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![Phénix [Saibogu Lina] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) | | (#) Sujet: Phénix [Saibogu Lina] Jeu 27 Aoû 2015 - 19:00 | |
| Rp fait sous l’angle de Phénix Voilà plusieurs semaines que j’attends. J’ai dû m’intégrer même à un groupe de Sdf pour passer inaperçue gardant mes sens à l’accru. Cette chaleur désertique dont j’ai oublié le sens. C’est rare que je quitte Goren même si cela m’est déjà arrivé plusieurs fois. Souvent quand il est en prison dans un grand village. Cette fois ce n’est pas le cas. Posé souvent dans un coin je n’ai pas de problème de nourriture, mes facultés me donnent la possibilité de trouver facilement à manger. Ma position est parfaite pour surveiller la grande voie illusoire. Plusieurs personnes me connaît dans ce village qu’es Suna, mais ceux connaissant la menace dont je suis se compte très peu. Une dizaine pas plus et les chances de tomber dessus est minime surtout que je faisais en sorte d’éviter ces mauvaises rencontres. Trouver cette fille et mettre mes ordres à exécution. Trouver un moyen qu’elle se trouve à un endroit ou Goren saura qu’elle le trouvera. Un double piège en sorte. Faire croire à cette femme de piéger Goren est que ce soit elle qui le soit. Je vois déjà les raisons qui peuvent pousser Goren à faire cela. Cependant plusieurs choses me font dire que moi-même je suis loin de la véritable raison. Discuter, devenir une enfant pauvre des plus banal. Tel et pour le moment ce qu’il faut que je fasse jusqu’au moment ou la seconde étape peut commencer. La voilà. Elle en a mis du temps pour ressortir du village. Six mois se sont écoulés. Le temps des soins et qu’elle reprenne psychologiquement. Surement aussi une peur de quitter le village, sans compter ce que va produire le sang du Furyou dans son organisme. Pauvre d’elle si elle sait ce qui l’attend. Une pensée se met à sortir de mes esprits. Cette femme me ressemble partiellement. Elle aussi à subit au-dessus de ses limites les souffrances d’une torture faite pour plier notre psychose, sauf que moi elle fut bien plus profonde. Elle me fit abandonner tout espoir et émotion personnel. Je vis pour mon maître. Point, cependant, je ne peux m’empêcher de ressentir une once de compassion. Je me lève par l’étonnement de mon voisin. Je le regarde puis lui dis : Ce fut un plaisir de vous avoir connus.Également.Ce fut l’une des rares personnes avec qui j’ai vécu normalement. De la manière la plus misérable qu’il soit mais se fut un moment presque normal. L’homme compris que l’on ne se verrait plus et lâcha une petite larme avant que je ne me retourne. Il me faut suivre cette femme. La suivre et trouver le bon moment, ensuite trouver un moyen de faire partir sans que cela n’étonne ses camarades. C’est compliqué. Continuant à la suivre la route fut jusqu’à Ki no Kuni. Pour le moment aucune ne faille dans leur jeu, pas un seul moyen d’arriver à pouvoir l’éloigner des autres. Jusqu’au moment où il finir leur tâche. Là je pouvais avoir une faille suffisamment grande pour arriver la voir. Attendant qu’elle s’éloigne du groupe, je me mets à bloquer ses mouvements. Pui à me dévoiler. Je la réveille d’une pression plus importante je l’empêche de faire du bruit et dit : Dé.. Désolé mais je n’avais pas le choix. J’ai, j’ai besoin d‘aide. Cependant je ne peux pas te laisser prévenir qui que ce soit. Vous savez ce que je suis capable de faire.La suite va me permettre de placer toutes les pièces de l’histoire afin d’arriver à réussir ma mission. |
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| | (#) Sujet: Re: Phénix [Saibogu Lina] Jeu 10 Sep 2015 - 4:29 | |
| - ♫:
J'ai besoin de savoir! Cela fait quelques jours que je suis remise sur pied et encore moins de temps que j'ai repris le service actif. J'ai été affectée à la surveillance de la frontière nord, là où se trouve le pays du bois. Les souvenirs de ma torture sont tellement vagues que les questions reviennent sans cesse dans ma tête: qui m'a fait ça? Pourquoi? Qu'est-ce que ce sang noir a changé chez moi? Pourquoi les médecins ne l'ont pas vu? Ai-je été libérée volontairement? Si peu de réponses à des questions pourtant devenues existentielles.
Je n'ai dès lors guère hésité avant de franchir la frontière dans l'espoir d'en apprendre un peu plus. Mais après une journée de recherches infructueuses - je sais que j'étais dans une ferme délabrée mais impossible de me rappeler son emplacement - je dois bien me rendre à l'évidence: je ne suis guère plus avancée qu'avant! Et cette impuissance à obtenir des réponses soulève un mélange de colère et de peine en moi. J'ai besoin de quelqu'un ou quelque chose pour les évacuer. Je poursuis ma route après un soupire d'impuissance. Et quelques minutes plus tard je suis bloquée dans mes mouvements par une force invisible. Qu'est-ce que...
Je sens alors une pression sur ma peau et je suis à nouveau libre de bouger. Mon regard se pose alors immédiatement sur la demoiselle qui est apparue. J'écoute ses paroles tout en m'assurant grâce à la sensorialité que nous sommes seules. Qu'est-ce qu'elle me raconte? Qui est-elle? Pourquoi a-t'elle besoin d'aide et pourquoi suis-je sensée savoir ce dont elle est capable. J'ai une vague impression de déjà-vu mais je n'arrive pas à mettre un nom sur un visage qui me semble pourtant familier.
Ma première réaction? Dégainer mon arme et la poser entre les deux yeux de l'inconnue. Encore une fois je peux constater à quel point j'ai changé depuis que j'ai été torturée. La méfiance prime désormais sur une humanité dont j'étais fière autrefois. Aujourd'hui je ne suis plus qu'une shinobi comme les autres...
- "Je ne sais pas qui tu es, désolée!" mon regard prouve sûrement que je dis la vérité. "Mais si tu veux mon aide c'est une drôle de manière de la demander..."
Oui, elle m'a fait comprendre à demi-mot qu'il n'est pas dans mon intérêt de prévenir les autres. Pourquoi le ferais-je d'ailleurs? Je suis prête à accorder mon aide si c'est en mon pouvoir. Mais pas à me laisser menacer ainsi par une inconnue qui a jugé bon de me paralyser avant même de prendre la parole. Toutefois je suis curieuse et pas particulièrement pressée d'appuyer sur la détente. J'ai déjà tué assez pour toute une vie, aujourd'hui. C'est le rachat que je recherche et non la complaisance dans la violence. Peut-être que je peux commencer par elle.
- "Explique-moi!"
