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Dans les plaine de Kaminari vivent des éleveurs de mouton à laine noire, le tissu qu'ils fournissent et d'une grande qualité, cependant leur production est fortement mise en danger depuis quelques temps. En effet, chaque nuit un mouton disparaît sans laisser de trace, sans faire de bruit... Rendez-vous sur place et enquêtez sur le cette affaire pour le moins étrange

Aujourd'hui, rien de nouveau. Ah si, je viens de recevoir une petite mission, avec des moutons. Vous voyez, c'est le genre de chose qui me donne envie d'arrêa puter de faire ce que je fais et de devenir petit marchand, ou un truc du genre. Non car, franchement, auparavant s'occuper de gosses, maintenant s'occuper de moutons. Je sais pas si les gens ont un problème avec moi mais faudrait vraiment venir me voir car là ça devient plus possible. Je vais commencer à faire le métier de babysiter en tout genre, toute espèce et c'est la même chose.. Vous me direz ça doit être parce que je ne suis pas encore assez fort pour faire ce dont j'ai envie de faire.

Vous savez, battre des gens, les tuer. Soutirer des informations ou encore torturer, des choses banales de la vie. Je veux me battre, prouver ma valeur, ma force. Un Roi ne devient pas un Roi sans quelque chose. Il me manque ce quelque chose, mais je ne peux le trouver dans que personne ne m'en donne l'occasion. Ah... Si seulement je pouvais participer à ces guerres, qu'il y a entre les villages. Je possède un pouvoir hors du commun, détesté de tous, et pourtant celui-ci reste supérieur. Oh oui, c'est peut-être pour cela que tout le monde en a peur. C'est parce que ce pouvoir est bien trop puissant...

Mais bref de blabla. Je dois me mettre en route vers les plaines de Kaminari. Elles sont situés derrière les montagnes. J'ai un très long chemin à parcourir avant de pouvoir me rendre à destination. Mais au moins, il est aussi écrit que j'ai trois jours avant d'arriver. Après tout, la vie de moutons « rares » sont en jeu ! Il ne faut pas rigoler avec cela, ou pas ! Allez on fait les derniers préparatifs, et on s'en va. Bien sûr, un petit kit de soin, de quoi manger, avoir chaud, une boussole, une carte et une petite lanterne. Let's go.

….........

Pwoah, qu'est-ce que ce fut long. Surtout que je me suis fait interpellé par dix milles personnes là, qui voulaient que je les aide à cueillir des bais ou je ne sais quoi. Des gens voulaient que je leur attrape des écureuils et les gosses voulaient que j'aille chercher leurs chats, 'fin bref tout pour ennuyer le monde. Je leur ai tous répondu de se DEBROUILLER. Dans la vie, il faut savoir faire des choses seul, donc il n'est jamais trop tard pour devenir grand. Surtout quand des vieux vous demande des trucs quoi...

Mais ceci étant dit, j'arrive enfin vers la maison, avec le champ où les moutons noirs vivant. Je prends bien sûr l'initiative de toquer à la porte et d'entrer. Un vieil homme tout content vient me voir en me demandant si mon voyage c'est bien passé, il m'offre à manger, à boire. Il m'explique ensuite que ses moutons disparaissent chaque nuit, ou du moins un par nuit. Encore une histoire d'animal, ou un truc du genre, qui a faim. Enfin bref, en relisant ma demande de missions, je m'aperçois, avec regret, que j'avais un coéquipier.. Sho, de son nom.

Bon ben, plus qu'à l'attendre.

hrp:

Le vieil homme était plutôt barbant. Il racontait sa vie encore et encore. C'était un soit un cercle infini, mais le pire c'est que rien ne pouvait me sauver. Il fallait que j'attende l'autre, mon partenaire là, monsieur qui était déjà en retard. Honnêtement ça promettait déjà quelque chose si je ne pouvais pas compté sur mon coéquipier. Si ça se trouve je vais me trouver seul pour cette mission là. Un vieux papy qui raconte comme il a trouvé ses premiers champignons, des moutons qui répètent toujours la même onomatopée, dites moi, ça sent l'odeur de la mission énervante, non ?

