Une libération accompagné. [Zanshi]

Voilà six mois d'emprisonnement, C'est aussi le même nombre de mois que je dois faire dans ses lieux. Rester et survivre pour retrouver la lumière, mais qu'es que je vais trouver hors de ses barreaux? Quel changement en six mois va être venu dans ce monde. Quelques rumeurs d'une folie et d'homme surpuissant furent rependues par les nouveaux arrivant, mais comment croire des hommes qui pourraient tout dire pour sortir de ses lieux. Enfin vue le nombre d'hommes le disant, je ne pense pas que se soit que des calomnies. Cependant ses hommes ne sont pas ce genre de personnes à avoir toutes les informations et connaitre toutes les ficelles de ce qui se passe sans compter les rajouts ou même les mensonges misent dans le dialogue. Certains disent même que Kiri fut détruit. J'en rigolais, même si je n'en crois pas vraiment ses rumeurs surdimensionnées, comment croire ce genre d'histoire sans en avoir la preuve même. Comment un petit groupe de personnes auraient pue faire de tels saccages. En tout cas les rumeurs sur ses personnes en est des plus délicieuses. Quels que soient les mensonges cela semble plutôt énorme et montre un changement dans ce monde radical. Quelle pierre je pourrais donner à cet édifice, je ne le sais guère encore. Ce que je sais, c'est que je veux en savoir plus.

Ma position dans cette prison fut déplacée de celui que j'avais dernièrement. Un groupe de garde étant un peu attrister de vouloir me faire sortir de prison à signer pour me faire un interrogatoire forcé. Pour savoir quoi? Je m'en taponne un peut, ce genre de torture est-ce que mon père m'a fait vivre dans mon enfance donc de simple garde croyant m'embêter avec ce genre de traitement? Je gardais silence en attendant que le temps passe. Suspendant par deux chaine qui sont prises pas mes poignes on pouvait voir sur mon corps plusieurs balafre. Ma tête tombante, je n'écoute pas vraiment les questions que mes agresseurs me posent. Ses types-là n'ont qu'une chose en tête m'en fait baver avant que je ne quitte ses lieux. Comme pour me rappeler de ne pas remettre les pieds ici et de marcher droit dehors. Après tout le traitement était bien à l'effigie d'une prison ninja. Après quelques heures, l'on me détache et je tombe, provoquant un bruit sourd sur mes jambes. Prenant une petite pose de dix secondes pour reprendre quelques forces, je sens le pied d'un homme me poussant en me donnant un coup sur le dos. Affin d'éviter de tomber, je me réceptionne avec une main, puis me lève pour suivre ses gardes. Les marches défilant, j'entends les cris des hommes enfermés. Après un certain temps, je vois au loin une personne avec une longue tenue noire. Avec une capuche sombre, ne laissant pas son visage visible. Avançant bientôt, je fus à peine un mètre de cette personne, levant la tête me laissant juste à moi la possibilité d'entrevoir un fragment de visage je me mets à reconnaitre cette personne:

C'est donc toi qui viens me sortir d'ici? Je ne m'y attendais pas. Ça aurait était Kyoshi encore cela ne m'aurait pas étonné.

Qu'es que je dois attendre de cette nouvelle? A t'elle une idée en tête où elle vient pour simplement me prévenir de ne pas faire la bourde de ma vie? Je ne sais se que cela cache, Pourtant j'ai hâte de le savoir.

Le soleil se couche au dehors. En cette fin de journée bien animée par les aléas du métier et de ses responsabilités il me reste une chose à faire. Le dossier qui était ouvert sur le bureau indiquait bien la date. Cela concernait Goren, ce nukenin. L'homme avait purgé la courte peine dont nous l'avions sanctionné. Certains des conseillers avaient remis en cause cette punition, pour eux elle n'était pas exemplaire. Je savais que Suna, et plus précisément sa tête, ceux qui décident pour le bien commun du village; haïssaient au plus haut point les déserteurs, qu'ils le fussent par intention ou involontairement. Pour ma part, je faisais deux poids deux mesures, avec d'un côté les vrais criminels et de l'autre les occasionnels. L'ex Sunajin faisait vraisemblablement parti, à mes yeux, de cette seconde classe. J'avais bien pris conscience que sa fuite lors de la guerre avait été plus ou moins calculée, car oui je doutais que cet homme puisse être un calculateur; alors j'avais décidé de lui imposer la condamnation la plus clémente. Avec l'appuie d'au moins deux conseillers, cela expliquait l'issue du jugement.