Oui, raconte-moi! Visiblement j'ai manqué un épisode mais je suis toute disposée à me rattraper...
Dernière édition par Kawaguchi Kira le Mar 15 Sep 2015 - 12:37, édité 1 fois |
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| | (#) Sujet: Re: Phénix [Saibogu Lina] Ven 11 Sep 2015 - 15:24 | |
| Pour le moment tout ce passe très bien. J’ai réussi à l’avoir seul, et il ne semble pas qu’elle ne cour partit chercher ses alliés. Mon étendue sensoriel est déployé et même si elle est sensoriel il n’y a aucune chance qu’à son niveau elle dépasse ma distance et le degrés de maitrise que j’ai, puis si je voix disparaitre un de ses allier ou qu’il approche je le saurais de suite. Pas encore. Cependant une chose m’étonne. Elle a tout oublié. Un choc psychologique surement. Son cerveau à du obscurcir une douleur qu’elle ne peut supporter, même mentalement. Goren t’es allé loin là. Mais es vraiment étonnant. De toute manière j’y ai aussi pensé. Cela est dans une des possibilités que j’avais prévue comme celle d’être vue par une personne lambda, puis au moins c’est claire personne ne sais ce qui s’est passé. La seule chose que je ne peux pas arriver à mettre dans les possibilités c’est que ma mission rate. Je suis une machine devant servir mon maitre. Comment je pourrais raisonner de manière à faillir à ma tâche. Le moment de lui dire arrive :
L’expérience à due causer des troubles de mémoire.
Cela doit aussi être la raison du fait qu’elle ait réussi à revenir à Ki en si peu de temps. Quoi qu’il en soit, une chose ne me caractérise pas par rapport à Goren. Moi je n’ai pas de gêne à mentir. Aucune, tant que cela peut arriver à mes fins, mais là mentir ferais que si elle s’en rappel, je me mettrais dans un embarra énorme et elle pourrait se retourner contre moi et le plant échouerait. J’opte donc pour dicter le véritable rôle que j’ai eu dans cette affaire et mentir sur ce qu’elle ne peut deviner. J’ai prévue ce qu’il faut et je vais voir si cela lui rappel quelque chose quoi qu’il en soit avec le sang noir, je ne sais qu’elle réaction elle peut avoir. Prête à de nouveau là paralyser, je sors deux chaines métalliques avec chacun un crochet ensanglanté dont j’ai pris dans l’auberge :
Je fus celle qui t’as tenue vivant pendant qu’il te torturait.
Là mes sens sont à vif comme une féline protégeant ses enfants sauf que là c’est l’intérêt qu’à Goren pour ma mission. Mourir maintenant je ne pouvais pas. Pas tant qu’il n’ait plus besoin de moi. Au moindre mouvement suspect, que ce soit à mon encontre ou pour prévenir quel qu’un, je la bloque. Son nouveau sang combiné à ce qu’elle a subit si cela lui remémore des souvenirs, je ne pouvais voir d’autre réaction. Cependant là voilà, les mots qui vont changer les choses :
Désolé, je fus aussi une de ses victimes, il m’a aussi torturé et obliger à le suivre pour l’obéir. Rien qu’en venant, là je risque ma vie.
Pour le moment je n’ai pas encore mentit. Tout ce que je dis est la pure vérité. Même cette torture, je suis consciente qu’elle a changé radicalement ma mentalité. Comme une prison psychologique qui fait de moi un être sans raison. Même ma manière de parler comme maintenant est sans âme d’un froid qui montre tout détachement de la réalité. Aucune expression de visage, rien. Il m’a tout pris et pourtant je ne peux faire autrement que d’aduler et suivre l’homme que je peux décrire comme celui que je hais et aime le plus. Dans un sens elle me ressemble aussi. Elle fut l’une des rares personnes encore vivant après un tel traitement aux mains de Goren. Je ne comprends pas non plus ce favoritisme. Pourquoi elle est encore vivante. Va-t-elle me remplacer ? Es que je serais plus utile à Goren ? Qu’importe je ne suis pas capable de réfléchir vraiment à ce genre de chose et si je ne suis plus utile Goren m’ordonnera de me tuer et je prendrais cette ordre comme une libération. Quoi qu’il en soit je ne sais même pas si je préférais la voir vivante ou morte. Si j’apprécie cette femme ou si je la déteste, comme celui de savoir si elle me doit la vie ou si je lui dis cette souffrance. Surement les deux après tout. Maintenant commençons le mensonge :
Cependant je veux me libérer de ses chaines et je ne pourrais être libre sans arriver à le tuer. Je ne peux pas seul. Il me connait par cœur il est l’homme qui m’a donner cette force, mais plus. Je suis incapable de lui infliger le moindre dommage. C’est. Psychologique. Cependant à deux nous devrions pouvoir arriver à une chose. Je peux te donner un net avantage. Te dire le lieu où il va passer avant qu’il n’y soit et le bloquer un temps peut négligeable. Cependant il faudra étendre une puissance de feu, plus que redoutable. Car cet homme est très résistant.
Il reste à voir maintenant si elle est prête, si elle vat accepter d’agir ou qu’elle va rester et oublier cette affaire. Quoi qu’il en soit, la tuer ne servira à rien. Cela ne serait que gênant pour les intérêts de Goren. Je n’ai pas détaillé que je ne voulais pas plus d’aide. Que je ne veux pas l’aide d’une tierce personne. Si je me suis dévoilé a elle quand elle s’est éloigné, il est facilement imaginable que je ne veux pas qu’il y ait une autre personne. Va savoir si maintenant elle ait envie de savoir pourquoi ? Enfin j’étais une fugitif qui a suivi un homme mondialement recherché mon future est claire si j’implique un village. Elle sera d’un emprisonnement à vie et comme je lui ai dit, mon histoire dit que je souhaite être libre. Libre de lui, mais aussi libre de toute emprise.
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| | (#) Sujet: Re: Phénix [Saibogu Lina] Mar 15 Sep 2015 - 14:07 | |
| ![Phénix [Saibogu Lina] 467107217490screenshots2014081300001](https://2img.net/r/hpimg11/pics/467107217490screenshots2014081300001.jpg) PNJ: SAIBOGU LINA
Plus j'écoute parler cette inconnue et plus la mémoire me revient. Par à coups, lentement mais sûrement. Je m'enfonce dans les souvenirs comme si le sol se dérobait sous mes pieds pour m'engloutir dans un monde de ténèbres. Mon esprit n'est pas le seul à se souvenir: les muscles de mon corps se contractent comme si les crochets que la femme en face de moi y étaient encore enfoncés. Je crois que j'aurais préféré ne pas me rappeler ce que j'ai subis tout compte fait. Parfois l'ignorance est plus douloureuse que la connaissance...
