Après ma rencontre avec Jisetsu Demon, j'avais repris le bateau qui m'avait amené enfin au continent. J'avais quitté pour de bon ce maudit Pays de la pluie et je ne comptais pas y remettre les pieds avant bien longtemps. J'arrivais alors au pays de Yu no Kuni, je ne le connaissais pas du tout, mais il ne pleuvait pas, c'était une bonne chose. Il me fallait maintenant trouver un village afin de pouvoir m'y reposer et y faire mes expériences... J'avais une envie folle de me dégourdir et cela passerait par de la bagarre avec de la vermine, au moins personnes n'y prêteraient attention s'ils disparaissaient. Je me mettais alors en route, suivant les indications du capitaine du bateau, il y avait un village isolé à quelques heures de marche d'ici, avec peu d'habitants, mais ils avaient de quoi loger les voyageurs de passage. J'étais à mon aise, loin des autorités et libre de tout mouvement, en plus j'avais fais la connaissance d'un autre Jisetsu, j'espérais avoir encore de la chance.

Je marchais sans me reposer, l'air était doux, je pouvais sentir le soleil me caresser la peau et non une pluie venant perturber ma paix intérieur. C'était une belle journée et une nouvelle vie qui s'offrait à moi, mais j'avais un but précis maintenant en plus de mon but personnel. Mais je voulais tester mes techniques que j'avais pu apprendre et j'allais commencer cela sur des cobayes. Des bêtes paysans de ce pays, j'étais loin des grandes nations, je pouvais en profiter un peu, histoire de faire parler de moi.

J'arrivais enfin à destination, j'avais croisé plusieurs charrettes de matière première que des paysans devaient conduire à d'autres villages ou maisons isolés, je pénétrais alors dans la petite bourgade. Il n'y avait que quelques maisons et une auberge. Je me dirigeais vers celle-ci rapidement sans prêter attention au gens qui me dévisageait, il ne devait pas souvent y voir un inconnu...mais ils allaient bientôt me connaître. J'entrais alors dans l'auberge qui me semblait désertique... et j'allais au comptoir.

« Bonjour, je pourrais avoir une chambre et j'aimerais aussi avoir de quoi manger, peu importe et à boire. »

Le patron me recevait avec un énorme sourire.

« Pas de soucis, il n'y a pas foule comme vous pouvez le voir ahaha. Je vous apporte la spécialité du coin ! »

Je m'installais alors à table et je regardais par la fenêtre. Quelques hommes du métiers, mais pas de ninja apparent. Peu après, je voyais l'aubergiste arriver avec une jarre et un plat. Je pouvais y voir comme un cuissot avec beaucoup de légume.

« Voilà du bon cochon de nos fermes avec nos légumes, que des produits de notre terroir. »

Je remerciais d'un signe de tête ce type qui allait être ma première victime, mais pas maintenant, je comptais d'abord savourer se repas pour reprendre des forces. J'avais de quoi me remplir la pense, mais pas de quoi payer. Je ne m'inquiétais pas, je comptais régler ma note avec un jolie kunai planté entre ses deux yeux.

Les choses dans ce monde bougent, s'en est tellement affligeant. Un pays entier détruit sans que je ne puisse y avoir vue ma trace. Quand j'y pense si cela m'avait était accessible, il en est certain que cela aurait surement changé ma position actuelle. Moi qui pour le moment me mets à trouver une manière contourner d'avoir les informations que je souhaite sur eux sans pour autant avoir à prendre la moindre soumission. Si j'en réunis les informations que j'ai il en est clair que je n'ai que peu de chose à dire sur le sujet et pour résumer le sujet voilà ce qu'il en découdrait, ils sont balaises et semble-t-il pas une armée dont le nombre est leur force. Un atout supplémentaire pour eux car cela signifie aussi qu'ils en sont plus difficiles à détecter. Enfin moi qui suis donc libéré de prison depuis peu des geôles de Suna je me voyais épris d'une certaine envie de me défouler. Surtout en pensant au future risque que je prenais. Ma route me menant dans les alentours de Yu était celle qui me mènerait aux portes de Kumo une chose pouvant à ma réputation m'amener dans une autre cage si cela n'est pas pire. Cependant cela est un risque que je me dois de prendre et que je prends avec des as dans la manche. Tant qu'à prendre donc se risque de rentrer de nouveau dans une prison alors que je venais d'en sortir, autant profiter un peu en cour de chemin. Cela indique belle et bien que je n'aie que peu de temps pour profiter de l'air libre.

Si j'en rajoute d'autre élément je me mets aussi à savoir que mon partenaire Katano et en train de me traquer. Les raisons? Ben vous me connaissez elles sont toujours causé par une autre personne que moi. Moi le pauvre petit ange que je suis n'a pas le moindre du monde perturbé la paix que notre duo pouvait avoir. Bon j'avoue Katano ayant préparer le repas j'ai profité de son occupation pour becter cette infâme mixture qu'il a préparée pour nous que se soit ma part comme la sienne sans compter que je suis parti sans demander de due. À estimation, j'ai une demie journée d'avance. Sans compter qu'il va lui aussi devoir prendre une pause et je ne compte pas le fait qu'il arrive à trouver un bateau pour me suivre de manière très rapide. Enfin. Une course-poursuite qui fut plutôt un peux calculer. Cela ne se voit pas, mais je le connais un minimum le guss. C'est donc à Yu après un bon voyage en bateau que je me mets à prendre une halte. Vérifiant par pur tic si un autre bateau arrive ce qui dans un sens est stupide car si je voulais par vue voir si un bateau vient cela ne m'indiquerait point si mon partenaire en a trouver la porte d'entre de ce dernier, sortant donc du bateau et faisant trois pas avec l'enfant à mes côtés je me mets à lui dire:

Phénix.

