De retour à la maison, on recroise la famille. [Pv: Seki Ryusai]

Je commençais à avoir les pieds fatigués et la lourdeur de mes pas le confirmait. Des pas qui, lorsque frappaient le sol fessaient résonner un son sourd sur tout le sol, et entre deux de ces bruits périodique, un autre plus sec et plus long se fessait entendre, signe que je traînais des pieds. Pas de doute, j'étais exténué.. Cette mission terminé à l'aurore avait usé beaucoup de mon chakra, sans parler que je n'avais dormit qu'une partie de la nuit à cause des difficultés rencontré pendant celle-ci. Je regardais au sol, les cailloux se ressemblait et soudainement une descente raide s'annonçait. Je relevais la tête pour voir ce qui m'attendais et je me mis à parler tout seul. Et merde, ça pouvait pas être plat quoi.. J'entamais le flanc de montagne qui ressemblait fort à une que j'avais déjà défié plusieurs fois. En y repensant, si on m'avait filmé pour que je puisse voir dans quel état j'étais, j'aurais à coup sur, rit de moi-même. Même pas foutus de reconnaître le Sentier Perdu ! Toujours la tête basse, je marchais encore et encore. Rentrer à Kumo me semblait être une éternité et surtout une torture, pour cause je pensais à un bon ramen et les eaux chaudes d'une source que j'aimais particulièrement. Mon ventre gargouillait et j'avais une impression de sentir l'embaume de chez Akihiro. Maanngeer ..!! Une douleur à l'estomac venait de s'installer, celui-ci manifestait que c'était l'heure de manger, comme programmé il se mettait en route, habitué à cet heure de repas. Peu de temps après une autre souffrance apparaissait. Ou plutôt deux, une à la tête et une au cul. Assis par terre, j'essayais de relever la tête, voyant un truc énorme me bouchant la vue. Une fois la vision rétablit, je me relevais et découvris que j'étais en fait arrivé aux portes du Sentier Perdus. Ces cailloux et cette descente était donc l'étroit passage d'accès à Kumo. Cette odeur de nourriture était celle des restaurants du village et cette porte, je me l'étais pris dans la face, ce qui eut d'effet de me repousser par terre. Hallelujah ! J'étais arrivé à la maison.

Un garde vint me voir pour effectuer cette procédure trop chiante ; fouille et paperasse. On me demandait aussi mon nom que je devais décliner sur-le-champs et vus que j'étais Chunin, je devais remplir un autre papier.. Je m'avançais vers la table tout en perdant de nouveau l'équilibre, m'affalant sur la table, je pris tout de même la peine de saisir le crayon pour essayer d'écrire. J'allais le remplir leurs formulaire de merde il allait voir, c'était le défi du jour. Après c'était dodo et manger. Ou l'inverse je sais pas et pourtant l'ordre était important sous peine que je décède. J'en rajoute.. Optimisme, youpie ! Pour penser ça, j'étais vraiment mal, franchement. Heureusement, une voix qui me parut presque divine résonnait dans l'air ambiant.. Ou dans ma tête. Elle me fessait penser à quelqu'un que je n'avais pas vus depuis un certain moment déjà. Je tournais la tête et c'est avec grande surprise que.. Je me prenais des rayons de soleil radioactif chargé en ultraviolet en plein dans la rétine. Même avec la lueur de grande intensité, je vis un homme perché sur la muraille de Kumo. Ces contours, cet coiffure, cet air. Pas de doute. Sans m'en rendre compte, je tombais et c'est dans les bras d'un jeune homme que je connaissais que j’atterrissais. Je voyais mieux son visage, il avait grandit, c'était devenus un beau jeune homme, un gentleman. Je me met à fantasmer sur mon cousin, c'est quoi cette connerie ! J'agrippais son bras et froissais ses vêtements avant de m'exprimer.

« Cousin, paye-moi un restaurant et je te le rendrait ! »

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L’air désemparé, j’étais en train de vagabonder dans le village, marchant et marchant, ne sachant pas où j’allais. Je ne savais pas quoi faire de ma journée à part flemmarder. Ce jour-là, je n’étais pas envoyé en mission et je n’étais pas non plus convoqué par mon sensei. Cela faisait maintenant plus de deux ans que le village caché de la foudre avait été bâtis. Avant sa création, le clan des Seki était l’un des plus puissants clans. Depuis que le village a été mis en place avec une hiérarchie, le clan c’était divisé en deux : d’un côté ceux restant dans la forêt, reculé de toutes civilisations et de l’autres, ceux ayant aidé à la construction et s’étant installé au village. Rares étaient les membres de ce clan à s’être installé à Kumo Gaku No Satô. Pour ma part, je m’en souvenais très bien. J’avais alors quinze ans et j’avais aidé en grande partie à la création du village. Ce n’était pas par la force de mes bras mais grâce à mes capacités de clan. Le clan Seki était les génies du chakra. Ses membres pouvaient créer tous ce qu’il voulait avec leur chakra. C’était donc avec l’aide de mes pouvoirs que j’avais pu créer des outils, des sortes de grus et autres choses servant à la construction du village. Et oui, cela faisait déjà plus de deux ans, comme le temps passe vite.

