en jeu dans un combat inutile contre un Konohajin ? Tout ça n'avait aucun sens.
— Je reste à ta disposition pour tout autre dédommagement, je suis prêt à négocier. As-tu vraiment besoin d'une arme pour oublier la mort de tes proches ? Je pense qu'il y a bien plus important, non ?
Terminais-je, presque essoufflé par les quelques phrases prononcées.
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| | (#) Sujet: Re: L'annonce d'un défi Lun 1 Mai 2017 - 20:59 | |
| Kibõ allait-il bien ? Les vapeurs corrosives avaient-elles grignoté son cerveau ? Avait-il seulement bien lu le contenu de sa lettre ? Bien que tout soit faux, le Yamanaka leva le bras, prêt à gifler l’homme cinglait de bandages. Il s’arrêta en chemin, comme s’il hésitait, ou comme s’il se souvenait qu’il y avait des gardes à côté.
« Un marteau ? »
Son bras se laissa choir le long de son buste alors que son regard n’avait jamais quitté l’ancienne Ombre. Le Yamanaka avait parlé dans l’esprit de Kibõ, comme s’il ne méritait pas d’entendre sa voix.
« Vous pensez que c’est là mon but ? Vous voyez pourtant mon masque : j’aurais pu le récupérer bien des fois ! Savez-vous ce que ça fait que de protéger l’homme qui vous a tant poignardé ? L’auteur de la guerre et des crimes est mort ? Vous ne me connaissez pas et vous me tutoyez : vous continuez de nous prendre de haut, comme des moins que rien ! »
Toute la réponse du patient tournait autour du marteau alors que la lettre faisait davantage mention d’un duel pour le tuer. Lui faire payer toutes les victimes de la guerre qu’il avait déclenchée. Qu’était-il écrit ? Qu’il apporte son marteau pour être au mieux de sa forme. Le Yamanaka aurait-il dû lui demander de venir nu et sans armes ?
« N’emportez pas votre marteau si vous le souhaitez. Continuez de me sous-estimer en pensant pouvoir me battre sans mettre toutes les chances de votre côté. Pour tout autre dédommagement ? Vous n’avez donc pas saisi que je n’en demande qu’une ? Votre mort. »
Peut-être le Yamanaka aurait-il dû organiser un vol ou un assassinat ? Les personnes endeuillées par la guerre contre Suna ne manquaient pas. Sans doute Shigo n’avait-il pas besoin de ses techniques pour motiver suffisamment certains. Et sinon, il pouvait toujours se procurer un poison et le faire ajouter dans le repas de Kibõ en prenant le contrôle du cuisinier. Seulement, Kibõ y perdra la vie certes, mais son marteau sera récupéré par Konoha, et non par le Yamanaka…
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| | (#) Sujet: Re: L'annonce d'un défi Mar 2 Mai 2017 - 11:25 | |
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Pourquoi me parlait-il au travers de mon esprit et non à haute voix ? Ne voulait-il pas que les gardes devant la porte entendent notre discussion ?
— POURQUOI PARLES-TU DANS MON ESPRIT ET NON A HAUTE VOIX ?
Déclarais-je en haussant la voix pour que les ninjas postés devant ma porte entende.
— Vous prendre de haut ? De quoi parles-tu ? Puis-je connaître le prénom et nom du malpoli qui vient me déranger pour me menacer de mort ?
Il pouvait croire que j'étais irrespectueux, mais lui n'était pas mieux. Cet homme venait me rendre visite, je ne le connaissais pas, il portait un masque, ne se présentait pas et osait me "menacer" de mort. Enfin menace, je ne sais pas s'il en était vraiment une.
Je scellais son bout de papier dans un sceau présent sur mon bras. S'il continuait, j'allais avertir Mizuki ou Miko de son attitude menaçante à l'encontre d'un Kage. Je pense que les deux femmes prendront des mesures à l'encontre de cet individu.
— Si tu as problème sur le fait que je sois vivant, tu regardes avec tes supérieurs, ce sont eux qui m'ont sauvé. Et puis lorsque je sortirais d'ici, je ne pense pas perdre mon temps à jouer avec quelqu'un comme toi, si tu ne l'as pas compris, notre monde est en danger avec l'apparition des Bijus, ma priorité et mon emploi du temps sera dédié à la défense de notre monde.
Je marquais une pause, toisant du regard cet étrange homme. J'étais devenu sérieux, il ne pouvait pas se pointer dans ma chambre et dire, faire ce que bon lui semblait. J'étais prêt à passer l'éponge sur cette rencontre, mais à une seule condition.
— Maintenant, retire ton masque et présente toi, sinon quitte ma chambre et ne revient plus.
Il y avait vraiment des personnes qui ne réfléchissaient pas plus que ça. Quelle idée de venir demander un duel à mort avec un Kage en ces temps troubles. Décidément, on avait des surprises tous les jours et dieu sait qu'elle sera la prochaine. Ne pouvais-je pas avoir un peu de répits dans ma vie ? J'étais encore à l'hôpital qu'on venait me défier, j'étais vraiment en train rêver ma parole.
