Petite soirée (pv Raiken Seki)

Toujours au terrain d'entraînement, le jeune shinobi observa la fleur pour lui indiquer les couleurs que la rose affichait. Naoko était très surprise, car Raiken avait effectivement créé la fleur à partir de son chakra. De plus, quand Raiken décrivait la signification des couleurs, la jeune kunoichi était surprise par cette précision. Les couleurs de la rose ne mentaient pas, Naoko était vraiment aussi douce que ça. Ensuite, la fleur lui promettait un amour heureux, sincère, tendre, mais timide. Raiken lui posait une question si elle pratiquait le Irou no jutsu, mais ne vous point la gênée. Naoko fit un léger sourire et ses joues rosis un peu. Elle décida de le prendre par la main et lui dit, en souriant.

- Ça ne me dérange absolument pas, Raiken. Je t'assure. Et effectivement je pratique l'Irou no jutsu. Viens, nous allons chez moi.

La jeune kunoichi partit avec Raiken en laissant seul le terrain d'entraînement. Maintenant, ils se promenaient dans les rues, main dans la main, pour aller chez la jeune demoiselle. Pendant qu'elle marchait, Naoko regardait parfois Raiken et ses joues rosirent. Elle ne voulait pas trop montrer que le shinobi lui plaisait. Alors, Nao se répétait fort dans sa tête d'arrêter de rougir, mais elle ne pouvait contrôler cette gêne et cette attirance envers le jeune homme.

Pendant leur petite promenade, Naoko vit les trois garçons qui l'intimidaient dans l'académie. Son sourire se changea par la peur et elle baissa un peu la tête. Elle ne voulait pas les voir et ni leur parler, Naoko voulait seulement être seule avec Raiken et passer une bonne soirée. Quand elle passa à côté d'eux avec Raiken, les jeunes sourirent d'un sourire malsaine et chuchotèrent ensemble. La jeune demoiselle savait qu'il ne se moquait pas de Raiken, mais bien d'elle. Nao tourna le coin avec le jeune shinobi et elle ne les vit plus, elle ne les entendait plus....plus rien. Elle en était soulagée, puis, continua à sourire. Ce sourire radieux que la jeune kunoichi avait avant de voir les méchants shinobi.

Enfin, les deux ninja arrivèrent devant la maison de Naoko. Elle n'était pas très grande et ni très petite. La maison était parfaite pour cette jeune demoiselle. La kunoichi prit ses clefs et ouvrit la porte. Elle laissa entrer Raiken et ferma la porte derrière. Nao enleva ses souliers et les plaça sur le tapis qu'elle avait mit pour les souliers. Elle marcha sur le plancher nu-pied et dit à Raiken avant de partir dans sa chambre.

-Je m'en vais me changer, fais comme chez toi. Je reviens tout de suite.

Quand elle entra dans sa chambre, elle déposa la rose dans un vase remplit de belles fleurs colorées. Ensuite, la demoiselle observa son bouquet et laissa un petit sourire doux avant de se changer. Elle chercha dans son garde-robe et mit une belle petite robe blanche légère. Nao aimait beaucoup cette robe. L'habit appartenait autrefois à sa mère, mais Naoko ne se rappelait plus quand Mitsu avait porté cette robe.

Environs six minutes après qu'elle ait entré dans sa chambre, la jeune kunoichi sortit de sa chambre et sourit à Raiken. Elle alla proche de lui et lui demanda calmement.

-Est-ce que vous...tu veux quelque chose à boire?

Naoko avait de la difficulté à ne pas le vouvoyer. C'était un défi très dur pour la kunoichi. Le plus pire défi au monde, d'après elle, mais elle serait prête à le réaliser. Oui, pour lui, elle serait prête. Elle lui sourit et attendit patiemment sa réponse.

Spoiler:

J'eus ma réponse lorsque Naoko confirmais qu'elle pouvait utiliser les jutsu de soin. Cela voulait donc dire que pour la revoir, elle devait etre au centre-ville, à l’hôpital. Nous partîmes alors en direction du loyer de Naoko en traversant les rues de Kumo. Pendant l’excursion quasiment nocturne je vis trois gars qui se moquèrent d'une personne et riaient avec perversion. Je regardais alors Naoko et je ne vis que peur. Lorsqu'on passait à cotés, ce fut carrément des chuchotements qui se glissaient dans mes oreilles. Ils voulaient quoi à Naoko ? En tout cas, que l'on me coupe la main si j'ai tord de penser que ce n'était pas l'entente qui régnaient entre eux. Je n'attendais qu'un seul et unique faux pas de leurs part. Ces types ne m'apparaissaient pas sympathique, c'était le profil même de l'ordure du quartier. Ça aurait été un plaisir de leurs faire la leçon mais je n'eus pas l’occasion. Premièrement car on avait déjà passé le tournant du coin de la rue et deuxièmement, car ils n'avaient pas fait ce pas que j'avais attendus de pied ferme. A ce moment la seulement, Naoko regagnait son sourire radieux. Un sourire encore plus beau que ceux qu'elle avait fait, cette expression resterait sans doute gravé dans ma mémoire toute ma vie.

