Nitobe Shinsuke, vous êtes un Genin du village caché des nuages à présent. Comprenez vous ce que cela implique ? Vous faites dorénavant partie d'un groupe, d'une société ou encore d'une communauté. Agir à votre guise n'est plus parmi. Votre ordre de mission était pourtant claire ! Net ! Précis ! Vous vous deviez de nous le ramener en vie, comprenez vous que si tous les ninjas qui doivent en théorie, protéger les citoyens du village se mettaient à tuer quiconque qui causerait du mal ? Vous ne voyez pas le résultat ? Laissez moi vous le dire : L'ANARCHIE. A, N.A.R, Chie ! Que cela ne se reproduise plus, vous ne percevrez pas la somme indiqué pour la réussite de la mission de toute manière puisque, vous avez lamentablement échoué. Cela sera notre dernier avertissement au moindre faux pas de votre part nous vous laisserons régler cela avec sa seigneurie le Raikage. Rompez !



Après cette mise au vert virant au caca d'oie, le samourai rentra comme à son habitude chez lui, il venait par ailleurs de remplir l'une de ses première taches pour le village en éliminant ce vieux pervers qui rodait autours des quartiers résidentiels du village. Il était vrais que en tant que ninja, il avait échoué mais il en était sur en tant qu'homme il avait choisi la meilleure option. Quelques heures passèrent et il était là, face à la lueur du claire de lune, assis sur le toit d'une des résidences présentes à Kumo une grande flasque de saké à la main cigarette au bec. Réfléchissant sur la vie et le quotidien des mortels....


Le soleil se levait sur les montagnes du pays de la foudre, allongé sur le sentier qui menait à son domicile un samouraï peinait à se relever. A première vue, il était normal de penser que le breuvage qui l'avait au préalable, accompagné dans la nuit était certainement fort goûteux. Il titubait et monta les marches de l'escalier à quatre pattes. Il lui semblait interminable, et il aurait aimé qu'un homme vienne l'achever dans cette épreuve si contraignante... Après une bonne douche il sortit se promener comme jours en jours dans les rue de son village adoptif. Il n'avait jamais vraiment eu l'occasion de discutailler avec un kumo-jin peut être aujourd'hui serait son jour de chance ?


Après de longues heures de marche il s'arrêta sur un banc pour fumer une clope, des enfants le scrutaient des yeux lorsqu'il vit s'approcher ce qu'il semblait être un ninja qui part une aubaine fantastique se retrouvait être du même Village que lui. Les enfants jetaient des pierres lorsqu'une frôlât le crane du samouraï ce qui accouplé à l'alcool avait eu le don de l'énerver. Il en attrapa un par le col pour lui mettre la rouste du siècle lorsqu'un vieillard au seuil du Styx intervint pour le sermonner et lui dire qu'il fallait toujours respecter son prochain ! Le paradoxe énorme de la situation fit rire le jeune Nitobe qui ne faisait qu'inculquer les bonnes manières à ces petits morveux sans scrupules. Il se rassit en compagnie de la momie et sortit une énième douceur au tabac de son emballage souple. Après une bonne heure lorsqu'il décida de changer d'endroit, il se tapa malencontreusement contre un jeune homme qui sans doute devait avoir le même âge que lui. C'est alors qu'il lui adressa :


- Désolé, vous sembliez être invisible du coup je ne vous ai pas vus...

Dans une ruelle, une femme petite de taille les dos courbée pas le poids des âges se déplacent a l'aide d'une canne de bois. Elle portait un accoutrement couleur gris surplombé par un châle de laine tricot a la main de couleur violet mais d'un ton pâle. Elle peinait à se mouvoir à sa guise quand trois jeunes hommes pré-pubères voulant sans doute se la jouer n'avaient pas trouvés mieux que de lui causer des soucies pour occupation. L'un d'eux alla même jusqu'à poser sa main sur la tête de la vielle femme.