Je me fends d'un rictus tandis que mon doigt appuie peu à peu sur la détente. J'atteins le premier cran de sûreté de la gâchette. Encore une simple pression et le coup partira. La balle creusera un merveilleux trou dans la cervelle de celle qui a contribué à arracher mon bien le plus précieux: l'innocence! Peut-être qu'elle aura le temps de me bloquer comme elle vient de le faire. Et peut-être pas... Ça se jouera au final à quelques millièmes de secondes et je suis prête à prendre le risque!
- "La seule aide que tu obtiendras de ma part sera la balle que je vais te loger entre les deux yeux, pétasse!"
Pourtant le coup ne part pas! Pourquoi? Je suis encore libre de mes mouvements pourtant. Mais si la vengeance est tentante, elle ne sera pas complète tant que je n'aurai pas mis la main sur le type réellement responsable de tout ceci. Ne me l'a-t'elle pas dit? Elle n'est rien de plus qu'un pion comme j'ai pu l'être sur l'échiquier de ce psychopathe. La tuer elle fera disparaître tout chance de remonter jusqu'au gros poisson.
Je soupire et lui décoche un regard meurtrier puis baisse mon arme avec peine. Si la vengeance est un plat qui se mange froid, soit! Ce n'est pas facile d'accepter ce fait mais ça reste ce qu'il y a de plus logique à faire. Alors je baisse lentement le canon de mon arme sans pour autant ranger cette dernière dans son holster.
- "Mais heureusement pour toi, tu n'es pas celle qui m'intéresse le plus!"
Pourtant j'ai de la peine à croire que cette Phénix - je crois que c'est son nom - a aussi rapidement retourné sa veste. Elle aurait eu l'occasion de m'aider bien avant que je sois capturée puis torturée. Pourquoi maintenant? C'est un peu tard, non? Je ne vais clairement pas me fier à sa seule parole et croire comme la naïve que je ne suis plus qu'elle veut réellement m'aider. C'est trop beau pour être vrai! Beaucoup trop beau...
Peut-être qu'elle est ici sur ordre de ce Goren. Puisqu'elle ne peut pas aller contre lui comment se fait-il qu'elle puisse agir de son propre chef. Mais avant de tirer des conclusions trop hâtives j'ai besoin d'en apprendre plus, d'en savoir plus! Je recule pour m'adosser contre le tronc d'un arbre et pose mes bras sur mes genoux. Le tout en essayant de mettre de côté l'envie toujours pressante que j'ai de la tuer...
- "Pourquoi est-ce que je te croirais, hein?" la question mérite d'être posée. "Tu l'as regardé me torturer sans rien faire. Ou plutôt tu l'as regardé faire en lui apportant le soutien dont il avait besoin! Je serais morte à l'heure qu'il est si tu n'avais pas prolongé inutilement mes souffrances! Et je crois qu'il aurait mieux fallu!"
Je renifle et détourne le regard. La voir me plonge directement dans des souvenirs que j'aurais préféré oublier. Mais puisqu'elle est là...
- "Comment m'as-tu retrouvée? Et pourquoi crois-tu que j'ai besoin de ton aide? Ton pouvoir est certes... pratique mais je pourrais tout aussi bien demander l'aide des shinobi de mon village! Et je serai certaine qu'eux ne m'entraîneront pas dans un piège comme tu peux très bien être en train d'essayer de le faire en ce moment!"
Elle veut mon aide? Admettons... Mais il lui faudra plus que quelques paroles pour l'obtenir!
- "Commence déjà par me dire comment s'appelle cet homme! Je veux tout savoir sur lui!" je marque une pause. "Absolument tout!"
J'appuie ces derniers mots pour bien lui faire comprendre que j'attends une coopération totale pour peu qu'elle soit réellement à la recherche de sa vengeance...
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| | (#) Sujet: Re: Phénix [Saibogu Lina] Mar 15 Sep 2015 - 18:28 | |
| Impossible.
Voilà la réponse que je me mets à lui donner à ca menace. Elle est même pour moi bien trop faible. Elle ne peut pas me tuer. Même si elle tire une balle, je peux l’éviter en posant une protection. Je la regarde laissant le temps prendre la raison sur elle. Je ne faisais pas de mine mais rien qu’en évaluant mes actes pendant ça torture elle va se rappeler que je ne suis pas non plus n’importe qui, que j’ai de l’expérience en tant que Ninja. Je ne suis pas une débutante des champs de bataille. Loin de là c’est même le fait que je sois débrouillarde qui fait que je suis encore vivant à côté de mon maitre. . Je n’étais pas celle qui l’intéresse le plus. Voilà les mots qui furent le déclenchement d’un début de discussion. J'ai bien fait de ne rien faire. Silencieuse, sans la moindre peur de la mort j’étais fixe devant elle. L’art du mensonge c’est d’arriver à mélanger la vérité au mensonge. Suffisamment subtilement pour arriver à mettre dans cette vérité suffisamment de point pour que le faut soit concrète. La fameuse question fut posée. Celle que je m’attends d’avoir depuis le début le pourquoi. Comment passer outre. Je la laisse finir, la pression qui doit s’effectuer dans son cerveau plus la douleur du souvenir doit réduire sa facilité de concentration. Comment être rationnel à cent pour cent dans ce genre de situation ou un évènement même fut obscurci par son propre cerveau. Je suis à même la mieux placer pour la comprendre, mais là est l’intelligence de Goren. En plus d’avoir jouet de manière à savoir ou cela va l’amener. Il me la scène et utilise un pion précieux pour arriver à cette fin. Dans une scène pouvant bluffer plain de monde il manipule le passer pour que dans cette avenir le moindre soupçon ne soit que poussière.
Comment je l’ai retrouvé, pourquoi je crois qu’elle ait besoin de mon aide. Et je dois commencer par son identité. Cela peut déjà me donner un point d’avance. Le pourquoi elle aurait tant besoin d’aide :
Kyu Goren. Déserteur de Suna recherché dans tous les villages maintenant. La raison même du fait que je pense que t’as besoin de moi est le fait que tous ses villages ne l’ont pas encore neutralisé. Donc que pourrais-tu changer ou donner de plus seul ? Cependant, j’ai plus besoin de toi que toi t’as besoin de moi car….
Moment de doute dans les mots alors que mentalement je n’en ai clairement pas besoin. Une pure manigance une manière de montrer un petit semblant d’humanité est d’hésitation. Comme une simple humaine pourrait montrer, mais pas de trop pour que le rôle que j’ai joué dans ses actes ne rendent cette émotion trop gros. Cependant, comment je pourrais produire une telle chose alors que j’ai l’impression d’être vide à l’intérieur. La comédie est du coup un moyen plus simple de faire refléter de véritable sentiment.