Oui?

J'ai faim.

porc, poulet... humain?

Porc, une chose primaire je dois retrouver mes sens gustatifs, la bouffe des geôles de Suna est infect.

Sans un mot, la petite aveugle de douze années dont j'avais retourné le cerveau par mainte torture, se met à courir sans demander son reste. Moi figeant un sourire, je me mets à marcher à côté de ce que j'ai l'habitude de dénommer des larves. Même leur odeur m'est insupportable. Cependant rien que de penser à ce que je vais faire d'eux me dénoue mes articulations ayant subi quelques engourdissements.

L'enfant aux pupilles livides courait dans la rue comme une véritable petite mercenaire. Profitant d'un don bien particulier pour ne pas percuter les passants et éviter les obstacles. Dirigé par son odorat et par le hasard de la circonstance la voilà tombant sur une odeur de nourriture, un mélange de plat ne lui permettant pas d'avoir une possibilité de savoir si dans le lot il y a le met que son maitre lui avait ordonné d'amener. Ne ralentissant point le pas, tout en fracassant la porte sans même la touché. Elle se faufile rapidement de l'autre côté du bar à l'aide du crâne d'un des clients, un homme portant un bandeau sur le front n'ayant rien demandé à personne. Esquivant la carcasse du teneur du bar, la dénommé Phénix pris de son agilité nue qu'a prendre un instant pour se faufiler dans la cuisine assommant tout cuisinier se mettant à tenter d'arrêter ça course effréné. Une odeur, voilà que le butin qu'elle cherche et à porter de main, mais à la vue de se dernier faisant bien deux fois la taille de l'enfant celle si stoppa le temps de deux secondes ça course. Elle se met à poser la main sur la viande cuite et celle si disparue. Après cela notre cher acrobate se mes à sentir une aura. Cel de l'homme dont le crâne servi d'appuis. Une aura qui est plutôt connaissable, celle d'un homme à emmerde, le regardant du mieux qu'elle peut seule ses quelques mots sortirent de ça bouche:

Tu devrais éviter de me suivre, tu risquerais de le regretter.

Pourquoi ses mots? Surement car l'enfant a ressentit en cet homme cette envie d'en découdre et qu'elle fut par je ne sais quel miracle épris d'une compassion que moi-même je lui ai sournoisement enlevé de son esprit. Maintenant la suite nous dira ou non si l'homme peut informer va écouter ses dires ou s'il va la suivre quand même.

hrp:

J'allais commencer ce bon repas où le calme était de courte durée, je n'avais pas bien compris ce qui se passait, mais il y avait une petite fille se tenant devant moi, elle semblait vide de son âme, de sa vie et dans un sursaut elle me prenait ma viande. La peste ! Avant même de réagir, elle sautait sur mon crâne, elle était vraiment agile. Je me retournais alors vers elle et elle me disait de drôles de mots, comme quoi il était risqué de la suivre. Pas question de voir mon repas m'échapper, j'avais une faim de loup et cette fillette n'allait pas me voler ce repas voler, ironie du sort, mes plans tombaient à l'eau et la journée commençait mal pour moi, rien de tel pour m'énerver. Elle sautait par la fenêtre, elle était rapide le bougre et je faisais de même en brisant une des vitres. Je me jetais alors à sa poursuite, tout ce que je voulais, c'était manger mon repas et la faim me permettait de ne pas me faire distancer !

« Arrête toi, sinon je risque de ne pas être très conciliant ! Surtout quand il s'agit de mon repas. »

Elle ne m'écoutait pas et elle continuait sa course sans même ralentir, elle avait un souffle digne d'une shinobi, s'en était d'ailleurs peut être une, mais j'aurais préféré partager, à la limite, mon repas que de me le faire voler de la sorte. En même temps, je n'avais pas envie de la blesser, elle pouvait faire tomber mon bon repas à tout moment et je n'avais pas envie de manger de la crasse. Je continuais alors de la suivre pendant plusieurs minutes et elle s'arrêtait près d'un type, imposant, carrure de brute, les cheveux gris et le visage marquait par le combat... Je m'arrêtais en voyant la petite fille près de lui. Tout cela ne sentait pas bon et je comptais me la jouer diplomate, je n'avais pas envie d'avoir des ennuis avec un shinobi qui était sûrement plus fort que moi.

« Hm, c'est votre fille ?? Si c'est le cas, j'aurais bien partagé mon repas avec elle, mais de là à me le voler, je veux le récupérer ! J'avais un projet pour ce repas qui allait me donner un magnifique dessert et elle a tout gâché ! »

Je m'approchais doucement d'eux, mon kinnegan était activé, juste par précaution, mais je comptais bien récupérer mon repas et ensuite, faire ce que je voulais depuis le début, massacrer des gens innocent... Peut être que ce type voulait jouer aussi, si c'était le cas, je ne disais pas non pour retourner le village complètement.