Après sa création, une académie ninja avait fait place au sein du village. Je m’étais donc inscris pour devenir un shinobi, étant donné que je n’avais pas vraiment de but dans ma vie à par faire de mon clan le plus puissant de tous étant donné que c’était ce que souhaitais mon défunt père avant qu’un clan plus puissant, celui des Uchiha ne le tue. Mes pensées me débordant, je continuais de marcher, ne sachant pas où aller lorsque tout à coup, je m’aperçus que j’étais en train de me rendre aux portes du village comme si je voulais en sortir. Cela n’allait sûrement pas me faire de mal, me promener loin de tout ce bordel que produit le village. Mes souvenirs de moi étant gosses remontèrent de plus en plus. Même si je n’avais j’avais connus mon père, le fait qu’il n’était pas là pour moi me procurait une sorte de manque. Arrivant en face des portes, je vis un jeune garçon d’à peu près mon âge, marcher pour rentrer à Kumo. M’arrêtant pour le garder, un garde l’interpela et lui posa toutes sortes de questions avant de lui donner un parchemin, une plume et de l’encre pour remplir un formulaire. Ce jeune garçon avait les cheveux blancs et en bataille, tout comme moi. Il avait l’air exténué. Tout à coup, il perdus l’équilibre et voulant essayer de le rattraper, je m’attendais à sa chute. Il était à moitié dans les vapes. Un homme l’avait rattrapé de justesse.

Me rapprochant de ces deux personnes, je vis que le sauveur avait les cheveux blancs et faisait un peu près ma taille mais rien de comparable à moi. Cet homme était un Okama, c'est-à-dire un homme se déguisant en femme qui aime les hommes. Il voulut embrasser celui qu’il venait de sauver avant que ce dernier n’ouvre les yeux, me regardes puis dit à son cousin de lui payer un restaurent.Cet Okama était donc son cousin. Me reculant, je les laissai alors tous les deux ensemble et vit du coin de l’œil que l’Okama était en train de rouler une pelle à son fameux « cousin ». Je trouvais ça plutôt immoral d’avoir ce genre de relation dans sa propre famille mais bon, ils faisaient ce qu’ils voulaient après tout. Cousin… cousin… mes souvenirs revinrent de nouveau mais cette fois-ci, c’était une époque où j’étais adolescent. Je me souvenais que j’avais un cousin également, un certains Raiken avait qui je jouais beaucoup étant petit avant qu’il ne parte. Nous étions très complice ensemble et nous nous adorions comme des frères… Il avait les cheveux blancs lui aussi… En y repensant, il ressemblait comme deux goûtes d’eau au jeunes garçons exténuer…

~ PRENDS CA DANS LA GUEULE !! ~

Me retournant d’un coup, je sautai le pied en avant en direction de l’Okama. Mon pied percutant son visage, il fit un vol plané et heurta un arbre avec une violence inouïe. Je crois que c’était la première fois que je donnais un coup de pied aussi fort. Rattrapant celui dont je pensais qu’il était mon cousin, je le regardai fixement, éclatant de rire et lui demandant :

~ C’est bien toi Raiken, je ne rêve pas ? ~

Etait-ce les retrouvailles de deux cousins complices ?

Une caméra.. Il aurait fallut une caméra.. Genre la scène du héros rentrant après avoir accomplit un exploit, rentrant avec des blessures, entre la vie et la mort, se fessant accueillir par sa bien aimé. A la place, c'était moi qui rentrait d'une mission de rang B, dans un piteux état, sans blessure apparente. Et pas de bien aimé. C'était la famille mais voilà quoi, c'était pas pareil. Pour vous dire toutes la grandeur de l'acteur que j'étais et du scénario pourrit que le réalisateur avait inventé, j'avais sentis un contact sur mes lèvres. Une petite pensée me vint alors, remplit d'espoir : Naoko c'est toi ? Cheveux blanc, merde soit elle avait prit un coup de vieux, soit c'était pas elle. Ça commençait déjà mal. Quand je vis un peu mieux, je vis que le visage de « la chose » était entre la femme et l'homme. Ahh un trans' ! Oui aucun doute possible, la pièce était héroïque comme jamais vus en ce monde. C'est dans un énorme dégoût que je donnais un léger coup de pied sur mon, ou ma, on sait pas trop en fait.. agresseur qui ne ressentit qu'un peu la douleur à cause de la faiblesse dans laquelle je me trouvais. Pire, j'avais l'impression que mon geste se retournait contre moi. Le bisoutage de « la chose » me donnait envie de vomir. Mais rien ne venait tellement ça me faisait horreur, ou parce que je n'avais rien dans le ventre.. C'est la que le véritable héros apparut, c'était dieux ! Dans des paroles remplit de sagesse, il fit retourner mon assaillant à l'état de poussière, entre l'espace de deux petites secondes. C'était des incantations puissantes dont je ne comprenais pas tout le sens mais quel puissance ! J’essayerais de prononcer ces paroles à mon tour lorsque je serais en état, qui sait ? Je créerais le jutsu le plus puissant de l'histoire shinobi grâce à la divinité qui se tenait devant moi. Elle connaissait même mon prénom et elle ne s'attendait pas à me voir apparemment. Mon heure était donc venus plus tot, et ce pathétiquement devant les portes du village des Nuages ?Voilà à quel point j'en étais.. En plus de confondre un trans' avec mon cousin, et prendre Ryusai pour Dieu. Comme je vous disais un peu plus haut, la séquence du film était.. Ça se passe de tout commentaire.. M'enfin, il était venus le temps ou je devais faire face à cette divinité.

« Ö grande âme charitable, par pitié sauvez-moi ! Je vous donnerez tout ce que vous désirez en échange mais je dois encore accomplir de grandes choses ! »

Complètement mort le Raiken.. Mais j'y repense.. Dieu il peut attraper les gens dans ses bras comme ça ? C'est pas censé être quelqu'un d'immatériel tellement il à pas besoin de forme physique pour pouvoir te onwed avec sa simple pensée ? Pourquoi il m'avait pas rattraper avec sa pensée ce con ! Sale imposteur ! Et dieu il sait rire, et sil savait, il rirait devant l’être inférieur qu'était les hommes ? *Tilt* C'était le bruit de la raison qui revenait en moi. Ce rire, unique, charmant, je l'entendais résonner dans ma tête, j'avais une sensation de déjà-vu. Oui, je l'avais déjà entendus, dans mes souvenirs. Il n'appartenait qu'à une seule personne. Je décidais de réagir étant données que j'étais quelqu'un d’entreprenant, seulement j'étais encore dans un couloir, quelque part entre mon délires qui se terminait et la lumière. J'agrippais le col de celui qui m'avait rattrapé et lui foutais deux paires de baffes. Aucun doute, je venais d'oublier tout ce qui s'était passé.. Sauf le baiser.