Tu es surement la seul à pouvoir comprendre ce que j’endure chaque jour.
Sentimentalisme quand tu nous tien. Cela était vrai. Car si je suis corps et âme ce monstre ce n’est pas par adoration, mais par frayeur et même plus que cela maintenant, c’est par ce que j’ai accepté ma condition. Je ne suis rien et se monde tourne autour de lui. Mon monde est lui et rien d’autre. L’amour ? Le lien que j’ai est bien loin de là un cran plus supérieur celui ou le soit même n’est plus rien. SI l’amour est un sentiment fort, je suis au cran au-dessus dans son opposé. La limite qui relie la haine et l’amour. Je le mets à enlever le haut de mes vêtements et montrer un corps sans la moindre parcelle intacte, laissant montrer le nombre incalculable de torture. Mon visage et mes mains sont les seul membres intacts pour une raison évidente, la nécessité du métier. Rester propre d’apparence pour rester visuellement invisible :
Ce que vous avez vécu, je l’ai vécu pendant plusieurs mois, j’ai mangé mes seuls proches par obligation, il a forgé une prison psychologique dont j’ai du mal à me défaire de lui en sa présence et même éloigné de lui. Cependant j’ai réussi à m’en échapper. Je ne pense pas tenir longtemps et je vous demande seulement de me libérer de son emprise en le tuant. Je ne veux pas finir emprisonner de nouveau même si le bourreau et une autre personne.
Je remets ma tenue et dit :
S’il m’a demandé mon aide c’est simplement qu’il voulait rapidement des réponses et qu’avec ça le plaisir de la torture ne demande pas une pause le temps que le corps récupère. Cependant croyez en mon expérience. J’ai due moi-même subir les deux tortures et moi je devais contrôler moi-même mon corps. La douleur à long terme n’est pas la plus simple à tenir.
Je suis venu sur les détails car cela est nécessaire. Cependant là j’eux un réelle sentiment de honte. Comme si l’on a sorti de moi un secret dont je ne voulais pas dévoiler. Je me sens en partit nue. Nue d’esprits. Je la regarde tremblant un peu, sans vraiment comprendre pourquoi, je me mets à dire :
Je ne vais pas aller plus dans les détails, mais moi c’est le monde entier et tous ceux qu’il a croisé qui a croisé les bras devant ma détresse. J’ai attendue et tu es la seul qu’il à laisser vivante après un telle traitement. La seule ayant une chance de me comprendre. Je,,, je ne pourrais pas deux fois demander ça. Non, tu n’imagines pas ce qu’il peut faire. Tu n’as qu’un bref aperçu de ce qu’il est vraiment.
Voilà une chose de faite. Va-t-elle refuser l’aide qu’elle attendait tellement pendant ca torture ? L’aide qu’elle aurait dû avoir que l’on ne pouvait lui refuser ? Je ne crois pas. Cependant, pour pousser la chose plus loin, je mis un autre point encore plus haut.
Je sais où il sera et si l’on part maintenant on aura cinq heures pour préparer un lieu qui le mettra dans son désavantage. Cette information tu ne l’aura nul pas deux fois. Puis il compte se faire discret. Je ne sais pas comment mais vue son agissement, il y a très peu de change que vous le trouvez de sitôt. C’est maintenant ou jamais pour toi. Cependant je n’arriverai pas à l’attaquer. Je… Je ne peux pas. Je ne peux plus. Au mieux je l’immobiliserais une à deux secondes.
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| | (#) Sujet: Re: Phénix [Saibogu Lina] Mer 16 Sep 2015 - 14:45 | |
| PNJ: SAIBOGU LINA
J'écoute parler ma vis-à-vis et ce faisant je ne peux m'empêcher de ressentir une certaine sympathie pour elle. Même si ça m'ennuie de le reconnaître, nous avons un point commun: la souffrance qu'il nous a infligée. J'ai changé, je suis devenue plus dure et imperméable aux malheurs des autres. Du moins en partie... Mais je reste humaine et Goren n'a pas réussi à ôter toute trace de ce que j'étais avant. Même ce sang noir n'a pas totalement pris le dessus sur moi.
Ho bien sûr je ne comprends pas moi-même certaines de mes réactions, comme la violence dont j'ai fait preuve à l'égard d'une membre de mon propre clan. Mais j'ai besoin de croire que ce monstre n'a pas effacé toute trace d'humanité en moi. Et ça, dans le fond, ça reste tout de même une victoire. Petite, certes. Mais une victoire tout de même. Je suppose que c'est inespéré compte tenu de ce qu'il m'a fait subir et de l'avantage qu'il a sans cesse eu sur moi...
Je soupire et baisse les yeux sur mon arme. Que faire? Le fait que Phénix ait eu à subir la même souffrance - voir plus encore - que moi la rend tout de suite plus sympathique. Je n'ai pas eu à dévorer mes proches et je ne peux pas imaginer la douleur psychologique qu'elle a traversé. Et qu'elle traverse sans doute encore. Pourtant je me refuse à tomber dans l'empathie quand bien même elle la mériterait. Chaque personne a traversé des épreuves au court de son existence. C'est le propre même de la vie que de souffrir! C'est ce qui la rend difficile et belle à la fois, ce qui nous permet de prétendre à une humanité dont nous oublions trop souvent le prix qu'elle coûte. Je la comprends! Mais je ne lui pardonne pas!
Toujours est-il que la réputation de Goren le précède. Elle dit vrai, c'est un adversaire aussi puissant que malin. Je sais qu'il est recherché à Kaze et je suppose qu'il en est de même au sein des autres nations. Même en ayant l'effet de surprise et en comptant sur l'étrange don de cette Phénix, l'avoir sera compliqué. L'attaquer en duo pourrait s'apparenter à du suicide d'autant plus que je ne suis même pas certaine de réellement pouvoir compter sur mon alliée de circonstance. Car oui, les ennemis de mes ennemis - quand bien même ils sont également mes ennemis - sont mes amis. Ce dicton n'est plus à discuter, il tombe sous la logique la plus pure. Bien que ça me déplaise, je suis obligée de composer avec Phénix. D'autant plus que je n'aurai pas le temps de demander des renfort à Suna et que le village lui-même ne sait même pas que j'ai à nouveau désobéi pour venir à Ki...
- "Je vois..."
Je risque ma vie! Mais ma vie n'est plus la même à cause de Goren! Je ne peux laisser passer une occasion qui ne se représentera pas! Il faudra la jouer finaud et être prête à perdre! Mais ma décision est déjà prise quand bien même je réfléchis encore sur ce qu'il convient de faire. Mon désir de vengeance surpasse de beaucoup la logique qui me caractérise. Ou me caractérisait! Pour une fois je vais suivre mes envies...
