J'étais allé qu'une seule fois à Kaze no Kuni. C'était un pays particulier qui changeait vraiment de Kaminari. Après tout, je n'étais jamais sorti de ce pays avant d'aller à Kaze no Kuni. Tout ce sable, c'était presque surnaturel. C'est un spectacle magnifique et effrayant. Des dunes s'étendant à perte de vue dans un silence monacale. Enfin, comme on peut s'en douter, je ne suis pas allé à Suna pour contempler le paysage. Non, je devais y aller lors d'une alerte à cause des furyous. Ces satané démons avaient une nouvelle fois frappée et pour protéger Suna, je m'étais rendu là-bas afin de résoudre un mystérieux meurtre.

J'avais comme un allié un Konohajin très calme et intelligent. Par contre, j'avais aussi un Sunajin qui ne contrôlait pas assez ses émotions et qui par conséquent, pouvait nuir à la mission. Heureusement, grâce à notre association, nous avons résolu ce mystère et nous avons sauvé l'académie d'une destruction potentielle. Le Conseil de Suna nous avait remerciés et nous avait offert le gîte et le couvert pour quelques jours avant de repartir dans nos pays respectif. J'avais bien entendu accepté l'offre afin de visiter un peu ce village.

Cette offre arrivait à sa fin et j'avais préparé mes affaires pour repartir à Kumo. Je contemplais une dernière fois le village qui était totalement différent de celui de Kumo. C'était assez bizarre de voir les différences des grands villages dans chaque pays. J'aimerais bien voir Konoha et Kir ... Shukai pardon. Même si bon, j'ai vu une petite partie de village quand je mettais présenté aux portes. Bizarrement, je ne pense pas que je serais le bienvenu, mais bon, c'est une autre histoire.

Il me fallait maintenant gagner la ville portuaire de Kaze no Kuni. Pour faire cela, je devais traverser une bonne partie du désert. Ce n'était pas facile, mais j'avais vu pire. Après une bonne demi-journée de marche dans le vent et le sable, j'arrivai enfin à l'entrée de cette petite ville. Je pris quelques minutes pour enlever tout le sable qui s'était infiltré dans mes vêtements. Il me fallait maintenant chercher le port afin de trouver une embarcation pour rentrer dans mon village et faire mon rapport au Satoru. Cependant, au fur et à mesure que j'avançais, une idée s'imposa dans mon esprit. Je n'avais jamais goûté un Sunajin. Je me disais que ça pourrait faire un joli souvenir. Je l'aurais scellé dans un parchemin afin de faire le trajet avec lui. L'idée en soit n'était pas bête, mais je devais être très discret. Après tout, en pleins jours, il me faut vraiment un plan solide et sans failles. Je scrutai l'horizon pour trouver une cible facile. Malheureusement ...

Pardon ? Qui me parle ? Je me retournai doucement et vis un homme me demandant ce que je lui voulais. Il faut croire que je bloquais le passage de ce jeune homme. Je m'écartai lentement pour le laisser passer. Cependant, je me demandai si c'était un Sunajin. Peut-être était-il le souvenir que j'allais ramener. Je ne devais pas le laisser partir comme ça.

« Pardonnez-moi. Je m'étais perdu dans ma réflexion. Dites, êtes-vous du coin ? »

J'avais tenté d'être chaleureux afin que ma nouvelle cible ne se méfie pas de son futur prédateur. Après tout, si c'était un Sunajin, je serais ravie de l'emballer pour le ramener dans mon beau pays afin de déguster une viande encore inconnue. Mais bon, je ne dois pas m'avancer. Pour l'instant, il m'est impossible de savoir si ce brave gars appartenait au village de Suna.

Lorsque ma question fut posée, l'homme n'avait pas l'air de savoir quoi répondre. Une sorte de surprise et d'incompréhension venaient envahir le visage de ce parfait inconnu. Il faut croire que le bougre ne s'attendait pas à ce genre de question. Enfin, attendons de voir ce qu'il va répondre avant de se lancer dans des hypothèses.