« Espèce de sale chose ! On t'as jamais apprit de demander le consentement de quelqu'un ou si il était libre avant de l'embrasser ! »

Comme par hasard le réalisateur décidait que c'était à ce moment que je retrouvais la totalité de ma tête.. Fait chiez quoi, je vais le frapper si je le croise lui ! J'avais enfin l'esprit clair. Mon comportement normal allait enfin s'exprimer, en commençant par un cris plaintif. C'est avec surprise que je découvrais qui se tenait devant moi. C'était comme si je l'avais vus deux fois, c'était bizarre. Pour continuer dans l’étrange, je sentais qu'il avait une tête bizarre, un peu rouge sur les joues. Haha, le con ! Il s'était prit un râteau juste avant ! Moi par contre, mon ventre cachait presque mes paroles en grondant comme le roulement du tonnerre, fort et incessant.

« Ouuch. Qu'est-ce que je fais la ? Ryu ! Ça fessait longtemps comment tu vas ? »

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Alors que je me tenais debout, avec la personne dont je pensais qu’il était mon cousin, je le voyais en train de divaguer, complètement assommé voir traumatiser par le baiser qu’il venait de recevoir de la part de l’autre homme. Quoi de plus naturel que d’être choqué par une telle scène lorsqu’on est un Seki, un pur mâle 100% hétéro. Alors que dans un langage presque incompréhensible, je pus déduire quelques mots qu’il m’adressa alors. Il me demande de le sauver en m’appelant « grande âme charitable ». Ah ouais, il était KO au point de me prendre pour Dieu. Bon, c’est vrai que je suis comparable à Dieu, d’ailleurs, les filles me le disent tous le temps après être sortis de mon lit, mais bon, je ne peux satisfaire toutes les filles du monde… du moins, pour le moment. Il me dit également qu’il me donnera tous ce que je voulais si je le laissais en vie car il avait, selon lui, de grandes choses à réaliser. Et bien ces dernières paroles, j’allais les retenir et en profiter tôt ou tard en lui demandant de faire n’importe quoi pour moi. Un moment de silence fit alors son apparition alors que je l’avais toujours dans mes bras.

Toujours à la ramasse, je pouvais limite voir des petites étoiles tourner autour de sa tête comme dans les cartoons. Alors que je voyais qu’il était en train de réfléchir comme il le pouvait, il me fila alors deux paires de paffes en pleins sur chacune de mes joues avant de me donner une leçon de moral qui était destiné à m’apprendre qu’il fallait demander avant d’embrasser quelqu’un. Non mais, c’était il y a bien longtemps que l’on faisait ça, maintenant, c’est au feeling. Le voyage de mon cousin l’avait vraiment changé, il n’était vraiment plus à la mode et il suffisait de voir ses réactions et sa tenue pour conclure ces idées-là. Il me frappa donc sur les joues à une vitesse incroyable… Non je déconne, il était trop fatigué et assommé pour pouvoir faire ça. D’ailleurs, je ne sentis pas ses coups m’atteindre mais seulement le contact de sa main sur mes joues. Il n’avait plus de force, complètement HS le petit Raiken. Alors qu’il se secoua la tête pour essayer de reprendre ses esprits, je pus comprendre grâce à son regard réjouis qu’il m’avait enfin reconnus.

De plus, il se demanda à haute voix ce qu’il faisait là puis me regardant, me demanda comment j’allais depuis le temps. Quelle question pourrie pour des retrouvailles sérieusement… enfin je dis ça, j’avais posé presque la même question juste avant… Ne lui répondant pas car j’étais vexé de la paire de baffe qu’il venait de prendre, je le lâchai d’un geste vif et le vit s’écraser par terre, les quatre fers en l’air, telle une merde de vache toute fraiche. Le regardant alors de haut, puisqu’après tout, il était au sol et moi debout, je me mis à rire comme jamais avant de lui dire :

~ Tu t’es fait embrasser par un mec, cousin. Ce voyage t’as fait découvrir de nouveaux horizons dis donc. Dis-moi, t’as dus surement aller à Kiri, le village des gays pour être comme eux non ? ~

Lui tendant la main pour l’aider à se relever, je vis alors l’heure qu’il était grâce à une horloge se trouvant à côté des portes du village et vit qu’il était un peu près midi. Pas besoins de regarder l’heure remarque, mon ventre criait famine comme pas possible.

Quand j'entendais enfin, pour de vrai, lorsque j'avais toute ma tête le rire de Ryûsai, je ne pouvais m’empêcher de rire en même temps que lui. Comme avant, dans la joie et la bonne humeur. Seulement voilà, content ou pas mon estomac s'en foutait royalement. Il voulait manger. J'essayais de me relever suite à mon étalement total sur le sol mais je n'y pus y parvenir qu'en m'appuyant sur mon cousin. Je rigolais à nouveau, il me faisait rire.. C'est vrai qu'à sa place j'aurais été mort de rire d'après ce qu'il me racontait là. Il était temps de lui forcer le respect !