- "D'accord!" je me relève et m'approche d'elle. "J'ai développé un prototype de tourelles de combat à la puissance de feu dévastatrice. J'en ai quelque exemplaires avec moi, soigneusement scellées. Et mes capacités en sensorialité m'ont permis de développer un système de camouflage dont je pourrais les équiper. Ce sera juste mais en cinq heures j'aurais sûrement le temps de bricoler quelque chose d'efficace! Tu veux tuer Goren? Moi aussi! Alors... qu'est-ce qu'on attends?"
Je lui tends la main pour l'inviter à la saisir et ainsi à sceller une alliance de circonstance. Ceci dit je ne lui ai pas pardonné sa complicité dans les souffrances que son maître m'a infligé. Dès le moment où je n'aurai plus besoin d'elle, elle le rejoindra dans la mort. Et enfin je pourrai tourner la page sur cet épisode qui m'a meurtrie aussi bien dans ma chair que dans mon âme.
- "Montre-moi le chemin qu'il empruntera! Et faisons en sorte que ce soit son dernier voyage!"
Pour l'instant c'est à elle de diriger l'opération, de m'exposer en détail le parcours de son maître. J'aviserai au fur et à mesure sans toutefois baisser ma garde. Tu mourras aussi Phénix! Mais pour l'instant j'ai besoin de toi...
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| | (#) Sujet: Re: Phénix [Saibogu Lina] Jeu 17 Sep 2015 - 15:21 | |
| Ce que je lui ai dit fut suffisant pour qu’elle accepté de coopérer. Mes explications bien montées elles me donnèrent la possibilité de pouvoir monter le plant initial. Serrant la main comme un accord commun cela n’est tout de même pas encore une réussite. Ne pas se laisser aller jusqu’à la fin, comme si cela est dans mes habitudes. Je dois faire le guide. Ok si c’est le cas je peux donc prévenir mon maitre. Le plant est en marche et je vais pouvoir envoyer le signal disant que le plant marche bien. Une chose qui n’est pas obligatoire. Goren me l’a bien spécifié, ceci est simplement une assurance. Je la regarde et dis :
Effectivement, je vais sortir une carte. Pour prouver ma bonne fois ou le lieu où il passera, je sais que c’est difficile de me croire, mais si j’avais envie de vous tuer ou vous capturer je ne me serais pas donner autant de mal.
Je sortis un sceau l’ouvre et montre une carte. Une carte qui quitte immédiatement les affaire de Goren. S’il ne l’a pas il saura que le plant est en cour et que tout ce passe parfaitement. Le plant a une crois, cependant elle manque d’une précision. Par où il va arriver. Cependant je pourrais sentir l’animosité rien qu’une seconde et l’envie de tuer si elle a envie de ce débarrasser de moi. Je saurais, s’il faut que je fasse attention. Non s’est sûr qu’il faut que je fasse attention, mais au moins cela me permettra de savoir jusqu’où cette femme peut aller. Nous nous mention en marche. Après tout nous avions un horaire à respecter. La marche fut rapide, mais suffisamment poser pour éviter qu’elle ou moi ne soit fatigué par le rythme. Nous devrions avoir les cinq heures si nous restons à ce rythme. Le trajet se faisant à pas de loup toujours prête à quoi que ce soit je me mets à dire :
Dite, c’est comment d’avoir des amis ? Pensez-vous qu’un jour je saurais ce que c’est ?
Poser une question niaise, une question attachante et une de l’avenir. Comme pour lui faire penser qu’elle puisse me laisser partir vivante. Vue le nombre d’armement qu’elle va devoir poser sur le terrain, moi-même je devrais prendre des dispositions pour éviter qu’elle me vise juste après. J’avais déjà deux ou trois idées pour parer une contrattaque avec des armes déjà posé, si elle compte les tourner contre moi :
Dites-moi. Vous comptez le dire à tout le monde ? Ou se sera une vengeance silencieuse ? Être la tueuse de Kyu Goren ne sera pas donner à tout le monde. Je souhaiterais récupérer le corps. Vous pouvez dire à tout le monde si vous le souhaitez, mais d’autre voudrons voir le corps pour se détacher de son emprise. Je… je ne suis pas la seul à souffrir. Non nous ne sommes pas seuls. Beaucoup n’y croiront pas sans preuve.
Prendre le corps après tout cela ne doit pas vraiment être dans ses priorités. Tuer Goren surement moi avec. Qu’importe, ma mission passe avant ma vie mais le corps doit disparaitre et donc je ne peux vraiment mourir juste après :
Nous y voilà. Il passera ici. Il doit attendre un homme qui ne viendra jamais. Le rendez-vous est dans cinq heures. Il arrivera d’ici et il ne se méfiera pas il travaille avec l’homme en question depuis des années. Cependant cet homme est partit faire autre chose à ma demande.
Le lieu est boisé, on peut cacher facilement des pièges sans que cela ne se voie. Un lieu dont il y aura très peu de chance qu’il n’y a des civiles qui passent par hasard. Nous sommes seuls et nous ne serons pas dérangés. Il reste à savoir si elle vat tenter à ma vie maintenant. Si c’est le cas elle ne pourrait pas utiliser une arme trop puissante soit elle tentera une action par traitre. Prévisible, je n’ai qu’à faire attention ou simplement éveiller mes sens. L’anticipation est aussi dans mes cordes après tout :
Besoin d‘aide pour poser les pièges ?
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| | (#) Sujet: Re: Phénix [Saibogu Lina] Jeu 17 Sep 2015 - 17:08 | |
| PNJ: SAIBOGU LINA
Après avoir rapidement pris connaissance de l'itinéraire de notre cible et convenu de l'endroit où nous lui tendrions une embuscade, nous voilà en route. Sur le chemin Phénix me demande ce que c'est d'avoir des amis et si je pense qu'un jour elle en aura. Je tourne un regard interloqué vers elle en me demandant si elle est véritablement intéressée par le réponse ou si elle est juste curieuse de recueillir mon avis sur le sujet. La question est étrange venant de quelqu'un qui est restée impassible face à la souffrance d'autrui.
- "C'est... plaisant! Avoir quelqu'un sur qui se reposer quand ça va mal, c'est quelque chose de très agréable." je détourne le regard. "Quant à savoir si tu en auras... Il faudrait déjà que tu regagnes un minimum d'humanité et j'ai envie de dire que c'est loin d'être gagné. Peut-être avec le temps, je ne sais pas..."
Je compte la tuer alors je ne crois pas qu'elle pourra profiter de ce plaisir qu'offre la vie à ceux qui le méritent. Toutefois je suis ébranlée et cette innocence dont elle semble faire preuve me pousse même à douter du bien fondé de mon projet. Mais je n'ai qu'à me plonger dans mes souvenirs pour raviver la haine que j'éprouve pour elle. Peut-être qu'elle aurait pu être quelqu'un de bien en d'autres circonstances. Mais nous ne le saurons jamais. C'est trop tard! Bien trop tard...