Naoko et moi arrivaient à destination et je vis que sa maison n'était pas très différente de la mienne, accessible à un salaire de Genin. Elle me laissais d'abord rentrer avant de monter à sa chambre pour se préparer. Elle n'en n'avait pas besoin, elle était déjà charmante. Seul dans un domicile inconnus, je ne pus retenir ma curiosité et celle-ci s'exprimait en regardant, presque en épiant les lieux, relevant chaque détails. Le vieux parquet était d'origine, les endroits abîmés me l'indiquait. Le remplacer n'était pas donné, je le savais car moi aussi il était dans cet état. Un violet léger un peu délavé le rendait plus lumineux, longeait le couloir. Une pièce m'attirait, avec une belle tapisserie bleu azur en parfaite harmonie avec des touches vertes, j'aimais ces couleurs, à la fois harmonieuse, assagissante et reposante. J'y entrais donc et je pus y constater que des photos entourés de cadre étaient présent, je me dirigeais vers une ou quatre personne étaient présente. Un homme et une femme qui semblait être parents des deux jeunes enfants, une petite fille au cheveux noir, c'était Naoko.

Je pris l'ensemble dans mes mains, le jeune homme devait surement être celui que Naoko cherchait, son frère. Justement celle-ci arrivait, je me retournais et elle me fit un de ces jolie sourire avant de s'approcher et me demander ce que je désirais boire. Naoko était resplendissante, sa robe d'un blanc immaculé et mat mettait en valeur ses cheveux d'un noir brillant par sa contradiction. Sa fine ligne était souligné par la forme de sa tenue, s’arrêtant au niveau des cuisses. La légèreté de l'ensemble reflétait bien celle de Naoko. A mon tour un grand et chaleureux sourire se dessinait sur mon visage.

" Wouah ! Naoko tu es sublime ! Sers-moi ce que tu veux, je bois de tout. Nao... J'aimerais t'appeler ainsi. "

Je ne voulais pas gâcher notre soirée en parlant des types croisés dans la rue, ni même reparler de son frère. Je me tracassais pour elle et je pense que ça se voyait sur moi. Elle avait eu du mal à me tutoyer alors en installant le petit diminutif " Nao", j’espérais qu'elle soit plus à son aise.

Quand Naoko revint de la chambre, Raiken avait un cadre dans ses mains. C'était la photo de famille et la jeune kunoichi avait environs....elle s'en rappelait plus. Cet épisode du passé s'était volatiliser depuis l'incident. Nao voulait bien beau vouloir s'en rappeler, mais le souvenir ne venait guère. Il restait endormi, au plus profond de la jeune demoiselle.

Le jeune ninja avoua que la jeune femme était très belle. Ceci fit rougir la ninja. C'était très charmant, surtout avec son beau sourire qui s'affichait sur son visage. Ensuite, il demanda à Naoko si il pouvait l'appeler par son surnom, c'est-à-dire, Nao. Elle laissa un petit sourire. Ses joues étaient toujours rouge-rose par le compliment du jeune homme. Cependant, Naoko ne voulait pas montrer sa gêne. elle voulait lui démontrer qu'elle était tout à fait à l'aise avec lui.

-Merci pour ce compliment. C'est vraiment gentil, Raiken.

Puis elle se dirigea dans sa cuisine tout en disant.

-Et tu peux m'appeler Nao, ça me dérange pas du tout.

Elle prit deux verres et elle fouilla dans son réfrigérateur pour trouver quelque chose à boire. Naoko trouva du bon jus d'orange pur et elle le versa dans les verres. ensuite, la demoiselle rajouta de la glace dans les verres et rangea son jus d'orange dans le réfrigérateur. Ensuite, la jeune femme retourna auprès de Raiken et lui donna son verre de jus d'orange. elle le regarda profondément dans les yeux et lui fit un léger sourire. À quoi pensait-elle en ce moment? Et bien, la jeune kunoichi le trouvait très beau, avec ses cheveux blancs. Aussi, elle le trouvait très gentil, charmant séduisant....elle se demandait si elle devait lui poser la question oui ou non. La jeune femme se ressaisit et rougit un peu des joues. Logique Nao, pas tout de suite ou sinon tu vas lui faire peur.

Alors, elle décida de change sa question pour en connaître un peu plus sur le jeune homme.

-Je ne sais pas si c'est trop personnel, mais.....de quel village viens-tu, Raiken?

Elle pensa un peu et reprit tout de suite.

-Viens, assoyons-nous sur le sofas.

Naoko se dirigea vers son sofas tout en amenant doucement Raiken avec elle. Puis, quand elle fut assise, Naoko lui sourit. Les deux shinobi étaient très proche, car le sofas n'était pas très grand

Spoiler:

Naoko revint avec deux verres de jus d'orange, rafraîchit par deux glaçons. Elle avait une question sur le bout de la langue qui l'a démangeait mais finalement elle fit en sorte de faire toujours plus ample connaissance. Très vite mon kimono blanc se gonflait, elle m’amenait sur son sofa ou on était en contact, comme sous l'arbre au terrain d'entrainement, le confort en plus puisque mon kimono servait de couverture. Sur le moment je fermais les yeux, c'était agréable.. Surtout avec le sourire de Naoko. Cependant sa question fessait revenir quelques souvenirs. Et les paroles que je m’apprêtais à dire me fit penser au plus grand héros que mon coeur connaissait, arrivant en première position à égalité avec Uriô, lui qui avait arrêté cette guerre. Le seul homme que j'avais tué de mes propres mains afin de protéger un imposteur que je pensais être le nouveau symbole d'espoir d'un village et même d'une région. Papa.. Toi qui as sacrifié ta vie pour moi, pour Maman, pour le village, pour le clan. Je n'ai pus te dire qu'une seule fois que je t'aimais et c'est mon plus regret, avec celui de t'avoir tué. Un homme qui a sacrifié sa vie dans l'ombre pour le bien de tout ceux que je connaissais, un père mourant continuant à me protéger en me sauvant la vie, un véritable héros. Je devais me montrer digne d’être son fils, je puisais la force de trouver les mots juste.

