Elle n'est plus celle qui autrefois régnait partout en suzeraine de ces terres, non cette période est terminée depuis la mort de ses serviteurs. Son palanquin est scellé par ses soins et elle avance dans ce pays de néant et de dunes à perte de vues. Elle n'a pas besoin de boire, de manger, elle marche en tête les pieds en guise de semelles sur le sable brûlant du pays du vent. Ou est le vent d'ailleurs? Il souffle fort la nuit ou les températures baissent rapidement et le jour il est absent. Derrière la monarque en habit fins et transparents les troupes que maintient désormais Abadon avec ses capacités. Reine de pacotille désormais son seul royaume est une île en proie à des violentes explosions. Et elle traîne difficilement la cinquantaine de gardes complètement indépendant avec ses anciens élèves.
Le temps n'a plus d'impact sur son corps, semblable à une momie la nécromancie lui interdit l'usage des goûts des mortels. Elle maudit, elle maudit cette terre aride, maudit le soleil et les Dieux de son temps. Elle se maudit tandis que dans ses pas s'effondre Lea. La pauvre enfant n'étant visiblement pas adepte des longues marches. Le regard de la reine d'antan se porte sur ses suivants, tous exténués par la chaleur omniprésente et les pauses inexistantes.
Un mouvement de la main conduit le groupe à un oasis proche, quasiment miraculeux tandis que Abadon continue sa longue marche vers un objectif encore incertains. Ici dans cette région repose ses ancêtres, superbes majestés dans des tombeaux aussi prestigieux qu'en poussière. Enfant Abadon entendait sa mère lui conter les histoires des pilleurs de tombes tombant sur des créatures mythiques censés protéger ses parents lointains. D'après des souvenirs brumeux ce n'est plus très loin avant sa première étape.
Sauf si elle se retrouve en face de murailles aussi imposantes que géantes lui bloquant le passage. Un village? Quel clan oserait s'installer à proximité de ses ancêtres? Un clan de pilleurs de tombes s'étant installé ici? Des nomades devenant sédentaires? Un crime, les mots manquent à la reine mais sa rage bouillonne.
Et les morts, les aventuriers misérables sortent des sables. A ses côtés des cadavres déchiquetés par des scorpions géants au niveau du buste, des têtes s'assemblant aussi rapidement que possible tandis que l'énergie négative que dégage Abadon s'amplifie. Ici elle voulait trouver le repos et ces parjures se sont installés.
Ces terres sont les siennes et personne ne l'empêchera de réclamer son du.
Même si elle doit y rester.
Et les mots anciens d'une langue perdue se mettent en marche dans la tête de Abadon. Des clans, des clans d'incapables soumit à l'autorité des dirigeants aujourd'hui conquérants ce monde?
Instabilité et anarchie insupportables.
La reine avance ses pions.
Toshiro Ogami
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Grade : Nukenin de rang S Messages : 1350 Rang : S
Aujourd'hui était un jour comme un autre dans ma vie de Shinobi. On m'avait affecté à la garde de la Voie Illusionnée pour la journée. Il était normal de par mon rang d'effectuer des tâches de la sorte. Le village était toujours en émoi, il pleurait toujours la blessure de sa dirigeante et la confiance se perdait peu à peu. Nous étions certes un village militaire mais nous abritions des familles entières, des clans réputés, des enfants et non pas que des Shinobis. Comment pouvait-on faire si même les habitants perdaient confiance en nous ? Pour ma part, il n'y avait aucun impact sur ma vie. Me fichant éperdument de l'avis des autres, je continuais à avancer. Pouvais-je les comprendre ? Certainement, je n'étais pas doué pour me mettre à la place des autres mais disons que la sécurité était instable ces derniers temps. Un attentat contre les conseillers, une attaque par l'homme masqué -qui avait d'ailleurs causé des morts- et encore plus récent, un homme me traversant le corps dans l'enceinte même du village. Sans oublier l'attaque contre notre Kazekage Habashi Zanshi, la peur s'était installée.
