Kuchiyose ! Le Royaume des Pitohui !

Le Pays des Oiseaux

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Tori no Kuni.. Tel était le nom du pays auquel je me retrouvais. J'avais entendus les dires des rares personnes ayant été à ce mystérieux pays. Tous, sans exception, s'accordaient le mérite d'y avoir put y pénétrer, vantant les vertus qu'ils avaient put approcher, et leurs récits sur l'harmonie qui y régnait étaient digne d'un roman fantastique. Déjà le pays des oiseaux m'intriguait, autant maintenant, j'étais dévoré par l'envie de le connaître dans ses moindres recoins. Le voyageur et l'explorateur en moi refaisait surface, après deux ans de rédemption de ma propre nature. Depuis que j'avais quitté Kumo afin de servir mes mes objectifs, je voguais selon mes envies, où je désirais aller. Ce n'était plus les missions qui guidaient mes voyages mais bien ma propre volonté. Revivre la liberté totale était plaisant, mais je devais me méfier du dangereux monde extérieur. Mon expérience revint très vite, à ma grande surprise, et je savais pertinemment que les rencontre pouvaient se passer pour le meilleurs, ou bien pour le pire. Un situation était en proie, à chaque seconde, à un élément perturbateur changeant le déroulement, le dénouement et donc le résultat de celle-ci. Être toujours sur ses gardes et adopter le comportement en fonction de l'évolution du monde extérieurs : voici les deux règles d'ors des nomades, maître incontesté des périples. C'était ces commandements que j'avais suivis lors de ma précédente exploration mondiale, m'ayant permis de rester en vie, alors que j'avais été parfois, au seins même de zone sous autorité Uchiwa.

Faire la route jusqu'aux frontières du pays n'avait donc pas été un soucis, surtout en ces temps de paix troublée. J'avais croisé une tribu, connut pour tué les infiltrés lorsqu'il venait avec plus que le nécessaire afin de survivre. Ma rencontre m'avais ralentis pour progresser dans le pays, mais puisque j'étais aussi peu équipé qu'eux, néanmoins avec une tenue vestimentaire des plus appropriée pour un guerrier errant en supplémentaire, je n'avais pas finis sur l'un de leurs bûchers, dédié à ceux qui ne respectait pas les lois si spéciales, que ces amazones perpétuaient et vénéraient depuis des générations déjà. Finalement, en pénétrant et bravant les dangers de la forêt sauvage, que je considérais comme une jungle, j'avais finis au pied d'un pic, qui montait un peu au dessus des grands arbres. Relevant le défi, j'escaladais la parois rocheuse pour finir au sommet, sur lequel je découvrais pour la première fois, la cime d’innombrable être de bois et de verdure. Au loin, je pus percevoir une tache un peu vert grisâtre. Le gris étant la couleur dominante, j'en déduisais qu'il s'agissait du fameux Grand Marais des Pays des Oiseaux, qui était aussi le seul à des kilomètres à la ronde. Sur cette vue imprenable, je commençais à ressentir moi aussi les vertus légendaires liées au pays. Une sensation étrange de bien-être parcourait toute la profondeur de mon âme, de mon esprit, et de mon corps jusqu'à ses moindres cellules. Soudainement, je réalisais que cela n'avait rien à voir. Ce ressentis provenait d'autre chose, je ne savais pas quoi, mais ce n'était pas à cause de la beauté du paysage.

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Spoiler:

Le Domaine

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L’être fait de plumes, différentes de celles de ses compères volants, évoluait dans son milieu. Cherchant un chemin en jouant des ailes, puisque d'autres oiseaux le gênait dans sa progression, il perdit rapidement son objectif premier. Créant un véritable fléaux, les ailes battaient afin d'impressionner les autres et un terrible remue-ménage occupa l'espace. Dans cette attitude et cette scène sauvage, on pouvait cependant remarquer des traces de civilisations. Des habitats, si l'on pouvait appeler cela ainsi, se confondaient parfaitement à le nature. Les constructions se dissimulaient dans leurs propres environnements, tellement l'harmonie entre les deux éléments étaient parfaite. Une énorme cloche reposait son poids sur deux branches d'arbres différents, à la taille phénoménale. Il était bien possible que tout ce qui entourait ce lieux ne soit qu'arbres, aux nombre de deux qui s'étalaient encore et encore, sur un périmètre inconnus. L'agitation gagnait en ampleur à chaque secondes, mais lorsque le son du carillon résonnait dans chaque crânes, le vacarme cessa. Tous les regards se braquèrent alors dans une seule direction, située un peu en hauteur. On pouvait voir la cloche finir son mouvement, laissant échapper un dernier son, qui restait faible cependant. Positionner devant, un de leurs semblables, bien qu'il semblait plus grand, plus sage et plus âgé, gonflait ses poumons pour s'adresser à tous, en élevant sa voix.