" Je viens d'un village très spécial du Pays de la Foudre, composé uniquement de Seki, qui n'a connus que deux jours sombre pendant la guerre, en grand partie grâce à une personne qui monte très haut dans mon estime, mon défunt père. C'est aussi grâce à lui que j'ai réalisé que j'étais sortis chanceux de cette guerre, comparé aux vrai victimes. "

Ne lui raconter que ceci suffisait amplement, il ne fallait pas que je rentre dans les détails. Si elle me les demandait quand même, je serais obligé de me lancer dans un petit speak pour bien qu'elle comprenne. Beaucoup avait plus ou moins souffert pendant cette guerre incessante, c'était même une évidence. Remuer le passé des gens sans réveiller des blessures était risqué, pourtant c'est ce que je m’apprêtais à faire, comme Naoko. Mais notre but n'était pas de se faire du mal, il était bien plus joyeux, on voulait se connaitre, une alchimie spécial était entre nous.. On voulait tout connaitre l'un de l'autre, je pensais tout de même que la notion de temps était aussi nécessaire. Je lui ressortirais surement cette histoire plus tard, pour le moment j'en était resté la, c'était suffisant. C'était donc à mon tour de pouvoir connaitre un fragment de son passé. J'avais d'abord regardé Naoko en lui posant cette série de question, puis mit la photo à coté de son visage, prés des joues, assez pour pouvoir les caresser.

" Et toi Nao, d'ou viens-tu ? C'est bien toi sur cette photo ?"

Spoiler:

Quand Raiken répondit à la question de la jeune femme, Naoko se sentit très coupable. Oui, il avait bien donné son village d’origine, mais elle ne voulait guère lui faire rappeler des souvenirs tristes. La kunoichi se sentait idiote d’avoir demander cette question, mais sa curiosité avait pris le dessus. En faite, ce n’était pas la faute à la jeune ninja, car elle ne savait pas son vécu. Malgré tout, elle culpabilisait. Cependant, la demoiselle vivait de la compassion envers le shinobi. Elle savait à quel point que c’était dur de perdre une personne qu’on appréciait.

Ensuite, c’était autour de Raiken de poser une question. En faite, il avait retourné la question à Naoko. Le problème n’était pas la photo, car la kunoichi savait que c’était elle la fillette sur la photo, mais elle ne se rappelait plus de quel village elle venait. Naoko resta songeuse en essayant de se rappeler son village d’origine. Elle avait un regard vide d’émotion…comme si, en ce moment, la jeune demoiselle était ailleurs. D’où vient-elle? Pourquoi était-elle partie?

Flashback

Une jeune adolescente s’avança devant un vieil homme et fit ses salutations à celui-ci. Le vieux sage s’approcha de la jeune demoiselle pour lui donner un baiser sur la joue, mais celle-ci recula quand il la prit par les joues. L’homme fronça les sourcils, ne comprenant pas pourquoi la jeune fille agissait ainsi.

-Pourquoi cette tête-là? Pourquoi cette arrogance envers moi, ton chef? Hein, Naoko? Demanda le vieux chef d’une voix sec et sévère.
-Je suis ici pour vous dire que je quitte le village, monsieur? Répondit calmement Naoko
-Comment!!! Tu voudrais quitter ta patrie? Tu veux nous abandonner?
-Si je reste ici, j’abandonne la dernière personne qui me tient à cœur.
-Es-tu rendue folle? Veux-tu mourir ou quoi?!?
-Non, je veux seulement qu’il revienne dans ma vie. Si je reste ici, je m’enfoncerai dans les profondes ténèbres.
-*soupir* D’accord! Si tu veux faire ta conne, vas-y. Aller! Va! finit finalement le chef.
-Merci, grand-chef, et à jamais. dit la kunoichi, doucement.

Naoko sortit de la maison du chef avec ses valises et se dirigea hors du village enneigé. Quand elle arriva proche de l’entrée, Nao regarda le village avec un doux sourire. Une larme coula sur la joue gauche de Nao et la kunoichi déposa quelque chose devant l’entrée.

-Rest in peace. dit-elle avec difficulté.

Puis, la jeune adolescente partit en laissant le village pleuré de sa sortie. L’objet laissé devant l’entrée de ce pauvre village était un bandeau métallique qui était marqué sur le tissu ‘’Hayabusa Haku’’. Hayabusa Haku…

Fin du flashback

Naoko se rappela de ce village enneigé, de la maison blanche par la pluie glacée, du symbole… elle venait de Yuki! Naoko venait de Yuki. Voilà pourquoi qu’elle reconnaissait le vieillard de ce matin. C’était tout simplement fantastique pour la jeune femme! Elle avait trouvé un petit fragment de son passé, mais c’était un fragment très important pour la jeune ninja. Son regard s’emplit de joie et son sourire aussi.