Enfin bref, j'attendais la réaction de mon invité, mais je doute qu'il s'exécute et dévoile sa véritable identité. Il m'avait l'air bien lâche, mais assez fou pour me vouloir combattre contre moi.
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| | (#) Sujet: Re: L'annonce d'un défi Mar 2 Mai 2017 - 20:27 | |
| Pourquoi lui parler dans son esprit et non à haute voix ? Mais en voilà une excellente question. C’est vrai : pourquoi menacer de mort une personne placée sous la protection de membres de l’unité spéciale de façon discrète plutôt que de le crier sur tous les toits ? Une très bonne réflexion que Kibõ formula suffisamment haut pour que les gardes s’immiscent dans la pièce et s’interposent entre le Yamanaka et le patient. Alors pourquoi le va-nu-pieds avait-il préféré demeurer discret ? Hum… Peut-être pour éviter cette situation ?
Qui plus est, Kibõ semblait insinuer que Shigo était le plus irrespectueux des deux ? Lequel donna un ordre à l’autre ? Lequel auto-proclama posséder la chambre ? C’était bien les supérieurs du Chunin qui l’avait sauvé, mais lui s’octroyait la propriété d’une chambre d’hôpital de ses sauveurs. En effet, il ne prenait personne de haut : il était au même niveau que tout le monde.
En tout cas, le Yamanaka devait avouer avoir mal jugé l’ancienne Ombre : il avait pensé que le remord de la guerre le rongerait et que ce regret le pousserait à accepter le combat d’un homme endeuillé et en colère. Non pas pour mourir, ni même pour le tuer : mais pour lui montrer qu’il n’était pas au niveau en lui donnant un objectif d’amélioration. Kibõ ne l’aurait pas tué de toute façon : il se mettrait Konoha à dos. Mais simplement refuser le duel comme si la rancœur d’un homme ne l’affectait pas ou qu’il ne regrettait en rien les victimes qu’il avait engendré n’était pas du tout le résultat attendu. Ou jouait-il la comédie ?
Le Yamanaka ne lui répondit pas, tout comme il ne dit rien à ses camarades qui s’étaient interposés. Il jeta un dernier regard à Kibõ, puis s’en alla sans demander son reste. Lorsque le patient finira de guérir, Shigo attendra tout de même à l’adresse indiquée. En attendant, il ira se renseigner sur les autres personnes endeuillées de la guerre pour organiser une surprise à Kibõ.
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| | (#) Sujet: Re: L'annonce d'un défi Jeu 4 Mai 2017 - 16:25 | |
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Dommage. Les gardes venaient de pénétrer dans la pièce suite à ma réplique faite à haute voix. Mon invité avait perdu son temps, il n'allais pas pouvoir continuer ses menaces. Les gardes n'eurent pas besoin de dire le moindre mot que l'homme masqué quitta la chambre. Il n'était pas bête au point d'insister ou de retourner la situation contre moi. Il allait espérer que je me pointe à son rendez-vous pour qu'il me coupe la tête, c'était ce qu'il voulait faire, non ?
Je regardais l'homme partir, tout comme les deux ninjas qui formaient ma garde. Ce Konohajin était courageux ou peut-être stupide pour venir menacer une Ombre. S'il souhaitait tant ma mort, pourquoi ne m'avait-il pas tuer maintenant, alors que j'étais au plus bas de ma forme ? Possédait-il des valeurs qu'il ne voulait pas bafouiller ? Peut-être, mais était-il qu'il manquait de jugement. Pourquoi Konoha m'aurait sauvé si j'étais vraiment le responsable de cette guerre et de tous ces morts, n'avait-il pas songé à cela ?
Je me calais dans mon lit pour effectuer une petite sieste, je n'avais que ça à faire ne pouvant pas bouger. Je me réjouissais de revoir mon fils, j'espérais qu'ils me l'amènent aujourd'hui. Qui sait, il s'agissait peut-être des derniers jours de Kibo avant qu'il ne retrouve l'autre fou à l'extérieur du village après son départ. Car oui, il allait toucher deux mots à l'homme masqué et lui enseigner le savoir-vivre. L'inconnu allait peut-être se présenter avec des copains pour me faire la peau, je devais m'assurer de me présenter seul, sans Satomu, je ne voulais pas que mon fils risque quoi que ce soit à cause d'un stupide groupe de rebelles.
Mes paupières se refermèrent gentiment, la lumière s'estompa et je pouvais rêver de ce que bon me semble. Un bon repas en famille ? Voilà ce dont je rêvais en ce moment, mais il s'agissait d'un évènement qui ne se produira pas tout de suite...
- HRP:
RP clos. On se voit à mon départ o/
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