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 Pilleurs de Tombes [RP Kuchiyose]

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Message(#) Sujet: Pilleurs de Tombes [RP Kuchiyose] Pilleurs de Tombes [RP Kuchiyose] EmptyLun 28 Avr 2014 - 1:37

Kiri, une semaine après sa chute.

C'était toujours sinistre. Et c'était toujours en ruines. Étonnant, n'est-ce pas ? J'étais la première à l'être, étonnée. Ou pas. Je me déplaçais avec une aisance frôlant l'indécence, entre les gravats et les décombres. Je faisais quoi, moi ? Pas grand-chose. Tout et rien. Surtout rien. Mais un peu de tout. Et dans ce tout, il y a quelque chose qui résonne allégrement dans mon esprit, tel un tintement de cloche. Ça commence par P, P de la Pêche que j'adore croquer. Vous ne devinez pas ? Un indice ? Kekekeke ... Hmm, hmm ... C'est cet acte que les gens font après une bataille ! Se soigner ? Innocent que vous êtes, c'en est presqueeee mignon ! Enterrer les morts ? Presque ! Piller ? Oh oui. Définitivement. Piller.

C'est pour ça que je suis là. Que je brave les interdits et la morale, les peurs des simples mortels. Personne n'avait osé venir. Il n'y avait pas d'âme qui vive. Ces ruines ? Elles n'attendent qu'une âme intrépide pour recouvrer les trésors cachés, les merveilles enfouies.

Au cas où vous n'auriez pas compris, JE suis cette âme intrépide.

A quoi je pensais, là tout de suite ? A l'or, à l'argent, aux gemmes qui glisseraient entre mes doigts. Aux épices dont les fragrances envahiraient mes narines. Aux secrets inavouables à peine avoués se cachant dans les lieux interdits. Là était le frisson qui parcourait mon échine, étirait mes lèvres en un fin sourire révélant mes dents. C'était la sensation de traque. J'avais passé beaucoup de soirées, assise sur les genoux d'hommes me parlant de l'excitation que l'on trouvait à la chasse. Je ne les avais jamais compris, m'étais contentée maintes et maintes fois de hocher la tête avec un sourire vide de sens. C'est qu'ils aiment ça, qu'on agisse comme de vaines poupées ... Ils ne voient pas la menace latente, sous le maquillage et le gloss rosâtre. Ou ne la voient que quand il est trop tard.

Trop tard, ne serait-ce que pour crier.

Je vagabondais parmi des rues qui avaient été un jour parfaitement dallées, encadrées par des immeubles parfaitement droits. Il y avait du y en avoir de l'activité, à l'époque ! J'arrivais presque à m'imaginer les passants vaquant à leurs occupations contradictoires, les marchands à la sauvette tentant de refourguer leurs immondices, les fiers shinobis au vernis doré patrouillant en un dégoutant simulacre de magnificence. Je l'imaginais. M'en imprégnais. Finissais par éclater de rire.
Tout cela était révolu. Tous leurs espoirs, éclatés en un millier d'éclats tranchants.

Je me délectais de ce désespoir qui avait étreint leur cœur, lorsque la fin du monde s'était abattue sur leurs insignifiantes personnes.

Aaah ... C'est que je m'emporte, éprouve de l'animosité envers un peuple qui a tant souffert ... Monza', que tu es vile ! Méchante ! Tellement ... Éprouve de la compassion ! Ressens les ténèbres qui les ont cernés ! Pleure, sanglote, supplie, crie, hurle ! HURLE !

J'étais tombée à genoux, ma voix avait percée dans le ciel grisâtre. Un nouveau frisson avait parcouru mon échine, alors que je me redressais. De la déception teintait mon esprit. Quoi que je fasse, je n'y arrivais pas. Ma capacité d'empathie atteignait le zéro absolu, c'en était déprimant.

Mais c'est l'époque qui veut ça, j'y peux quoi, moi ? Pas grand-chose.

Je reprends la route, un nouveau sourire dessiné sur mon visage. Je fredonnais une cantine de quand j'étais gamine, à la mélodie décousue. Définitivement, rien ne pouvait altérer ma bonne humeur. Une bonne humeur qu'on pourrait presque qualifier de contagieuse. Mais pour ça, il faudrait qu'il y ait des gens réceptifs. Ou des gens tout court.

Après tout, j'étais la seule âme qui vive, dans le coin. Et surtout dans le coin près du palais fendu de celui qui était Mizukage. Même si la personne qui portait ce titre, si jamais elle est toujours en vie, n'est devenue rien de plus qu'un clochard à l'illusoire grandeur fracassée.