Malheureusement, ce n'était pas la réponse que j'attendais. Comme il le disait, il ne venait « absolument pas » du coin. Pas de chance. Je ne vais pas pouvoir déguster un délicieux Sunajin. Enfin, maintenant, il me fallait trouver une excuse crédible, car bon, aborder une personne comme ça, il faut avoir une bonne raison pour le faire.

D'ailleurs, l'homme ne tarda pas à me demander pourquoi. En effet, Pourquoi ? J'avais seulement une fraction de secondes pour répondre et pour le coup, j'étais à court d'idée. Cependant, l'inconnu me sauva la vie sans le vouloir. En effet, il prit directement la parole pour affirmer que vu que je pose cette question, je ne devais pas être du coin non plus. En effet, je ne suis pas du coin non plus et il fallait que j'en informe ma nouvelle rencontre.

« En effet, je suis sur le point de retourner dans mon village. J'avais prévu, avant de partir, de manger un morceau et je cherche un bon restaurant. Ce qui explique ma question précédente. »

Je ne m'étais pas préparé à dire cela, mais il faut croire que l'improvisation me réussit. Je ne vais pas me plaindre. L'homme déclina finalement son identité. Il se nommait Estuji Oni. Il avait hésité quelques secondes avant de me donner son nom. Cependant, je n'y prêtais pas attention. C'est courant de cacher son nom dans ce monde. Puis, s'il ne la pas fait, tant mieux pour lui. Enfin, ce n'était qu'un détail inoffensif et presque insignifiant. Dans la foulée, il me demanda mon nom et comme à mon habitude, j'allais lui répondre convenablement.

« Je me nomme Shinji. Ravie de vous rencontrer »

J'allais oublier mon objectif principal ! Même s'il n'est pas d'ici, il peut peut-être me répondre.

« Du coup, même si vous n'êtes pas du coin, n'avez-vous pas repéré un restaurant qui semblait sympathique ? »

Il faut croire que je ne pourrai ramener mon souvenir. C'est bien dommage. J'avais déjà tout préparé dans ma tête. Une belle jambe que j'aurais préparée délicatement. Je l'aurai ensuite fait mariner et j'aurai ajouté du citron et du miel. Pour accompagner tout cela, de bonnes pommes de terres achetées au marché ! Cela aurait été parfait ! Malheureusement, je vais devoir prendre un repas standard fait de viande d'animal. Je ne comprends pas. Pourquoi la plupart des gens n'ont jamais voulu goûter cette miraculeuse viande ? Elle a tellement plus de saveur. Enfin, ce n'est pas comparable et c'est même impossible à décrire tant qu'on n'y a pas goûté.

Revenons à nos moutons. Le fameux Estuji Oni ne savait pas comment amener le sujet, mais finalement, il cracha sa pastille. Il me demanda, en étant très polie, d'où je venais. En effet, je lui ai dit que je n'étais pas du coin, c'est normal de me demander ça. Sans attendre, je répondis à sa question.

« Je viens de Kumo. Cela fait un bon bout de chemin pour arriver ici ! »

Un sourire aux lèvres afin de paraître sympathique. Cependant, je ne vois pas pourquoi me poser la question à part par simple curiosité. J'espère que cet homme ne vient pas d'une nation qui a une rancœur cachée pour mon village. Enfin, qui vivra verra.

Le bougre répondit à ma question en m'expliquant que la nourriture ici, au pays du vent, n'était pas au goût d'Oni et qu'il ne connaît pas bien ce village portuaire. Pour résumé, pour l'instant, on n'est pas sortis ! Néanmoins, il connaissait un bon bar quelques villages plus loin et lors de mon prochain, je pourrai y faire un tour. L'information était notée. Je fis un simple signe de tête pour montrer que j'avais écouté et enregistré ses propos.