« Haha ! C'était pas un voyage, enfin comme si mais l'objectif premier n'était pas de faire du tourisme mais bien une mission de Rang B.. En solo. D'ailleurs, t'entends le bruit que fait nos ventre ? Vus que je suis pas trop en état tu peux pas m'aider à aller au restaurant manger un bon ramen ? En échange, je paye deux de tes bols. Allez! Une, deux, plus vite que ça ! »

Je dis ça alors que je ne pouvais pas bouger. Mais je plaisantais et Ryu devait bien le savoir. Ça faisait du bien de le revoir. Fallait qu'on parle. Pour rattraper les moments perdus mais aussi pour parler des sujets importants. Son père, mon père.. Et plus largement : le clan. Je m'accrochais à mon compagnon avec le peu de force qui me restais, que j'allais récupérer avec le bon repas qui m'attendait. Je me contentais parfois de lui indiquer la route, avec une main tremblante en pointant avec mon doigt la direction à suivre. On allait bien évidemment chez Akihiro, le meilleurs de la ville. A force de venir la-bas, j'étais comme devenus un pote du grand patron et c'était lui qu'il m'avait fait voyagé comme nul autre.. A travers son art culinaire. Oui, sa cuisine pouvait être qualifié de don. Sans relever la tête, je savais que l'on était arrivé, rien qu'à l'odeur. J'entendais quelques phrases mais n'en comprit pas le sens. Je pensais donc que j'étais encore sonné et c'est avec surprise que je vis un bol apparaître devant moi. En plongeant la tête dedans, arrêté par les bords du bol, je buvais et commençait à manger. Pas très classe je sais.. Mes papilles s'excitait et mon corps tremblait de plaisir, mes muscles bougeaient à nouveau et je me saisissais du plat avant de le porter à ma bouche puis pencher la tête en arrière, pour être sur de tout finir en aspirant les dernières gouttes du délicieux jus. En quelques secondes, je venais d'engloutir un ramen et j'en commençais un autre avec un peu plus d'énergie, que je finis encore bien plus rapidement. J'étais alors à mon troisième et c'est comme ressuscité que je faisais mon retour. Je m'adressais tout d'abord au boss de l'endroit puis à mon cousin en détournant la tête.

« Akihiro ! Qu'est-ce que je ferais sans toi ? Un autre s'il te plaît, avec plus de viande dedans ! En fait Ryû, tu fais quoi de ta vie depuis qu'on s'est pas revus ? »

Pour le moment je m'étais intéressé qu'à ma gueule, c'était pas normal.. Moi qui d'habitude, pensais aux autres avant moi-même. J'étais vraiment bas.. Le cousin devait vraiment penser que j'avais changé pour me sortir sa connerie avec Kiri. Certes, j'avais tout de même évolué mais.. L'homosexualité c'était pas mon truc et Ryû non plus. Je m'en rappelle des fois ou on tombait amoureux d'une même fille et que l'on était en compétition pour l'avoir. Tout en restant soudés, pour dire la grandeur de notre relation. Ce n'était pas qu'un cousin.. C'était un amis chère.. Mais entre amis, on se taquine !

« Bon sinon, t'as une copine ? J’espère, parce que je veux pas te dire mais j'ai la cote avec les filles ! Tu ferais bien de te presser avant qu'elles me veulent toutes Haha ! »

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Alors que je tendis ma main en direction du membre de ma famille, je l’aidai à se relever et le prit sur mon dos… Le bougre, il n’était pas tout léger dit donc, gros tas ! Alors qu’’il commença à me parler, je vis au loin une jolie fille passer. Elle était blonde, grande, mince et tout ce qu’il fallait où il fallait. Je peux vous dire que celle-là, si je ne venais pas de retrouver mon cousin, je serais allé l’accoster et elle aurait finit dans mon lit sans vouloir me vanter. Alors que j’étais en train de la regarder tourner dans une ruelle, j’entendis alors les dernières paroles que Raiken venait de me dire. Il me demanda de l’amener au restaurent puisqu’il n’était pas en état de marcher lui-même et qu’il avait affreusement faim. En y pensant, mon estomac criait également famine et il était l’heure de manger après tout. Il me dit également qu’il allait me payer deux bols de ramens. Si c’est lui qui paye, pourquoi pas mais en attendant, il ne faisait que parler de lui depuis que nous nous étions retrouvé. Sur un ton joyeux, il me dit un – deux régulièrement pour que je puisse marcher dans une cadence constante. A ce moment-là, je continuai à me terre, l’écoutant et rigolant intérieurement. Halala, Raiken, t’as pas changé d’un pouce, tu es toujours le clown de service mon petit. Alors que je continuai de marcher, il était en train de m’indiquer avec un geste lent de son bras, tout en pointant son doigt avec difficulté dans une direction.

Après quelques minutes de marches, nous étions presque arrivé puisqu’une odeur alléchante parvenait jusqu’à nous. Avec l’odeur, c’était comme si j’étais déjà à table, tellement qu’un fin filet de bave sortis de ma bouche, glissant jusqu’à mon menton. Ce fut lorsqu’on allait y arriver, qu’il restait quelques mètres qui nous séparait du restaurent que je sentis la tête de mon jeune cousin s’effondrer. Lui mettant quelques claques sur les joues, j’en profitai pour lui en mettre deux grosses histoires de me venger de ce qu’il m’avait fait auparavant. Eh bien, il était tellement épuisé et fatigué qu’il était encore tombé dans les pommes. Arrivant alors au restaurent, je poussai la porte et fit asseoir Raiken sur une chaise au comptoir, la tête sur la blanche qui servait de table haute. Lorsque je vis le patron, il avait l’air d’un gars plutôt bien et aimant rire. Ce que je pensais fut confirmé lorsqu’il je le vis éclater de rire quand il vu mon cousin en train de dormir avec des marques de mains sur les joues. Ce fut alors quelques secondes plus tard qu’il se redressa d’un coup et voyant des ramens en face de lui, il se jeta dessus sans m’adresser un regard. Sur certains points il n’avait pas changé, sur d’autres il me décevait beaucoup… Alors qu’il était en train d’engloutir son bol et qu’il venait de le finir, je mangeais en prenant mon temps pour profiter au mieux du très bon plat qui m’avait été servis.