« Que dirait L'Ordre des Anciens, s'il voyait de telle manières ! Il sont certes agités en ces temps, mais les jugements sont toujours possibles ! Nous laissons passer pour cette fois, mais que cela ne se reproduise plus ! »

Se retirant de la même façon qu'il était arrivé, il devait tout de même fournir un rapport sur ce qui venait de se passer. Les sanctions n'allaient pas être appliquées, pour cette fois, occasionnellement en ce jour d'exception, presque de fête. Un événement allait prochainement arriver, et tout le monde était impatient. Se guidant par habitude à ce qui semblait être son foyer, il prit un des nombreux parchemins vierges, qui emplissaient ses casiers. Tout les murs étaient recouverts de ces derniers, à partir de la mi-hauteur jusqu'au plafond. En dessous d'une de ces étagères, se trouvait un encrier, qui reposait sur une sorte de bureau. L'animal volant s'assied sur un tronc d’arbre avant de s'arracher l'une de ses plumes, qu'il trempa dans le seul élément qui n'était pas naturel : l'encre. Cela aurait été l'unique profanation en ces lieux, mais il s'avérait qu'elle ne soit pas synthétique. Toutes choses existantes provenaient d'une seule et même origine ; les deux arbres mystiques qui recouvraient l'endroit. Ils prenaient la forme et se pliaient selon les besoins des oiseaux qu'ils abritaient, par on ne sait quel moyen. La sève de ses racines donnait ce liquide qui se solidifiait au contact du papier, qui germait lui-même dans les bourgeons aux propriétés uniques. Pour décrire ceci en quelques caractères, c'était de véritable arbres magiques. L'oiseau écrivait en script, et une fois finit, il donna naissance à un manuscrit qu'il enroula.

Fier de son œuvre, il allait l'apporter au dirigeant en guise de rapport. Prenant son envol en poussant sur ses serres et déployant ses ailes, il arriva rapidement au bâtiment qui était, est et restera sans doute le plus prestigieux de tout Tori no Kuni. Un perchoir gigantesque servait d'entrée et c'était par ce moyen qu'il entrait, dans la structure même de l'un des deux arbres magiques, au cœur de son tronc. A l'intérieur, la lumière était réfléchit par les feuilles, qui habituellement auraient assombrit l'endroit, ce qui permit à notre personnage de se retrouver devant deux grandes portes de bois. En les poussant, le grincement caractéristique d'un rempart d'une telle masse n'eut pas lieu. Sur un fauteuil tressé à l'aide de brindilles, un noble plumage, rayonnant d'un éclat agressif de rouge, balaya du regard le nouveau venus qui lui apporta la paperasse. Toisant le fameux rapport, il déclara que sa vue avait encore baissés, et qu'il apprécierait un compte-rendus oral à sa juste valeurs. Après avoir été informé du précédent remue-ménage, il demanda si tout se passait comme prévus, afin d'accueillir l'événement. Son interlocuteur avait suivit un projet depuis des mois et des mois, et tout les efforts qui avaient été fournit allait se voir récompenser. Jamais il n'avait touché le but d'aussi prêt et l'accomplissement se voyait approcher à grand pas. Il manquait encore quelques petits éléments, cependant l'oiseau décida de rassurer son dirigeant. Déclarant que les préparatifs étaient terminés, ce qui était presque le cas, il se vit félicité en raison de sa réussite.