-Je viens du village de Yuki, et, effectivement, la jeune fille sur la photo, c’est moi.

Naoko était tellement contente. Elle ne pensait jamais qu’elle aurait trouvé en si peu de temps le nom de son pays d’origine. Cependant, la jeune kunoichi n’avait guère trouvé pourquoi qu’elle n’avait plus de parents. Si son père est réellement mort quand Nao était petite, comment est-il mort? La demoiselle pensa d’aller visiter ce village un jour pour avoir plus de réponse, mais, en ce moment, elle avait un invité. Alors, il fallait qu’elle s’en occupe.

Naoko le regarda profondément, mais un bruit dérangea ce moment très doux pour la jeune femme. Le bruit en question était le ventre de Naoko. Il gargouillait un peu. Elle laissa un petit sourire gêné et ses joues rosirent.

-Euh…est-ce que….tu as…faim, Raiken?

En tout cas, elle oui! xp

Spoiler:

Naoko paraissait songeuse, un moment elle était comme absente. Elle aussi avait du se rappeler de son passé et se demandais comment répondre à ma question, comment aborder le sujet. C'est donc ainsi que je fus surpris par sa réponse courte, n'allant dans aucun détail. Quelque chose clochait, soit Naoko ne voulait pas parler de cette partie de sa vie mais, cette première hypothèse se révélait fausse puisque sinon, elle ne m'aurait pas demandé le mien. Soit elle avait crée ce village avec sa simple imagination expliquant qu'elle avait marqué un moment d'hésitation. Mais comme je le disais, quelque chose clochait. Lors de mon périple à traverser le monde, je crois bien me souvenir d'un village se nommant Yuki. Si elle l'avait inventé de toutes pièces elle était très forte ou bien très chanceuse, mais les probabilités que ça soit cela était faible. Mais Naoko n'était pas le genre de personne qui fessait ça, je le savais, au plus profond de moi. Ma mère ne fessait que de répéter que je devrais devenir juge ou bien diplomate, tellement que j'étais quelqu'un de naturellement compréhensif, ayant toujours de correctes premières impressions.. Lorsque j'en avais.

Et cette impression véridique, je l'avais eus avec Naoko. Je ne savais pas ce qu'il y avait à propos de son passé, mais j'en étais convaincus, il y avait bien la un problème. Soucis que j'apprendrais bien au fils du temps de toutes manières. Elle avait cependant validé que la petite fille sur la photo était bien elle, elle avait l'air heureuse encore à ce moment la. Il n'avait pas fallut attendre longtemps pour entendre l'un des deux estomac gargouillé ! On était le soir, il était tard et l’installation de la nuit commençait à se faire sentir. Les lampadaires prés des maisons étaient tous éteint, ne laissant que ceux des carrefour, au bout de chaque coté de la rue. Suite au bruit et à la gêne occasionné, Naoko laissais un petit sourire, marqué par la honte avec deux de ses petites pommettes toute rouge. Elle était mignonne et son comportement me fessait carrément craqué, timide mais entreprenante lorsqu'elle le décidais, je crois bien qu'elle fait chavirer mon coeur.. Naoko me proposait de manger un peu. Chose que je ne pouvais refuser.

" Et bien ça serait avec plaisir Nao ! Tu viens, on fait la cuisine ensemble ? Personnellement, c'est un plaisir de préparer ce que je mange. Bien que cela ne m’empêche pas d'allez prendre un bon ramen haha ! "

Avoir finis avec un rire détendais l'ambiance, mais ce n'était surtout pas l'objectif, j'avais eus une envie de rire. Rire à ses cotés provoquait plus de joie que les autres. Pas de dîner en tête à tête dans un restaurant romantique donc.. De toutes manières les restaurant était fermés. Je me levais en ayant passé un bras entre le dos et le bras de Naoko, ce qui eut effet de la relever en même temps que moi. Je ne m’arrêtais pas en si bon chemin, je fessais glisser ma main le long de son bras pour l’arrêter au niveau de sa main, que je saisissais. Je la regardais à nouveau avec un sourire, très légèrement réserve, plus caché par la joie et le bonheur qu'autre chose. De l'autre main je posais les deux verres sur la table basse. Je la tirais doucement en direction de la cuisine, enfin ce que je pensais l’être. Elle était venus par ici avec les deux récipients.

" Allez viens, j'ai besoin de toi pour savoir où est où ! "

Le 17/12/11:

Le jeune shinobi accepta la proposition de la jeune kunoichi en ricanant. Elle ne put s'empêcher de laisser un petit rire s'échapper entre ses lèvres. Naoko le trouvait charmant et amusant. De plus, ce jeune ninja avait l'air si honnête, pur, gentil, généreux... elle se sentait bien à ses côtés et cela faisait longtemps que la jeune femme n'avait senti un sentiment aussi fort envers un garçon. Peut-être que la shinobi n'avait jamais senti un tel sentiment auparavant... elle n'en savait guère.

