Chronologie a écrit:

On peut placer ce RP comme tu le souhaites, avant ou après l'évent.

Le voyage avait été éprouvant, j'avais mis quelques jours à me rétablir. Si pendant l’allée notre pas était rapide, le retour l'avait été bien plus. Suite à mon renvoi, je n'avais plus aucune raison de traîner dans des contrées inconnues. Je voulais retrouver ma patrie, mon peuple et mes proches. Bien que je n'avais que très peu de proches-.. Enfin, ce périple m'avait tout de même permis de rencontrer du monde et d'observer de nouveaux pays. Certaines vues, certains paysages m'avaient tout simplement coupé le souffle; Cependant, si je n'étais pas obstrue par l'amour par mon village, je pouvais dire que rien n'était comparable à la vue dont je disposais sur le toit du quartier général des Midorhato.

Cette fois-ci, j'étais seulement dans ma chambre, assis sur la petite rampe de ma fenêtre en pensant au déroulement de ma journée. Premièrement, je devais me rendre au Palais du Conseil Souverain où j’espérais pouvoir obtenir un entretient avec la charmante Kazekage Habashi Zanshi. Je n'avais jamais eu la nécessité d'aller quémander un entretient et donc d'avoir une discussion avec elle. Cette fois-ci, j'avais une raison de pouvoir le faire mais j'en doutais encore un peu en toute honnêteté. Lors de mon voyage j'avais rencontré un déserteur nommé Sabakyô Seitô, ancien intendant et membre des forces spéciales de Konoha. Disons qu'il avait eu plaisir à me dire cela en plus de s’honorer en se présentant comme criminel. Si certaines choses de son discours m'avaient fait réfléchir, je n'en approuvais sûrement pas l'autre partie.

Pour en revenir à mon doute, je ne voyais pas au début en quoi cela pouvait aider Suna. En effet j'étais dévoué à mon village mais je fichais du reste, je vivais pour mon village et pas pour les autres. Je n'aurais aucun mal à laisser mourir les autres pour la pérennité de mon peuple. Mais en y réfléchissant, nos relations étaient plutôt bonnes avec ce village et la diplomatie pouvait être un facteur important pour nous. Je ne voyais pas vraiment en quoi mais après tout je n'étais pas ambassadeur ni même dans les secrets des organisations.

Il était l'heure, je m'habillais d'un Kimono simple et noir en attachant mes cheveux avec un morceau de ficelle de couleur foncé. Je voulais être présentable en présence de la Kazekage, ça semblait normal. Mon Katana Azura à mes côtés, je pris route pour le palais qui ne se trouvait pas si loin finalement du quartier général des Midorhato. Une fois à l'entrée, je demandais à voir en personne la dirigeante du village. Bien sûr cela n'était pas aussi facile, il fallait demander une audience et avoir une bonne raison. Je présentais alors en quelques mots la raison de ma présence ici.

« Je me nomme Toshiro Ogami des Midorhato, j'accompagnais mon maître Kibo mais je suis de retour. J'ai des informations à communiquer à la Kazekage sur un ennemi si j'ose dire. »

La personne en charge de cela me demanda d'attendre patiemment sur un des fauteuils à mes côtés. Je n'étais pas le seul à vouloir m'entretenir avec la Habashi, le délais que m'avait fixé la secrétaire était d'environs une vingtaine de minutes. Je n'en étais pas gêné, il fallait savoir être patient de temps en temps. Je comprenais tout à fait. Les minutes s'étaient écoulées et presque trois quart d'heures après, je pus pénétrer dans le bureau de la Kazekage. Je m'avançais vers son bureau pour ensuite m'abaisser légèrement pour la saluer avec respect, le regard sérieux et cherchant à rencontrer ses yeux, je commençais à parler.

