Les petits frères.

I. Kaguya Maiko

L'an 0.

Rugal aimait traîner avec les petits jeunes du village. Il adorait joué avec eux. C’était un peu le grand frère qu’ils avaient. Il avait à peu près 15 ans et c’est le chef du clan. Ça ne l’empêche pas de resté simple. Sans prendre la grosse tête. Il garde quand même les habitudes qu’il a. Il a toujours voulu avoir un grand frère qui lui montrerais comment faire tel ou tel choses. Il est pour ces enfants ce qu’il aurait toujours voulu avoir.
Un jour qu’il traînait dehors, il vit un enfant dans un coin en train de pleuré. Tout recroquevillé sur lui-même. Ses cheveux blanc et ses bras cachait son visage. En s’approchant Rugal lui demandait ce qui n’allait pas et pourquoi il était seul au lieu de jouer avec ses amis. L’enfant releva la tête et Rugal reconnu le jeune kaguya, le petit frère de Kaneko, sa petite amie. Il avait un peu moins de 10 ans et il regardait Rugal avec ses yeux trempé de larmes.

• « Les autres enfants se moquent de moi. Ils disent que Maiko c’est un prénom de fille. »

Rugal ne savait pas quoi dire. Après tous, c’est un nom de fille, mais après mure réflexion, Rugal commence à lui parlé de sa propre histoire pour l’encouragé à aller de l’avant.

• « Tu sais, moi, avant d’arriver ici, j’étais un enfant de Hai no Kuni. J’ai eu beaucoup de problème avec les autres enfants parce que j’étais différend d’eux. C’en est arrivé à un point que même mon meilleur ami, Tokaji avait décidé de ne plus me parlé. Je me suis très vite mis à l’écart de tout le monde et j’ai finalement perdu goût à la vie. J’étais un enfant et j’errais seul, triste. Je n’avais presque plus de sentiments. Et on m’a ramené ici. J’ai appris à devenir un shinobi, un vrai et je me suis fait ma place. »

L’enfant ne comprenait pas tout.

• « Mais toi c’est pas pareil. Ici personne ne se moquait de toi. Il t’aimait bien. Moi tout le monde se moque de moi. Je n’ai pas d’ami. »

• « Ça c’est faux. Moi je suis ton ami, et ta sœur t’aime aussi. Et tous tes camarades te taquinent. Ce n’est pas méchant. Tu ne dois pas leur en vouloir. Ils font ça pour rire. Soi plus intelligent. Mon histoire que je t’ai raconté, c’est pour te dire qu’il ne faut pas t’isolé ou tu risques de le regretté.»

Maiko commençait à sourire un peu.

• « Et arrête de pleuré si tu ne veux pas qu’on te traite de fille. Montre leur que tu es un homme. »

Maiko essuyait ses larmes.

• « Tu as raison. Je ne pleurerais plus à partir d'aujourd’hui. »

Sa promesse, il la tiendra quelques mois plus tard. Il pleurera la mort de sa sœur, mais après ça, il ne pleurera plus jamais.