Tori no kuni a ouvert ses frontières et son commerce depuis le début de l'ère de la guerre. Mais nombreux sont les conservateurs qui rêvent de rendre au pays des oiseaux l'indépendance économique qu'elle avait jadis. C'est dans cette optique qu'un groupe d'activistes, plus audacieux et surtout moins délicats et discrets que leurs camarades, ont décidé de monter un blocus sur la frontière Tori-Sunajin. Ils ont érigé un mur composite, fait de tout ce qu'ils ont pu trouver, ninjutsu à l'appui, sur plusieurs kilomètres. Officiellement le pays des oiseaux fait des efforts pour calmer l'affaire, mais tout le monde se doute que cette révolte s'achève aussitôt que Suna aura envoyé des soldats sur les lieux pour mettre un terme à cette mauvaise plaisanterie.Ces soldats, ça sera vous. Pas d'erreurs diplomatiques, des relations commerciales sont en jeu.

Enfin une mission où l'on va pouvoir casser des têtes, faire ravaler des fiertés. Enfin une mission digne d'un guerrier comme moi. Enfin dans la mission une chose me tâte. « Pas d'erreur diplomatique »? Ben quoi, je suis hyper diplomatique, j'ai toujours réussi à faire des affaires du tonner. Par exemple, avec le chef du bistro, souvent je fais un truc du genre. Je ne lui casse pas la Gueule, si je bois à l'œil. Soit il dit oui, soit non, mais dans les deux sens je gagne la négociation, avec même un cadeau s'il dit non. Je veux bien entendu parler de mes phalanges. Un défouloir gratuit, elle n'est pas belle la vie ? Bon j'attrape la gamine, go en route Point de rendez-vous ? Devant un pont ou d'après les dires il y aurait un nouveau mur. Un truc que normalement il ne devrait pas y avoir. J'ai toujours aimé faire le démolisseur, j'ai un don inné pour ça. Casser c'est les pieds. Par contre je n'ai jamais eu de don pour ce qui est de l'inverse. Réparer, ce n'est pas pour moi.

J'ai donc le désert à traverser seul. Enfin avec l'enfant, donc disons moi plus la moitie d'une autre personne. Traverser le désert n'est pas vraiment une gêne. Je ne peux compter le nombre de fois à laquelle s'est arrivé que je le fasse. Au moins quand c'est comme ça mes tympans ne s'irritent pas. Puis je peux manger sans donner une part à mon voisin. Déjà que je n'en donne pas souvent quand j'accompagne une personne. La chaleur est à son comble. Autant que dans notre désert ce n'est pas inhabituel, mais là c'est une vraie canicule. Une vraie canicule meurtrière de vieux croulant. Ce n'est pas si mal. J'aurais moins l'envie de finir la vie de ses hommes moi-même. Voir des croulants pareils me peine. On devrait donner une date de péremption à ses mecs. C'est vrai quand ils peuvent même plus marcher à plus de 2m/h ce n'est plus possible.

Arrivé au point de rendez-vous avec une heure de retard. Je me mets à voir qu'un grand nombre de personnes semblent être mécontentes. Comme bon samaritain aimant se plaindre, je suis plutôt content. Me mélangeant dans la foule, enfin comme je peux vue que ma taille dévoile une bonne partit de mon corps, je n'étais pas vraiment discret. Les gens criaient des choses du genre :

C'est inadmissible.

Non, mais il faut les abattre une bonne foi pour tout.

Même pas capable de faire leur travail ses bons à rien.

Autant dire que j'étais chaud. Ses gents étaient totalement dans ma positive attitude. Ils exprimaient leurs rages de manière si simple, un véritable spectacle de rage. Voyant tant d'amertume contre le monde entier, je me suis mis à me mettre de leur côté et à pousser un :

Quelle bande de glands si je les chope, je les massacre.

La réponse fut rapide:

Ouai ses sales Ninjas du village de Suna ne sont même pas capables de venir à l'heure. Quelle bande de boulets.

Hein, mais. Attends deux secondes. Je suis un ninja de Suna ? Je suis en retard. Hoo putain les bâtards, ils sont en train de m'insulter ses cons. Furieux de voir ses enfoirés de première m'en mettre plein la gueule. Gueulant comme un âne, je me mets à faire surgir mon aura autour de moi. Telle une bête enragée les gens autour de moi se mirent à se taire. Suite à cela fardant cette aura active je me mets à dire :

Le prochain qui m'insulte je lui dégomme la tête.

technique:

Bon je ne leur en veux pas de râler sur l'attente d'un homme comme moi. Ils n'ont pas due être informés que c'est moi qu'ils avaient comme honneur d'avoir pour réalisateur de mission. Après avoir commencé à montrer du poing, je vois mon collègue qui semble vouloir me calmer. Moi me calmer, autant dire à un menuisier de ne plus toucher à du bois. Improbable. Bon des fois la grâce s'en mêle et les miracles se produisent. Bizarrement comme dans son habitude l'autre gamine se met à me mordre l'oreille quand j'allais commettre une gaffe qui aurait pu me mener aux geôles du village du sable. Oui un royal plaquage au sol et mes nerfs furent calmés. Oui l'enfant donne souvent du sien pour me changer les idées. Moi calmé, les passants rassurés par les mots de mon camarade lilliputien blondin. Celui-là se met à demander le problème. Tousses à l'unanimité montre le mur bloquant le passage de la frontière entre notre pays et les continents voisins. Un petit regard à mon collègue et nous nous sommes bien compris. Marchant droit vers le mur avec un sourire qui est accompagné d'un petit bruit montrant ma satisfaction. Je me mets à crée mon arme favorite tout en disant :

Mesdames et messieurs, je vous prie de dégager le passage. De vous éloigner du mur et pour les cardiaques de vite fuir les alentours. Aussi pour ceux qui risquent des allergies à cause de la poussière. Ben désolé.

Arrivé au niveau du mur prenant à deux mains mon marteau. Je me mets à taper un bon coup dessus. Un bruit de plus assourdissant en résonne. Pourtant je pue ne faire qu'une petite fissure. Etonné j'en montre des yeux des plus ébahis. Après cela je peux voir la fissure disparaitre, comme si le mur se régénère des dégâts que j'ai produits. Après à fin du résonnement je peux entendre de manière minime, des rires de l'autre côté du mur. Un poil irritant se truc. Mécontent, mon crie fus poussé dans les hauteurs pouvant atteindre l'olympe.

(Phénix)Goren toi aussi tu as entendu.

Ouai, hé Yoshi. Y a du monde de l'autre côté. Autant dire que je vais fracasser tout ce beau monde. Leur faire arracher les boyaux.

Je vais les tuer un à un et ce n'est pas une façon de dire. Suna l'autorise ? Je ne sais pas et je m'en contre fou. Si j'en ai la possibilité ils seront morts de mes propres mains. Certain peut trouver ce mur comme un défi à prendre. D'autre comme une énigme a élucidé, certain comme une idée astucieuse. Pour moi la première hypothèse aurait pu être le cas. Du moins si cela ne m'avait pas mis la honte devant une centaine de personnes. Je ne sais pas le nombre de mecs de l'autre côté et je ne sais pas non plus leur force. Je ne suis pas suicidaire et c'est donc avec cette idée que je me mets à dire :

Je peux passer le mur en passant sous terre.

Oui, mais pour cela faudrait savoir qui il y a derrière.

technique:

Moi tuer personne rien que par ce que un type me le demande. Ha, ha je rigole, enfin il a une qualitée que je ne peux enlever c'est son calme. Oui il a fait deux missions avec moi, un entrainement assez loufoque et pourtant il n'a jamais au grand jamais était énervé. Toujours calme, c'est plutôt cool d'avoir un type à côté de soi qui arrive à me supporter. Oui son change. L'idée du passage sous terre anéantie en deux secondes. Son idée de monter le mur. Raté en le tentent, on voit que c'est bien trop risqué. Bon, case départ, il faut casser le mur. Yoshi, la petite bête verte se met à reculer en nous demandant que l'on s'écarte. Sans rien dire, je fis pareil. J'ai vu ses capacités et s'il pense pouvoir casser le mur, il doit pouvoir le faire. Du moins assez pour pouvoir passer. Les signes d'incantations fêtent. Le rhino se met à apparaitre pour foncer dans le mur. Un trou se forme. Pourtant il recommence à se restituer. Ni une ni deux, sans même attendre qu'on me le dise. Usant de mon Kiton afin de ne pas recevoir de dégât pendant le passage qui est un poil plus petit que moi et donc dont j'ai dû un peu casser en même temps les côtés.

Passé, la poussière m'empêche de voir pendant quelque secondes. La vue de nouveau accessible ce que je vois m'étonne. Les Même briguant que ceux qui ont mis le feu au tour de Suna. Comment je les reconnais ? Ils ont la même bannière sur eux. Un sourire. Moi qui pense devoir rendre des comptes après avoir fait une tuerie dans leur groupe. Je suis soulagé d'un poids. Pourtant le nombre d'hommes de l'autre côté est assez nombreux. Réussir à tousses les tuer en sachant que certain maitrise l'ars Ninja semble bien compliqué. J'aime les défis, puis l'objectif principal n'est pas de tousses les tuer, mais de les écarter du mur. Plusieurs ne semblent pas vouloir quitter le mur. Mon marteau est encore de l'autre côté. Je pourrais en refaire un, mais j'ai une toute autre idée. Construisant une épée d'une taille phénoménale. Je fais des signes incantatoires tout en courant en direction des Ninjas proches du mur. Laissant mon arme je transperce le corps des trois premiers et les autres se mettent à reculer du mur. Pourtant cela n'a pas suffi. Ses hommes ont bien compris que si personne ne tiens le mur. Un autre comme moi risque de faire son apparition. Pourtant un sourire prolonge mon action. Montrant la paume de ma main de l'autre côté afin d'éloigne ceux qui ont pris place de l'autre côté je montre un sceau qui est posé sur la paume de ma main. Une trentaine de Senbons apparaissent pour se projeter en direction de ses hommes. Aucune chance qu'ils y survivent s'ils ne s'éloignent pas du mur. Ce qu'ils font. Bien entendus des Senbons les touche, mais pas suffisamment pour les tuer :

YIOSHI, MAINTENANT

Trois victimes et une possibilité de faire un trou béant pour qu'il passe. À la vue des victimes je suis sûr que mon chef d'équipe risque de me râler dessus. Sauf s'il pige avant que ses des malfrats que l'on a en face de nous.