Je ne pouvais pas y faire grand chose à mon humble avis, je travaillais dur pour devenir le meilleur mais il me manquait encore du pouvoir et de l’expérience pour palier à ces malheurs. La preuve étant : J'avais combattu Kyoshi Rei et défendu le village lors d'une attaque phénoménale ; Sauf que même avec mes progrès en Taïjutsu, je n'avais pas pu et ni avais même oser m'approcher de lui au corps à corps. C'était presque défendu, interdit. Son aura meurtrière se faisait ressentir à des dizaines de mètres tout autant que sa puissance. Si j'étais encore vivant aujourd'hui c'était grâce à mes coéquipiers et ça me faisait mal de le penser. Finalement, penser que je n'avais pas été assez fort pour arrêter une menace de mes propres mains. Comment pouvais-je obtenir plus de pouvoir et plus rapidement ? Je cherchais une réponse à cela et bien sûr je n'en avais aucune.
Je me devais de remplir des formulaires encore et encore, le soleil accablant dont j'avais l'habitude me semblait bien plus menaçant aujourd'hui. Ma tenue n'était d'ailleurs peut-être pas adéquate à cette température. J'avais opté pour des vêtements assez simple en soit. Un haut noir attirant la chaleur avec un petit col. Mon écharpe -ou plutôt un tissu me servant de cela- était rentrée à l'intérieur de ce même haut. Un autre morceau de tissu était placé autour de ma taille et à ma droite était placé mon Katana nommé Azura. Azura était seulement une lame longue sans garde. Une bandelette blanche m'aidait à résoudre ce problème. J'aurais bien pu l'amener à un spécialiste, seulement ce n'était pas dans mon objectif de modifier une lame déjà si parfaite. Elle m'accompagnait tous les jours, je ne l'abandonnais qu'une fois rentrée à l'appartement.
Après quelques marchands, il eut un moment de vide où personne ne voulait pénétrer à Suna. J'attendais donc avec un autre Genin qui lui aussi avait été chargé de remplir des formulaires. Vint alors une personne parmi tant d'autre, elle ne portait pas de chaussures et dans ce désert ça pouvait être étrange. Certains le faisaient mais pour ma part je n'en étais capable et pourtant j'étais un fils du Sable. Un beau bracelet était positionné à son épaule droite, son visage était fin, c'était une belle femme en soit. Cela dit, j'avais autre chose à faire que de complimenter une personne. Je m'avançai alors doucement vers elle pour aller à sa rencontre. Mon partenaire Genin me laissa l'honneur de remplir un autre formulaire et puis comme j'étais affecté à ce poste, je me devais de le remplir.
Nous n'étions pas seul, des gardes passaient encore et encore à nos côtés et au-dessus de la Voie Illusionnée. La sécurité avait été renforcé et les Saibogu veillaient d'autant plus à nous offrir un équipement opérationnel. Si des membres de Suna avaient le droit aux gardes, nous les petits avions simplement le travail insignifiant. J'allais m'abaisser légèrement en signe de respect seulement en quelques secondes je vis jaillir du sable des morceaux d'humains? Les yeux écarquillés et mon air surpris, je fis un bond en arrière aux côtés de mon partenaire en lâchant le formulaire par la même occasion. D'un geste, je lui fis comprendre de prévenir la garde et les renforts. Je plaçai alors la main droite sur mon Katana pour observer cette scène plus que ahurissante. Comment une personne osait-elle utiliser un Jutsu des plus sordides devant nos portes, est-ce que cela était le début d'une autre attaque? Dans tous les cas, je pouvais sentir une aura négative jaillissant de cette femme.
Elle ne faisait pas cela pour le spectacle.
« Veuillez arrêter et retirer vos cadavres. Dans ce cas on pourrait peut-être négocier, dans le cas contraire il n'y a que la mort qui vous attend au bout du chemin. »
Dis-je en regardant des corps s'assembler encore et encore. Des têtes sortaient du sable pour se coller à des morceaux de corps déchiquetés, une odeur nauséabonde se faisait ressentir. Cela ne présageait rien de bon, je sentais comme une menace venir face à moi. Je plantai alors mon regard froid et mon air impassible tandis que je malaxais du chakra afin de me concentrer et d'améliorer mes réflexes.
