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Donc je me lève déjà une heure en retard pour mon planning, la journée s'annonce bien. Il est même pas 8 heures et je suis déjà claqué. C'est pas grave, aujourd'hui entraînement, entraînement et entraînement. Je doit absolument progresser pour vaincre Arashi, le gosse à l'époque qui m'avais mis une déculottée. Non seulement il m'a battu mais en plus il m'a emmené à l’hôpital après.

Je n'ai réussi à le toucher qu'une fois c'est la honte et encore je l'ai touché car je l'ai immobilisé enfin plutôt déstabilisé. Je lui ai quand même mis une B en pleine poire mais après il s'est relevé, a pris son Katana et c'est approché de moi et a mis sa lame sous mon menton. Ensuite le floue total mais je me suis réveillé à hôpital et on m'a dis qu'un homme m'avais déposé dans la mâtiné. J'étais encore en vie et je devais me venger de Arashi et après de Apeti, le furyou. Comme tout les matin je passai à ma boite au lettre quand je remarquai la lettre avec le symbole du Hokage. Cela signifiait déjà une chose, pas d'entraînement aujourd'hui sûrement.

Je devais arrêter un voyeur. De plus en plus drôle les missions de Konoha, après les tagueurs maintenant les voyeurs. Je commençai donc ma mission de suite et une chose m’effleura l'esprit. Comment j'allai le prendre sur le fait car je ne peux accéder au vestiaire des filles ni surveillé toute la ville. Il ne me reste plus qu'a me balader vers les douches publiques et si j'ai de la chance je le l'attrape de suite. En attendant les femmes se douchent le soir donc je peux quand même aller m’entraîner.

Je commençai ma séance avec des pompes et des abdos. Les muscles c'est la base de l'endurance ensuite j’enchaînai sur 10 tour du terrain d'entraînement en courant. Ensuite je commençai des séries de lancé de Kunai, j'étais de plus en plus précis. Je ne loupai presque plus ma cible. Ensuite en rentrant sur la route, je croisai un ami à moi. Il m'annonça alors que Urufu Arashi le déserteur a été tué par un membre du village. Je ne pu caché ma déception mais en rien ça n'a diminué mon avis de combattre.

Le soir donc, je revêtis ma tenue de nuit et partis dans le village en direction des douches féminines.
C'est alors que je remarqua un jeune garçon qui regardai les filles se doucher à travers la fenêtre. JE m'approchai donc de lui et lui posa ma main sur l’épaule en lui disant :

ça va je ne te gène pas trop gamin ?

Je le tenais donc, il essaya de s'enfuir mais je ne comptai pas le lâcher. Ensuite je remis donc notre cher voyeur à la police cette fois car ma mission l’exigeait et il allait prendre le pauvre. Mais comme on dit qui fait le malin tombe dans le ravin.