Il enchaîna en proposant de pourquoi pas, boire un coup ensemble à un des bars de cette ville. Mon bateau part dans quelques heures, j'ai le temps pour boire un coup.

« Avec plaisir ! Je vous laisse me guider à ce fameux bar. »

Nous commencions à nous diriger vers le bar et un détail me frappa.

« Et vous ... D'où venez-vous ? »

Un coup à boire avant de repartir chez moi, je ne pouvais pas dire non. Cela allait me donner un peu de courage pour le voyage qui allait être assez long et périlleux. J'ai jamais entretenu de bons rapports avec la mer ... Va savoir pourquoi. D'un geste simple et rapide, Oni m'indiqua, en couplant avec quelques mots, qu'il me fallait le suivre. Après tout, il connaissait bien mieux les lieux que moi.

Cet homme est assez mystérieux et froid. Je me demandai quelle était l'histoire derrière ce caractère distant. Peut-être qu'il n'y en avait pas. Il était simplement comme ça. Enfin, en parlant par expérience, souvent, il y a un incident ou quelque-chose comme ça qui entraîne ce genre de comportement. Enfin, je n'étais pas là pour me pencher sur des hypothèses bancales.

Finalement, il semblerait que mon camarade de boissons s'ouvrait un peu. Il répondit à ma question en m'expliquant qu'il venait d'ici et d'ailleurs. Il était natif de Nami no Kuni où il avait élu domicile, mais il était tout le temps en voyage. C'était donc un homme sans village. Un homme qui n'est pas rattaché à un village, à un peuple. C'était un choix de vie que je comprenais et que parfois, j'enviai.

Sans attendre, il continua en m'expliquant que cette vite n'était pas très glorifiant, mais il était libre. Il pouvait aller et faire ce qu'il voulait quand il voulait. Je pris la parole afin d'exprimer quelques mots sur ces dernières tirades.

« Un nomade ? Je n'en ai pas rencontré beaucoup dans mon existence. Une vie où le mot d'ordre est liberté doit être très inspirant et sans soucis. Je comprends tout à fait ton choix. Cependant, pourquoi estimes-tu que ta vie n'est pas glorifiant ? C'est un autre style de vie, certes, mais il n'a rien à envier des autres. »

Après tout, je me voyais bien arpenter le monde afin de découvrir de nouveaux horizons. Après, chacun son choix comme on dit.

L'Estuji me demanda si j'étais un shinobi de Kumo et il ajouta qu'il trouvait cela triste. Il ajouta qu'il avait appris que le Yondaime venait de passer l'arme à gauche. Il trouvait ça dommage et il espérait que son successeur allait être à la hauteur. Après ces quelques paroles, j'étais obligé de réagir.

« Je suis, en effet, un shinobi de Kumo. Cependant, je ne vois pas la tristesse. Tu as choisi la liberté et la solitude. J'ai choisi l'engagement et la communauté. Tu ne peux comparer l'incomparable. Enfin, c'est une regrettable nouvelle comme tu dis. Malheureusement, c'est ainsi. Nous n'avons pas encore le nom du successeur du Yondaime, mais je suis sûr que Kumo aura le souverain qu'il mérite. »

Nous étions arrivés à la taverne et j'entrai en premier. Le bar semblait assez sympathique et une bonne ambiance s'en dégageait. Oni me proposa de commander en premier et c'est ce que je fis. Un bon whisky. Cela faisait très longtemps que je n'avais pas pris cet alcool. En attendant la commande de mon homologue, je me devais de lui poser une ou deux questions.