Bon après tout je n'avais pas non-plus à m'en plaindre. Je recevais des missions, c'était déjà pas mal. Certaines personnes sont obligés d'aller en chercher ou pire, certains créent les problèmes d'eux même pour ensuite pouvoir venir les arrangé et se faire payer. En soi, c'est la méthode assez bandit mais surtout immorale. Se faire passer pour un héros auprès de personnes qu'il a soit-même fait du mal auparavant, bonjour la fierté personnelle, du moins ce qu'il devrait en rester. Mais bon, si après ces personnes n'ont plus d'argent, ça se comprend.

De nos jours nous sommes prêts à tout pour avoir ce que nous souhaitons.. L'égoïsme de l'homme dépasse toujours les pensées. Ça en devient presque que navrant mais que voulez-vous, c'est ainsi que nous avons été fait. Enfin bon. Après que le grand-père est enfin fini de parler de sa vie qui, excusez moi de le dire, est fortement rébarbative, quelqu'un frappa à la porte. Dans l'espoir que ce soit mon partenaire qui était déjà pas mal en retard, je souris. Quand le papy ouvra la porte, et qu'un ninja se présenta, je fus largement soulagé. Comme quoi les miracles existent...

Coupe de cheveux très étrange, bandeau de Kumo. Yeux de même couleur que le reste si on peut dire. Rien de bien menaçant ou d'impressionnant ou d'étonnant, si puis-je dire. Il se présenta à moi en tant que Sho, ninja de Kumo. Langage plutôt simpliste, voix peut porteuse. Il était d'une banalité accablante et ne devait sûrement pas venir d'une quelconque famille où l'on demande un minimum d'exigence pour pouvoir porter le nom de celle-ci. Ou alors faisait-il parti d'une de ces familles mais qu'il était le dernier fils, le moins aimé sûrement. Néanmoins il devait être plus âgé que moins, minimum adulte, un truc du genre.

« Yop. Moi c'est Kirua. »

À peine avais-je eu le temps de lui dire salut qu'il était déjà partit. Le mec en tout cas il se prenait pas pour rien hein. Genre sortit en mode ninja, fumée et tout ce que tu veux. Au pire il y a une porte et c'est exactement pareil. Surtout qu'il faut m'expliquer un truc, juste un seul. Quel est l'intérêt d'être discret, si on est en journée ? Le vieil homme a dit que ses moutons disparaissaient la nuit, au pire on s'en fiche, on y va la nuit non ? Enfin bon... Je suppose que je vais devoir suivre l'autre psychopathe..

J'ouvre la porte de la cabane pour partir en direction du champ. Bien sûr je ne vais pas être discret du tout, qu'est-ce qu'on s'en fiche, c'est la journée... Donc bref, peu importe. On verra bien ça réaction à l'autre Ninja de la discrétion... Bon les moutons eux sont toujours là, ils broutent l'herbe, font leurs petites vies en mode posé dans le champ. J'arrive proche de Sho, qui était déjà dans un arbre..

« Ouais, au pire c'est la nuit que les moutons disparaissent, hein. Puis il est à peine midi.. »

Tu la sens la mission bien naze, là ?

Je me demandais bien encore ce que je faisais ici. J'ai juste l'impression de l'on me prend pour une sorte de larbin. Quelqu'un dont on se servirait pour faire les tâches ingrates. Vous savez en général on appelle ça une sorte d'esclave mais au moins je serai payé. Mais mon amour propre va de plus en plus disparaître. Me faire garder des enfants, d'accord je peux très bien le comprendre. Mais me faire garder des moutons... M'ont-ils jugés inapte à pouvoir faire des choses bien plus dures ou... ? Ce n'est pas parce que, à mainte reprises j'ai faillit frapper des gosses que tout de suite je suis incompétent. Les gens s'emportent si vite.