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Esprit du Royaume

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Le bien-être commençait à se faire trop intense. Mon esprit fatiguait à lutter contre cette anomalie, mon corps frissonnait de beaucoup trop de plaisir. L'harmonie profonde des vertus légendaires du pays commençaient à s’imprégner en moi. Voulant rejeter cette fusion de tout mon être, avec toute ma volonté, je me résoudrais petit à petit à la réalité. En effet, c'était peine perdue de remporter cette bataille. Au fur et à mesure, je me voyais en train de m'effacer de ce monde. Ou plutôt, je me voyais fondre en lui, me mélangeant comme si de rien n'était. Mes geste n'étaient absolument pas sous contrôle, comme retirés. Immobile comme un arbre, je me rappelais des comptes racontés sur Tori no Kuni. La mémoire et la raison, c'était tout ce qui me restait. C'est grâce à ces dernières notions et ma situation actuelle, que je me rappela de la scène d'une des narrations les plus captivantes. Le vieillard qui m'avait raconté ce mythe de la création même de la forêt, avait été rencontré dans une des auberges qui se trouvait sur ma route. L'homme sage était assit dans un coin, près de la cheminée, à l'ombre. Il possédait un bâton, auquel un cristal bleu était incrusté en son bout, propageant une faible lumière bleuâtre, donnant au conteur un air surréaliste. Cette sensation à elle seule, persuadait que son récit ne pouvait qu’être vrai.

M'étant maintenant souvenus de la scène, il fallait que je me souvienne de l'histoire, pensant que j'allais mourir avec. Il était question de la Grande Guerre, qui avait ravagée une forêt ancestrale, laissant toute l'étendue du pays sous forme de marais. Il se trouva que les deux plus jeunes pousses du pays, ainsi que les plus enterrées et celles si situant au plus près du centre du territoire, se virent saine et sauf. Ayant été au contact d'innombrable source de chakra, elles se virent conférer des caractéristiques hors du communs. Avec du temps, se fit progressivement tout un réseau de bois et de feuille qui s'installa, avec uniquement deux arbres mères. Leurs pouvoirs se concentraient à l'origine de la foret de Tori no Kuni, jusqu'ici introuvable. Ce fut à travers les âges que la foret s'était agrandit avec vitesse et qu'une légende naquit. Le pouvoir s'était agrandit jusqu'à se concrétiser sous forme de sortilège, qui hantait les lieux. Toutes personnes descendant d'un homme ayant participé à la destruction de la première jungle, entrant dans le périmètre, se verrait se transformer en être de bois afin d'expier le pêcher de leurs ancêtres. Ordinairement, ce conte m'aurait fait froid dans le dos, mais je ne ressentais déjà plus les frissons de mon corps. C'était donc la fin. J'étais appelé vers un destin incertain, comme aspiré, je me sentais désormais inexistant et sans défense, l'espace de quelques secondes.

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Notre tout premier oiseau s'était enfin souvenus de ses intentions, avant de créer le vacarme qui avait fait agir l'un des supérieurs. Il était conscient qu'en ce moment, tout le monde était un peu sur les nerfs, mais il regrettait d'avoir fait agir un représentant, qui avait à faire. Mais reprenons le but du volatile ! Il voulait avoir la meilleure place, non pas hiérarchique, mais bien une position d'ordre spatiale qui allait lui permettre d'avoir la meilleure vue d'ensemble possible. En langage plus simple, une place de choix pour assister à un spectacle, exactement comme pour un match de foot. Profitant de la discorde qu'il avait semé, il se faufila parmi ses partenaires et se glissa dans l'une des premières files, assuré d'avoir ce qu'il convoitait. Les quelques bousculades qu'il subit ne le détourna jamais de son objectif, et c'est avec cette persévérance à ne pas faiblir face aux perturbations qu'il pénétrait dans la Cours. Celle-ci avait subit quelques modifications avec l'installation de plateaux horizontal, par le biais des deux arbres mythiques et des désirs de ses habitants. Les tribunes étaient resté comme tel, et c'était tant mieux pour notre ami.

Il avait déjà réfléchit à avoir à coup sûr une place sur les première loges, et il en était venus à la conclusion qu'il fallait prendre celle sur les coins, devant tout le monde afin de ne pas avoir de tête qui gêneraient le champ de vision. Pour garantir la certitude de ses ambitions, il avait aussi prévus de prendre la position la plus éloignée de l'entrée ! Hâtivement, il rejoint son gradin fétiche avec efficacité, puisqu'il avait anticipé ses actions de manière réfléchie. Le monde prit place petit à petit, au fur et à mesure que le temps s'écoulait. L'oiseau vit que le supérieur qui avait précédemment parlé, venait lui aussi d'entrer et était en train d'installer quelques nouvelles choses. Au milieu de la Cours, quatre bourgeons géants servaient de parois à l'élément qu'il englobait, et ils étaient disposés identiquement aux quatre points cardinaux. Trois autres le rejoignirent, se mettant chacun derrière l'un des bourgeons. L’Ordre des Anciens s'avançait vers l'estrade et insistait sur le fait du rôle que chacun avait à jouer, et qu'il fallait suivre les instructions données il y a quelques temps. Le bon déroulement du programme était de la plus haute importance. Les exclamations de joie ne furent pas longue à entendre, tous était satisfait , tous était dévoré par la curiosité.