« Bonjour Kazekage-sama, je suis Toshiro Ogami et comme vous devez le savoir j'ai accompagné Kibo pendant son voyage hors du village. Cela n'étant sûrement pas très important, je vais en venir au fait. J'ai rencontré un déserteur du village de Konoha nommé Sabakyô Seitô pendant notre périple. Si cela a une quelconque valeur pour le village, je peux donc vous livrer quelques informations à son sujet. »

J'étais honoré de sa présence, c'était une première après tout. Même si j'avais obtenu ces informations suite à une intervention dans un pays inconnu, je me devais de les transmettre au besoin; Je croisais les bras en l'attente de sa réponse.

Je n'attendais pas vraiment de visite ce matin-ci. Les diverses affaires de Suna, comme d'habitude, occupaient la majeur partie de mon temps, entre le Shukai, Konoha les déserteurs et le reste... Je n'avais pas vraiment de temps à accorder pour au moins une semaine, si ce n'était plus. Alors, je fus assez surprise lorsqu'on m'annonça la venue d'un Sunajin. Toshiro Ogami. Le temps qu'il entre dans mon bureau, j'avais eu le temps de sortir son dossier. Il restait dans mon tiroir avec celui des autres membres du Midhorato et différentes équipes de Suna, et notamment celle de Kibo ou encore Kioshi. J'avais donc déjà lu tous ces documents et je connaissais, à peu prés, le profil de ce jeune ninja.

Il entra donc et aborda rapidement un sujet qui me faisait osciller entre l'ennui, la répulsion et l'envie de meurtre : les déserteurs de Konoha. Je m'accoudai à mon bureau et reposai ma tête, légèrement inclinée; sur l'extérieur de mon poing fermé et lui répondis. Même si j'aurais préféré oublier ce fâcheux sujet, je me devais d'en apprendre davantage, histoire d'avoir une raison plus ou moins valable d'aller les pourchasser sans craindre d'être perçue comme un tyran, même si au final je m'en foutais pas mal. En fait, j'allais savoir si le discours qu'il avait tenu quelques mois auparavant devant les portes serait le même que celui qu'allait me narrer le Toshiro.

"Je sais qui tu es. Affirmais-je rapidement.

C'est assez amusant que ce criminel ait approché un Sunajin de cette façon."

Je me doutais des raisons qui animaient le nukenin à agir de la sorte. Il tentait vraisemblablement de faire ce qu'il avait à Konoha. D'entrainer d'autres personnes dans son délire mégalomane reposant sur une vision du monde, à défaut d'être erronée, complètement à côté de la plaque. Le genre de personnage aussi doué que moi dans le maniement des mots mais manquant cruellement de justesse et de justice. En somme, un criminel sans loi ni vergogne. Enfin peut-être mon aversion pour les déserteurs et autres criminels jouait elle dans ma compréhension de ce...

"Bien, qu'a-t-il bien pu te dire ? Il a essayé de te manipuler ? N'hésites pas à me donner les détails."

Des détails, des informations. Tout ce qui pourrait me permettre de justifier une traque, et d'inciter les grandes nations à suivre le plan que je commençais à mettre en œuvre. Donc, ce jeune homme pouvait s'avérer être la clé qui déverrouillerait ce problème. En diplomatie il y avait un principe primordial : apporter des preuves avant d'accuser, avant d'entrainer d'autres individus dans une telle affaire.

Finalement, quelque part, j'étais assez contente de prendre du retard dans le traitement des différents dossiers de Suna.

Je n'étais que très peu intimidé même face à une légende de Suna. Elle en était aussi la dirigeante, les décisions les plus importantes sur des centaines de vies, c'était elle qui les prenaient. Habashi Zanshi disait me connaître sur un ton simple et une vitesse d'élocution assez rapide. Je ne savais comment le considérer, peut-être comme un honneur ou étais-je simplement une formalité parmi tant d'autres pour elle ? Peu m'importait à vrai dire. Poursuivant, elle avait dit quelque chose d'intéressant en rapport avec ma rencontre avec le déserteur. Elle était amusée par sa façon de procéder, c'est-à-dire de m'approcher. Je n'y voyais rien de risible mais j'en comprenais peut-être le sens. Avait-elle pressentie qu'il y avait une raison à cette rencontre ? Il était venu me voir suite à mon intervention à Yu no Kuni ; Quelque chose qui n'aurait pas dû se passer en temps normal, je n'avais pas à agir sans autorisation sur un territoire hors de notre juridiction.