Mais revenons à notre fabuleux voir fantastique sujet. Nos moutons. D'ailleurs je venais de remarquer que parmi les moutons, il y en avait des grands et des très très petit. Mais surtout ils devaient avoir extrêmement chaud. Leur pelage est d'un noir totalement opaque. Il doit absorber toute la lumière et donc toute la chaleur... Mon Dieu qu'ils doivent mourir de chaud. Et en plus ce n'est que le printemps... Ahalala... Qu'allons-nous faire s'ils comment à mourir de chaud.. Nous ne pourrions nous permettre de les tondre ou quelque chose comme ça.. Leur faire un sympathique toit pour leur enclos ?

En tout cas, mon partenaire lui était bien loin de tout. Le jeune homme était encore assis en mode ninja de la mort sur son arbre.. Il me proposait même de venir avec lui pour surveiller. Il n'était que midi, j'avais la dalle et il fallait en plus qu'un crétin des montagnes en mode ninja suprême vienne m'empêcher de faire ce que je veux. Qui plus est recevoir des ordres de quelqu'un m'était très clairement impossible. J'ai toujours choisis ce que je voulais faire et ce que je ne voulais pas. Alors ce n'est pas ce « Sho » qui va me dire de monter sur un arbre et attendre comme un crétin pendant plus de dix heures.

Et je le redis, j'ai faim donc la conclusion se fait plutôt rapidement.

Un bruit retenta. Une bête, quelque chose de petit en tout cas. Le bruit venait de derrière un buisson. Je fis un seul mudra et tout était réglé. Un œil de vent apparut au dessus de ciel, Sho ne pouvait donc pas le voir. Ce troisième œil me permettait donc de pouvoir distinguer tout le champ, même les moutons. Et derrière l'arbre se trouvait... une simple poule. Je soupirai, encore une fois. Mon partenaire se croyait déjà contre le monstre le plus puissant qu'il n'ait jamais vu. Mais il fallait faire simple, avec un raisonnement cohérent. Je me retournai donc pour lui adresser la parole.

« Bon écoute. Il est à peine Midi, donc si tu veux atteindre la nuit, qui pendant cette période de l'année ne tombe qu'à 22 heures, c'est ton problème. Mais moi de un, j'ai super faim et de deux je ne peux rester sur un arbre sans rien faire. Qui plus est, regardons un peu les choses. La bête ou du moins la chose qui vient prendre les moutons, elle ne sort que la nuit. Donc, une bête qui sort la nuit doit craindre le soleil ou doit posséder une vision nocturne. Si ce n'est pas cela c'est peut-être une vision thermique et jusqu'à preuve du contraire la vision thermique est bien plus puissante la nuit en raison d'un froid constant. Enfin, la bête ou encore une fois, la chose, doit être plutôt massive. Car elle emporte avec elle un mouton voir deux en fonction des nuits. Donc elle ne pourrait se cacher derrière ce buisson. Et on l'entendre venir bien plus tôt. Si c'est un volatil quelconque, je serais là pour entendre le battement de ses ailes dans l'air. Sur ce je m'éloigne un peu, je retourne dans la cabane me faire un bon repas en attendant la nuit. »

J'avais au moins eu le mérite d'avoir été d'une clarté exemplaire et d'avoir été franc.

Il était vrai que cela ne m'enchantait guère de faire des missions, aider les gens les soutenir, ce n'était pas vraiment mon truc tout ça. Peut-être que j'aimais plus les faire souffrir ou encore les voir crier lentement. Une souffrance assez prospère pour ma petite personne, mais en soi un divertissement. Oui c'était ça, sûrement que j'étais ce qu'on appelait un Roi sans divertissement. Un homme pleins de misères, qui passait son temps à regarder les autres s'amuser pour au final, en soi, détruire tout ce qu'il possédait. J'étais un monstre oui.

Mais pour revenir sur notre sujet, mon partenaire changea immédiatement de position. Il s'en fichait complètement de ce que je venais de lui dire, et partait dans un principe de me demander quel était ce pouvoir que je pouvais posséder. Un pouvoir monstrueux mais très puissant. Ce que je disais un livre, le pouvoir le plus puissant est celui qui fait le plus peur. Ce pouvoir faisait tellement peur que les villages l’interdisaient. Makka, une stupide sorcière avait fait des Gogyou, des monstres .