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Succession

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La fin.. Quelle étrange sensation, je ne l'avais pas imaginer ainsi. Aspiré, c'était sans doute mon âme qui s'élevait, mais elle restait coincé entre deux mondes. Inexistant, mais sentant la présence de ces deux endroits, je savais désormais que ce n'était pas le sortilège du conte du vieillard qui agissait. Avant que j'eus le temps de réfléchir à ce qui m'arrivais, un nuage entourait désormais mon corps. Oh mais, c'était mon corps que je ressentais à nouveau ! Ayant récupéré mon corps, j'avais aussi hérité de ma vue et la réponse m'apparut très clairement. L'endroit avait complètement changé, il épousait les caprices de la nature ! J'avais atterris je ne sais où, mais c'était splendide.. Et bizarre. Plein, non beaucoup, énormément, une grande quantité - et ce en abondance – d'oiseaux m'entourais, mais il semblait qu'ils avaient un mode opératoire humain. Ils attendaient sur des estrades de plus en plus haute, en silence, tandis qu'un petit groupe de « personne » se tenait derrière des tables en bois, faite à partir du Mokuton. C'était autre chose mais ça je ne le savais pas, et c'était ce qui correspondait le plus avec mes notions de ninja.

J'avais remarqué d'abord ces éléments, alors que se tenaient à quelques centimètres de moi, de gros conteneur de forme oblongue. J'avais remarqué une fuite sur l'un des quatre qui m'encerclais, je m'accroupis donc et passa le doigt sur l'étrange liquide bleu. Au toucher, car moi j'avais l'habitude de pouvoir le toucher, je réalisais soudainement que c'était du chakra ! Ces conteneurs recelait en eux du chakra ! Jugeant le niveau du liquide, à ce qui ressemblait à des bourgeons géants, grâce à l'effet de transparence, je remarquais qu'ils étaient presque vide. Avec le volume qu'ils faisaient, une grande quantité avait donc été dépensé. C'était clair comme de l'eau de roche : je m'étais fais invoqué ! D'ailleurs, juste derrière les bourgeons, il y avait quatre oiseaux qui avaient déployé leurs ailes, c'était sûrement eux qui avait enclenché le processus. Ils reculèrent de quelques pas en abaissant leurs ailes, lorsqu'une parole pour du moins inattendue fut prononcée.

« Le tribunal peut commencer ! Jugeons ici présent, Seki Shiraga, pour les crimes qu'il a commit ! »

Tournant le regard vers le groupe d'individus, je fus étonné non seulement car il parlait, et non seulement parce que dans tout ça moi, je n'avais pas mon mot à dire ! Surtout que ce nom, c'était celui de mon père ! Très vite des hurlements se faisaient de plus en plus fort, entendant des demandes de mises à mort, des profanations sur le prestige et l'honneur déjà oubliés de mon père. Cet homme, je ne le connaissais pourtant point, alors qu'il me servait de paternel. Nous avions été séparé très tôt, à un tel point que je n'avais pas de souvenir de lui. Seul son nom et les rares descriptions de ma mère me permettait d'en savoir un peu plus. Officiellement, il était mort, mais il avait œuvré dans l'ombre, pour le bien du village Seki, pour mon bien. Lors de mon périple, il se trouva que je l'avais retrouvé, après l'avoir transpercer de mon katana, cette épée que je ne portais plus jamais depuis. Ce n'était bien entendus pas volontaire, mais alors que j'étais son assassin, il me sauva une dernière fois la vie d'une mort certaine, avant d'entendre comme pour la première fois, le rôle de père qu'il accomplit avant son décès. Ses dernières paroles, dévoilaient son sacrifice permanent, son amour éternel envers moi, et son devoir d’élus. Il avait infiltré les Uchiwa et avait découvert un plan machiavélique, mais ceci et encore une autre histoire. Supporter tout ces outrages, ces affronts était intolérable.