- Il fait bon d'être moi, n'est-ce pas ?

Pas de réponse. Bonne réponse.


Dernière édition par Monza' le Lun 28 Avr 2014 - 3:17, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Pilleurs de Tombes [RP Kuchiyose] Pilleurs de Tombes [RP Kuchiyose] EmptyLun 28 Avr 2014 - 2:25

Il n'allait pas être simple de s'engouffrer en cette impériale construction.

Une moitié de celle-ci commençait à s’affaisser dans la mer, était à moitié engloutie. L'autre restait debout, semblait dire sur un ton pathétiquement suppliant *Ce n'est pas ma faute si j'ai été fendu en deux, regardez ! Je tiens toujours !*. Ça m'aurait presque fait rire, si ça ne m'avait pas frustré. Le destin faisait que bien souvent, elle mettait les choses que je désirais aux endroits les plus difficiles d'accès. Juste pour m'en faire baver. Et si vous pensez que cette unique réflexion reflète tout l'égocentrisme, paranoïa et égoïsme qui me caractérisent, sachez que je ne chercherai même pas à vous faire penser le contraire.

Être entière et être bien avec soi, c'est avant tout s'accepter avec ses meilleures qualités et ses pires défauts.

Je faisais le tour du bâtiment, prenant tout mon temps. Après tout, rien ne pressait. Je me permettais d'effleurer la roche, afin de profiter de sa texture. Rugueuse, humide. J'étais un peu déçue, mais bon ... A quoi m'attendais-je ? Tss ... Je fronçais les sourcils, par frustration. Et après quelques minutes, voilà que mon parcours s'achevait. Retour au point de départ, on fait quoi maintenant ? On s'introduit en la bâtisse ? La porte était grande ouverte, après tout ! Enfin, quand je parle de porte ... Disons plutôt que le mur, lui, l'était. Et ce serait malpoli de ne pas accepter si gracieuse invitation, vous savez.

Me voilà à l'accueil, jetant un registre inutile à travers la pièce. Une moue s'installait sur mon visage. Des Samui, des Kaguya, des Karot, encore des Samui ... Et rien qui ne m'intéresse. Je cherchais dans les dossiers, les classeurs, tous plus futiles les uns que les autres.

- Dieu, me méprises-tu tant que tu m'empêches de profiter de délices dont les morts, eux, ne peuvent plus ?

Pas de réponse. J'allais hausser les épaules que le "clop" caractéristique de quelque chose qui tombe lourdement sur l'eau résonne. Angoisse qui se saisit de mon cœur, alors que je fais volte-face. Rien. A droite, à gauche, rien. Mais voilà que sur les murs des ombres volent. Je me glace de terreur.

- Qui-qui est là ?!

Toujours pas de réponse, c'était presque agaçant. Je tremblais, et pas de froid, alors que le sceau était prêt à être apposé. On ose à peine tourner la tête, alors que les pupilles jaunâtres parcourent la salle lentement, à l'affut du moindre mouvement ... Qui a lieu. Rapide. On bondissait sur le bureau. Je reculais rapidement, trébuchais, limite m'écroulais en arrière mais arrivais à me stabiliser avant, yeux écarquillés. Mais voilà que l'intrus n'est qu'un gros crapaud, qui me contemple de ses gros yeux globuleux. Pourtant, la crainte ne s'évanouit. Il me faut presque une minute, pendant laquelle, presque immobile, je me convainc que tout va bien. Que ce n'est qu'un stupide batracien. Et que j'éclate de rire. Je ris, à en avoir les larmes aux yeux.

- Tout ça pour ça ..?

C'est avec dédain que je m'étais exprimée, alors que je m'approchais de la bête, guère impressionnée. Peur dissipée, j'agissais avec toute cette confidence qui m'avait auparavant fait défaut. J’eus un petit rire nerveux, alors que j'écrasais ma main sur la bête, bien trop vite pour qu'elle puisse réagir. Pff, c'est ballot. Je suis toute salie maintenant, ma paume couverte d'effluves d'amphibien. Agacée, je m'essuyais contre le mur, ne réussissant qu'à étendre une dégoutante substance rouge-brune sur la surface. Si ça saignait autant, ce truc, c'était juste pour me faire chier, aucun doute.

C'est d'une humeur bien moins agréable que je décidais d'explorer les pièces suivantes. Pièces sentant l'humidité et la moisissure, où tout document était à peine lisible, souillé à jamais. Information si précieuse s'envolant entre mes doigts fébriles. Il me fallait quelques heures de recherche, avant de finalement tomber en cet étrange lieu.