« Bon le papa poule, tu ne dis rien ? Je veux pas être impoli, mais quand j'ai faim je perd mes moyens. Un peu de bon sens, au pire on le bouffe à trois et ensuite on s'occupe du reste. C'est un bon moyen de faire connaissance dans le calme non ? Mieux que de se taper dessus ou de s'étriper ?  Ahahaha »

Je n'avais plus qu'à attendre une réponse, en espérant que cette brute devant moi sache au minimum parler, j'avoue que j'en doutais vu le personnage, mais je ne me méfiais pas aux apparences, c'était peut être un génie. Je rigolais intérieurement à cet idée, je ne voulais pas lui faire voir que je me moquais de lui et de son allure de primate.

La mort. Qu'es que l'on connait de cet état, moi-même en autant la vie je ne sais guerre si ce statut en ait une malédiction aussi pesante que beaucoup imaginent. Quand l'un regarde l'humain il semble voir une peur effrénée de cette étape qui pourtant en est inéluctable. Une peur qui est encrée à la naissance dans l'esprit humain, on appelle ça la capacité de préservation. Quand l'on vie dans un monde ninja la plupart des personnes pensent que les techniques de combat se basent sur la manipulation de son corps et de son énergie spirituelle, mais cela en est totalement faut, elle est aussi basée sur des capacités bien plus primaire, le discernement, l'évaluation, l'agissement, d'enthousiasme, la survie, la détermination, la peur et j'en passe. Notre propre vie et régis par toutes ses choses qui font un tout.

Ma livraison commence à arriver de manière plutôt rapide, dans un sens elle connait mon caractère et sait parfaitement ce qu'il peut advenir si elle me fait attendre trop longtemps. Voyant l'enfant revenir, je me mets à prendre l'assiette et la nourriture qu'elle vient de faire réapparaitre. Engloutissant d'un trait la nourriture, je me mets à entamer sous les yeux d'un homme me parlant d'un repas, quand l'homme se met à parler ma personne écoutant d'une oreille ce qu'il disait ne captais pas vraiment se que celui-là disait et surtout se à quoi il voulait en venir,. J'ai faim, et la seule chose qui m'a perturbé c'est un petit détail dans ses dires "Papa poule"? Hein, quoi, il se met à croire que je suis capable de constituer de manière charnelle une chose aussi sale qu'une enfant comme elle? J'ai eux le Golem de pierre, le golem de fer, l'ours, mais jamais l'on m'avait trouvé celui d'un géniteur de pisseuse. Cela est insultant, du moins pour moi, car une personne lambda n'aurait surement pas prit cela de cette manière. Je pose le morceau puis le regarde, je sentis cette aura, une aura qui semble plutôt intéressante à première vue, là d'un coup une hésitation, l'envie de le tuer ou de le torturer étant la cible au départ de mon cerveau se mit à chercher à savoir se qu'étais la meilleur chose à faire, non pas par la peur de perdre, se qui dans un sens n'est pas se que je craint, perdre signifierais trouver un adversaire de valeur, mais celle de savoir si cet homme mérite vraiment d'avoir une place dans le monde que je veux modeler. Je le regarde puis me mets à dire d'une voix basse comme celle qu'on laisse dire quand celle si reflète les pensés de ce dernier:

C'est un affront impardonnable, me comparer moi avec un simple humain?

Mes nerfs sont sous le coup de l'agitation, je le regarde puis d'un coup je le lâche du regard, puis sans même montrer un signe d'anticipation ma prochaine action se fit d'un trait. Un coup de pied dans la gamine ayant pour but de la faire tomber affin d'avoir une emprise au sol sur l'enfant:

Je t'ai dit du porc, pourquoi tu m'envoies aussi de l'humain?

Pa.. Pardon.

Tu es inutile et faible, je devrais te liquider, tu ne la remplaceras jamais.

Sans réponse de l'enfant soufrant sans laisser une seule sonoritée de souffrance sortir de ses lèvres, celle si pourtant capable d'utiliser la télépathie ne pris aucune défense ou contrôle de son pouvoir pour atténuer ça souffrance. Un spectacle qui se fut montré devant un auditoire, ces personnes dont je mépris le plus l'existence, ses humains lambdas, ses hommes incapables se défendre sans le soutien d'une autre personne. Là, épuisé le teneur nous avait rattrapées. Comment? Peut importait il était là, me demandant ce qui se passe et son due, mais surtout de lâcher cette enfant qui l'avait volé. Défendre une personne qui lui fut toxique, une action bien pathétique. Cependant cela me laisse un petit sourire et l'envie de jouer, lâchant l'emprise que j'ai sur l'enfant je me mets d'un coup à parler:

Phénix.

Oui?

Apporte-les-moi. Je vais les étudier vivant.

Compris.

Posant un pas vers une ruelle sombre l'enfant s'empresse a à foncer sur le teneur, celui si parait le plus faible des deux et donc plus rapide à neutraliser.

hrp:

Je regardais cet ordre engloutir mon repas sans que je ne puisse en récupérer même une petite miette. Moi qui voulais savourer ce repas avant de massacrer l'aubergiste, me voilà encore dans une drôle de situation. J'observais la scène qui se déroulait devant moi, ce type n'était pas du tout content et il le montrait envers la petite fille. Vu comme il l'avait traité ce n'était pas son père, une esclave alors . Je ne comprenais pas trop leurs relations, elle semblait lui obéir sans broncher... Il lâchait alors son emprise sur elle et une chose à laquelle je ne m'attendais pas, il lui demandait de m'attaquer. Je n'aimais pas cela, mais je n'allais pas non plus me laisser faire, je devais devenir plus fort et atteindre mon but, ce n'était pas une gamine qui allait m'en empêcher, pour le brut, c'était un autre problème que je tenterais de résoudre après.