Seulement, rien n'y faisait et je voyais ses cadavres qui commençaient à se mouvoir. Le combat allait débuter, mes sens étaient aiguisés et j'étais prêt à détruire tous les opposants de Suna.
Il se présentait avec derrière lui flottille de gardes, des gardes dans les clans? Les pilleurs de tombes auraient ils fait commerce depuis la fin des siens? Immondes personnages, perfides créatures s'accaparant la richesse des siens. Il avait beau être jeune cela ne changeait rien à son destin. Ici et maintenant les anciens Rois reprenaient leurs droits à la plèbe grouillante de manants! Sa main se lève dans un élan d'accusation tandis que la colère lui bloque les traits magnifiques de sa beauté. Aucune émotion si ce n'est la colère pur et simple, et elle s'agenouille contre le sable tandis que les cadavres continuent de s'assembler dans une masse immonde de morts. Elle murmure, une prière, une incantation et une demande de pardon dans sa langue. Elle cherche la paix et la vengeance, qu'importe les conseils de ses conseillers aujourd'hui elle est seule. Seule dans l'immensité désertique de son temps. Et ces moins que rien doivent être châtiés par la personne la plus apte. Ce sont ses terres, ces biens sont les siens et surtout ce qui constitue une nécropole formidable sous la roche et les dunes est le tombeau de sa lignée. Elle se cambre et la nuée de morts plongent dans le sable.
Et le trou continu de se former sous les yeux médusés des passants, des gardes et de ce gamin dont les menaces ne sont même pas entendus. Le sable s'affaisse tandis que les mains des morts grattent avec frénésie provoquant un éboulement quelque part en dessous. C'est profond même trop profond pour que ce soit un attentat prémédité. Et bien loin dans la terre ses créations s'heurtent à une structure dont la suzeraine ne connait que trop bien les matériaux. Elle se relève fixe l'inconnu avec de la haine et du méprit qu'elle ne cache pas. Elle tend une main et un mur de cadavre le retarde si jamais il veut lui sauter dessus.
-Abadon, reine de ce monde alors que vous n'étiez même pas dans le ventre de vos génitrice. Reine de Hai no Kuni et du royaume impériale de Ryû-Ko. Héritière de la dernière lignée des Rois et Reines de ce monde et revenante. Au revoir mortel.
Et elle se laisse tomber dans le trou qui pour autant ne se referme pas. Et elle déploie sa seconde forme, à côtoyer les forces obscures on finit par les rejoindre. Et voilà la superbe femme se transformant en succube et utilisant ses ailes pour plonger au cœur du séisme. Et lorsqu'elle touche enfin dans l'obscurité la poussière et la pierre bloquant l'entrée dans la nécropole des anciens elle ne peut s'empêcher de sourire.
-Je suis revenue. Pardonnez mon absence, je vais combler mes erreurs.
Et en effet elle compte bien le faire.
Toshiro Ogami
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L'heure n'était plus à la plaisanterie mais au suicide, comment une personne avait osé se présenter devant le village pour nous menacer, pour nous attaquer ? Même si j'étais surpris par l'action folle de mon interlocutrice, je n'en étais pas pour autant déconcentré. Pour avoir utilisé son chakra devant nos portes et nous menacer avec des cadavres, elle allait périr de la main de Suna. Mes mots ne l'avaient pas atteint. Si bien qu'elle continua sa démarche en enfonçant dans le sol les cadavres ambulant. À cette action je fis un bond en arrière en joignant mes mains. Je ne pouvais savoir où ils se situaient, je n'avais pas de pouvoir sensoriel j'étais donc prêt à agir en fonction de mes yeux et de mon intuition. J'étais prêt à mettre tout en œuvre pour détruire cette personne, une menace étant une menace, elle se devait d'être arrêtée ou bien éliminée. Je n'en avais pas peur et je n'étais pas contre d'ôter une tête à une Kunoichi ennemie de la nation.