« Je ne te dirais pas mon pouvoir, cela pourrait me porter préjudice. Saches juste que je maîtrise le vent comme personne ne peut le maîtriser. »

Et lui, quel était son pouvoir ? Il ne semblait pas disposer de réelles capacités en ninjutsu ou encore en sensorialité s'il croyait tout à l'heure que la poule était un monstre. Enfin bon cela importait peu, je n'étais pas là pour récolter des informations sur des cibles. J'étais surtout ici pour gagner de l'argent et faire en sorte de pouvoir aussi découvrir un peu le monde. Je n'avais jamais vu le village de Kumo, mais je supposais bien que je n'avais pas l'autorisation d'aller là bas, à cause encore une fois de mon pouvoir. Enfin bon, tout ce qui m'importait en réalité était peut-être de revoir Rin.

Par ailleurs les deux fermiers vinrent à nous pour nous engueuler. Apparemment deux moutons avaient disparus mais ils les avaient retrouvé. Bon ben tout allait bien alors. Même s'il est vrai que je vais devoir faire plus attention maintenant. Je vais quand même positionné mon troisième œil au dessus du champ des moutons. Cela me permettra d'avoir approximativement une vision d'eux et si un venait à disparaître je le verrai directement. Je décide donc de rentrer dans la maison car il commençait à faire un peu froid.

Ah ! Un bon chocolat chaud, qu'est-ce que ça peut faire un bien fou ! C'est doux, sucré comme il le faut. Ça revigore tout le corps et laisse une sorte de petit parfum tout doux dans la gorge. Avec ceci je prenais toujours des cookies. En vérité niveau alimentaire je n'étais qu'un petit enfant qui adorait les choses sucrées. Toujours avec une sucette dans la poche si mon chew-gum venait à ne plus avoir de goût. Soudain, un rugissement se fit entendre. C'était forcément la bête, ou du moins quelque chose. À moins que Sho se mettait à pousser des cris de bête.

Sorant donc en trombe de la maison, je voyais une forme se dessiner. Une chose énorme à poil qui s'approchait dangereusement de l'enclos des moutons noirs. Je voyais Sho qui devait à peine s'être réveillé ou quelque chose dans le genre. Il fallait que je fasse le plus vite pour arrêter le marche funèbre de la grosse bête, ou alors au moins l'empêcher de s'approcher des moutons. Levant ma main au ciel, celle-ci se mit à briller et, une fois pointée en direction de la bête, un dragon de vent en sortit pour percuter de pleins fouet le monstre noir poilu.

« Sho ! En position, ne la laisse pas approcher de l'enclos. »

Spoiler:

« Accord, persévérance et courage. Souvenez-vous toujours de ces trois grands principes qui vous permettront de gagner chaque bataille. Laissez tomber le ciel, laissez ainsi les cieux s'abattre sur vos ennemis. Dîtes ce que vous avez à dire. Vous pouvez être génial, vous pouvez être incroyable. Mais ne courrez pas, cherchez toujours le meilleur. Peut-être qu'un jour, à une date, vous nous montrerez ce que vous avez à nous dire, ce que vous avez trouvé d'aussi bien dans vos vies. Cette chose, elle deviendra votre vie, votre âme. »

La bête était horrible. Une chose volumineuse aux yeux rouges. Noire comme la nuit, monstrueuse comme l'humanité. Peut-être était-ce cela qui clochait. Elle respirait à elle seule l'humanité, une sorte de cruauté tout à fait horrible. Une cruauté qui persiste à travers le temps. Son attitude n'était, en elle-même, que très peu naturelle. Elle marchait sur ses deux pattes arrières, toujours en gardant la tête bien levée. Quant aux moutons, eux étaient très effrayés, ils courraient comme de petits steaks. Vous me direz, c'était peut-être cela qu'on appelait l'instant de survie.