C'était une bibliothèque comme les autres, pourtant ... Rien n'avait été abimé, ici. Tous les parchemins, installés sur les vastes étagères, étaient en parfait état. J'avais eu une bonne intuition, en voyant cette porte blindée. Je savais que c'était une bonne idée de la démolir à l'aide d'un des sceaux dont j'avais le secret. Après tout, pourquoi prendre de telles précautions si ce n'est pas pour garder quelque chose de précieux ?

Je devais avouer, pourtant, que c'était en deçà de mes espérances. Pas d'artefact légendaire, pas d'oeuvre d'art, pas de métal précieux ou de gemmes aux couleurs de l'arc-en-ciel pour m'accueillir. Juste du déprimant papier. En parfait état, mais ça restait du papier. J'allais faire quoi avec du papier, moi ? Hein ? M'essuyer les fesses avec ? Tss ... Passablement ennuyée, je décidais quand même de jeter un coup d'oeil à l'un d'entre eux. Conscience professionnelle, que voulez-vous. J'avais parcouru les lignes avec un dédain palpable. Mais ça. Ça. C'était avant que je comprenne son contenu. J'avais jeté la chose sur le coté, pour m'emparer d'un autre réceptacle.

Et c'est un grand sourire, radieux, qui se logeait sur mes lèvres.

- Si on m'avait dit que j'allais tomber sur ça ...

Ça, ça coûtait plus que la plus mirifique breloque que ce bled paumé avait à offrir.
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Message(#) Sujet: Re: Pilleurs de Tombes [RP Kuchiyose] Pilleurs de Tombes [RP Kuchiyose] EmptyLun 28 Avr 2014 - 3:07

Je m'étais éloignée avec mon butin, plus que satisfaite. Une dizaine de parchemins, que j'avais logés dans mon sac à dos. Que je pourrai revendre à des prix exorbitants. Ou que je pourrai employés à des fins plus ... intéressantes. Quoi qu'il en soit, j'aurai tout le temps d'y penser, de retour à Ame. Mais je me sentais obligée d'y penser maintenant. Et maintenant que je m'en souviens, j'ai deux ou trois contacts qui m'accorderaient de ces faveurs si ils posaient leur main sur-

- Salope ! Plus un pas ou j'te bute !

La voix était sauvage, et la réplique banale. J'étais presque déçue par cette interpellation. Je me retournais pour faire face au propriétaire de la menace, qui se révélait être un mec baraqué à la barbe rousse. Il avait l'air assez jeune, cela dit. Les jeunes ont le sang chaud, généralement. Et un manque d'imagination presque déprimant, si vous voulez mon avis. Il était accompagné d'une demoiselle aux fascinantes prunelles dorées et aux oreilles de chat. Artifice ? Ça avait l'air plus vrai que nature, en tout cas ! N'empêche que l'on attend ma réaction, et que sur une voix contrite je répondais.

- C'est pas très sympa de m'appeler comme ça, qu'est-ce j'ai fait encore ?!

- Fais pas l'innocente grognasse, on t'a observé d'puis que t'es rentré dans le village ! Et on a vu que t'as pris un truc qui t'appartient pas !

Il avait l'air 'achement en colère, n'empêche. Je ne relevais pas le fait que l'on avait réussi à m'observer sans que je le remarque alors que je tentais de me justifier.

- Oh, ça ? C'est juste du papier, ça manquera à personne, je vous assure ! Même, je vous rends service, ça aurait pourri et même que ça vous aurait provoqué plein de saloperies !

- Tu te moques d'moi ?!

Un peu.

- Naaan ?

Mais voilà que la demoiselle féline pouffait d'un rire pas très agréable à l'ouïe, et qu'elle demandait à son partenaire d'un ton goguenard.

- Hey, t'es là pour la défoncer ou l'inviter à danser ? 'faut savoir.

Le concerné s'était retourné violemment pour l'invectiver.

- Ferme ta gueule !

Avant de recentrer son attention sur moi, avec un courroux renouvelé.

- J'te préviens une dernière fois : Laisse ton butin au sol et casse toi, ou j't'écrase comme l'insecte que t'es, ok ?

Je faisais miner d'hésiter, posant un unique index sur mes lèvres.

- Hmm ... Je me sens obligée de refuser, désolée !

Il poussa un soupir dédaigneux, alors qu'une rangée de dents parfaitement pointus se révélait. Whah, j'aurai presque peur. Vraiment, je vous assure. Je suis terrifiée ! Je me retenais de glousser, alors qu'il me chargeait sans pré-avis aucun. Il m'avait foncé dessus avec une vitesse indéniable, alors que ses traits étaient devenus plus bestiaux. Mais je m'en moquais pas mal. Je l'attendais de pied ferme. Et alors qu'il se trouvait à à peine un mètre de moi, j'esquissais une gracile esquive sur le coté. Avant de me saisir tout aussi vite de son visage.