La gamine, du nom de Phénix, si j'avais bien entendu, fonçait droit sur moi, mais je ne m'attendais pas à une chose, elle stoppait net et je la voyais pointer son doigt vers des bûches... Elle voulait faire un feu ou quoi ? Pas du tout, celle-ci se mettait à léviter et foncer droit sur moi. J'arrive à en esquiver quatre, mais deux d'entre elles venaient me percuter, une dans le visage, l'autre dans le ventre... Sale gamine... Je réactivais alors mon kinnegan, je ne comptais pas me laisser faire.

La gamine sortait alors deux kunai qui lévitaient au-dessus de sa tête. Les kunais se dirigeaient vers moi et je me mettais à les contrer, j'avais l'avantage de voir cela au ralenti. C'était étrange de se battre contre un fantôme, le claquement du fer raisonnait dans la ruelle. Je donnais alors deux coups plus puissant pour éjecter ces kunais et je fonçais droit sur la fillette pour lui donner un puissant coup de talon plein crane. Celle-ci s'écrasait au sol lourdement et y rester... Je regardais alors la brute devant moi de mes yeux dorés.

« Tu n'as aucun principe à envoyer une gamine combattre à ta place ? »

Je n'obtenais pas de réponse et je sentais un rocher me percutant dans le dos, je me retrouvais au sol... Saloperie, je regardais et c'était la fillette... Elle ne semblait rien ressentir, c'était quoi cette chose devant moi. Je regardais tout autour de moi, des passants semblaient ne pas faire attention à ce qu'il se passait. La gamine recommençait alors avec ces kunais... Je bondissais alors vers un paysan lambda et je m'en servais comme bouclier, il poussait alors son dernier souffle que je devais rapidement lâcher le corps car les kunais continuaient leurs courses vers moi. Je continuais alors mon combat contre cette gamine qui était doué d'un don particulier. Je devais tenter une parade et la maîtriser, pour le moment elle avait l'avantage et je bondissais sur le toit d'une maison.

« Je vois que cette gamine est particulière... Mais, je ne suis pas banal non plus. »

Je sentais alors le toit se dérobait sous moi, les tuiles valsaient en tout sens. J'en recevais plusieurs qui se brisaient sur mon corps, l'entaillant doucement pendant que j'en brisais d'autres. J'en avais plus que marre et dans un élan de colère je fonçais droit, telle une torpille sur la gamine, les tuiles continuaient de se fracasser sur mon crâne, mais j'arrivais sur la fillette et je la percutais d'un violent coup de boule qui la faisait valser non loin de son maître... C'était du moi l'impression que cela donnait. Elle restait au sol un moment, je ne la quittais pas des yeux....

« Je ne suis pas stupide, cette fille ne ressent rien, à moins de détruire son corps, je ne vois pas trop comment je pourrais la détruire... »

Je disais cela pour gagner un peu de temps, j'avais pas mal d'entaille et je n'avais pas une réserve de chakra conséquente pour maintenir mon kinnegan aussi longtemps, j'avais pris conseil sur Demon, mais je manquais encore d'entrainement.

« Tu pourrais me dire ton nom au moins? J'aime toujours savoir à qui j'ai à faire... Pour ma part, je suis Jisetsu Arekushi...»

L'humain, la créature la plus infâme du monde, celle si étant la raison même de tous disfonctionnements de la terre. Si l'on regarde de près cette race inférieure on peut voir que l'être humain se voile soit même la face pour justifier n'importe le quel de leurs actes, se posant dans un village pour trouver des raisons plus valables pour leurs idioties. Loin est derrière moi cet parti de mon passé et à ce moment même, je vais me délecter de pouvoir détruire un grand nombre de vies humaines. Certain dirait mes actes faits pour respecter le souhaite d'un dieu ou d'une chimère, cependant ce n'est pas le cas. J'ai simplement pour idée de suivre mes propres désirs laissant aucune autre voix monter au-dessus de la mienne pour me dicter mes mouvements, mes choix. Là, face à moi, un homme fait face cherchant à reprendre un due qui lui appartient et qui pourtant ne pourra plus en être l'instant. Un homme qui pour le moment n'est qu'un abat de question. Broussant chemin et laissant la gamine le combattre je garde tout de même une attention au combat, un qui fut plutôt captivant. Je vois l'enfant combattre et je vois en ses mouvements qu'elle avait encore progressé depuis ma sortit. L'homme en face d'elle lui aussi tient le choque et cela malgré l'utilisation plus que nécessaire sur l'étrange homme. On pouvait voir que Phénix empêchait toute contre-attaque de son adversaire et cela pour une raison simple, l'instinct de l'enfant lui dicte bien que s'il contre-attaquait elle finirait quatre pieds sous terre. L'homme pendant les peurs de temps de répits lance des phrases pour ma personne, sans réponse pourquoi faire, me prenait-il pour un homme qui se laisserait bercer par de simples mots, des mots qui plus ais se voulant clairement donner pour recevoir une réaction. Plus loin dans le combat, je peux voir Phénix tomber à côté de moi. Posé sur cette ruelle obscure dont j'ai prit la direction. L'homme posé derrière moi avec des pupilles dorés dont j'ai déjà rencontré.