C'est alors qu'ils Shinsuke et le grand dadet qu'il venait de rencontrer, vinrent sur les lieux a une très grande vitesse. L'inconnue qui avait sans doute mentionné son prénom avant que le samouraï ne parte à la rescousse de cette vieille personne. Semblait lassé de la situation. Il s'adressa de manière assez autoritaire aux gamins. Allait-il leur flanqué une raclé phénoménale ? Ou bluffait-il simplement. En tout cas le bretteur gardait bien les yeux ouverts, pour ne raté aucune miettes de ce qui allait advenir. Enfin en temps normale c'est ce qu'il aurait certainement fait. Pour ne pas laisser la vedette à l'autre il singea une grimace dans le but d'avoir l'air menaçant et posa la main sur son sabre de bois. il se mit à hauteur de son acolyte et avec d'un ton rauque et stupide menaça à son tours les bambins :


- Hooooy, bande d'abrutit, ça vous direz de voir ce qu'il se cache à l'intérieur de votre ventre ? Vous voyez ça fais longtemps que je n'ai pas mangé de la charcuterie et je commence vraiment à avoir faim.

Il lança ensuite à son accompagnateur, tout en faisant semblant d'avoir retenue son nom:


- Hey ! Shinpachi, dis moi par qui on commence ?


Il sourit alors de manière sadique comme pour exprimer une folie démente. Du coin de l’œil il observait tout de même celui dont-il n'avait pas entendue le nom. Vraisemblablement, tout opposait les deux personnages. Tels l'obscurité et la lumière, comme le silence et le son ou encore le feux et la glace. Mais n'était-il pas dis que les opposés étaient faite pour s'attirer ?

La situation qui semblait grave aux premiers abords devint soudainement cocasse. Les deux habitants de Kumo l'avait-il au départ imaginé ? Devant la stupidité béante du samouraï Skan allait-il rester de marbre ? Pourraient-ils enfin passé à une discussion plus sérieuse ?

Ils déguerpirent a une grande vitesse et bientôt sur place ne restaient plus que cette pauvre Dame, Skan et Shinsuke. Le premier cité s'occupa de rassurer la vielle dame quant à Shinsuke lui pouvais bien penser par quel moyen son ami avait put effrayer les gamins. IL imagina en premier temps avoir fais plus d'impression, secondement il imagea le sort user par son compatriote. Certainement quelque chose ressemblant à un illusion, pourquoi pas une grande pièce noirs, dont les murs étaient tacheté de sang et où boyaux et autres diverses organes étaient parsemés avec soin tout au long de la pièce. Rien que d'y penser lui donnait des frissons. Il regarda une nouvelle fois ce grand gaillard qui calmait la mamie secourue, finalement il était doté d'un certain chance de la justice. Ha ! Ha ! Les justiciers masqués de Kumo Bushi-man et son fidèle acolyte L’illusionniste-boy... Cela avait le don de faire sourire le maître d'épée. On lui avait récemment fait le reproche de n'être effrayant. Il est claire qu'il aurait put user d'une brutalité qui le connaissait bien et qui lui était familière. Mais voilà que depuis cette rencontre longtemps avant son arrivé ici même dans ce village il avait réussit à changer quelque peut la vision dont il avait des chose.


L'assassin apaisé sabre en bois et humour ravageur, le leitmotiv de Shinsuke était passé d'une mélodie brutale, remplie d'animosité, à une plus douce et joyeuse. Mais pour combien de temps ? La bête qu'il était autrefois sommeil toujours en lui et qui sait peut être un jours devrait-il arrêter de l’opprimé et d'accepter de vivre avec... L'air rafraîchit de la fin d'après midi se fit ressentir au village. Dans cette douce journée printanière Shinsuke qui avait encore à faire décida de s'en aller n'omettant tout de même pas d'oublier de saluer l'autre ninja de Kumo :

- Hey Shinpolki ! J'ai été ravi de faire ta connaissance, rassure toi je ne suis effrayant que lorsque cela est réellement nécessaire. Merci encore c'était fun ! A la revoyure.

L'air sérieux il tourna le dos alors que cela en terme général était interdit mais bon, il savait pertinemment que l'autre ne l'attaquerai pas. Il partie dans le sens opposé de Skan encore une fois cela exprimait la façon dont les deux personnage étaient diamétralement opposés. Une fois chez lui, flasque de Saké sur la table basse il inscrivit dans un petit carnet les aventures de la journée. Non ce n'était pas un journal intime mais plutôt un carnet de note où il y était inscrit l'étude shinobistique de Shinsuke et son ressentit sur chaque épreuve passé hors de ses terres. A l'encre noir sur le bas de page il inscrivit avec fierté : " C'est cela être Kumo-Jin ".