Pays de l'Eau, rencontre avec un Ronin (PV Nea)

Le territoire de Mizu no Kuni était purement magnifique. Toutes ses îles qui entouraient l’île principale avaient comme un gout d'aventure. Chacune avait son histoire, ses indigènes. Chacune avait ses facilitées mais aussi ses difficultés.

Se matin là, le visage tournait vers l'aurore qui naissait à l'horizon, la belle attendait. Elle attendait que le temps passe, une journée de plus, puis deux. Puis trois. Elle qui avait été éloigné du village parait il pour son bien. Parce qu'elle en faisait bien trop et qu'un peu d'air pur de la mère l'aiderait sans doute. Enfin, il paraissait.
Un sourire franchi ses lèvres, elle frappa de son poing fermé l'accoudoir de son maudit fauteuil. Fauteuil qui, d'après bon nombre de médecin, la suivrait toute sa vie.
Mais Sayoko Fuji n'en avait aucune envie. Elle n'avait aucune envie de resté assise toute ses belles années, elle n'avait que 20 ans, elle avait encore bien des choses à faire, a voir, elle avait encore bien des choses à se souvenir et, Sayo était sur que c'était en retrouvant ses jambes qu'elle allait retrouver une partie de ses souvenirs.
Lorsqu'elle n'aurait plus besoin de personne pour l'assister.

Sayoko soupira une deuxième fois.

Elle observait de ses yeux d'un vert turquoise le ciel dont elle voulait toucher les cieux, voûte céleste encore quelque peu étoilé par la belle nuit qui était passé.
La jeune femme avait passé absolument toute la nuit là, dehors, et parfois son ami était venu la voir, lui demandé, la priez de rentrer. Mais elle n'avait jamais voulu et son précieux serpent veillez encore sur elle. Elle qui ne pouvait plus veiller sur personne…

Frustré la jeune femme serra le poing. En colère, elle s'en voulait personnellement. A elle et a elle seul. Pourquoi ne s'était elle pas réveille plus tôt ? Pourquoi ne s'était elle pas plus défendu ? Pourquoi avait-elle encore mal dans son abdomen ? Pourquoi avait-elle encore mal aux doigts, aux jambes?

- « Pourquoi ?! Gémit-elle alors.

La tête reposant entre les doigts, la jeune femme semblait pleurer. Mais non, elle fulminait intérieurement. Elle était en colère et rien ne semblait l’apaiser. Et se nom qui résonnait dans sa tête, cette fois sinistre et cette douleur qui lui venait en flash lorsqu'elle n’assaillait pas!
Balayant d'un geste sa longue chevelure noire, la fille posa ses deux mains sur les accoudoirs de son fauteuil. Elle força, elle gémit encore, puis s'essouffla.
Non, ses jambes ne voulaient pas la porter. Mais, elle, elle le voulait! Elle voulait aller près de cette arbre, elle voulait sentir sous ses doigts l'herbe, elle voulait s’élonger dans l'herbe et chasser les mouches de geste délicat, elle voulait courir dans les arbres et entre les racines de ses derniers. Elle voulait ....

- Fait chier! Fit-elle alors, plus haut et plus fort.

Puis, soudain, elle redressa la tête, observant devant elle.

- Hey ? Y'a quelqu'un ? C'est bon, ce n’est pas parce que je suis en fauteuil que je ne suis pas humaine! »

Se réinstallant plus confortablement, elle posa sa tête contre son poing fermé, un sourire fin sur les lèvres. Ses deux bras à nue laissé voir de longue cicatrice la zébrant comme un animal. Sa gorge portait encore la torture et les brûlures qui l'avaient atteinte. Mais son visage montré l’insouciance et l’inconscience de sa propre situation. Belle, comme un ange cloué sur terre. Brisé.

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On est
Jamais
Seul

■ La flemme-1995
Yare, yare ... Je n'ai absolument aucune idée de quel jour nous sommes ... Ni même du mois ... J'avais commencé il y a peu à arrêter de compter les cycles jours/nuits s'était sans doute une mauvaise idée ; à partir d'aujourd'hui, je recommencerais à dater les jours cependant, il serrait franchement plus sympa de demander aux autres la date, mais voilà mon second problème ...