Jisetsu, j'ai déjà connu un Jisetsu, j'en ai simplement gouté un amer regret. Ce clan aux pupilles dorés est une denté rare, comment peut ton entamer de telles capacités à de si petite existence. Tu veux mon nom? Kyu Goren, du clan maudit Kyu. Un clan avec des pupilles pouvant avoir la forme d'étoile dont ceux atteignent de cette malédiction en reçoivent une couleur rouge sang.

Tournant la tête pour voir le Jisetsu je me mis à montrer ces fameuses pupilles étoilées de couleur sang:

Phénix ressent les coups, c'est simplement que la douleur elle-même est une raison moins importante que celle de suivre mes dires. Telle devrait être la destinée de tout cloporte. Tu penses pouvoir me faire face avec les rudiments de base des manieurs du temps? Laisse-moi te donner un aperçu.

Me retournant entièrement je me mets à laisser une aura noire se dégager de mon corps, un flux prenant de la puissance autour de moi laissant des pierres flotter. Une énergie qui montre toute la noirceur que mon âme détient en elle. De se flot je me mets à crier:

Je sent aussi ton aura, elle déborde aussi de cette envie de sang.

Mon aura s'amenuisant, je me regarde puis enchaine:

Tu as du cran petit, une personne lambada aurait fuit depuis un moment, (il en serait mort aussi) je vais te laisser le choix, soit tu tues dix hommes, soit c'est toi que je tue.

J'ai clairement vu pendant le combat qu'il avait pris un passant comme bouclier humain, je le savais donc capable de tuer de sang froid. Là n'est pas le défi, mais simplement un amusement que je voulais avoir et ne suis pas étonner si je me prends aussi au jeu.

hrp:

J'attendais des réponses de la brute qui se tenait devant moi. Il me disait de manière imagée avoir déjà connu un Jisetsu, point positif et qu'il ne comprenait pas comment de simples hommes pouvaient avoir une telle capacité. Je ne le savais pas et je m'en moquais car je ne croyais en rien de divin. Il se présentait alors comme Kyu Goren, je ne le connaissais pas et il me disait qu'il avait aussi des pupilles étranges et maudits... Bien, ça nous faisait au moins un point commun. Il se tournait alors vers moi et je pouvais voir ces drôles de pupilles. Intéressant, ce genre de pupille m'intriguait... Il m'expliquait alors le sujet phénix... ce type était vraiment crapuleux, mais il me plaisait bien et je ne faisais pas attention à son langage barbare. Il voulait me faire une démonstration, je me mettais alors en garde.

Une aura noire se dégageait de manière violente de ce type, rendant la ruelle encore plus sombre et j'avais du mal à résister aux bourrasques qu'il pouvait dégager. Il était démoniaque et je laissais apparaître un sourire et il me disait que mon aura avait envie de sang, comme la sienne... Pas totalement faux, j'étais juste moins apte à le faire souvent car je n'étais pas encore très puissant.

Son aura diminué alors, il me disait une espèce de félicitation qui avait un goût bien morbide tout de suite, il me proposait de tuer dix hommes ou alors c'était moi qui allait mourir. Je me mettais alors à rire sans retenu et je m'approchais de la brute pour le fixer droit dans les yeux.

« J'aime ta façon de voir les choses Kyu Goren, du clan Kyu... Ma vie vaut bien plus que ces misérables insectes de ce village, pourquoi se contenter de dix personnes ? J'ai une meilleur idée. »

J'invitais la brut et la gamine à me suivre sur la petite place du village où se tenait une cloche pour faire des annonces. Je le prenais alors dans ma main et je me mettais à faire raisonner le son mélodieux qui apporterait la mort sur le village, j'en profitais alors pour murmurer à Goren. rapidement.

« Pas un survivant héhé. »

Les moutons m'entouraient comme si j'étais leur berger, pathétique de voir le conditionnement humain de la sorte, les villageois se rassemblaient en me regardant bizarrement, mais ils semblaient curieux de savoir ce que j'avais à leur dire. Au bout de quelques minutes, il y avait environ une trentaine de personnes, le village quasi au complet sans le mort de la ruelle et l'aubergiste. J'allais donc pouvoir passer à l'acte.

« Cher villageois, je vous annonce que c'est votre jour de chance. Vous allez être libéré de votre quotidien fastidieux et vous allez avoir un repos bien mérité. »

Ils murmuraient entre eux, se demandant ce que je voulais et je rigolais encore plus.

« Vous allez tous rejoindre l'autre monde ahahah. »

Un type s'avançait alors, une trentaine d'année à vue d’œil, il avait les mains d'un paysans. Il se mettait alors à rire et à m'insulter. Je lui jetais alors un kunai qui allait se planter directement dans ces parties intimes. Je sautais alors sur lui pour lui fracasser la tête au sol, laissant échapper des morceaux de cervelles qui faisaient hurler une femme non loin de moi. Je ne supportais pas les cris et je sautais alors sur celle-ci, kunai en main pour le planter dans son crane à plusieurs reprises.

Ma danse macabre était en route, je passais de femme à homme, d'homme à enfant et je laissais mon plaisir malsain répandre le sang à travers le village, certains tentaient de s'enfuir, mais je ralentissais la marche avec des shurikens, blessant au passage juste quelques personnes pour les voir agoniser. Je voyais alors un gamin pleurer le cadavre de sa mère... Je m'avançais ver lui en souriant, je prenais alors sa tête entre mes deux mains et d'un mouvement brusque je l'éclatais, laissant gicler le sang sur mon visage. Je me tournais alors vers Kyu Goren.