Je m'étais alors rendue à la prison de Suna, l'Ergastule; pour avoir une courte conversation avec le ninja jusque lors entravé. Je n'avais qu'une seule parole et cet échange signerait sa libération. J'avais revêtis une cape noir, non pas pour me dissimuler mais seulement pour me protéger du froid mordant de la saison hivernale. J'aurais pus simplement user des mes dons pour ne pas le ressentir, mais depuis quelques mois maintenant j'avais décidé de faire les choses le plus naturellement possible, sans grande importance. Je ne me rendais que rarement dans les murs du centre pénitencier, je n'avais rien à y faire et en cas de problème je pouvais y être rapidement. Signifiant tout de même mon arrivée aux gardes en poste ce soir là, je pénétrais dans l'enceinte, dans le bâtiment principal et dans ses profondeurs. J'arrivai à l'étage moins un, ici je croiserai celui qui devait être relâché. Je n'attendis pas très longtemps, quelques minutes tout au plus, lorsqu'au bout du couloir je vis sa carrure typique éclairée par la faible lumière qu'émettaient les quelques torches ici et là. Je l'observais se rapprocher et lorsqu'il fut à ma hauteur, les gardes stoppèrent leur marche.

L'ancien chuunin remarqua que c'était moi, encore heureux pouvait on dire. Il était apparemment étonné de ma présence et pensait même que ce put être Kioshi qui vienne à lui le jour de sa libération. Pourquoi Kioshi ? Parce qu'il l'avait capturé et ramené ? Non, Kioshi était un homme assez brillant, même s'il ne voulait pas le voir, mais il ne lui était en aucun cas permis de se présenter à lui pour exposer ce que j'allais moi même dire. Il n'en avait pas le pouvoir, en effet. Je le dévisageais un instant et repensai brièvement à ma cape. L'homme affaibli par la captivité devait penser que cela cachait quelque chose, que je devais me dissimuler, ou quelque chose dans le genre. Mais ce n'est pas dans les habitudes de la maison Habashi de faire les choses en catimini. Aussi je pris la parole, plus vite notre discussion se déroulerait, plus vite il serait loin d'ici, plus vite je pourrais rentrer et entamer ma nuit.

"Oui, c'est moi. Je suis là pour te prévenir de la suite des évènements. Tu vas retrouver ta liberté, tu pourras vaquer à tes occupations. Néanmoins, une fois les portes de l'Ergastule passées tu auras une heure pour réunir tes affaires, si tu en as encore ici toutefois. Ce délai passé les autorités auront pour ordre de t'éliminer si tu trouves toujours dans le village. Tu es un déserteur, et tu dois te croire mon homologue sur ce point, mais détrompes toi car sur ce sujet un gouffre nous sépare. Par décision commune avec le conseil, je t'informe en tant que Kazekage, que tu es banni à vie de Suna et des terres de Kaze no Kuni. Ta présence dans le pays ne sera plus tolérée et se traduira par une traque systématique. As-tu quelque chose à dire avant de recouvrer ta liberté ?"

Achevais-je sur un ton au moins aussi glacial que l'air extérieur...

L'heure de sortie fut donc arrivée. Prêt à quitter les lieux, je me sens plutôt content de sortir de ce trou. Ce genre de lieu n'est pas vraiment un endroit ou passer des vacances, je vous le déconseille en tout cas, même la boufe laisse à désirer. Face à l'Écarlate, de son regard glacial et habituelle qu'elle lance d'ordinaire sur moi. La nouvelle Kage du pays du sable vient donc d'elle-même me dire ce qui va se passer après ma libération. Une chose qui m'étonne quand même. Ma sanction étant une peine de prison qui se suivra d'une obligation de rester dans le pays du sable semble change brusquement. Maintenant je me dois de quitter les lieux dans l'heure. Pourquoi un tel changement? Je ne savais trop quoi penser. Après avoir pensé cela elle mest aussi au devant le fait que je pouvais penser être son semblable pour le sujet de dessertisse. J'en ai eux évidement plusieurs preuves du contraire rien que de voir la sanction que l'on avait prise entre la mienne et la sienne, cela montrais bien que dans ses mêmes instances une chose était plutôt douteuse. Pourtant je n'étais pas vraiment sur genre à faire une demande dans les réclamations interne. Puis quel intérêt il y aurait eux à faire ainsi. La décision est prise et cela ne changerait pas vraiment grand chose, surtout qu'avec la violence de son départ cela se serait fait depuis un moment. Le changement donc de la captivité à Suna fut donc changé par un bannissement. Cela ne pouvait que m'arranger, après tout j'aurais le loisir de faire ce que je souhaite tant que je ne suis pas sur les terres de Suna. Autant dire qu'il me laisseront tranquille. Se fut parfait, je ne pouvais rêver de mieux. Pourtant une question m'interpelle:

Oui.... Pourquoi ce changement soudain d'avis? Théoriquement vous m'aviez condamné à de la prison et cela suivit d'une obligation de rester sur ses terres? Dis moi L'Ecarlate, je n'aurais pas de la visite hors du continent? Je peux me poser la question au fait de ce changement total de décision.