Du coin de l’œil, je vis alors deux filles d’à peu près mon âge pénétrer dans le commerce. Elles étaient sûrement majeur, tout comme moi. Regardant mon cousin, il ne les avait visiblement pas vus tellement il était plongé le nez dans son nouveau bol qu’il venait de commander. Alors qu’il commanda encore un bol, il se tourna vers moi qui le regardais manger avec dégoût, tellement il était sale. Il me demandait ce que je faisais de ma vie depuis le temps que nous nous n’étions pas vus. Fermant les yeux et lui souriant, je lui dis :

~ Et bien lorsque tu es partis en voyage, j’étais resté au clan quelques temps avant d’apprendre qu’un village ninja allait se faire construire. Avec quelques membres de notre clan, nous étions allés donner un coup de main et nous y sommes restés. A présent, il y a peu de Seki à Kumo Gakure No Satô. Je suis à présent ninja pour devenir plus fort et partir visiter le monde pour réunifier notre clan qui a été divisé après la mort de mon père et l’attaque des Uchiha. ~

Alors que je baissais les yeux, repensant à ce que j’avais subis étant petit, tout le chagrin que j’avais vécus, je ne pus m’empêcher de repenser que mon cousin a toujours été là lorsque j’allais mal. Mais rien à y faire, ses souvenirs étaient trop forts que mon visage en fut attristé dans le restaurent. Alors que je continuai de ressasser mes souvenirs, Raiken reprit en me demandant si j’avais une copine et que si je n’en avais pas, que je ferais bien de me dépêcher sinon elles seraient toutes après lui. Rigolant, je lui répondis alors :

~ Ne te souviens-tu pas que lorsque nous étions tous les deux amoureux d’une fille, c’était toujours moi qui gagnais car elle me trouvait plus beau, plus affectif, plus sensible mais tout en étant fort ? ~

J’éclatai alors de rire avant de reprendre, tout en me levant en me dirigeant vers les deux filles qui étaient arrivé un peu plus tôt :

~ Pour le moment, je suis célibataire et libre comme l’air et c’est mieux ainsi, je préfère tomber sur la bonne et qui sait, c’est peut-être l’une de ces deux filles. ~

Je m’avançais alors vers les filles et arrivant à leur niveau, je pris une chaise, la tournai à m’asseye à leur table, m’invitant tout en me présentant et en les complimentant. D’où il était, Raiken ne pouvait entendre ce que je disais.

Au fur et à mesure que je mangeais, je renaissais et retrouvais toutes mes forces. Moi, me laisser mourir de faim ? Sûrement pas ! N’empêche cette saloperie de mission m'avait mit dans un sale état. Une B ? Mon cul oui ! Je m'attendais à une belle augmentation, me permettant de payer quelques mois de loyer. Si tel n'était pas le cas, le département des gestions de mission auquel je travaillais de temps à autre puisque cela fait partit de mon métier d'agent, allait entendre parler du pays ! J'étais tellement mal que je n'avais pas pus manger correctement mon premier bol, encore complément usé. D'ailleurs, après mes repas enchaîné et ma question posé, je venais de prendre conscience que j'avais mangé salement. Je le savais à la tête que faisait Ryûsai, puisque j'avais relevé la mienne vers sa direction, le regardant désormais avec honte. Cette gêne fut vite remplacé par les regrets du passé. Parler du village rappelait bien des souvenirs et par la suite, bien des bavures, que mon cousin ne connaissait pas. Pas encore. Cependant, même si j'avais envie de parler du clan et de son devenir, je n'allais pas le faire. Pas de suite. Je hochais simplement la tête lorsqu'il parlait de réunifier le clan. Pourquoi ne pas lui parler immédiatement des sujets de clans ?.. Le moment n'était pas propice. Nos retrouvailles venaient à peine d'avoir eut lieu et je voyais l'attention de Ryûsai descendre en un temps record. Et tout simplement, comment aborder ce sujet sans parler de nos pères.. J'abordais alors une conversation bien plus légère ayant enfin repéré la cause de l’inattention croissante de mon cousin. Celle-ci était bien sur en relation, avec des filles ! Je décontractais largement l’atmosphère qui avait commencer à peser lourd et je dois dire qu'il ne me déçut pas sur la rapidité avec laquelle il me répondait, tout en me taquinant avec classe. Il ne lui fallut pas plus de quelques secondes pour vaguer à l'une de ses occupations préféré ; la drague ! Juste avant qu'il se dirige vers ses proie tel un prédateur je lui adressais quelques mots :

« C'est ça, perds pas de temps ! T'as raison de vouloir une blonde, les brunes ont toujours été pour moi ! »