« Tu ne veux pas t'amuser avec moi ? »

C'est le moment pour lui de décider si la vie de dix hommes est plus importante que la sienne vienne d'arriver. Je sais que son choix va surement être celui du massacre, je n'en ai pas un doute, mais après l'humain est aussi un être qui semble plus que propice à la surprise. Le regardant Arekushi se mets à me dire que mes idées lui plaisent. Du moins ma façon de voir les choses, mais que dix est un nombre bien bas. Celui si avait clairement une idée en tête. Prudence? Évidemment, toujours rester prudent, être prés au combat à chaque instant, nous les Nunkenins de mon espèce ne doivent pas relâcher leur attention. Le regardant s'approcher de la place principale du petit village, sur une estrade faite de la main de l'homme une cloche en bronze est entreposée. L'homme aux pupilles dorées se met à faire retentir ce bruit affin d'attirer la population. En quelque minute une trentaine de civile apparue, se demandant les raisons de cet appel. Un petit groupe régi par des règles et des codes. Que d'ennuis doivent être la vie de ses hommes. Je les regarde comprenant ce qui se passe. Notre manieur de temps va rendre leur vie le temps d'un instant bien plus exaltant.

Cela commençait à me rappeler le quotidien enfantin que j'ai vécu. Suivant mon père dans à marche démoniaque, tuant toute vie pouvant le décrire ou même donner une rumeur sur lui et laissant derrière simplement des traces de sang et de chaire, une marque que les autorités lui ont valu le surnom d'ombre sanglante. Le parti commence et je vois déjà l'hôte de la fête commencer ça dance macabre. Le regardant tuer les deux premiers malheureux, je me mets à regarder mes doigts avec dessus un sceau commençant à s'effacer. Fixé dessus, ce fut comme une envie insaisissable qui me prend l'envie d'utiliser des capacités enfouies en moi étant presque à exécution. Un souvenir entre dans mes pensées, un souvenir qui arrive dans ma tête comme le bruit d'un murmure:

..... Il te faudra plus utiliser le Kinton.....

Tu sais que je ne peux rien te refuser. Je ne l'utiliserais plus.

Cela m'arrêta net dans mon action puis je réfléchis un instant quand d'un coup le son dû Jisetsu se met à sonner comme un réveil, celui si me demandant pourquoi j'attendait. Le regardant d'un sourire, je me mets à répondre:

Simplement pour te laisser une chance de faire tes dix victimes.

Ironie? Vantardise, surement un peu des deux, enfin pour cet état d'attente il fallait bien donner une raison ou plutôt donner de quoi éviter d'avoir une autre question qui pourrait me mettre de mauvaises humeurs. Laissant un sceau s'activer, un approvisionnement d'arme se met à apparaitre. Des armes rudimentaires et sans véritable valeur, de la même espèce que ses moustiques qui seront bientôt inertes comme ses armes. Prenant le marteau dans ce lot, je me mets à avancer en courant vers mon allier, puis d'un coup me dirigeant vers la première personne apparaissant devant moi. Je me mets à donner un coup vertical visant les cotes gauches de ma cible, le marteau touchant la personne dite, un bruit sourd de craquement se fit entendre. Une première, puis une seconde et elles suivirent par deux autres qui furent presque simultanées. Le coup se finissant par une pression de ma part pour que mon arme change ça trajectoire et envoi voler cet homme au sol. Posant de manière brutale mon pied sur la chose ronde qui lui sert de tête celle si explosa. Faisant gicle, cerveau, sang, liquide cérébrale et morceau d'os. Ce fut le premier quant à la suite c'est un homme jouant les kamikaze qui vient avec un bâton se mettre en travers de ma route. Me donnant un coup, je ne fis même pas un signe d'esquive ou autre banalité. Son coup n'avait rien de dangereux. Le regardant, je me mets à sourire, ce qui le fit tremble et faire un pas en arrière,. Je peux même déjà voir dans ses yeux qu'il avait déjà compris que son acte avait pour seul goue celui du suicide. Mettant tranquillement un point américain qui au lieu d'avoir un bout de métal plat avait une lame. Lui en donnant un coup au niveau du ventre, le sang gicle de cette plaie pour venir en partit se poser sur mon bar. Remontant ma main j'agrandis l'entaille puis lui donne une ampleur d'une trentaine de centimètres faisant en même temps apparaitre une mare de sang au sol. Regardant autour de moi avec ma cible toujours vivant, je cherche un autre jouet. De préférence le plus proche. Ensuite avec ma connaissant des corps humains que j'ai acquis âpres moult soirée festive au qu'elle je me suis amusé à torturer et mutiler mes victimes j'ai appris que l'humain en moyenne a un intestin mesurant huit mètres pour un homme de corpulence moyenne. Attrapant donc l'intestin, j'avais peut d'écart pour faire le jeu que je souhaite. Courant avec l'intestin en main, l'homme accrocher à des propres abats agonisait sans pouvoir mourir. M'approchant d'un autre, je me mis à enrouler l'intestin au coup puis à faire prendre ses deux derniers au niveau de la cloche les ayant amenées à la mort, la barre centrale servant de balance pour les pendre. Regardant au loin, je voulais voir ou en est le Jisetsu.