Après tout, si l'on voulait se débarrasser d'un homme sans en avoir la gène cela peut très bien être un moyen de le faire et cela sans porter de soupçon. Pourtant je n'ai guerre l'impression que cette femme n'a ce genre d'idée, donc pourquoi changer comme ça d'avis? Une question qui me tracasse. Une chose qu'elle doit voir de nouveau dans mon caractère, moi qui avant ne réfléchissais pas d'un iota, maintenant je comment à chercher à comprendre la citation qu'émettent les gens m'entourant.

J'étais là, dans ce couloir devant goren l'ex détenu et sunajin. Il était toujours égale à lui même comprenant ce qu'il voulait. Je restai impassible même si une certaine exaspération prenait forme dans mon regard, mais je me retins. Alors je devais lui remémorer ce qui s'était dit lors de son jugement. Peut être la prison avait elle altéré ses souvenirs ? Que savais-je de ce qui lui était arrivé dans les grôles de Suna ? J'avais entendu des histoires à propos d'une certaine savonnette et je devais bien avouer que je ne saisissais pas toute la subtilité de cette remarque. Je fis signe aux gardes de reprendre leurs postes au sein du centre pénitentiaire. Puis je me retournai en prenant la direction de la sortie.

"Suis moi. Ce qui a été dit n'a pas changé, tu te fais des idées ou encore une fois, tu n'as rien compris. Tu quitteras ce village et ce pays comme prévu. Suna a une politique très stricte envers les déserteurs. Et ta présence sur le territoire de Kaze no Kuni te vaudra certainement une mort rapide. Peu importe ce que tu as fait. Lorsque j'étais au Kakumeigun, j'ai dû éliminer un genin qui avait quitté le village par peur de la guerre. Suna est un village d'accueil certes fondé par des nukenin, mais aujourd'hui il n'en demeure pas moins un village ninja. Lorsqu'on commet des fautes, on doit les assumer."

Nous arrivions finalement à l'entrée de la prison, passant devant un poste de garde renfermant trois shinobi du vent. Ils ne bougèrent pas, ne nous saluèrent pas. En fait, je les avais déjà vu.. Puis ils avaient autre chose à faire. Ces trois hommes étaient des senseurs contrôlant les émanation de chakra dans la prison, leur concentration ne devait être interrompue davantage. Nous passâmes de l'ombre à la lumière, le vent caressait mes joues pâles, le soleil était haut dans le ciel. Une fois les grilles passées, je m'arrêtai et soupirai faiblement. Finalement je trouvais cela bien dommage de perdre un élément comme Goren mais la loi, c'était la loi sauf exception; et cet homme n'en était pas une.

"Tu retrouves ta liberté, tu n'as plus aucune obligation envers ce village. Mais tu respecteras ce qui a été décidé, il en va de ta vie. Malgré toute ta bêtise, j'ai été assez ravie de te connaître. Maintenant, j'espère pour toi que nos chemins ne se recroiseront pas."

Je fis quelques pas, marchant vers l'un des axes menant au palais et ajoutai avant de reprendre le cours normal de ma vie.

"N'oublies pas, tu as une heure; pas plus. Adieu Goren."

Prendre les gens pour des idiots c'est mal, du moins quand ceci n'est pas fait pour faire passer une chose pour son propre intérêt. La Kazekage semble prétendre que je n'ai que trop mal compris ce qui c'est dit. Ce qui dans l'apparence et le caractère que je porte pourrait faire croire que je sois assez crédule pour prétendre avoir mal compris une formulation qui concerne mon propre avenir. Cependant l'idiotie vient plus souvent des gens se croyant plus intelligent que ses congénères. Se faire passer pour un crétin quand l'on est intelligent c'est réalisable, mais un crétin se faisant passer pour un homme intelligent cela n'est guère faisable, puis ne disons pas que les plus cons ne le savent sont ceux qui ne savent pas qu'il l'est. Sans un mot, écoutant donc ses dires, qu'elle semble-t-elle-même croire ses dires, je me mets d'un coup à penser. C'est Kyoshi ou c'est elle qui a perdu la boule? Je ne sais comment prendre cella. Un changement d'intérêt en se disant que je serais peut-être une mauvaise idée que je reste? Ou c'est simplement une étourderie de ça part? Espérons que la bombe nucléaire ne tomba pas dans ces mains Je ne pouvais pas vraiment le savoir. Enfin après une discutions sur des erreurs à assumer le chemin continuait. Sans un mots, je m'approche de la sortie:

Si vous le dites, Cependant je sais se que j'ai entendus.