« Que savez-vous de lui.. Vous ne comprenez sans doute pas les souffrances qu'il a dut endurer. Vous ne comprenez sans doute pas les sacrifices qu'il a dut faire. Vous ne comprendrez jamais le fait, que ce soit un homme héroïque, qui a refusé toutes formes de gratitude dans le seul et unique but, de protéger les siens en dépit de son honneur ! Il a sans doute causé de nombreux pêchers, mais jamais vous ne pourrez mesurer l'étendue de sa volonté et la nature de sa motivation ! C'est ce genre d'homme qui installe la paix, alors si je dois expier les fautes qu'il a commise pour que vous le respectez comme il se doit, je le ferais ! Mais n'insultez sous aucun aspect, la mémoire.. De mon père. »

Les sentiments remontaient et la scène de scandale prit fin. Le raffut avait cédé le lambeau à un silence presque divin, sans doute par l'élévation de ma voix courroucé. On me toisais, puis la dureté des regards diminuaient. Une aile s'était soudainement levée et les hululements admiratif se firent entendre. Une deuxième, puis une troisième jusqu'à la totalité des membres de L'Ordre des Anciens firent de même. Là alors, le bruit de pas qui faisait trembler le sol s'approchait. Me mettant en garde, j'étais inquiet de ce qui allait se passer. D'une galerie, un oiseau aux dimensions anormalement élevée déboucha par une brèche tout aussi grande. Il dégageait une aura puissante, ses plumes étaient rougeoyante et un collier arborait son cou. Jamais je n'avais vus des plumes aussi longue, aussi bleu utilisées pour faire un pendentif. Il s'approchait de moi, encore et encore, nous n'étions plus qu'à quelques centimètres. Soudainement, il fit un geste brusque, auquel je répondis par une série de mudra, désormais prête à l’emploie. Rabaissant ses ailes non loin de moi, j'allais utilisé mon jutsu en sautillant un peu en arrière, mais un rouleau tomba sur le sol, devant mes yeux. Dans un autre geste rapide, le bout de l'aile se saisissait du bout du manuscrit, avant de le déplier totalement. Il était devant moi, en train de se présenter, le pacte d'invocation. Le dernier nom inscrit était celui d'un autre Seki, celui de mon père. Questionnant du regard l'imposant animal, celui-ci se racla le gosier avant de déclarer ceci :

« L'Ordre des Anciens l'ont accepté ! Leur jugement est sans appel ! Fils de Shiraga, acceptes-tu de signer un Pacte d'Invocation avec le Royaume des Pitohui ? Pardonne-nous nos manière, mais nous devions nous assurer de quel genre d’individus tu étais avec ce test. »

Mon père avait donc signé ce Pacte d'Invocation, et c'était sûrement grâce à notre ressemblance qu'il savait que j'étais son fils. Je m'étais donc fais invoqué par des oiseaux, car j'étais appelé à signer un Pacte avec eux. Normal quoi ! Je me mordais le doigt, et quelques gouttelettes de mon liquide pourpre s'écrasait au sol. Je relevais la tête pour examiner le noble Pitohui avant de lui demander comment j'avais été invoqué. Il me répondit qu'une grande quantité de chakra était nécessaire, et qu'une disposition génétique similaire à celui de l'ancien possesseur du parchemin était fondamental. C'est par invocation inversé que je m'étais retrouvé ici, mais puisque je n'avais rien signé du tout.. Il m'expliqua qu'il avait put déjouer les règles car il avait eus des commandements par Shiraga. Finalement, mon père m'avait laissé en héritage son Kyuchiyose. J'avais plein d'autres questions à leurs poser, à eux, qui avait connus mieux mon paternel que moi.

Mais pour le moment, dans la foulé, j'appliquais mon doigt sur le papier râpeux en murmurant que je n'allais pas refuser un cadeau. Après quelques petits mouvements, mon nom figurait désormais à coté de mon défunt père, pour l'éternité. Un véritable bordel régnait dans la Cours, tous s’enlaçait, criait et chantait. J'avais obtenus mon Pacte d'Invocation et je profitais d’être avec ceux que j'avais signé, pour en connaître d'avantage sur eux, et leurs relation avec le précèdent invocateur. Ils étaient sympathique et répondaient à toutes mes questions, et m'invitais à séjourner chez eux. Pendant un repas, je fis la désagréable découverte de leurs capacités à s'enduire de toxine. C'était un oisillon qui m'avait touché involontairement et transmit une saloperie, et moi, je m'agitais, courant un peu partout en étant affolé. Tous rigolait de moi, mais il s’arrêtèrent pour venir me soigner, et finalement, reprendre leurs moqueries dans la joie et la bonne humeur. C’était comme un jour de fête. Le voyageur que j'étais pourrait bientôt reprendre sa route, avec de nouveaux compagnons et de nouveaux allier à ses cotés.

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