Après un cours moment de réflexion, ma nouvelle connaissance se lançait dans le bal, j'observais à mon tour l'expérience d'un massacreur professionnel. J'en profitais pour choper une gamine qui était sur le corps de son père mutilait. Elle me regardait avec un regard noir que je connaissais trop bien. Elle me lançait alors un caillou, que je n’esquivais pas et je me mettais à émettre un rire de folie. Je prenais alors mon kunai que je plantais dans son ventre et je soulevais la fillette comme un morceau de viande. Elle vivait toujours et je regardais alors Kyu Goren massacrait les gens. Je donnais des coup répété pour ouvrir littéralement la fillette en deux jusqu'au cou, avant de lui donner un coup de pied pour aller faire éclater le reste de son corps contre un mur. Je me tournais alors vers le danseur de talent.

« Et de 9 ! »

Je continuais mon chemin, laissant des jouets à mon camarade de jeu, j'aimais partagé dans ses conditions là et je me dirigeais vers un couple de vieillard qui se tenait dans un coin. Je prenais alors des shurikens, que je plaçais entre mes doigts afin de faire comme un coup de poing américain amélioré, j'avais pu voir l'arme de Goren, elle me plaisait bien, je m'en achèterais une à l'occasion. Ma famille était morte d'un massacre et le fait d'en faire aussi me procurait un plaisir extrême et apaisait ma souffrance un peu de se monde d'insectes. Je voulais être un prédateur et non une proie. Je massacrais alors les deux vieux, fusant de coup, laissant le sang gicler, j'étais vraiment dans une spirale de folie. Il ne restait plus rien d'eux, j'étais recouvert de sang et je me retournais pour voir la place qui n'était plus qu'une marre de sang avec des bouts humains un peu partout. Je criais alors en direction de mon nouvel acolyte.

« 11, désolé... Je n'aime pas les chiffres rond ahahahahaha. »

Je me dirigeais alors vers une maisonnette, il y avait un plat sur le feu, je prenais deux bûches enflammées, j'en laissais une dans ma maison qui se mettait à brûler pendant que je sortais. Je me dirigeais alors vers Kyu Goren, affichant un large sourire.

« Ça te dit de mettre le feu au reste, au moins il n'y aura un peu plus de place et cela fera un beau paysage non ?»

Je regardais le beau tableau face à moi. Cela me donnait des fois une envie de peindre...

« En tout cas, je suis certain de ton identité maintenant Kyu Goren, Demon m'a parlé de toi... Je ne pensais pas que j'aurais pu autant m'amuser... »

Les victimes se cumulent et passant de larve en larve, je peux contempler le spectacle que l'on produisait.Les victimes se cumulent et passant de larve en larve, je peux contempler le spectacle que l'on produisait. Une véritable boucherie, un bain de sang. Changeant d'arme je compensais ce manque que le Kinton me faisait en touchant le métal des armes basiques. Un métal qui n'avait d'aucunes manières ce petit plus que le Kinton donnait à mes instruments. Pourtant, je me devais de m'en contenter car cela ne se voit pas, mais je suis un homme qui sait tenir ses promesses, du moins quand l'on tient les siennes.

11. Tu as donc gagné mon respect, je t'ai mal jugé. Pour l'idée du feu de camp, je suis plutôt d'accord, cependant je vais tout de même faire le tour des baraques pour récupérer les biens de valeur. Les morts ne mangent pas. Moi si. Pui manger de la chair humain passe un temps. Personnellement je préfère une bonne cote de veau c'est moins rude. J'ai le palais délicat.

Faisant donc le tour des maisons avec mon nouveau compagnon, je me mets à regarder à droite puis à gauche, cherchant, tout en parlant, je me mets à dire quand il se mets à parler de Démon comme quoi il avait parler de ma personne:

Demon? Je suppose que c'est avec peu de louanges. Enfin je n'ai que peut d'intérêt en ça personne cependant ton cas m'intéresse. Tu suis une voie qui semble raisonner comme la mienne. Pourquoi? Tout le monde à ses raisons je veux connaitre la tienne.

Prenant encore et toujours les biens. Passant de maison en maison tout en tuant les malins qui se cachant en ornant ça comme un amusement. J'en fus même de ma dernière victime étant une gamine mon casse-croute personnel, lui arrachant le bras pour ensuite faire une alte pour cuir ce bras même. Je ne trouvais pas de viande dans la baraque que l'on fouillait et donc n'avais que ça à me mettre sous la dent. Après cela nous changions de maison et tombe sur un stock de poudres à canon:

Hé, hé bon ben on va pouvoir continuer notre discutions sous un beau feu d'artifice.

Bien évidement le feu d'artifice sera le petit village qui explosera sous l'effervescence de la poudre à canon.

Nous avions donc fait le tour des personnes encore en vie ou agonisante, j'étais recouvert de sang, c'était la première fois que je participais à un tel massacre et j'y avais pris réellement goût. Je pensais que le sang avait des vertues encore inconnue et qu'il serait bon de les découvrir, en tout cas, tout se mélange me donnait un sentiment de puissance sur la vermine, rien de bien glorieux, mais je tenais surtout à ma vie. J'avais réussi le test de Goren, il était d'accord pour tout brûler, mais il comptait faire le tour des maisons avant. C'était une bonne idée, autant profiter des biens de tout ces cadavres, ils ne serviraient quand même plus à leurs propriétaires. Je l'écoutais parler de nourriture, un adepte de la chair humaine, pourquoi pas, nous étions des mammifères comme tant d'autre et notre viande ne devait pas être bien différentes de celle d'un porc, à ce que j'avais pu entendre.