Peut m'importe dans un sens cela m'arrange, car quitter ses lieux avaient dans un sens un plus grand intérêt pour ma part que de rester, car même mes idées pour ce village en deviennent tout de même possibles et cela en plus me permet de ne pas avoir un frein sur d'autre objectif. Passant les deux senso qui surveille la prison. l'Ecarlate se met de nouveau à parler disant que je n'ai plus d'obligation, mais qu'il faudra que je respecte les conditions si je ne veux pas perdre ma vie. Elle me dit aussi qu'elle avait un micro poil de ravissement de m'avoir connue. Un rire intérieur en pensant à notre chronologie commune plutôt explosif, puis elle continua en disant qu'elle espère pour moi qu'on ne se recroisera pas, reprenant sa route dans son coin elle me remis en garde sur l'heure où je devais quitter les lieux. Une petite pose puis avant de quitter l'endroit à grande vitesse je me mets à lui dire:

Ne t'en fais pas, le jour où tu métras à sang ton propre village nous nous recroiserons surement.

Telle je voyais les choses. Si au meilleur des cas un Genjutsu avait eux raison de ses actes à l'époque il en va que les chances que cela recommence sont grandes. Surtout qu'avec son rang maintenant elle en deviendrait une pièce maitresse à contrôler. Quittant les lieux (Sauf si tu m'arrêtes.) avec une technique Raiton augmentant ma vitesse, j'avais encore une chose à faire avant de quitter les lieux. Une trace à laisser dans ce village dont j'ai vécu un petit temps.

hrp:

Je stoppai ma progression vers le palais avant même de l'avoir entamée et me retournai vers le nukenin. Ses derniers mots furent sans doute ceux de trop dans cet échange. Avait il compris ne serait ce que la moitié des raisons de son séjour en prison ? Avait il compris quoi que ce soit ? Avait il compris le moindre mot sorti de ma bouche ? Le doute s'insinua et ce mua en une inéluctable certitude : celle qu'il n'avait rien appris que ce soit de sa désertion ou de sa détention. L'un de mes sombres visages souhaitaient ardemment conclure cette affaire d'une façon plus sanglante, cet homme me faisait passer pour une mythomane psychopathe ou alors plus simplement pour une folle ne sachant pas ce qu'elle a dit. Six mois s'étaient écoulés entre aujourd'hui et le procès, n'avait il pas compris que le conseil avait pu changer d'avis quant à son avenir à Kaze no Kuni ? Ne l'avais-je pourtant pas précisé ? Si. Alors avant qu'il ne s'en aille je l'interpellai d'une voix puissante et emprunte d'une certaine indignation.

"Goren! Comme par le passé, tu ne comprends que ce que tu veux bien comprendre, j'aurais pu suivre la loi en vigueur dans ce village : la mort pour les déserteurs! Mais tu es encore en vie, alors comment peux-tu dire ça ? Que je ferai du mal à Suna! Tu as été Sunajin, peut-être l'un des pires après moi! Comment peux-tu oser penser ça ?!"

Je pris une profonde inspiration en serrant les poings, serrant les dents. La colère m'avait envahi, que les injures et les critiques pleuvent de la bouche d'une Konohajin ne m'étonnait guère, mais qu'elles sortent de celle d'un homme qui me devait bien plus qu'une peine de prison salvatrice m'écœurait simplement. Cela prouvait encore une fois que l'ex Sunajin n'avait aucun don pour lire entre ligne et qu'à essayer de se faire passer pour ce qu'il n'était pas il ne faisait que faire ressortir sa vraie nature : un nœud d'ignorance, d'ingratitude et d'égoïsme. Mais qu'y pouvais-je ? La plupart des shinobi étaient ainsi et c'est pourquoi je voulait à tout prix limiter l'aide de Suna dans les récentes affaires. Enfin, avec les secondes qui s'écoulaient, mes éclats de voix, plusieurs gardes étaient sortis de l'enceinte de la prison et observaient de loin. Je leur fis signe, voulant qu'ils comprennent que tout allait bien. Ils acquiescèrent, et repartirent d'où ils venaient.