Pour le laisser un moment tranquille, je commandais une boisson à laquelle je n'étais pas habitué. Le goût était transformé d'une tel manière, que je n'avais rien goutté de tel, soit par l'état de faim dans lequel je me trouvais encore, soit car mon palais s'éveillait à une autre saveur. Ou soit car la date limite était dépassé, ce que je pouvais douter vus par quel homme le restaurant était tenus. Je sirotais tranquillement mon verre en regardant du coin de l’œil la scène qui m'étais proposé, ayant comme acteur principal Ryûsai. J'avais désormais finis et commençais à sérieusement m'ennuyer jusqu'à ce que je vois une ombre parcourir les toits. Je déposais la monnaie pour la patron en précisant que je payais pour mon invité. Akihiro blaguais en plaisant sur le fait que les apparences prouvait que c'était bel et bien moi qui m'était fait conduire jusqu'ici. Je rigolais en restais assis sur les hauts tabourets un petit moment, avant de voir un signe lumineux, m'aveuglant par la même occasion, provenant d'un bandeau de Kumo. Ce n'était pas très discret pour un ninja. Surtout lorsque je le vis courir à travers la rue, se dirigeant vers mon cousin qui lui faisait face.. De dos.. Finalement je me levais, il allait avoir de l'action et ceci me permettrais de m'incruster dans le petit groupe de personne, puisque le jeune homme avec qui j'avais des liens de famille semblait m'avoir oublié. Je marchais, trottinais puis commençais quelques enjambés plus rapides pour enfin sauter en hauteur en malaxant mon chakra, un très cours instant. C'est presque sur le coup que je m'appuyais sur une plaque de chakra qui apparaissait , me propulsant sur une distance non négligeable. Je fis balancer mon corps pour atterrir sur mes pieds alors que j'avais la tête à l'envers, frôlant celle de mon cousin, pour finir dans son dos. Le petit était la, chargeant toujours avec un kunai. Il était jeune et son bandeau était luisant comme un sous neuf, signe qu'il était récemment devenus Genin. Je tendis la jambe vers sa direction alors qu'il donnait un coup de kunai qui fut arrête par du chakra matérialisé. Suite à cela, je donnais un coup de pied dans sa main, le désarmant de son arme pour finir par une prise d'immobilisation avec une seule main, avant de lui adresser la parole. Je fus étonné de sa réponse mais je ne perdis pas mes moyens et lui donnait une petit leçon.

« Bha alors petit.. On t'a pas apprit qu'attaquer par derrière était lâche.. »

« Un ninja doit être prêt à tout moment ! C'est déloyale que T’interviennes, c'était entre moi et lui ! Ryûsai, tu verras.. Je serais plus fort que toi. »

« Et un ninja ne doit pas se parer à tout types de situation par hasard ? Allez va.. Et n'attaque pas quelqu'un qui ne t'as rien fais. »

Il partit en disant qu'il était d'accord avec un air lassant, tout en répétant qu'un jour il serait aussi fort que Ryûsai. Façon polie de dire qu'il lui mettrait la pâté un de ces quatre. Je me tournais vite fait pour admirer les deux belles filles qu’accostait mon cousin. Tss.. Il avait pas de mauvais goût le coquin ! C'est ce que j'allais lui faire passer discrètement tout en essayant de lui rappeler que j'étais la.

« Hé bien cousin, t'as des challenger on dirait. Yo belle créature de la nature. Excusez-nous mais un contre-temps qui me déplaît autant que vous nous empêchera de passer un moment avec vous. »

Je tirais le coureur de jupon, en pinçant ses vêtements pour l’amener dans un endroit plus calme, puisque nous nous dirigions vers les terrains d’entraînements. Nous marchions tout en discutant un peu, sans que j'aborde le gros du sujet.

« Tu sais que les Seki n'accourt pas les rues ? J'ai fais la connaissance d'un des notre qui se révélait être mon meilleur amis après toi, lorsque j'étais encore au village Seki. Il a, comme moi participé à la construction du village et ne nous sommes pas croisé à Kumo, pendant ces deux dernières années. Et voilà que cela se reproduit avec toi.. C'est fou non ? Je lui ai proposé de réunir le clan qui est actuellement divisé. Il était avec moi mais voilà un petit moment que je ne l'ai pas revus. A vrai dire, je voulais tout d'abord avoir ton avis pour établir le clan à Kumo et désigner un chef. Cela fait tout de même dix-sept ans que nous n'en avions plus.. Notre jeunesse semble prometteuse. »

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Alors que j’étais en train de parler aux jeunes filles qui avaient des corps plutôt appétissant, je sentis une présence derrière moi, en train d’épier mes faits et gestes. J’entendis des bruits de pas allant dans ma direction et sans pouvoir me retourner, je sentis quelqu’un dans mon dos puis passer devant moi de très près. Regardant, c’était mon cousin qui venait de sauter dans ma direction. Regardant derrière lui, je vis une sorte de plaque flotter dans les airs. Sans nul doute c’était une sorte de plaque de chakra qu’il venait de matérialiser. Ce n’était pas un Seki comme moi pour rien. Je me souvenais qu’à l’époque, c’était l’un des meilleurs et il avait réussi à contrôler son pouvoir mieux que le miens et avant moi. Je me demandais alors si c’était toujours le cas ou non. Il fallait voir cela tôt ou tard mais j’étais fasciné par sa technique, je ne l’avais jamais vus auparavant. Finissant alors sa course derrière un très jeune garçon armé d’un kunaï, mon cousin enchaina coup de pied et coup de poing pour éviter que je ne me prenne l’attaque de l’enfant. Je savais très bien que j’étais en sécurité avec l’enfant mais il savait très bien que je pouvais me débrouiller tout seul. Peut-être ne voulait-il pas que je sois déranger dans ma conversation avec ces sublimes spécimens féminins, qui sait.