Le jeune shinobi leva doucement Naoko et l’emmena dans la cuisine. Durant le parcours, Raiken glissa sa main sur le bras de Naoko et prit la main de celle-ci. La jeune kunoichi laissa un léger sourire avec de belles joues roses. Pendant le chemin, Naoko pensa au souper de ce soir. Qu’est-ce que la jeune demoiselle allait préparer pour Raiken ? Peut être du poulet rôti ? Non, pas original. Peut-être une soupe à l’ognon gratinée ? Non, trop long. Qu’est-ce qu’elle pouvait faire ? Nao se dit qu’elle le saura quand les deux amoureux shinobi seront rendu à la cuisine.

Arrivé dans la cuisine, le jeune ninja proposa de faire la cuisine ensemble et ceci dérangea point la jeune demoiselle. Elle arriva devant le réfrigérateur et ouvra la porte. Nao regarda les aliments qu’elle avait et eut une petite idée de souper. Pourquoi pas une crème de brocoli maisons avec des sushis ? La demoiselle trouva son idée géniale et sortit tous les ingrédients nécessaires pour le souper en tête à tête. Elle laissa un léger sourire à Raiken avant de sortir la casserole et les outils pour ce souper.

-Bon, le souper sera une crème de aux brocoli maison et des sushis. Ça te convient ? Ah, et, tu pourrais faire les sushis pendant que je fais ma crème de brocoli, d’accord ?

Après la réponse de Raiken, Naoko commença sa préparation. Elle faisait sa bonne crème de brocoli pendant que le ninja préparait les sushis. Parfois, quand Naoko avait le moment, elle regardait le jeune Seki faire les sushis en rougissant des joues. Cependant, quand elle voyait que le jeune homme bougeait sa tête, la jeune femme retourna dans sa crème. Nao avait une étrange attirante envers ce jeune homme, mais elle ne pouvait rien faire pour que sentiment arrête. On pouvait dire que la kunoichi aimait le shinobi aux cheveux blancs comme de la neige. Par contre, va-t-elle avouer son attirance envers lui ? Nao pensa que ça ira avec son courage, mais, en ce moment, pendant qu’ils préparaient la nourriture, elle n’était pas prête.

Quand la nourriture fut prête, la jeune kunoichi plaça la belle nappe d'un rouge très pâle et la table. Nao baissa la luminosité de la pièce, car elle n’aimait pas vraiment manger pendant la luminosité des énergies lumineuses artificielles. Ensuite, Nao invita Raiken à prendre place et elle se plaça à côté du jeune homme. Naoko laissa un léger sourire.

-Merci de m’avoir aidée et bonne appétit.

Nao goûta aux sushis du jeune ninja et laissa un petit sourire sur le coin de lèvre. Elle fit des yeux doux et le complimenta.

-Tu as fait de très bons sushis. Je suis fière de toi.

Et elle continua à manger. Après quelques secondes, la jeune kunoichi avait décidé de prendre un peu de pain pour sa crème, mais, au moment ou elle étira son bras pour prendre un bout de pain, la main de Naoko prit contact avec celle de Raiken. La peau du shinobi était très douce au toucher. Les joues de la jeune demoiselle rosies et le stress de Naoko s’intensifiait. Elle se dit de se calmer mentalement et décida de s’excuser.

-Euh…je…euh….je……je te laisse le prendre. Je….euh…..je suis désolée.

Elle laissa un petit sourire de gêne. Tout d’un coup, la timidité de Naoko s’arrêta quand ses prunelles émeraude croisèrent le regard de Raiken. Mademoiselle Haku le regarde profondément et passionnément. Elle ne savait plus quoi faire. Devait-elle faire le geste ou non ? Devait-elle dire ce qu’elle ressentait pour lui ou non ? Nao était confuse, mais la jeune demoiselle voulait tellement lui laisser un baiser sur ses lèvres….devrait-elle le faire ?

Spoiler:

Naoko était devant le réfrigérateur et sélectionnait les ingrédient après un court répit de réflexion, avant de sortir la casserole et les outils de cuisine, tout en me glissant un sourire. On allait manger une crème aux brocolis avec ses accompagnements de sushi. L'annonce était faite et c'était moi qui était chargé de préparer les sushi, de toutes façon je n'avais aucune idée de comment préparer la sauce. Je n'avais pas entendus parlé de ce plat alors que j'étais quelqu'un de très cultivé.. Dans le domaine culinaire en tout cas. Cela devait certainement être une recette de famille qui a été transmisse génération après génération. Je me mis donc à la tache qui m'étais assigné en commençant par prendre comme support une natte de bambou. Je saisis le poisson et un couteau, afin de le couper en deux dans le sens de la longueur. Je pris la bande de nori, l'enrobage noir du sushi et y déposais du riz légèrement vinaigretté en prenant le soins de laissez dégagé un petit espace pour pouvoir, plus tard, refermer le tout. C'est ensuite une herbe japonnais culinaire dont le gout se rapproche de celui de la moutarde nommé Wasabi que je rajoutais sur une fine ligne tout le long de la préparation. Avec la nappe de bambou j'enroulais tout ceci et fis une légère pression sur l'ensemble. Je repris le couteau que j'avais utilisé avec le poisson que j'humidifiais. Je dégageais le rouleau de sushi de la nappe de bambou pour pouvoir le couper en rondelle suffisamment grosse. La préparation était enfin finis.