"Je vais t'expliquer une chose sur Suna, je ne suis pas la seule à décider, j'avais proposé une chose lors de ton procès. Par la suite le conseil à proposé de te laisser moisir dans cette prison, tu n'es qu'un criminel à leurs yeux. J'ai encore une fois intercédé en ta faveur en proposant que tu sois banni. Tu devrais réellement t'estimer heureux et essayer d'ouvrir les yeux sur ce qui t'entoure, tout n'est pas contre toi, c'est simplement que tu n'as jamais rien fait pour que les choses soient avec toi. Maintenant, fais moi passer encore une fois pour une menteuse, insinue encore une fois quelque chose à mon égare; et je te fais le serment que Suna sera la dernière chose que tu verras de ta vie."

Je fis un signe de la main et deux gardes arrivèrent, deux jônin s'occupant de ressentir le chakra, deux ninjas expérimentés qui n'auraient aucun mal à venir à bout d'un nukenin.

"Vous accompagnerez Goren durant la prochaine heure, s'il fait quoi que ce soit de supect; vous avez ordre de l'éliminer. Il n'est pas autorisé à se servir de son chakra dans l'enceinte du village."
"Bien Kazekage-Sama."

Achevais-je en me retournant et disparaissant. J'espérais pour le Kyu qu'il ait enfin compris une chose : que je n'avais qu'une seule et unique parole. Et si jamais il souhaitait persister dans son délire, qu'à cela ne tienne; et nous nous reverrions plus vite qu'il ne le croyait.

Spoiler:

La porte des prisons s'ouvre. Un soleil des plus briant se met à illuminer les lieux de son éclat. Aussi aveuglante qu'éternel. Un bref soulagement de cette libération, il est certain que je ne peux pas vraiment faire le malin dans ses lieux. Que se soit dans ma gestuelle comme pour les raisons orales. Ma question posée, l'Ecarlate se met à me répondre et me dire l'incompréhension de ce que j'ai entendu, mais quoi qu'elle puisse dire ma question et mes paroles en sont bien légitimes. Demander les raisons de ce qui fut dit il y a six mois pendant mon procès par rapport à ce qu'elle vient de me dire est plutôt normal pour une personne qui se soucie de son avenir et pour le reste, tant quelle sera dans cette position et que ce genre de Genjutsu qui par le passé l'a détourne contre le village existe, elle sera une menace pour le village et cela plus que celle d'être une force sauf si évidement elle-même a réussi à fausser son jugement, elle ou une tiers personne. Le fait qu'elle ne décide seul ne m'est pas inconnu et j'étais plutôt étonné de voir que l'Ecarlate se met à changer de sujet, c'est vrai, après tout je ne demande pas qui avait pris cette décision, mais plutôt pourquoi. Cependant ses mots dit, je vois clairement que je ne gagnerais rien à suivre cette discutions qui tombait sur l'idée simple que je n'étais qu'un abruti finie sans la moindre jugeote qui ne mérite même pas d'avoir l'honneur qu'on l'écoute correctement. J'étais au moins fixé sur l'idée qu'elle se fait de moi. C'est donc sans écouter la fin de ses mots que je me mets à quitter les lieux courants dans une direction quelconque. Si elle ne m'écoutait qu'à moitié, je lui permettrais donc de d'avoir que la moitié de mon intention.

C'est donc sous les mots « tu n'es qu'un criminel à leur yeux. » Que fini l'écoute que j'avais à son attention. Je me foutais royalement avoir des poursuivants hors du village, comme celle d'avoir ma vie en danger. Si tout le monde se cloitrez à ne faire que de banal acte ce monde ne bougerait pas. Au moins j'ai réussi à obtenir dans cette discussion une chose. Cette femme avait plusieurs facettes. Celle d'une tueuse, mais aussi d'autre aspect. Cela voilant ou non ça véritable nature, je ne le sais guère et personnellement cette information ne m'apporterait pas vraiment beaucoup d'intérêt. En gros j'avais simplement récupéré les seuls choses de valeur sur elle. Le reste ne serait que superficiel. Enfin, sauf si je la provoque plus, mais là se serais signer mon arrêt de morts. Le temps de Goren dans ce village est révolu. Plus qu'une heure est-ce village devenu une grande puissance ne sera plus accessible au golem de pierre. Cependant, pendant cette heure il me fallait revoir une personne tentée de réanimer celui qui sera surement un de mes futures adversaires dans mes projets. Cependant, je me vois mal partir sans laisser un petit souvenir dont j'ai la spécialité.

hrp:

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