« Et toi ? Es-tu un shinobi ? Tu m'as indiqué que tu habites à Nami no Kuni, mais n'as-tu jamais rejoins un village comme Konoha, Suna ou Kiri par exemple ? »

Cet homme semblait trop attaché à sa vie de nomade. Il est normal de défendre avec passion son style de vie, mais quelque chose semblait louche. De plus, il semblait être assez véhément envers les gens choisissant un chemin différent. Je suis quelqu'un d'ouvert lorsque les arguments sont bien présentés. Cependant, cet inconnu a indiqué que la vie de Kumojin était triste. Ces mots, pas les siens. Rien que pour cela, je serais tenté de le tuer sur-le-champ. Mon maître m'a toujours dit de punir les gens qui ne respectent rien ni personne. Je masquai haine, mais je serrais fortement mon verre de saké. Enfin, comme je le pensais, il semblait presque haïr les villages, mais bon, l'interroger encore et encore ne serait sûrement pas la solution et c'est bien dommage.

L'homme prenant une limonade répondit finalement à ma question. Pour lui, il tient bien trop à sa liberté pour se mettre au service d'un village. Il ne souhaitait pas devenir une simple arme et ainsi perdre son point de vue sur le monde. Il m'expliqua qu'il tenait trop à son indépendance pour rejoindre une grande puissance. Sa vision du monde représentait bien le personnage. J'avais l'impression que le débat était fermé et que tout ce que je pouvais dire n'allait rien changer. Cependant, ce n'était pas mon style de rester silencieux face à un point de vue différent. Il était temps pour moi de prendre une gorgée de saké et de prendre la parole.

« À t'entendre, on pourrait croire qu'un village est une prison. C'est peut-être comme ça que tu te l'imagines, mais crois-moi, c'est tout le contraire. Si je suis ici, devant toi, c'est bien que je suis libre de mes mouvements. Un village n'est pas un piège, mais une opportunité. Il donne une cause commune à des milliers de gens. Ces derniers se regroupent sous le même toit afin d'accomplir et défendre cette cause. Ne fais pas l'amalgame entre un village et une dictature. Tous les Kages que j'ai rencontrés étaient à l'écoute des membres du village et si quelque chose ne va pas, il suffit d'en parler avec eux. Ce sont des Hommes comme nous, il ne faut pas l'oublier. Néanmoins, je comprends ton point de vue, mais il ne faut pas résumer les villages par un manque de liberté et une dictature. »

Il me fallait mettre ce point au clair. Après tout, l'amalgame se fait très vite de nos jours. Ce serait dommage de ne pas corriger ce genre de comportement. Cependant, lors de ma tirade, j'ai remarqué quelque chose. Comment ce parfait inconnu avait eu l'information concernant la mort du Yondaime ? Après tout, même moi, je l'ai su il y a quelques jours, car Kumo m'avait envoyé une lettre pour me prévenir. Il me semble bizarre qu'un parfait inconnu soit au courant des affaires internes de Kumo ... Il me fallait en avoir le cœur net.

« D'ailleurs, comment as-tu appris la nouvelle concernant le Yondaime Raïkage, Karasu Tsumei ? »

Un vieux proverbe dit que les nouvelles vont vite. J'en suis conscient, mais aussi vite ? J'en doute. Enfin, ce n'était qu'un détail certes, mais je voulais en avoir le cœur net. Après tout, vu la véhémence de cet homme envers les différents villages, tout est possible. Il pourrait être un ennemi de Kumo, de Konoha ou autre. Je ne pouvais en avoir le cœur net malheureusement, mais c'était le risque de fréquenter d'autres shinobis. Notre métier nous expose à la mort continuellement. Qui sait, cet inconnu pourrait me sauter à la gorge et me tuer lorsque je prends une gorgée de mon saké. Tout est possible, surtout dans ce monde.

