Nous nous trouvions ce jour-là dans notre nouvelle maison. J’en avais une de réservée depuis mes diverses nominations en plein cœur du quartier Seki et pourtant je n’en avais aucune utilité. En tout cas jusqu’à maintenant. Depuis que j’ai trouvé l’amour et que mon appartement se trouvait être trop inconfort pour celle que je chérissais à présent et que loger chez son père était pour moi hors de question, il fallait déménager. Je ne parlerais pas dans l’instant de la réaction de son paternel lorsque se fut le cas. Ce qui compte à présent, c’est que je dors près d’elle, contre elle, avec elle. Même si nos journées nous séparent régulièrement, au final, on se retrouve au moins le soir et on profite pour être simplement ensemble, discuter respectivement de nos journées et de choses diverses à côté puis pour finir par se câliner tendrement et parfois de façon très sportive la nuit tombée, juste avant de sombrer dans un profond sommeil. Pour rester sur le sujet, il c’est avéré que depuis sa première fois, en adéquation avec son caractère, elle a su très vite se dévergonder et s’affirmer. Je me devais d’assurer et de rester maitre de la situation, pourtant elle adorait parfois prendre le dessus et nos ébats, je vous l’assure furent parfois tellement mouvement que grâce à mes capacités Seki, je pouvais protéger la pièce où nous étions. Je dirais pour résumer que nous profitons à fond de notre santé, de notre jeunesse et de notre corps, dans toute sa splendeur et sa puissance.

Je sentis de douces mains, une douce présence et une voix mielleuse me sortir de mon sommeil doucement. Il est vrai que mes journées sont éprouvantes et que la nuit dernière était surement la plus mouvementée de toute nos soirées, surement grâce au fait que nous avions une journée pleinement de repos et à part un danger imminent pour Kumo, je n’avais aucun raison de m’en aller. C’est certain qu’émergeant doucement de mon sommeil, j’ouvrais doucement les yeux, d’abord un et la vue en face de moi de cette femme magnifique m’empêchait pour sûr de penser à autre chose qu’à la veille et à l’instant présent. Je souriais tandis que je refermais mon œil, acceptant son doux baiser et la prenant doucement dans mes bras lui déposant quelques baisers à l’aveuglette à mon tour. Je ne répondis pas toute suite à ses questions, j’attendais de prendre conscience et parlant en ouvrant les deux yeux mi-clos cette fois-ci, je la regardais profondément dans les yeux.

Bien sur, à moins que ce soit la fin du monde, je ne suis qu’à toi. Je me suis mis en congé jeunesse. Je dois profiter de mon jeune âge et de ma bien aimée au moins une fois par mois. Ils ont bien été obligés de l’accepter.

Je rigolais doucement de ce que je venais de dire. C’était à moitié après tout, mais bon, en tout cas, je n’appartenais qu’à elle jusqu’au lendemain matin. Corps absolument nue comme une verre, je me retrouvais d’un geste agile de la hanche au dessus d’elle, déposant plusieurs baisers sur ses lèvres, sur son cou puis sur sa poitrine. A peine réveiller que je la dévorais du regard.

Vu que c’est rare, profitons de notre journée rien qu’à nous. Je ferais donc ce que tu veux, rien que pour toi, rien qu’à toi, profites-en. Par contre, tu sais que je ne suis pas M.

En rapport avec le M de Masochiste, celui qui en dessous de la personne et qui obéit tel un animal de compagnie à son maitre, son compagnon ou sa compagne dans une relation. Cependant, je m’offrais entièrement à elle et je lui offrais mes vingt quatre heures rien que pour elle.