Alors que Raiken essaya de donner une petite leçon à l’enfant en lui disant que ce n’était pas très classe d’attaquer dans le dos, l’enfant lui répondit avec tact qu’un ninja doit être prêt à tout moment et que c’était déloyale qu’une tiers personne intervienne. Il laissa un cours silence avec de dire qu’il sera un jour plus fort que moi. Hé ouais, je suis comme ça moi, je suis quelqu’un de connut que tous les jeunes prennent comme exemple. Et c’est d’ailleurs pour cela que j’avais arrêté de me comporter comme un enfant qui était doublé d’un pervers ronchonnant et irrespectueux. Raiken, se comportant comme un gosse qui voulait avoir le dernier mot, ce qui me fit rire au passage, lui demanda alors si par hasard, un ninja ne devait-il pas s’attendre à tous genres de situations possibles. C’était tout à fait vrai si on suivait le raisonnement du garçon mais cela ne s’applique qu’en mission ou en temps de guerre… Quoi que, dans la vie de tous les jours, il faut s’attendre au pire comme par exemple Raiken qui m’attrapa par mes vêtements et en me tirant. Hé oui, comme quoi il y a des cons partout qui viennent tout casser.

Il me dit alors que j’avais des challengers et s’excusa de façon plutôt grossière, alors que les Seki sont des gentlemen, auprès des filles en leur expliquant qu’on avait un imprévu et qu’on devait partir. Les regardant alors que j’étais en train de me faire tirer, je créa avec mon chakra deux roses qui se posèrent délicatement sur leur table avec un bout de papier où était écrit mon adresse dessus. Marchant dans la rue, nous nous rendîmes en direction du terrain d’entraînement du village. Celui-ci était plutôt désert depuis qu’un nouveau complexe avait été construit à l’intérieur d’une montagne. Personnellement, je ne m’y étais jamais rendus et je ne m’entrainais pas souvent, étant la plus part en train de glander dans la rue, à draguer des filles ou en missions. Alors qu’on était arrivé, je m’asseye sur une branche d’un arbre se trouvant non loin de moi et écouta Raiken me parler d’une voix sérieuse. Il me dit tout à bord que les Seki ne courraient pas les rues, choses que je savais depuis un bon moment puis continua en parlant d’un des membres du clan qu’il avait rencontré à Kumo mais cela faisait un bon moment qu’il ne l’avait pas vus. Sans doute était-il partit en mission qui dure longtemps, ou dans un pays voisin, voir même peut-être mort, on n’en savait rien.

J’avais également croisé un Seki fut un temps, je m’en souvenais comme si c’était hier. C’était le barman d’une échoppe se trouvant non loin de chez moi. C’était un shinobi à la retraite car il avait eu une importante blessure qui l’empêchait de pouvoir continuer. Il me dit alors qu’il lui avait demandé s’il voulait réunir le clan avec lui mais depuis, il ne l’avait pas revu, sans doute ne voulait-il pas réaliser ce projet tout bonnement, ou ne pas le réaliser avec mon cousin… Bref, en tout cas, j’étais bien content car je venais de retrouver mon cousin et il voulait tout comme moi réunifier le clan. Il finit alors par me demander mon avis pour savoir si je voulais oui ou non rétablir le clan avec lui et qu’il fallait désigner un chef. Le regardant alors, je vis à tout prix qu’il souhaite être le nouveau chef du clan mais par honneur, par ambition. Etant le fils du dernier chef du clan, cette place me revenait mais je n’en avais pas réellement envie. Continuant à le regarder, je pris mon souffle pour remplir mes poumons de cet air pur qui régnait dans le village caché de la foudre avant de lui répondre :

~ Je veux bien réunifier notre clan avec toi mais je voudrais même en faire le clan le plus puissant du monde shinobi pour éviter ce qui s’est passé il y a plusieurs années, après que mon père soit mort… Pour cela, il va falloir que nous voyagions beaucoup pour retrouver un maximum de membre de notre clan, tu le sais bien et j’ignore si notre cher Shodaime Raïkage voudra laisser partir deux de ces shinobis, même en lui expliquant que cela nous tient vraiment à cœur et qu’on continuera les missions et à représentant Kumo Gakure No Satô en lieu étranger.

Pour ce qui est du chef, pour le moment, je trouve que ça ne sert à rien, étant deux. Il faudra voir cela plus tard mais ce qui serait au mieux, c’est que ce soit nous deux étant donné que nous voulons réunir le clan ensemble et que tes prises soudaines d’actions et mes décisions réfléchis iraient bien ensemble. Ha, et la technique que tu as utilisé tout à l'heure, comment s'appelle-t-elle ? J'aimerais l'apprendre, elle pourrait m'être très utile combiner avec certaines autres de mes techniques. ~

Je continua à le regardant, attendant de savoir ce qu’il pensait de mes propos.

Spoiler:

Voilà que je venais de retrouver mon cousin qu'il recommençait déjà à s'intéresser au sujet qui paraissait le plus important au monde : les filles. Certes, j'en avais parlé en premier mais je ne délaissais pas l'autre à la première occasion. Cela expliquait ma réaction et de toutes manières, il s'en tira bien. En effet, il avait laissé son numéro ou son adresse dans une rose de chakra. Une signature communes que nous avions. Il semblait avoir plus prit plus l'habitude que moi de l'utiliser. Quel coureur de jupon celui-la ! Malgré sa maîtrise, je trouvais qu'il manquait un peu de subtilité dans son message. Enfin, j’espérais tout de même que les canons qu'il avait abordé le rappelle. Nous étions arrivé sur le terrain d’entraînement, celui ou je m'étais énormément entraîné lorsque j'étais Genin grâce au temps disponible qu’engendrait ce grade. Après avoir été habitué à ce lieux, je n'avais fait que de rares séances dans celui construit dans les montagnes, bien plus récent. Je n'y allais qu'à l’occasion ou je faisais une promenade avec comme seule compagnie Dame nature. Lorsque Ryusai me demandais si je pouvais lui enseigner la technique que j'avais utilisé tout à l'heure.. Premièrement je ne ris pas à son nez tout simplement car ce n'étais pas la matérialisation de notre chakra qui posait problème mais bien le défi de prendre certains réflexe et une certaine performance physique. Cependant je ris de bon cœur lorsqu'il parlait de moi comme une tête brûlé. Au fond, il parlait sérieusement et c'est ce que j'allais faire dans pas longtemps. Pas tout de suite mais vus qu'il avait abordé le sujet des erreurs du passé, autant avouer les miennes, celle du clan, afin de ne pas les reproduire. Je préférais commencer par l'option de facilité, parler de la technique ; en sortant un kunai tout en essayant de l'enfoncer dans ma plaque, pour illustrer mon blabla..