Enfin, je laissais continuer la Kazekage qui n'en avait pas visiblement finie. Elle voulait des détails sur ma discussion avec Seitô, elle se doutait dés lors d'une possible manipulation de sa part. Il n'était pas faux qu'un esprit faible aurait sûrement pu succomber à ses mots bien convaincants à première vue. Malheureusement pour lui, j'étais loin d'être ignorant sur le monde et le système m'entourant. Il avait beau avoir bien plus de vécu que moi, cela ne changeait rien au fait que j'avais mes propres opinions et que je n'acceptais pas celles d'un criminel. Il fallait bien commencer par quelque chose, le début de l'histoire me semblait approprié. Il était nécessaire de conter le pourquoi du comment il était venu à moi.

« Bien Kazekage-sama, je vais tout vous expliquer. Premièrement, je ne l'ai pas rencontré par hasard, il est venu me voir suite à une confrontation que j'ai eu avec certaines vermines. Ces bandits étaient recherchés par Seitô et ses hommes d'après ses dires. C'était donc la raison de notre rencontre. Malgré mes précautions, j'avais prononcé par mégarde mon prénom et mon identité dans le pays de Yu no Kuni et l'information est remontée jusqu'à lui. Un réseau d'informateurs, cela est évident. Il contrôle l'information en ce pays et j'en suis presque sûr. »

Lors de notre confrontation d'idées, il avait posé sa main au-dessus de ma tête. Ne ressentant aucune animosité, je l'avais laissé faire. Je n'arrivais pas à décrire cette sensation, après son geste j'arrivais à ressentir Seitô à mes côtés ; Comme si j'étais doté de capacités sensorielles.. L'intuition de pouvoir le trouver facilement, il ne m'avait pas menti. Le déserteur s'était avancé vers moi en m'offrant « le pouvoir de le retrouver ». Actuellement, mon intuition me portait toujours au pays de notre rencontre et ça ne changeait que très peu. Ceci était aussi à présenter à la Kazekage, s'il fallait la mener à lui je n'en serais pas gêné. La seule chose gênante pour moi était l'idée d'abandonner une nouvelle fois ma sœur. Dans sa position, elle comprendrait sûrement.

« Le soir en rentrant à l'auberge, j'eus l'honneur de le trouver dans ma chambre assis sur un fauteuil. Et même si je ne ressentais aucune aura meurtrière émanant de lui, je prévoyais de dégainer mon Katana. Chose qui n'était finalement pas nécessaire et notre discussion s'engagea. Présentant le système Shinobi, celui des villages comme médiocres, il se disait être le libérateur de ce monde. L'Ombre du Monde Libre disait-il. Il me posa alors quelques questions pour m'attirer dans son sens. Il voulait comprendre pour qui je me prenais, un Justicier ou bien un Meurtrier. N'y voyant aucune différence, j'affirmais qu'un justicier était obligatoirement un meurtrier, la paix sans faire couler le sang est tout bonnement impossible en ce monde.

Ce qui nous amène au moment au plus intéressant. Je lui faisais penser à lui étant plus jeune, lorsqu'il était encore un Shinobi. Cette idée qu'il s'est faite l'a poussé à me donner une certaine capacité que je ne saurai décrire. Je peux connaître sa position, du moins la ressentir. Je sais où il se trouve actuellement est c'est bien sûr à Yu no Kuni. On peut en supposer son habitation et cela réduit vraiment les possibilités. »

J'avais un peu trop parlé, j'avalai ma salive avant de reprendre.