Seulement, contre toute attente elle ne m'attaqua pas de front. Ses choses soulevaient le sable avant de le disposer dans tous les sens et donc de créer un gouffre en ce même sable. Je ne pouvais pas laisser faire cela, un trou pouvait nous créer des problèmes et les tunnels ne devaient pas être loin. Ces tunnels étaient très importants, une raison de plus pour éliminer la damoiselle. Je m'élançai alors vers elle, le Katana à ma main droite j'étais prêt à la détruire. Je vis alors soudainement devant moi se créer un mur de cadavre. Cela m'arrêta dans ma course, je pus alors sentir une odeur nauséabonde qui eut le don de m’énerver d'autant plus. Je sautai alors au dessus de ce tas de cadavre avant d’apercevoir la position cambrée de mon adversaire. Ma lame me démangeait tout autant que mon chakra qui faisait des siennes en emplissant ma lame d’électricité pour la rendre plus tranchante.
Malheureusement je n'avais pas été assez rapide, après avoir ouïe quelques idiotes paroles elle s'était laissée tomber dans le trou si profond que je n'en voyais pas le bout. Je décidai de bondir de l'autre côté pour être finalement opposé à la voie illusionnée. La seule solution était de la suivre, je ne savais pas comment ça allait se passer mais les secondes comptaient. Après quelques pas me servant d’élan, je me lançai au dessus de ce trou qui renfermait la même putride odeur. Seulement, je n'avançai plus et je ne tombai pas, une main de sable m'entourait pour m'empêcher de me jeter. J'avais réfléchi à comment amortir la chute mais une autre personne n'avait pas l'air d'approuver. En soulevant ma tête, je vis deux Shinobis. Un était donc un manieur de sable, du clan Kawaguchi. L'autre je ne le connaissais que de vu, il faisait parti de Midorhato et était reconnu pour ses dons sensoriels.
Il me déposa à leurs côtés avant de prendre la parole.
« Petit, ne te lance pas comme ça, nous sommes les renforts ! Fais moi un rapport et parle fort car on nous écoute à travers cette petite oreillette. » dit-il en pointant de son doigt l'objet accroché à son oreille.
Une création Saibogu, j'avais déjà eu l'honneur d'utiliser ce genre d'objet. Une personne était donc à l'écoute, je n'en connaissais pas la raison et j'en étais désintéressé. Ils étaient mes alliés, je n'avais pas de crainte ni de doute à avoir.
« Une femme est arrivée et à rassembler des cadavres, tout simplement. Suite à cela, elle a crée un trou avant de s'y enfoncer. Je n'ai pas d'autre information intéressante, ses paroles n'étaient que des idioties. Elle utilise donc un pouvoir s'apparentant à de la nécromancie, le reste de ses capacités, je ne les connais pas. »
Le Kawaguchi fit un signe de la main droite à son acolyte, celui-ci se plaça prêt du trou en joignant ses mains. Je pouvais voir émaner de son corps une petite aura bleue, son chakra était visible. Les yeux fermés, il commençait à divulguer des informations au manieur du sable qui prit compte aussitôt. Il donnait la position exacte de la personne et parlait du chakra qu'il pouvait ressentir grâce à ses dons sensoriels. La femme s'était arrêtée, c'était une bonne chose pour nous d'après les dires du Shinobi sensoriel.