Si elle venait à sauver ma vie lors de l'opération vengeance qui va suivre... Peut-être que je reviendrai sur ma décision. Elle aura remboursé alors la dette qu'elle a envers moi. Mais pour le moment je ne compte pas me laisser écarter de l'objectif que je me suis fixé. La jeune femme me questionne ensuite sur ce que je compte faire du corps une fois que Goren sera mort. Pourquoi voudrait-elle le conserver? En aura-t'elle seulement l'occasion vu ce que je viens de faire? Il est vrai que tuer Goren est un exploit en soit vu son parcours chaotique et le nombre de gens qu'il s'est mis à dos. Mais vais-je exhiber son corps comme preuve? Ai-je besoin de prouver sa mort alors que je serai en paix avec moi-même? Je ne le fais pas pour les autres. Je le fais pour être en paix avec moi-même, regagner une tranquillité d'esprit qui me fait défaut depuis que j'ai croisé sa route...
- "Je ne compte pas crier sur tous les toits que j'ai tué Goren quand bien même ça m'apporterait sans doute la reconnaissance du monde Shinobi." je hausse les épaules. "Tuer n'est pas un acte dont on doit être fier! Même s'il s'agit de Goren... Si les gens ne me croient pas, tant pis pour eux! Nous saurons toi et moi qu'il est bien mort et c'est l'essentiel. ce n'est pas la gloire que je recherche, juste la paix!"
On arrive finalement au lieu de rendez-vous. Une clairière au beau milieu d'une forêt aux arbres massifs. Je m'accorde quelques instants pour observer l'endroit et repérer les branches assez grosses et suffisamment bien placées pour accueillir mes tourelles et leur offrir une zone de tir dégagée. Je m'empresse alors de desceller les tourelles que j'ai développées pour ensuite les disposer sur leurs supports boisés. En tout il y en a une dizaine qui forment un cercle plus ou moins régulier en hauteur. Ceci fait je les programmes unes à une pour cibler Goren. La programmation est aisée dans le sens ou je n'ai qu'à leur indique de prendre pour cible la personne avec le Chakra le plus important. Et dans ce domaine Goren nous surpasse Phénix et moi. À n'en pas douter.
- "Non, ça ira!" que je réponds à la jeune femme quand elle me propose son aide. "J'ai presque terminé. Il faut juste que j'installe les dispositifs de camouflage et nous serons prêts à accueillir notre.... invité comme il se doit!"
Je relie les petits boîtiers générant les champs de camouflage à la base des tourelles et les relie à ces dernières via un réseau complexe de fils colorés. C'est un exercice plutôt facile mais qui demande toutefois de longues minutes pour chaque dispositif. Les heures s'écoulent et je termine à peine quelques minutes avant le rendez-vous entre Goren et la personne qu'il est sensé rencontré.
- "Voilà, c'est prêt!" je rejoins mon alliée de circonstance. "J'espère que tu as dit vrai et qu'il passera bien par ici! Ne reste plus qu'à nous planquer et à croiser les doigts!"
Sur mon ordre les tourelles déverseront un véritable déluge de projectiles enrobés de raïton pour paralyser le monstre. Quelques petits missiles se joindront à la fête pour le faire passer de vie à trépas. Je sais qu'il est résistant. Mais je doute qu'il puisse encaisser une telle puissance de feu d'autant plus que l'effet de surprise sera de notre côté. Du moins en théorie. Je dégaine mon revolver et prends place sur une branche aux côtés de Phénix. Puis j'utilise mes dons en sensorialité pour masquer mon empreinte chakratique, mon odeur et - plus simplement - mon corps. Je ne peux guère faire plus! Et nous n'allons pas tarder à voir si toutes ces précautions et notre longue préparation paiera. Plus qu'à croiser les doigts...
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| | (#) Sujet: Re: Phénix [Saibogu Lina] Ven 18 Sep 2015 - 14:42 | |
| Ca va arriver, le moment où il ne faudra pas faire d’erreur. Tout est bien placé correctement. Je peux compter un grand nombre de tourelles éparpillés dans la zone. Un vrai champ de mine. Même Goren n’a que très peu de chance de s’en sortir vivant dans ses circonstances là. Comment un homme pourrait arriver à encaisser une telle puissance de feu sans la moindre préparation. Je ne sais même pas s’il restera une trace d’existence de lui. Si ce n’est pas le cas tant mieux. Sinon, ben on devra prendre en compte que j’ai demandé le corps. Tout cela va bien. La préparation de ses tourelles se mettent en place et rien qu’à la quantité la mise à feu va lui couter cher en chakra, je ne pense même pas qu’elle puisse les activer seul surtout après avoir déjà usé du chakra pour les camoufler. Après avoir posé un certain nombre de tourelle, je lui donne du chakra pour qu’elle puisse poser les autres tourelles. Tout en en gardant en réserve pour les détruire juste après qu’elles aient fait leur travail.
Le moment arrive. Ma partenaire se pose à côté de moi en me disant qu’elle espère que je ne mente pas. Elle doute encore de moi. Mais es vraiment le moment? De toute manière je ne lui aurais jamais laissé le temps de posséder une telle force de frappe si je souhaiter autre chose. Enfin dans ce genre de circonstance on ne pouvait trouver d’autre raison :
Il… il est là.
Mon rôle est de faire la fille apeuré. Celle qui n’est pas dans son élément et se sent mal dans la peau. Un visage sans expression laissant apparaitre un brin de tremblement, quelque pas. Je me mets à faire accélérer mon rythme cardiaque pour faire montrer ma chaleur corporel et faire transpirer mon corps. Soufflant un peu faisant signe à ma partenaire qu’il est à l’endroit prévu je mets ma main en sa direction comme pour faciliter la prise en main d’une technique envers le golem. Quand d’un coup un regard se pose sur nous. Le sourire d’un homme avide de sang, comme s’il disait un coucou de loin. Je fis le petit reflexe de replie tout en protégeant mon visage laissant un petit crie se sortir de ma bouche pendant que les tourelles elles se mettent à cracher tout ce qu’ils ont dans le ventre. Une demie seconde de faut semblant laissant montrer une peur inconditionnel. Le visage de Goren pris l’étonnement, et un autre sourire se figea sur son faciès. La mort il peut la voir en face sans avoir peur, son visage montre clairement qu’il ne va pouvoir éviter tout ça. Cependant, je le connais et une chose d’imprévue survient. Un petit non. Tout se passe très vite. Mes jambes pliées au bord d’un tronc d’arbre. Je cris :
NONNN.