Je suis totalement perdu ... Je n'ai aucune idée du nom du pays dans lequel je me trouve ... Décidément, la vie de nomade solitaire n'est pas faite pour moi, j'ai intérêt à rapidement me dégoter des compagnons de voyages avant de retrouver embarqué dans une bataille ou je ne sais autre quelle connerie qui risque de m’ôter la vie car oui, je vous assure que même les simples d'esprits chérisses la vie.

Je marchais d'un bon pas dans une plaine à la recherche d'une quelconque civilisation la nuit commençait à toucher à sa fin. Les premières lueurs du jours furent accompagnés d'une délicieuse brise marine. Ainsi, j'étais proche de l'océan ... Dans quel pays pouvais-je donc me trouver ? Pfeuh. Peu importe, que je sois d'un bout du globe ou de l'autre, c'est du pareil au même, non ?

Je continuais mon chemin jusqu'à atteindre l'océan ... Ce que je vis m'émerveilla, mes grands-parents m'en avaient souvent parlé, mais je ne l'avais vu de mes propres yeux, ni même sentit cette odeur indescriptible que je reconnaîtrais entre mille. J'observais avec une joie presque enfantine cet immense étendue d'eau. Je me jetais dans le sable et m'amusais à rouler dedans puis, reprenant mon calme, l'euphorie retombant, je repris mon chemin longeant l'océan à la recherche d'une trace de l'homme sur cette terre. Une simple cabane de pécheur me conviendrait ...

J'aperçus alors une jeune femme. Je fus d'abord charmé par sa beauté puis, me rendis compte qu'elle se trouvait en fauteuil roulant. La première pensée qui me vint fut que s'était injuste ... Pourquoi une jeune femme dans la fleur de l'age devait-elle souffrir d'un tel handicap ? De plus, j'étais certain qu'en ce monde, il existait de nombreux ninja médecin capables de lui rendre un jour l'usage de ses jambes. Elle avait l'air de dormir et semblait se paisible que je ne voulais pas l'importuner et passais mon chemin. C'est alors que je l'entendis parler. Apparemment, elle converser seule ; la douleur liée à la perte de ses jambes l'avait-elle rendue folle ? Je me concentrais pour capter le sens de ses paroles, c'est alors que je compris qu'elle avait remarqué ma présence et me demandais d'approcher. J'eus l'impression d'être un voyeur ... Je m'approchais d'elle tranquillement, lentement, je n'allais pas me presser non plus !

Nea - Yoh ! Moi, c'est Nea. Et quel est le nom d'une charmante demoiselle comme vous ?

Un grand homme approcha alors. Enfin ‘grand’, tous était relatif vu d’un fauteuil roulant. La jeune femme lui sourit lorsqu’il lui demanda son nom et elle se demanda se qu’elle devait lui répondre. Que dire ? Elle qui ne se souvenait plus de son propre nom, qui n’était même pas sur que celui que lui avait donné son Mizukage était le bon. Mais elle n’avait d’autre choix que de le croire et la premier personne qui l’avait reconnue ne savait de toute façon pas non plus.
La seul chose dont elle était sur c’était que son épée était a elle, et qu’elle la chérissait. Et se nom qui résonnait, encore et encore et encore. Presque a lui en faire mal au crane!
Elle repondit tous de même, après quelques instants de douce réflexion:

- « Il parait que je me nome Sayoko, mais je ne suis pas sur. Dit-elle alors, perplexe.

Elle lui montra des doigts une chaise non loin d’elle ou il pouvait s’installer si il le désiré. Une chaise de bois clair et brute mais tous de même assez solide pour porté un homme. La jeune femme l’observa donc d’un peu plus pres, observant ses vêtements salle et encore couvert d’un peu de sable (avait il dormit a la place ? Ah se qu’elle aimerait tremper ses pieds dans l’eau …) Mais se n’était pas le même de penser a se genre de chose, se reconnectant entièrement sur au jeune homme, elle posa ses yeux sur ses lèvres puis dans les pupilles sombre du jeune homme, lui demandant poliment:

- Vous semblez être dehors depuis un moment. Avez-vous faim ?