« Parfait mon pote, on est parti alors ! Je vais utiliser le sable de la paroi du gouffre pour le refermer. En gros j'vais permuter le petit tas que ces choses ont fait, je vais bloquer la damoiselle pour qu'on l’attrape ! Bon c'est une esquisse de plan, ça ne se passe pas toujours bien comme on dit. Préparez vous à la réceptionner mes amis. »
Je me rappelais de cette voix, il était un membre du clan Kawaguchi assez réputé. C'était un renfort de choix, son grade était bien plus élevé le mien si bien qu'il faisait parti de l'élite du village. Je n'étais pas contre le fait d'écouter les ordres d'un Jônin. Ses paroles étaient accompagnées de mudras, le sable commençait à se soulever, se mouvoir. Il utilisa son chakra pour combler le trou et durcir le sable autour de notre ennemie pour la remonter à la surface sans encombres. Sa maîtrise était excellente si bien que j'en étais presque étonné. Il n'en avait pas l'air à l'entendre mais je ne doutais pas de ses capacités.
Pour ma part, je préparais à la voir remonter à la surface pour l'affronter. Elle provoquait la mort, nous allions lui asséner.
Résumé:
Résumé : Je veux rejoindre le trou mais je me fais arrêter par un Kawaguchi et un autre homme. L'autre homme est un sensoriel lambda qui donne ta position exacte à son partenaire. Suite à ça, il utilise le sable dégagé par les cadavres pour remplir le trou et te faire remonter à la surface en durcissant le sable au niveau de ton corps. Je pensais à un Ninja expérimente en Jônin donc du genre A et l'autre B.
Je n'aime pas le désert et le soleil! Et pourtant c'est dans le premier et sous le second que je passe le plus clair de mon temps ces dernières semaines. La construction du Bōrāsando demande un long travail d'observation des voies qu'il pourrait ou devra emprunter. Toujours est-il que j'ai toujours de la musique pour faire passer les temps de trajet d'un point à l'autre de l'océan de sable qui caractérise notre pays. Et puis Chappie me tient compagnie!
Je suis en train de rentrée à Suna et je n'en suis d'ailleurs plus très loin lorsque une voix résonne dans mon communicateur. Je me suis branchée sur la fréquence de la garde pour annoncer mon arrivée afin qu'ils m'indiquent si la voie illusionnée est dégagée. Faire passer les véhicules Saibogu demande un minimum de précautions tout de même... Toujours est-il qu'il est question de renforts, de gouffre et de bloquer une demoiselle. Mais qu'est-ce qu'il se passe?
- "Je s'appelle Chappie?" - "Aucune idée!" il se pose la même question que moi. "J'espère que le village n'est pas attaqué!"
Je mets les gaz et fonce dans la précipitation vers les massives murailles. Je distingue des formes grouillantes ainsi qu'une espèce de mur mouvant que je ne parviens pas à éviter. Je remarque rapidement que ce sont des cadavres après l'avoir percuté sans grands dommages. Mais... c'est quoi ce délire?
- "Putain c'est dégueulasse!" je jette une main pourrie hors de l'habitacle de mon véhicule avant de m'en extirper. "Bon ben au moins je ne les ai pas tués puisqu'ils étaient déjà mort. Pas vrai Chappie?" - "Je s'appelle Chappie!"
On a a peine remarqué ma présence et tout le monde semble obnubilé par un trou dans le sol. J'imagine que c'est cette fameuse demoiselle qui en est à l'origine et j'espère qu'elle ne va pas endommager les tunnels. Je passe mon regard sur les personnes présentes et remarque finalement Ogami. Enfin une tête connue!
- "Ogami?" je le rejoins rapidement tout en criant son nom. "Tu peux m'expliquer ce qu'il se passe ici? Pourquoi est-ce qu'il y a des cadavres partout? Allez, raconte!"
Je suis plus curieuse que véritablement inquiétée. La nécromancie c'est pas très très moral mais ça reste fascinant! Comment peut-être animer des cadavres? Est-ce qu'ils peuvent servir de serviteurs infatigables pour travailler sur mes projets? Je ne sais pas si cette femme est véritablement dangereuse mais il ne faut pas qu'ils la tuent! Elle peut servir la science!
- "J'ai entendu parler d'une femme! C'est elle qui a fait apparaître ces morts? Elle est dans ce trou? S'il-te-plaît, ne la tuez pas!" j'agrippe sa manche de ma main mécanique et le secoue. "D'accord? Ne la tuez pas!"