Me balançant en avant la main en face avec juste à vue le Golem de pierre. Poser cette technique au bon moment. Ma main déplié, je serre du poing laissant paraitre une emprise juste avant l’impact, une emprise qui fut trop tard pour passer ce que je pense. D’un sceau sort plusieurs humains vivant. Une famille à première vue. Cette vue de la famille apparaissant dans le champ de tir apparue un millièmes de seconde avant l’impact. Cela est du Goren tout cracher. Même à là mort il ne lache rien et légua une chose pouvant s’inscrire dans l’âme à jamais. Es que Phénix jouais les innocentes ? Es qu’elle était associé à ce plant ? On sait qu’elle est fidèle à Goren, mais es que ce plan de dernière minute elle l’avait prévue. Son visage arborait un étonnement sans faute. Le silence touchait la zone comme un ralentissement temporel avant que le choc laisse place à une explosion qui me fit voler derrière me faisant prendre à plusieurs reprises le sol avant de taper sur un arbre. Une douleur insoutenable. Me repositionnant comme je peux je me dépêche de détruire les tourelles encore debout avec une technique de zone ciblé. Elle doit ne plus avoir de quoi me toucher, et si c’est le cas mon anticipation doit le détecter. La zone se découvre et on ne voit que très peu de morceau de chair et plus de trace de chakra. Maintenant reste à savoir.
Comment va-t-elle prendre le fait qu’elle ait tué des innocent dans ça folie vengeur.
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| | (#) Sujet: Re: Phénix [Saibogu Lina] Ven 18 Sep 2015 - 15:47 | |
| PNJ: SAIBOGU LINA
L'enfoiré! Ce type est décidément un salopard de première. J'ai eu le temps de voir le visage de ces personnes - une famille? - avant que les tirs les percutent. Le souffle et la luminosité provoqués par l'explosion qui suivit me força à lever une main pour me protéger les yeux tandis que mon bras mécanique s'enfonce profondément dans la branche qui me sert de perchoir. Et même avec cette aide précieuse j'ai de peu manqué de chuter comme Phénix. Son sort m'importe peu, ce n'est pas comme si je me préoccupais de sa santé.
J'attends avec impatience que la fumée se dissipe tandis que ma respiration se fait haletante. La dépense de chakra a été si violente et soudaine que je suis au bord de l'évanouissement. Et le fait d'avoir donné la mort à des personnes sans doutes innocentes ne fait rien pour améliorer les choses. Je vacille et me maintient accroupie avec peine, anxieuse. Et si j'avais échoué? Je ne me sens pas capable de lancer un nouvel assaut. C'était du quitte ou double. Soit nous avons réussi à envoyer ad patres un monstre. Soit c'est lui qui se chargera de nous ôter la vie. Il n'y a pas de demi-mesures avec une personne comme celle-là...
*Faites qu'il soit mort! Faites qu'il soit mort!*
Je ne cesse d'adresser cette prière silencieuse aux maîtres de la destinée en espérant qu'ils l'entendront. Finalement je pousse un soupire de soulagement lorsque la zone d'impact apparaît à nouveau après quelques instants. Le cratère est profond mais les membres déchiquetés qui recouvrent l'endroit ne me permettent pas d'en apprendre plus sur leurs propriétaire. Goren est-il réduit en poussière? Ou a-t'il réussi à s'échapper, à esquiver une attaque qui se voulait soudaine et imprévisible. L'étrange regard qu'il nous a lancé - nous a-t'il vu ou est-ce le fruit du hasard? - n'augurait de rien de bon en tout cas...
Je cherche du regard Phénix et la trouve finalement un peu plus bas que moi. Elle a fait une sacrée chute mais a toutefois détruit mes tourelles? Pourquoi? Voulait-elle s'assurer que je ne pourrais pas les retourner contre elle? Si c'était bel et bien mon intention je peux désormais oublier cette idée: je n'aurais de toute façon pas eu l'énergie nécessaire pour m'en prendre à elle. Et puis je peux comprendre ce geste. Finalement elle cherche la même chose que moi en cet instant: survivre!
- "Est-ce qu'on l'a eu?"
La réponse semble belle et bien positive puisque nous sommes toujours en vie. J'ai vu de quoi Goren est capable et je doute qu'il soit tapi dans l'ombre à attendre le moment propice pour nous attaquer. Pourquoi? Tout simplement parce que chaque instant est propice pour un type aussi puissant que lui. Il n'a pas à s'embarrasser de prudence...
Lorsque l'adrénaline retombe peu à peu je sens la tristesse m'envahir: est-ce moi qui ai tué cette famille ou est-ce lui? Je suppose que pour abattre un monstre il faut également devenir un monstre. Une logique que je déteste mais que je comprends! Non, je n'ai pas tué ces innocents. Ce n'est pas moi qui les ai invoqués. Ce n'est pas moi qui m'en suis prise à eux. Je ne suis qu'une spectatrice involontaire d'un spectacle qui me marquera sans doute à vie. Mais je garde en mémoire un simple fait qui me remonte quelque peu le moral: Goren vivant, il aurait été à l'origine de bien plus de morts. Ces mathématiques morbides me donnent envie de vomir même si je suis quelque peu rassurée. Ça m'aide à me dédouaner de ma responsabilité...
Le regard alerte, les sens en éveils, je garde en main mon revolver. Je sais qu'il n'aura pas le moindre effet sur Goren si ce dernier a réussi à survivre. Mais ce n'est pas pour lui que je réserve les balles de mon chargeur. Non... C'est pour moi! Car il est hors de question que je subisse à nouveau la torture! Hors de question que je sois à nouveau un jouet entre les mains de ce type! Je reste silencieuse, indifférente à ce que peut bien faire Phénix. Plus les secondes s'égrainent et plus notre victoire semble se confirmer. Il n'y a plus qu'à espérer que le destin ne se joue pas de nous en cet instant...
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| | (#) Sujet: Re: Phénix [Saibogu Lina] Ven 18 Sep 2015 - 18:56 | |
| Un plant bien pensé. J’ai donné à Phénix une mission précise et je sens ça fidélité commencer à défaillir. Même si encore pour le moment elle est totalement sous mon emprise je sens cette flamme de compassion renaitre et ce genre de chose est impardonnable. Du moins je ne peux me permettre de relâchement. Elle commence à reprendre son humanité. J’ai tout prévue. Elle ne me désobéira pas et cette petite flamme dans ses yeux ne fera que s’éteindre. Croire qu’une autre vie est possible. Je me dois d’effacer cette petite chose définitivement.