On faisait alors notre tour dans les maisons et on profitait pour parler un peu, il me parlait alors de Demon comme quoi il ne devait pas avoir dis que des louanges sur lui. Il se semblait pas l'apprécier plus que ça, ce n'était pas mon problème après tout. Il finissait alors par me demander pourquoi j'agissais ainsi.

« Le monde n'est pas fait pour les faibles, pour ces vermines qui se contentent de suivre un ordre de vie tout tracé depuis leur naissance sans se soucier du monde qui les entours. Je fais cela d'abord par pur plaisir, mais surtout pour montrer ma haine envers se monde, ma famille a été massacré et je ne veux pas me retrouver parmi les proies, mais parmi les prédateurs. J'ai donc choisis la voix du sang et elle me plaît bien. »

Nous continuions à fouiller les maisons une par une, prenant tout ce qui était possible.

« Et je suis surtout contre ces villages, qui se croient tout puissant à tout contrôler et tout décider. Par ce genre d'acte, j'aime leur rappeler qu'ils ne peuvent tout voir et puis, je suis sur qu'il se moque d'un petit village comme celui-ci sans intérêt ou potentiel ninja. »

Nous étions alors dans une maison où il restait une fillette, Goren ne manquait pas de lui arracher le bras pour ensuite le faire cuir, un remord ? Je le regardais faire, je n'allais pas le déranger dans son repas du jour ou de l'heure.

« Tendre la chair de jeunes humains ? Ahaha »

On finissait par arriver dans une maison où il y avait énormément de poudre à canon. Il avait pour idée de faire un jolie feu d'artifices et je lui souriais.

« Dommage que tu as mangé cette gamine, elle aurait pu servir de torche humaine. »

Je prenais alors un baril de poudre et je commençais à faire une trainer.

« Tu es peut être fort, mais si on reste là, tout va péter et nous avec. »

Je lui faisais signe de me suivre et je continuer à déverser la poudre à travers les ruelles des maisons, jusqu'à nous mettre suffisamment à distance. Je prenais alors deux silex de mon sac que je tendais vers Goren.

« A toi l'honneur ! »

La fête est finie, remballez tout, il n'y a plus rien à voir. Ha, mais si, il reste le bouquet final le feu d'artifice qui clôture les festivités. La poudre faisant le tour du village si nous avons oublié du monde il est clair qu'avec ce qu'il va suivre il ne restera plus personne. C'est donc en posant la poudre d'un endroit à d'autre que mon partenaire ensanglanté se met à répondre à ma question. Un homme vivant pour liquider les faibles, pour ne pas être la proie, mais bien le fauve. Sur se point il suit complètement mon idéal qui est de mettre ce monde dans son état naturel, sans fioriture, sans règle et autre état qui n'est qu'aveuglement, un monde ou seul l'état primaire de l'homme régnerais ou l'humain verra ça propre faiblesse submerger son propre monde. Enfin si l'on peut appeler ça le monde des humains. Moi-même je ne me considère plus comme humain, mais cela est une autre histoire:

Je vois que cela nous fait un point commun. Ses pays sont des freins pour l'humanité, du moins comment elles sont composé en ce moment même. Elles sont un ensemble régi par la simple concrétisation de règle et de condition. Un monde fait de mensonge est de chimère. Ils arrivent même à sortie des âneries comme la flamme de la volonté. Seule la force compte rien d'autre, les autres sentiments que ceux qui poussent au combat sont des faiblesses que l'humain a peur de quitter.

Nous étions semblables, du moins dans nos idées de la vie et cela même si notre passé n'a pas vraiment de ressemblance, cela nous a menées à une idée propre, l'unique vérité dans ce monde, la seule qui soit vraie en tout point. Cependant, j'ai aussi ma propre vérité, celle qui passe avant toute chose, la mienne, mes propres envies sont la seule véritable voix que j'ai choisi de prendre. Je fais ce que je veux ou je veux. Posant l'une des pierres au sol, je me mets à poser un genou à terre, serrant dans une de mes mains l'autre pierre, je me mets d'un coup à la lancer en l'air. La regardant monter, après un ou deux mètres, celui si se remet à descendre en direction de l'autre pierre posée au sol. Arrivé à mon niveau, je me mets à balancer mon poing du haut vers le bas tout en prenant dans mon élan la pierre prise dans l'action, faisant dans la foulée l'impacte entre les deux pierres et donc les étincelles qui suffisait pour allumer la mèche faite en poudre. Les flammes partirent sous plusieurs éclats de scintillement. Les couleurs rouge, orange et jaune se succèdent pour arriver sur plusieurs bâtiments à la fois, laissant les explosions montrer les éclat de boit et de brique faire exploser les maisons et faire apparaitre des flammes flambant l'habitat de ses êtres éphémères:

Un monde régi par le propre instinct, sans règle, sans condition ou raison poussant à ne pas faire ce qu'une terse personnes veut faire. Un monde ou si tu souhaites régir la mort dans un village seul le poing d'un autre pourrait t'arrêter. Un monde régi par le Chaos pur.

Beaucoup prendraient ça pour de la folie, moi je prends ça pour l'unique forme de vérité pour le genre humain. Un salut qui ne pouvait qu'être la seule manière de rendre ses humains honnêtes avec eux même.