« Je pense avoir dit le plus intéressant, enfin cela est un grand mot si je compte les absurdités dites par ce déserteur. D'après lui je suis un prisonnier du système, un prisonnier d'un plan établi par le dirigeant d'un village. Il me laisse donc la possibilité de rejoindre son organisation et cela, même aujourd'hui. Je n'ai pas accepté sa proposition sur le moment même pour une possible infiltration. En vu de mon niveau et du sien, je n'étais pas prêt à une confrontation au cas où les choses auraient mal tourné. »

Je croisais les bras pour fermer les yeux quelques secondes. Je faisais un rapport simple bien qu'un peu trop détaillé à mon goût. J'avais tout simplement suivi les indications de la Kazekage en donnant des détails peut-être inutiles aux yeux de certains. Si elle y voyait un quelconque intérêt, tant mieux pour elle.

J'écoutai le jeune homme jusqu'au bout. Je m'attendais à peu prés à tout ce qu'il venait de dire. Bien sûr je ne pouvais me targuer d'avoir su à l'avance tout ce qu'il venait d'expliquer, mais la personnalité de notre commune connaissance m'avait laissé songeuse sur ce sujet. Quelqu'un qui se considérait comme un sauveur, au final. Il se présentait comme le remède au mal shinobi. Cependant, je n'étais pas tout à fait d'accord avec une partie du récit. D'ailleurs ce passage reflétait, apparemment, ce que lui même pensait. Si tout le monde pensait ainsi, il était évident que jamais le monde ne parviendrait à connaître la paix.

"Tu penses vraiment qu'il est impossible d'atteindre la paix sans verser de sang ? Pourtant, j'ai réussi à amener la paix pas deux fois, sans faire une seule victime. Ceci dit, j'ai tué beaucoup de personnes sans avoir l'intention d'apporter la paix à notre monde... Tout dépend de la volonté de chacun, des raisons. Mais surtout des personnes. Vois ce qu'ont pu faire mes prédécesseurs, les Furyous et j'en passe. Ils avaient la volonté d'imposer leur vision. Ce Sabakyo a une vision particulière de ce monde et des villages que nous avons battis. Comme tous les autres, il est fait de faux semblants; feintant la discussion... Mais il reste ce qu'il est, un criminel accusé d'avoir favorisé la désertion, d'avoir provoqué diverses morts... C'est parce que ce genre d'individus existe que le sang doit couler."

Je ne lui expliquai pas dans le détail comment se déroulèrent les différentes phase de paix que j'avais pu initiée avec ou sans aide. Je doutais, de même, qu'il connaisse mes positions quant à la première guerre ayant opposé Suna à Konoha. Mais ce n'était pas vraiment grave, dans le fond. Maintenant, que pouvais ajouter. Il m'avait tout dit, ou presque et cela me satisfaisait pour le moment. Pour l'instant, je ne considérais pas le Sabakyo comme une grande menace. Il ne pouvait s'en prendre directement à nous autres Shinobi, il n'en avait pas la capacité, et quand bien même il en serait capable... Nous étions plusieurs milliers.

Il pouvait s'en prendre au civile, il pouvait frapper indirectement; mais au final... Cela lui ferait plus de mal qu'autre et dévoilerait ses véritables intentions, comme il l'eut fait à Kaminari. Quelque part, j'attendais peut-être que l'un de ces grands libérateurs viendrait nous affronter... Oui, c'est que j'espérais.

J'observais toujours le jeune homme et repris.

"Bien, tu as eu raison de ne rien tenter. Ce sont de bonnes informations, au moins nous savons où chercher. Mais, cela ne fait pas partie de nos prérogatives de l'instant. D'ailleurs, je préfère les laisser venir à nous, les laisser porter le premier coup; s'ils le peuvent bien sûr... Aurais-tu des questions à me poser, le temps que que nous y sommes ?"