La jeune femme se pencha en vers lui, laissant cascader sa longue chevelure d’une ébène profond jusqu’au sol de terre. Elle qui ne semblait ne jamais avoir couper ses cheveux, elle se demandait à présent pourquoi ne l’avait elle pas fait! Une tel chevelure, n’était elle pas gênante pour le combat ? De douce question murissait dans l’esprit de la jeune femme. Questions qui ne trouveraient sans doute jamais aucune réponse si elle ne reprenait pas son travail de Kinoishi!
Doucement, elle attrapa une chose placée dans un sac sous son siège. Lentement, comme si elle voulait rassurer l’homme Errant de sa bonté, elle extirpa une petite boite de métal. L’ouvrant, avec quelque difficulté dut a des articulations gonflé et endolorie, elle ouvrit cependant la boite et lui tendit l’objet. Lui proposant quelque mignon cupcake rose ou bleu turquoise.

- Mon ami les a fait lui-même. Il est fou, il croit qu’il n’y a rien de mieux que des gâteaux dans la vie.

Un sourire gai s’afficha sur son visage, puis elle tourna la tête vers l’homme à la sombre chevelure et au regard étrange. Des questions, elle en avait. Et pour une fois, ses questions ne la concerné pas! Et il était même plus simple d’avoir des réponces a ses dernières! Son sourire s’élargit donc et elle demanda:

- Puis je vous demandez se que vous faites dans le coin? »

Lui tendant le paquet de petit gâteau elle attendit une réponse tout en le regardant dans les yeux. Ses iris couleurs du ciel d’été étincelaient comme un soleil azuré.

Son visage ne lui revenait nullement, il pouvait être un homme qu’elle avait déjà vu comme un parfait inconnu qu’elle ne s’en serait guerre soucier. Mais, de toute façon, pourquoi une personne qu’elle connaissait lui aurait elle demandé son nom ?
Sayoko était plus détendu qu’avant, elle qui n’aimait pas être seul n’avait à présent plus personne à appeler en cas de solitude. Alors, une rencontre fortuite ainsi était toujours agréable.

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T'as Pas
Des Crêpes
Au Nutella ?

■ La flemme-1995
Je ... Vais ... Mourir ... De faim ... Depuis combien de temps n'avais-je pas mangé un véritable ? Vivant comme un véritable nomade, j'avais rapidement épuisé mes maigres ressources ... Je ne suis vraiment, mais alors vraiment pas doué pour la chasse ainsi, je vivais uniquement de la cueillette et là non plus, je ne suis pas spécialement doué, c'est pourquoi j'étant sans aucun doute dans un piteux état ; je ne devais pas être beau à voir.

J'observais cette Sayoko enfin, si elle se nommait réellement ainsi. Elle me semblait plutôt lunatique ; étrange ... Aurait-elle consommé certaine drogue afin de calmer le chagrin dû à la perte de ses jambes ? A moins que je ne me fasse des idées et qu'elle soit née ainsi et l'ait parfaitement accepté. Il faut que je me montre un peu plus polie et respectueux et que j'arrête de me concentrer sur ses jambes.

Elle m'indiqua alors une chaise qui ne semblait pas vraiment confortable, mais s'était toujours mieux que rien, non ? Et lorsqu'on a passé des semaines dans la nature à dormir à même le sol, ce genre d'objet nous semble d'un luxe extrême. Je m'empressais de l'empoigner et je la plaçais juste à côté d'elle. Quelque centimètre nous séparaient à peine ... Étions-nous trop proche selon les coutumes de ce pays ? Je n'en savais rien et je n'en avais absolument rien à faire ...

Je la regardais pensif, muais depuis quelques temps déjà, je me demandais si le sable est comestible ... Ça n'en avait pas vraiment l'air, mais peut être que le sable était extrêmement nutritif. Bref, une fois qu'elle me proposa à manger, je fus comme en transe ... Je n'allais pas devoir manger du sable ce qui était plutôt une bonne chose et j'allais certainement manger quelque chose de bon ce qui il faut l'avouer était plutôt rare ses derniers temps. Je clignais plusieurs fois des yeux me demandant si je rêvais ...