Enfin bref, une chose intéressante à noter. Au moment de l'impacte entre mon dragon et le loup noir, celui se défendit avec ses mains, une devant la tête l'autre face au torse. Ce genre de réflexes, avec une telle position ne venait que de l'instant humain. En effet le genre humain avait bien pour habitude de protéger premièrement sa tête, ensuite le reste son corps. Serait-ce la vantardise ou le narcissisme de l'Homme qui le forçait à vouloir se défendre son « auguste » visage si puis-je dire. Pitoyable était peut-être un mot trop faible pour décrire ce type de réaction.

Néanmoins, malgré sa grotesque tentative de défense, le loup prit de plein fouet ce que je pouvais appeler une technique simpliste. Elle faisait quand même quelques dégâts importants si aucune défense valable était utilisée, comme quoi même un sac à puces pouvait aussi prendre des choses violentes en pleine tronche. Mais bien sûr, il ne fallait pas vendre la peau de l'ourse avant de l'avoir tué. Ainsi je m'approcha d'une façon remarquable de la bête, avec toute la beauté et la grâce qu'on ma misérable mère m'avait donné en guise d'apparences. Il fallait le dire, j'avais le physique d'un Apollon Citharède.

Ainsi, assez près de la vilaine bête, du vent se forma sous ses pieds, l'expulsant dans les airs telle la team Rocket repoussée encore une fois par le vilain Pikachu. Je recula légèrement, laissant place à mon « génie » de partenaire. Du moins celui-ci ne compris pas réellement qu'il ne fallait pas tuer la bête. Honnêtement, il se déchaîna, peut-être un peu part vantardise d'afficher toutes techniques qu'ils maitrisaient. Du Raïton, des trucs bizarres. Honnêtement ce jeu n'était unique pour montrer de quoi il était capable. Peut-être pour m'impressionner.

Penses-tu, je m'en bats l'oeil avec le bâton de l'indifférence. Puis, au fur et à mesure du combat, les actions, réactions de la bête, je compris ce qu'il se pensait. Mon Dieu qui l'aurait cru. Je fonça donc directement vers la cabane, et comme par mystères, il n'y avait qu'un seul vieil homme. En demandant à l'autre où était passé son ami, il répondit que celui-ci était partit faire sa promenade nocturne quotidienne. Bah oui, cela paraît tant évident tiens. Et dans sa balada y'aurait pas l'option Mouton, hein ?

Enfin bref, il fallait tout simplement tenir la bête un petit moment. En attendant le levé du jour. Cela paraissait plutôt simple vue mon camarade qui devait encore montrer au moins dix huit techniques de plus pour prouver une certaine valeur à mon cher ami que j'appellerai le vide.

Enfin, le soleil se leva. Honnêtement c'était pas trop tôt. L'autre ne devait avoir plus de chakra là, avec ses techniques du Shinobi de la montagne enragé étout. Aux premiers rayons de lumière, la bête commença à redevenir ce qu'elle devait être. C'est à dire le deuxième vieil homme. Quelle étrange chose. Il me semblait que les Loups garous n'existaient que dans un conte pour enfant. En fait il nous expliqua que c'était un gekei et que sa partie animal prenait trop souvent le dessus. Ben dis donc, delà à ne plus se souvenir ce qu'il a fait la nuit dernière, quand même. Enfin bref, on pouvait pas grand chose pour lui. Je lui avais conseillé de s'isoler un peu le temps d'apprendre à se maîtriser, mais pensez-vous, à 80 ans le vieux va bientôt mourir. Donc s'isoler pour creuser sa tombe est encore la meilleure option que de continuer à manger des moutons à la laine noire. Mais bon, au final tout est bien qu fini bien, si puis-je dire. Aucun moutons morts pendant que nous étions là, tout va bien. J'ai reçu ma récompense et il me fallu un peu près 2,5 secondes avant de pouvoir partir le plus vite de chez moi.

Mission accomplie, je peux brandir mon diplôme de babysitter pour moutons.