L'homme aux cheveux châtain décida de réagir à mes dernières paroles. Nous étions rentrés dans un débat qui n'allait pas en finir. C'était, bien entendu, intéressant, mais aussi frustrant. Chacun pouvait exposer ses idées, mais aussi détruire celles de son adversaire. La tirade du jeune homme commençait sur une interrogation sur ma personne. D'après lui, toujours au conditionnel, j'ignorai quelque chose. Je relâchai la pression sur mon verre et me tenais suspendu aux lèvres de cet homme qui allait me montrer mon ignorance. Après tout, je ne cherche qu'à comprendre où sont mes fautes. Pour que la lumière existe, il faut aussi une part d'ombre. Voilà, c'était ce que j'ignorai. Pardon ? Je le savais déjà ? Vous êtes sûr ? Ah oui, je le savais ! D'après lui, je ne fais qu'utiliser mes yeux et pas mon cœur. Je vois, mais je ne ressens pas. D'après ses dires, faire partie d'un tout, d'une communauté nous fait perdre notre identité en tant qu'individu. Je ne faisais qu'écouter, pour l'instant et je préparai peu à peu ma réponse. Les villages sont en effet, une prison et il utilisa la comparaison avec un chien et son maître. Il prit ensuite l'exemple de Kiri. C'était le cadavre du Yondaime Mizukage qui aurait anéanti son village. Pour cet homme, c'était un juste retour des choses. Le bougre avait terminé sa tirade et il était temps pour moi de formuler ma réponse.

« Nous avons tous une vision singulière et unique sur notre monde. Pour toi, les villages sont des prisons. Comme je l'ai dit, je peux comprendre le sentiment, mais c'est un résumé bien négatif que tu fais. Tu m'expliques que pour que la lumière existe, il faut de l'ombre. De plus, tu me dis que je vois des choses, mais que je ne les ressens pas. Tu affirmes quelque chose sur ma personne, alors qu'il y a quelques minutes, nous étions de parfait inconnu. Crois-moi, je suis bien au courant de l'obscurité de ce monde. Cependant, quel est le rapport avec les différents villages ? Le fait que je défende mon village fait de moi un être naïf et superficiel ? Je ne crois pas. Dans ce monde, rien n'est blanc, rien n'est noir, tout est gris. Les villages sont bons et mauvais, les ninjas errants comme toi sont bons et mauvais, je suis bon et mauvais. Je sais prendre du recul sur mon univers et je suis conscient que les villages shinobis ont apporté leur lot de souffrance, avec par exemple la guerre entre Kumo et Kiri. Cependant, des personnes comme toi peuvent, elles-aussi apporter le chaos sur ce monde. Après tout, vous êtes des hommes et femmes ayant le loisir de faire ce qu'ils veulent, quand ils le veulent. L'ordre amène des problèmes, mais l'anarchie aussi. »

Je fis une brève pause et repris.

« De plus, tu sembles intransigeant sur la perte d'identité. Une fois de plus, ceci est ton point de vue. Après tout, tu dis n'avoir jamais fait partie d'un village. Ainsi, comment peux-tu être si absolue sur la perte d'identité ? Tu ne peux pas affirmer quelque chose que tu n'as jamais vécu. Pour ma part, j'estime avoir gardé mon identité, mais d'après tes propos, je refuserai tout simplement le fait que je l'ai perdu. Qui a donc raison dans tout cela ? »

Je pris une grande respiration et repris.

« Tu utilises la comparaison entre le maître et son chien. Tu prends une minorité de personnes pour en faire une généralité. J'ai plus connu un maître qui désirait éduquer son chien, jouer avec lui, le nourrir, et même l'accompagner jusqu'à son dernier souffle. Cet exemple représente un lien très fort, comme un village et son habitant. Tu dis que c'est un juste retour des choses ... Non. Des Furyous ont attaqué et détruit une nation et pour toi, c'est juste ? Notre sens de la justice diverge. Ces êtres immondes auraient pu attaquer n'importe qui, n'importe où. Tu sais, Kiri est tombé, mais qui nous dit que nous ne sommes pas les prochains ? »

Je m'étais beaucoup étendu sur le sujet, mais le débat était intéressant et je me devais d'exposer mon point de vue. Ma colère était passée et je me concentrai sur la future réponse de cet homme. En prenant une gorgée, je pris une nouvelle fois la parole.

« Il est triste de voir que ce genre d'information peut traverser le monde en quelques jours ... Enfin, ce n'est pas comme si c'était nouveau. »