Nao elle, avait eus le temps de nappé sa table de rouge et de baisser la luminosité de la pièce. Elle.. Fessait ça pour ? L'idée qu'elle s’intéressait à moi me vint à l'esprit et qu'elle me sortait l'ambiance romantique, peut-être que mon restaurant romantique, j'allais l'avoir.. On s'assit donc à table pour commencer à dîner et des les première paroles, Nao me complimentait sur mes sushi. La sauce était très bonne et je tendis mon bras vers le panier à pain qui reposait sur la table pour finir mon assiette lorsque Nao allait faire de même. Dans le même geste, nos mains se rencontrèrent en se tâtant, alors qu'ils étaient à la recherche de pain. Un effet de surprise.. Des plus agréable.. La main de Naoko semblant fragile par sa taille et en bonne santé par sa douceur. Je relevais mon regard qui était encore dans mon assiette vers son visage et c'est dans ses yeux que je vis cette flamme qui brûlait. Un regard ardent et sensuelle qui me donnait soudainement envie de jouer avec ses lèvres. Ce regard intense et profond fessait valser ma peau sous les rythme endiablé de mon coeur. Je la regardais toujours et encore, comme si c'était une drogue dont je n'arrivais plus à me passer. Je ne sais combien de temps on restait ainsi mais un battement plus fort que les autres me fis revenir à moi. Je venais à peine de retrouver mon chemin alors que ses yeux à la densité inégalé, pour ma part, m'avait totalement bouleversé, d'une tornade de sensation plus agréable les un que les autres. A quel point je l'aimais ? A quoi serais-je prêt pour être à ses cotés ? Et jusqu’où serais-je capable d'allez ou de réaliser pour elle ? Autant de question sans réponse, ou presque. Tout. Pret à tout simplement.

- " Nao.. Excuse-moi.. "

Ce n'était pas l'envie qui me manquait mais ce n'était pas correct. Elle m'avait invité et je voulais que ce soit parfait lorsque nos lèvres se toucheront pour la première fois. Pour elle.. Combien de temps allais-je lui résister ? La tentation était énorme et mes sentiments des plus sincères et forts. Je ne pouvais imaginer la possibilité d'échec, j'étais amoureux, tout était possible à mes yeux. Je venais de dire cela en ne voulant pas faire paraître tout cela, mais je me mentais bien à moi-même..

Les deux shinobi se regardèrent profondément dans les yeux pendant quelques instants. Les prunelles de la jeune demoiselle brillaient de passion et d'amour. Elle ressentait beaucoup de sensations étranges, mais agréables. Elle voulait donner ce baiser qui serait tendre, doux et délicat à Raiken, mais Nao ne voulait pas l'effrayer par son désir. La kunoichi souhaitait seulement que le ninja reste à ses côtés. L'affection envers ce shinobi était-elle aussi grande que ça? Oui. Était-elle prête à une relation, même si Mademoiselle Haku connaissait peu ce jeune gentleman? Probablement... Même si Naoko essayerait cacher cette attirance, les prunelles de Nao ne pouvaient point mentir. Ça se voyait très bien que Naoko était amoureuse de Raiken.

Tout d'un coup, Naoko fut surprise, car le jeune ninja s'excusa. Elle se demanda pourquoi qu'il s'excusa. Ce n'était pas de sa faute s'ils ont senti une certaine chimie entre eux. En faite, c'était en partie de la faute à Naoko. Elle n'aurait pas du le regarder ainsi. D'après elle, Nao aurait du rester neutre, comme ça, il n'aurait pas été mal à l'aise. Alors, la jeune kunoichi baissa les yeux et la tête, évitant un peu le regard de Raiken pour ne pas tomber dans une hypnose totale et s'excusa à son tour calmement.

-Tu n'as pas à t'excuser Raiken, ce...ce n'est de ta faute. En faite, je crois que c'est de la mienne et je m'en excuse vraiment. *temps* Bon, mangeons maintenant. D'accord?

Elle laissa un doux sourire au jeune homme, puis, retourna dans son assiette. Pendant quelques instants, Nao mangea tranquillement sans vraiment se préoccuper de Raiken, puis, elle le regarda du coin de l’œil. Cependant, elle ne voulait pas le regarder de face, car l'eiseinin avait les joues très rouges par la honte et la gêne. Pourquoi de la honte? Et bien, Nao avait perturbé son invité et elle avait honte de son geste. Honte de l'avoir bouleverser. Comment va-t-il la regarder en face maintenant? Insupportable! Elle n'était point capable de s'imaginer la scène tellement que c'est insupportable.

-Est-ce que...euh....tu as aimé...la crème de brocoli? dit-elle finalement.

Tout d'un coup, la jeune fille se rappela d'un truc. Elle travaillait le lendemain et il fallait que l'eiseinin se réveille très tôt pour passer ses patients. C'est alors, qu'après cette réflexion, la demoiselle eut comme réflexe de regarder l'heure et elle vit qu'il était déjà assez tard. La femme ne savait pas quoi faire. Soit qu'elle ne se couchait pas tout de suite et reste avec Raiken ou soit qu'elle demandait à Raiken de partir et va se coucher pour être en forme demain. Nao ne voulait pas tellement choisir, à moins que....