Cinq heures, voilà ce que j’ai dit à Phénix de laisser à cette Saibogu, si je ne me trompe pas. Elle mettra un grand nombre de tourelle ou des mines dont une qui déclencherais les autres. En soit une chose qui puissent faire gros. Qu’importe si eux ont cinq heures pour placer un piège le temps de poser cela sur la zone elle n’aura pas le temps de réfléchir à autre chose sans compter qu’elle réfléchira sur la bonne foi ou non de Phénix et cette rage aveuglante. Qu’elle niait, comme si je peux garder à côté de moi une femme, sans être certain qu’elle reste dans la ligne de conduite que je souhaite. Sans compter cette petite expérience sur patte. Je n’en ai pas fini avec elle. Si je sais une chose. C’est qu’entrer dans les ténèbres est une chose facile surtout si on la pousse dans le bon sens. La torture est le pilier fondamental, mais cela ne devrais pas suffire pour la mettre dans les profondeurs dans laquelle je souhaite la mettre. J’ai un cadeau pour ses deux-là :
Tout est prêt ?
Oui.
Cela devra être fait au millième de seconde prêt.
Ne vous en fait pas, nous avons pris ses derniers jour pour ces dernières secondes, nous avons répété, nous sommes prèt.
Parfait.
Un sourire j’avançe. Et le moment fatidique arrive. Je m’approche du lieu où je dois me faire attaquer. Je ne dois rien vérifier, ne pas chercher à savoir ce qu’ils se préparent quand d’un regard je tombe pile sur eux. Par chance, l’attaque est lancée. Un sourire leur étant destiné. Comme prévue je ne peux éviter. Et voilà ma surprise. Comme un dernier salut pour la fin, je fis signe de vouloir utiliser un sceau. Le petit cadeau doit leur plaire. Une famille ressemblant beaucoup à celle qu’a Phénix à l’époque. Celle que je lui ai fait manger jour après jour. C’est maintenant que je mets ma vie à un de mes subordonner. Et comment ? Simple, une permutation préparé à l’avance. Une permutation qui laisse ma mauvaise place à un de mes hommes ayant mon apparence. Le sceau faisant apparaitre la famille couvrant la fumé de la permutation mon cher subordonner, c’est entrainé à activer ce sceau en même temps qu’il se permute. Un rôle parfaitement joué sur la synchronisation. Me voilà donc maintenant hors de porté de l’attaque mais cela n’est pas encore jouer. Apparaissant devant un autre de mes hommes se dernier me mets un sceau bloquant mon chakra. Je dois passer pour mort. Se serais con que mon chakra me trahisse. Le temps de poser le sceau cela de ne devrais pas prendre plus d’une demis seconde, l’explosion faramineuse devrais suffire à camoufler cette faible présence. Vue l’utilisation massive de chakra à ce moment, rien ne peux me trahir. Je ne peux pas vérifier de mes propres yeux, mais j’aurais aimé voir les prochaines nuits de cette cher Saibogu, les cauchemars de cette action qui fait d’elle une tueuse d’innocent. Quand à Phénix son message est passé. Revoir la mort de ceux qu’elle a dans son ancienne vie dois suffire à lui faire comprendre quelle place elle a dans ce monde :
Goren n’existe donc plus. Hahahaha
Le sceau ma fatigué et m’empêcher de partir vite d’ici. Beaucoup vont venir, mais j’ai prévu le coup. Un transport de prisonnier. Dont le convoi est protégé par mes propres hommes. Même les papiers sont plus vrais que vrais. Personne n’osera vérifier qui est dedans. Puis même s’il regarde que trouveraient-ils dedans ? Moi Non, moi je serais l’homme qui conduit le transport. Un homme sans chakra se qui est le cas tant que j’aurais ce sceau. Pour la destiner de mes hommes. Mhh elle finira à la fin du voyage. Je ne peux laisser d’homme témoin de se cela. Aucune blessure sauf une seule qui date de la première rencontre avec la Saibogu, un morceau de chaire à l’épaule, autant dire que le calcule fut réussi du début à la fin. Es que cela fut prévu depuis que j’ai vu Cette femme ?
Évidement. A l’étape suivant.
Côté Phénix.
J’ai détruit toute ses Tourelles. La Saibogu le demande s’il est mort mais pour dire vrais je n’étais pas vraiment là. Je vois l’apparence de ses hommes tuer, je visualisé mon ancienne vie, et comprends le message. Je ne suis rien. Rien, pourquoi cette pensé ? Je me suis dit qu’elle arrive encore à vivre donc pourquoi je ne peux pas en faire de même ? Il l’a lâché, c’est se que je pensais, mais en réalité il voulait la contrôler, mais plus que ça ca liberté était que factice, Goren veut faire de Lina sa chose, mais autrement. Pas à son service directement, mais lui léger cette obscurité. Même si maintenant ce qu’elle souhaite le plus était la mort de Goren avant même d’avoir la compréhension de l’acte qu’elle a fait, ses nuits ces mort là tourmentera comme moi. Elle est déjà sous son emprise. Cependant elle ne le sait pas. Même si cela ne suffit pas, imaginez si un jour elle se rend compte qu’elle ne l’a pas vraiment tué. Qu’elle n’a simplement que sacrifier des vies inutilement. Je me remets à la regarder puis à me remémorer ça requête :
Aucune présence vivante. On.. On a réussi.
Je baisse les yeux puis dis :
Je, je n’aurais jamais due t’impliquer. Maintenant tu va devenir comme lui petit à petit. J’aurais voulue t’éviter d’avoir du sang d’innocent sur les mains, je n’ai pas agie sufisament rapidement. Je ne parlerais pas des domage colatéraux. J’en aurais aucun intérêt de toute manière.
Me relevant difficilement je m’approche des morceaux de chair qui reste. Il n’y a vraiment que peur de morceau aprés une petite seconde d’attende je pris un morceau de chaire. Coupant net en deux je regarde si tout est flambé. Un est juste cuit mais avec la particularité sanguine de Goren faire un lien avec lui sera aisé. Goren m’avais donné un morceau de chaire. La chauffant d’une petite décharge de Raiton, j’échange le morceau de chaire de Goren avec celui que j’ai découpé sur le bras que j’ai en main, une morceau cuit pour un morceau cuit :
Tien. Cela te permettra d’être certaine qu’il est bien mort. Goren à une particularité sanguine que Suna devrais facilement arriver à retrouver dans leur archive. Il ne reste que cela de son corps. Comme prévue je prends le reste. Tu peux t’en aller je vais dissimuler les autres morceaux afin que personne ne sache les impondérables.
Evidement que je vais le faire. J’ai l’habitude de ce genre de travaille. Goren peut s’il se lâche être très sale et effacer derrière lui est une de mes taches. Je suis donc le pantin de Goren et je ne peux qu’être cela. T’elle est donc ma véritable place. Comment j’ai pu avoir le moindre espoir.
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