« Pas de problème. Je pense que tu as déjà le niveau pour pouvoir créer cette plaque de chakra. Il suffit juste que sa densité soit assez forte pour pouvoir prendre appuie dessus et arrêter les assauts simples de tes adversaires. Les réels difficultés sont tes appuies, souvent prient aux extrémités de ton corps dans une position assez physique. Pour cela, tu dois tout d'abord les renforcer avec quelques exercices simples. Mais c'est ce qui fait l'efficacité, car tu obtient des mouvements fluide, rapide et imprévisible. Je l'ai appelé Cheminement des Plate-formes.»

Je n'allais pas tout lui dire ; ce n'était pas un bébé. Et je pense savoir que si quelqu'un est apte à juger qu'il manque de force d’appuis, c'est bien soi-même ! De plus, il m'avait vus à l’œuvre dans un exemple simple. C'était mon cousin après tout, il avait largement de quoi recopier ma technique ou s'en inspirer pour en créer une nouvelle.

« N’empêche tu m'as bien fait rire. J'ai comme toi des actions toutes réfléchit. »

Je m'accroupis en posant ma tête sur mes mains dont les coude reposait sur mes cuisses. J'allais désormais lui parler sérieusement..

« La mort de mon père n'a pas eu lieu peu après celle du tient.. Nos paternel ont prit une décision, il y a de cela dix-huit ans. Tout deux sentait un lourd danger peser sur le clan. Notre village n'a, comme tu le sais connus que deux jours de tristesse et de malheur. Le jour ou Hanaro est mort ainsi que le jour ou les Uchiwa ont attaqué. Sais-tu pourquoi nous n'avions, pendant tout ce temps, pas connus les conséquences de la guerre qui nous entourait ! Car à chaque générations, un homme devait sacrifier sa vie pour la prospérité du village Seki. Et lors de la précédente, ce fut mon père qui prit la décision de devenir cet homme, avec l'accord de son frère ; le chef du village. A compter de ce jour, pendant ces quinze dernière années, il dévoua sa vie pour la sécurité du village. En rapportant des informations, en rejoignant les rangs des Uchiwa et parfois même.. En tuant des innocents.. C'est finalement moi, qui mit fin à ceci, en lui enlevant la vie. »

Je flanchais.. Mes genoux tombait à terre.. C'était dur de lui raconter tout cela. Mais puisque je le faisais, autant tout lui raconter.

« C'était un incident.. Je croyais protéger un nouveau symbole d’espoir du pays ou je me trouvais, lors de mon périple. Nous venions de libérer un village de trois Uchiwa semant la terreur et partions ensemble. Nous tombions sur un homme masqué qui s'attaquait au nouveau héros. Je sortis mon katana et l'embrochais, ne pouvant faire autre chose. Soudainement, une giclée de sang s'envolait autour de moi. Je détournais la tête et vit avec stupeur que l'homme inconnus venait de créer une épée de chakra ramifié, perforant mon compagnon qui se trouvait être à quelques centimètres de moi, un kunai dans ma direction.. C'était.. C'est ainsi que le clan fut mit au courant de la futur attaque Uchiwa. Il m'expliquait dans ses derniers souffles, que c'est un plan machiavélique préparé depuis la mort de ton père. Il ne souhaitait qu'une seule et unique chose : que tu sois au courant à propos de la vérité de la mort d'Hanaro. Et c'est lorsque tu l'appris, que le Uchiwa décidait d'attaquer puisque le clan s'en retrouvait, sans garde, affaiblit. Heureusement je suis arrivé avant eux afin de prévenir le village Seki. La suite tu la connais.. »

Voilà tout était dit.. Notre clan avait beau être l'un des plus prestigieux, des plus fort dans le passé.. Il avait lui aussi sont lot obscure.

« Mon père était un héros.. Un héros taché dans le sang qui a lui-même bafoué son honneur. Mais sais-tu ce qu'il m'a dit juste avant de refermer les yeux, une toutes dernière fois. Il m'a parlé en tant que père, pour la première et dernière fois.. Il m'a dit.. Il ne faut pas mourir pour les être qu'on chéri, il faut vivre pour eux. C'est le secret d'une vie heureuse. Alors vit mon fils et soit heureux..»

Je marquais un court temps de pause avant de reprendre :

« Comme tu l'as remarqué, je ne porte pas mon katana.. Je ne peux plus depuis que je l'ai utilisé contre lui..»

Je me sentais cependant comme libéré. Maintenant il comprendrait certainement que je ne voulais pas être chef pour le simple plaisir de l’être. J'avais de grand plan pour nos frères et mon cousin en avait lui aussi. Ils étaient différent mais en total harmonie. Avoir deux chef.. Quelle merveilleuse idée.. Représenter un peuple par un seul d'entre eux était une chose que je ne pouvais accepté. Chacun était différent. Ainsi, puisque deux têtes valent mieux qu'une et que nous voulions tout deux ne pas reproduire les erreurs du passé, nous y arriverons. Le clan allait renaître.. Je relevais la tête avec une petite larme à l'oeil ne voulant pas s'échapper et couler sur ma joue, tout en lui souriant avec un rayon de soleil qui illuminait mon visage. Je croyais en nous..

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De retour à la maison, on recroise la famille. [Pv: Seki Ryusai]

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