La jeune ninja leva sa tête pour regarder son invité et pour lui proposer quelque chose.

-Raiken...si tu veux dormir ici, ça me dérangerait pas. Cependant, je veillerai pas trop tard, car je travaille demain. Il y a le canapé qui peut servir de lit ou sinon j'ai mon lit double. Et, si tu veux des vêtements pour gars, et bien j'ai les vêtements de mon frère quand il avait à peu près ton âge. Ça, c'est si tu veux, je ne te l'oblige pas.

Par contre, ce que Nao ne disait guère, c'est qu'elle aimerait qu'il reste pour faire plus connaissance, vu que la jeune sentait une attirance particulière envers ce ninja. Cependant, Naoko avait peur pour sa future réaction. Comment va-t-il réagir? Serait-il surpris? Dégoûté? Elle ne savait guère comment qu'il allait réagir et se trouva maintenant imbécile d'avoir poser cette question. Pourquoi avais-tu demandé cette question, Nao...

A noter que..:

Cette alchimie entre eux, ces excuses alors qu'il n'y a aucun tord. Avec ce comportement charmant mais ridicule, nous pouvions bien qualifier ces deux êtres de personnes amoureuses. Chacun s'attirait envers l'autre, chacun sentait cette irrésistible envie de s'embrasser. Pourtant, pour être à la hauteur de celui ou celle qu'ils aimaient, ils résistaient. Cependant Naoko franchit un grand pas. Inviter Raiken à dormir était une demande des plus gênante surtout lorsqu'on connaissait les sentiments des deux jeunes adultes, elle avait surmonté sa pudeur et sa timidité. Ceci fit brutalement changer la respiration de Raiken dans un petit gloussement discret. La surprise et l'étonnement, voilà ce qui le fit réagir ainsi. Mais c'est dans ces paroles qu'il retrouvait son sourire et son assurance.

« Oui bien sur, j’accepte ton invitation Nao. »

Quand ils eussent finit leurs assiettes, Raiken se proposait naturellement pour les ramener dans la cuisine pendant que Naoko allait chercher les vêtements de nuit de son frère. En même temps, ils rentrèrent de nouveau dans la salle à manger, en marchant l'un vers l'autre. Nao tendit les affaires et c'est avec ce contact que les deux amoureux se mirent d'accord sur la chose suivante ; S'habiller chacun dans leurs pièce. Ils sentaient une attirance mais ils n'étaient pas marié.. A quoi vous attendiez-vous de leurs parts ? Peu de temps après les changements de tenues, Raiken vint voir Naoko qui était monté dans sa chambre. Il frappa et entendis d'avoir la réponse pour pouvoir entrer. C'est donc dans les affaires du grand frère de Nao qu'il se présentait devant la jeune fille. Raiken eus visiblement un moment d'hésitation avant de demander s'il pouvait dormir dans le lit double dans la chambre de son hôte. Peut-être était-ce dus au souvenir que cela pouvait remonter pour Naoko, ou bien encore au courage qu'il fallait posséder pour demander une telle chose à une si charmante fille.

« Je peux dormir avec toi s'il te plait.. Le canapé fait du bruit lorsque je bouge et je me demandais.. Si tu... Même si tu travailles demain.. »

L'hésitation se fessait en effet ressentir. Ce n'est pas coutume de demander une telle chose mais par on ne sait quel miracle, il se réalisait. Le jeune homme et la jeune femme se retrouvaient donc dans le même lit. Avant de se coucher, ils fermaient les volets et éteignirent la lumière. Une fois dans le lit, chacun n'osait pas bouger pour ne pas déranger son partenaire de nuit à s'endormir et c'est donc souvent ensemble qu'ils exécutaient les mouvements pour trouver la position idéale. Jusqu’à ce que.. Avec leurs yeux s'étant habitué à l'obscurité, il se retournèrent et leurs regard se croisèrent, pouvant identifier le visage à coté de qui ils étaient. Sous une pulsion, Raiken mit sa main sur la joue de Naoko pour la caresser puis fit de même en glissant sur ses lèvres juste avant .. D'y déposer un baiser...

(#) Sujet: Re: Petite soirée (pv Raiken Seki) Ven 23 Mar 2012 - 23:52

Les battements de coeur de la douce demoiselle ralentirent. Naoko fut ravie d'entendre la réponse positive du shinobi. Donc, la jeune femme se dirigea vers sa chambre et ouvrit le garde-robe. Ensuite, elle prit une boîte qui écrit écrit en gros ''Nii-san'' et sortit des vêtements qui appartenait à Akio. Maintenant, les tissus que la kunoichi détenait dans ses mains allaient être porter par le jeune Seki. Elle laissa un petit soupir et se dirigea vers la cuisine pour porter les vêtements à Raiken. Quand les deux ninja croisèrent leur regard, Naoko laissa un petit sourire et alla dans sa chambre pour se changer. Elle mit une robe courte blanche et bleu poudre et accrocha la belle petite robe blanche dans sa chambre. Soudain, elle entendit cogner et invita Raiken à entrer. Il lui demanda s'il pouvait dormir dans le lit double de la douce femme. Mademoiselle Haku laissa un petit sourire et accepta timidement cette proposition. Les deux jeunes adultes s'installèrent dans le lit et n'osèrent pas trop bouger, par peur de déranger son voisin. Quand la petite adulte se colla un peu sur Raiken, elle ressentit une étrange sensation, mais elle ne s'en préoccupa pas pour autant.