La dirigeante du village confrontait son concept de la paix au mien, elle allait à l'encontre de mon idée selon laquelle je pensais qu'on ne pouvait apporter la paix sans faire couler le sang. Je comprenais les mots de la Kazekage, du moins je m’efforçais de le faire. Elle était aussi une meurtrière si j'avais bien saisi ses propres mots, elle avait ôté la vie à bon nombre de personnes sans même vouloir installer une quelconque paix ou même une liberté. Je n'en connaissais pas ses motivations, j'avais par contre appris quelques frasques de son passé mais sans vraiment entrer dans les détails.

Pour être honnête, au final oui je voulais apporter la paix mais peut-être pas la même que tous les membres de Midorhato par exemple. Je n'aspire pas à imposer une paix mondiale, je veux seulement donner la possibilité à mon village de vivre en paix, cela est très différent en soit. Si je devais ôter la vie à un régiment pour apporter une vie paisible et non ensanglantée aux habitants de Suna, je le ferai sans hésiter. Voici ma paix, la seule et l'unique. Je n'ai que faire du reste du monde. Je regardais droit dans les yeux la Kazekage avant de fermer les yeux quelques secondes pour ensuite lui répondre.

« Je pense différemment il est vrai et il est vrai aussi que je n'ai pas votre expérience. »

Sabakyô Seitô n'était pas dans les priorités de Suna et je l'entendais bien. J'avais une impression que je n'arrivais pas à m'expliquer, celle de devoir mettre fin à sa vie. Il n'était pour l'instant pas une menace, je suppose d'après les dires de la Kazekage. Il ne pouvait s'opposer à une grande puissance comme Suna, comment pouvait-il le faire? Il m'avait par contre dit qu'il y avait un fossé entre lui et moi, que nos niveaux étaient si différents. J'avais en effet ressenti la même chose et même si je n'osais le dire, il était bien plus puissant que moi. Cela dit, aucune montagne n'est infranchissable et comme avec mon maître, je les dépasserai tous deux. On devait attendre qu'ils frappent les premiers, qu'ils se ramènent aux portes du village pour les éliminer. Pour le moment le déserteur et son groupe n'étaient pas une menace mais plutôt un grain de sable dans un désert. Si bien que j'avais la nette impression que la dirigeante du village n'avait même pas eu peur une seconde du Sabakyô.

La dame d'une beauté écarlate devant moi, m'avait fait l'honneur de me recevoir. Je n'aurais jamais pensé avoir l'occasion de parler d'un déserteur avec la Kage comme je n'avais jamais pensé à quitter le village si prématurément. Ce voyage m'avait permis de voir de nouvelles choses, j'avais apprécié celui-ci aux côtés de mon maître malgré son changement. Seulement tout me ramenait finalement à Suna, je ne pouvais devenir un homme comme Seitô, je ne croyais pas à ses paroles. J'étais et je suis un Toshiro de Suna et non un Toshiro de Yu no Kuni.

L'entretient touchait à sa fin, j'avais rapporté les informations à mon Kazekage. Elle m'offrait la possibilité de lui poser des questions, je n'en avais malheureusement pas. J'aurais apprécié apprendre de son expérience comme je le faisais avec mon senseï. Seulement, à ce moment là, rien ne me venait à l'esprit; Si ce n'était de l'admiration, j'avais vu ses prouesses face à Rei. J'avais vu de loin ses attaques, tout bonnement impressionnant. J'avais combattu moi aussi l'homme masqué mais ce n'était rien comparé à elle. Je m'abaissais légèrement pour la saluer avec respect comme je le faisais habituellement.

« Je vous remercie du temps que vous m'avez accordé Kazekage-sama, bonne fin de journée. »

Il était maintenant temps que je reparte, j'avais rempli mon devoir, il n'y avait rien d'exceptionnel au final. J'avais juste croisé un homme peu recommandable et j'avais fait mon rapport en temps que bon petit Shinobi-..