La déflagration de flammes n'a pas fait beaucoup de bruit. A vrai dire, la chute du colosse en avait provoqué plus, de bruit. Il remuait faiblement, à terre, le visage brûlé au troisième degré. L'odeur est comme vous pouvez l'imaginer, atroce. A vomir. Mais ce n'était pas la première fois que je la humais, et ce ne serait certainement pas la dernière, si bien que j'arrivais à l'ignorer assez facilement. Assez facilement en tout cas pour appeler la comparse de ma malheureuse victime, dont les pupilles félines s'étaient écarquillées sous la surprise.

- Hey, toi là ! T'es quoi au fait, un chaton humain ? Je m'en fou en fait, c'est quoi ton nom ?

Son visage s'était refait masque de mépris, alors qu'elle crachait avec véhémence sa réponse.

- Qu'est-ce t'en as à foutre ?

Je penchais la tête sur le coté, plaçant à nouveau un unique index sur mes lèvres.

- C'est plus pratique si je veux t'adopter, mais si tu veux pas me le donner, je t'en trouverai un bien. Cookie, t'en penses quoi ?

Elle poussa une petite exclamation dédaigneuse, alors que de ses pupilles s'échappaient des étincelles de haine. Délectable.

- T'es putain de marrante. Tellement que tu vois, je vais te donner mon nom. Nodoka, du clan Gekei. Et maintenant que c'est fait, j'vais te casser la gueule histoire de te faire passer l'envie de sourire, briser tous tes os, arracher tes ongles avec des tenailles chauffées à blanc, et après, juste après, si je me suis calmée, j't'arracherai la gorge.

Je gloussais.

- Passionnant programme, vraiment. Sinon, Cookie, tu veux pas venir faire un câlin à ta maîtresse ?

J'avais ouvert grand les bras, en l'attente de mon nouvel animal de compagnie. J'espérais qu'elle me rende la tâche facile, et qu'elle fonce comme son compagnon. Tout était mieux quand les choses se déroulaient de la façon la plus simple possible, nan ? Pourtant, elle n'était pas de cet avis. Elle plantait ses canines dans ses pouces, et les apposa sur le sol fendu. Un sol rapidement envahi d'écritures anciennes, laissant place à un nuage de fumée.

- A moi, Sasuke !

- A vos cotés, ma Reine.

Un immense serpent blanc aux pupilles saphirs s'était matérialisé à coté de la féline. C'était donc à ça que ressemblait un Kuchiyose ? Oooh ... Si fascinant ! J'avais hoché la tête à plusieurs reprises, en observant tout ça. Et c'est sur un ton guilleret que je m'étais exclamée.

- Oh bah tiens, lui aussi je le veux ! Je l'appellerai Carpette ! Mais ça te dérange pas que je demande à mon nouveau petit ami de s'inviter à la fête ? Je me sentirai un peu mal si je le fais pas !

Dans un petit gloussement, voilà que j'adoptais les mêmes mouvements que ma vis-à-vis, alors que je posais mes mains sur le sol. Avec un sourire inquiétant.

___________________________________________________

- ... On dirait qu'on a pas mal de puissance, toi et moi, pas vrai ?

J'avais dit ça sur un ton amusé, alors que je léchais le sang coulant de mon menton avec un exquis plaisir. Elle m'avait bien amochée, la salope ! Mais ça n'avait pas été suffisant. Oh non, que ça ne l'avait pas été. Je caressais doucement sa longue chevelure ébène, presque avec amour. Elle avait de si beaux cheveux. Ses yeux étaient clos, le sang ayant arrêté de couler de ses lèvres. Elle était tiède, et humide, sur mes genoux. Sa tête que j'avais pris un plaisir sauvage à arracher, sous son regard qui pour la première fois avait tourné terrifié.

Elle ne s'y était pas attendu, à ça. Elle avait gueulé qu'elle était immortelle. Elle avait gueulé qu'elle avait tenu tête au Furyou machin-chose Zo, et avait survécu. Elle m'a hurlé de mourir. Une et une autre fois. Pourtant c'était elle qui était morte. Elle et son si joli serpent albâtre. Ce serpent dont le cadavre gît, inerte, couvert de cafards.

- Oui, je suis bien d'accord.

Mon essaim ne répondait pas, je n'étais même pas sûre qu'il en ait les capacités intellectuelles. Mais je m'en moquais bien. Après tout, la voix que j'aimais entendre le plus, c'était bien la mienne.
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