Après plusieurs minutes, les yeux des ninja se croisèrent. Naoko sourit timidement et, tout à coup, le jeune Seki déposa sa main sur le visage de la demoiselle et caressa lentement la joue de celle-ci. Les joues de la femme rosirent. Nao fut surprise de son geste et la sensation qu'elle ressentit s'amplifia, mais la kunoichi ne s'en préoccupa pas pour autant. La eiseinin sentit sur ses lèvres quelque chose de très humide et doux. Les lèvres du garçon étaient sur celles de Naoko! Donc, elle ferma les yeux et essaya de prendre plaisir, mais l'étrange sensation se développa. C'était comme du...dégoût. Non pas parce qu'il était affreux, puait et/ou embrassait mal. Bien au contraire! Mais toute la passion disparue par ce baiser. C'était comme si elle était en train d'embrasser son grand frère, car le comportement du shinobi ressemblait énormément à celui qu'elle recherchait...

La femme arrêta subitement le baiser et sourit tout en essayant de cacher sa tristesses et ses larmes. Elle lui chuchota dans l'oreille du shinobi avant de s'endormir.

-Bonne nuit, Raiken.

***

Au matin, vers 5hoo, la eiseinin se réveilla et se prépara. Elle prépara un déjeuner non seulement pour elle, mais pour le Seki qui dormait paisiblement. Naoko partit. Cependant, elle avait laissé à Raiken un petit papier sur la table à manger.

''Bon matin Raiken,
Je voudrai m'excuser pour mon comportement d'hier soir. En fait, je ne sais pas si tu as ressentis la même chose que moi, mais j'ai ressentit une étrange sensation. Alors, je ne crois pas que les sentiments que je ressentais hier pour toi était de l'amour. C'était plutôt...comment je pourrais dire ça...comme un amour fraternel que j'ai perdu avec mon frère il y a plusieurs années de ça. Je suis désolée de t'avoir fait perdre ton temps hier... Cependant, j'aimerais qu"on reste des amis proche. Enfin...si cela ne te dérange pas! Ah et je t'ai préparé un petit déjeuner. Il est dans le réfrigérateur. Tu pourras le réchauffer.
Bonne journée!
xxxx
Amicalement,
Nao''

Spoiler:

Oui, nous pouvions les qualifier d'amoureux en les regardant, mais la vérité était tout autre...

*****

Mon cœur.. Il s'était serré comme lors du départ de la charmante Kadoria. La même sensation, ou presque ! Elle s'y rapprochait tellement.. Mais pourquoi pensais-je à elle alors que j'embrassais Naoko, qui était tout autant splendide. La jeune femme allongée à mes cotés était si belle et je sentais réellement une attirance. Ne refusant pas mon baiser, il semblait qu'elle était dans le même cas que moi. Au plus profond de nous, on savait que cette relation n'aurait qu'une échappatoire; l’échec. Mais Nao s'en était rendus compte bien plus vite que moi. Arrêtant le baiser, elle me souhaita une bonne nuit, en me chuchotant dans l'oreille. Quelque chose n'allait pas – mais je n'avais pas le recul nécessaire pour m'en apercevoir – et reposa la faute sur son travail du lendemain. La jeune médecin avait un poste à tenir. M'endormant sans soucis, je me réveillais délicatement grâce à l'éclat aveuglant du soleil qui avait réussit à se faufiler par je ne sais quel moyen jusqu'à mes yeux. Combien de temps avais-je dormis ? Assez pour que le soleil soit assez haut pensais-je, et assez pour que mon ventre gargouille, prit d'assaut par la faim. En descendant, une fine odeur se présentait devant moi sur la table à manger de la maison de la Kunoichi. A coté, un petit papier gribouillé avait été placé par une délicate attention de l'eisei-nin. Saisissant la feuille blanche, je lus en commençant à sourire. Comprenant soudainement toutes la profondeur et la complexité de mes sentiments envers la fille de la famille Haku, je reposais le papier en mangeant avec appétit ce que la demoiselle m'avait préparé. N'étant pas ingrat du geste qu'elle avait fait, je pris une plume pour écrire moi aussi à mon tour.

Le petit déjeuner que tu m'as préparé était exquis, je ne peux que t'en remercier. J'aimerais cependant que tu acceptes mes excuses pour cette nuit, sans quoi je ne sais pas si je serais en mesure d'accepter les tiennes. Pour moi aussi, tu m'as fais penser extrêmement fort à quelqu'un que j'aime et qui me manque terriblement. Alors pour répondre à ton souhait, oui nous resterons amis. Gardes espoir que le jour ou tu reverras ton frère est lieu, car je le jure sur ma parole, j'aiderais autant que je le peux à ce que ce moment arrive. C'est un serment d'amitié Nao !

Quittant alors les lieux, je ne pus m’empêcher à repenser à Kadoria Yui, mais une pensée tout autre me fis stopper dans ma marche. Père ! Un être qui me manque terriblement et que j'aime.. Bordel, une goutte s'était échappé de mon œil.

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Petite soirée (pv Raiken Seki)

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