J'étais choqué ... Mon cerveau s'était arrêté, mon instinct ayant prit le relais, un seule pensée demeurait, manger ! Dès qu'elle me tandis ces magnifiques cupcake, je les engloutis tel un affamé après tout, ne l'étais-je pas ? Le goût était indescriptible, il était tellement puissant qu'il me picota la langue, mon corps en voulait un second, immédiatement ! Et comme de par hasard, elle m'en avait donné plusieurs ! Ils ne firent pas long feu, mais suffirent à me revigorer, j'étais d’excellente humeur à présent ; je me sentais capable de déplacer des montagnes !

Nea - Puis-je vous confier un secret ?

Je me rapprochais d'elle plaçant ma main proche de son oreille comme si je souhaitais qu'on ne nous entende pas. Comme si quelqu'un nous écoutait ce qui n'était évidement absolument pas le cas.

Nea - Je cherche à devenir un ... Héros !

Une fois cela dit, une personne m'empoigna, j'étais pourtant certain que nous étions seuls ...

Spoiler:

Une fois le secret révélé, quelqu'un intervint. Sayoko, presque aussi surprise que le jeune homme tourna la tête en arrière. Un homme, d'une carrure plutôt fine mais musclé empoigna le jeune homme. Kriss était l’un de ses hommes braves et fier au tendance quelque peu possessive. Sa longue chevelure grise en bataille, nouer dans son dos pouvait le faire ressemblait a un papy. Pourtant, lorsqu’on le voyait de face on ne pouvait voir que la fougueuse jeunesse imprimé dans ses pupille vert foret. Il souleva donc le malheureux du siège ou il était installé pour le tirait en arrière. Loin de la jeune femme au corps en morceaux. Il n’aimait nullement qu’on approche de si pres son amie déjà bien trop fragiles. Surtout qu’il ne savait n’y pourquoi n’y comment il était arrivé là! Loin d’être gêné, il tira l’homme en arrière. Loin d’elle.
Sayoko ouvrit les lèvres pour parler, mais le jeune homme intervint avant elle. Glissant de sa voix sucré mais piquante quelques mots :

- " Non Sayoko. Il n'a pas rien fait! Il est recherché pour vole un peu partout dans le pays. "

Le sourire de Sayoko ne disparut pourtant pas. Elle qui était d'une nature douce et aimable l'était toujours même après son coma et sa perte de souvenir. Après sa torture et la perte d’une partie de son corps.
Mais elle lui murmura d'une voix tendre, comme pour le défaire de ses maux.

- Mais, Ookami-kun, il est gentils! Il a les mêmes rêves que nous! Que nous tous.
- Hebi-chan, l’appela t il avec affection, se n'est pas une raison! Le vols, c'est mal.
- Mais ...
- Non Sayo. Fit il avec plus de fermeté.

Sayoko eut un doux rire, elle attrapa avec délicatesse le bras de l'homme qu'empoignait toujours Kriss et lui dit sans se soucier du fait que son compagnon l'entende.

- Ne vous inquiété pas, là ou il vous emmenez vous aurez un lit et a manger, et je ferrais en sorte que vous n'y restiez pas trop longtemps enfermé!

Un doux sourire, qu'elle partagea autant avec cette inconnue au jolie rêve.
Oui un très jolie rêve qu'elle même pouvait entretenir. Qui ne révérait pas d'être un Héros ? Ookami lui même en révérait!
Kriss, au surnom de Loup, sourit un instant. Pensait que la demoiselle parlait comme elle le faisait avant. Avec passion et douceur. Avec une attitude taquine et joueuse, sans jamais être réellement moqueuse. Il murmura.

- " Tu parle comme une Shinobi Sayo.

Elle eut un sourire, déclara d'une fois plus forte et déterminé:

- Je redeviendrais une Shinobi!

|spoiler]Désolé, pas de codage, j'ai reçu un Mp comme quoi on avait pas le droit :'( je trouve ça pas beau, j'aime pas avoir des Looooongues lignes, c'est dure a digéré! mais temps pis ç_ç[/spoiler]

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