J'aime quand ça saigne, quand les coups se donnent et ce renvoi. Le mur n'est plus prisé de ses malfrats. Ils me ciblent maintenant. Parfait, l'autre gueux va pouvoir passer le mur sans problème. Du moins s'il le fait vite. Laissant un petit :

Le premier qui touche au mur sera le premier mort.

C'est surement pour cette menace qu'ils ont optés de me neutraliser en premier. Des adversaires arrivent sur moi. D'une bonne biffe trois hommes voles plus loin. Pas de morts sur ce coup. Il devrait être content le chef de mission. Je n'en tue pas à chaque assaut. Les attaques se succèdent et le plaisir s'accroit. Par chance, pour qui je ne sais pas, mais mon collègue vient d'arriver. Trois autres arrivent, je donne un bon coup de poing à l'un d'entre eux. Mort, assommé ? Je ne sais pas vraiment. Ce qui me gêne par contre c'est les mots de mon compagnon d'armes. Il m'avait dit quoi déjà ? Ah oui ne pas tuer. Ho mais y en a assez. Promis je ne compte pas tousses les tuer. Voulant répondre, ma phrasé débute comme ça :

Quoi ? Je pensais qu'il ne fa......

Bam, un marteau en plaine tête. La mienne et celle de phénix. Phénix Out moi ben, un poil dans les vapes. Assez pour que les deux autres puissent m'insérer leurs deux lames dans mon torse. Du sang se met à couler de ma bouche. Une mare de sang causé par le sang sortant de mes deux plais se dessine sur le sol. Je vois trouble et le marteau tombant sur mes assaillants fait bouger mes lames plantées dans mon corps. Cela n'aide pas car cet effet agrandit les deux plais et si par réflexe j'arrive à protéger les organes importants des dégâts. Le sang coule à flot, la petite au sol, je commence à voir rouge. Rapidement, je mets une jambe au sol. Enfonçant ma main dans le sol, je me mets à attraper l'enfant dans ma main. La posant comme un sac à patates sur mon épaule, j'arrache ce qui me sert d'habit qui protège le haut. Je tente d'arrêter l'hémorragie en mettant le tissu sur les deux plaies et use d'une technique sur moi-même une technique servant normalement à gêner les mouvements d'un adversaire. Ça me gênera dans mes mouvements, mais avec ça, le sang ne coulera plus. Le sourire ne quitte quand même pas mes lèvres. Pourquoi ? Ben, simplement par ce que je m'amuse comme un fou. La mort n'est pas une chose qui me fait peur. C'est une vie ennuyeuse qui est mon pire cauchemar.

Bon, je n'en n'ai pas fini avec vous.

Utilisant une technique d'autoguidage pour ramener mon épée à moi. Je pointe mon marteau face au groupe le plus nombreux avant de lancer la tête du marteau et reprendre en même temps mon épée en main.

Quelle bande de cons. Pourquoi ce type se montre par la simple première provocation. Vraiment ce type est un crétin. Aucune idée des stratégies des guerres. Je ne semble pas comme ça, mais s'il y a une chose que je trouve important c'est cette idée des combats que je me fais. Je ne crains pas la mort et donc foncer dans le tas ne me gêne pas. Mais voire ses larves trembler et pourtant foncer à la mort est dans un sens jouissif. Ils veulent vivre à tout prix et pourtant fonce vers la mort. Je ne comprendrais jamais les idées qu'ont ses hommes sans raison. C'est clair leur vie n'a vraiment pas était la même que la mienne. Mon sang coule et pourtant mon âme demande encore le sang de mes assaillants. Il est clair que ce combat est perdu d'avance si je joue le con. Nous avons beau être forts. À deux, la défaite est certaine, surtout avec le nombre que l'on a en face de nous. Je ne sais même plus comment j'ai fait pour réussir à les éloigner du mur. Un instinct de survie surement. J'ai réussi à arrêter l'hémorragie. J'ai pourtant perdu beaucoup de sang, ma vue est trouble, un bruit de sifflement brouille mon ouïe. Pourtant j'ai bien entendu ce que veut dire Kyoshi. Je me mets à poser ma main sur son épaule pendant qu'il commence sa phrase. Passe entre lui et un de ses clones pour passer devant tout en disant :

La pitié pour d'autre. Kyoshi, t'est cool dans ton genre, mais j'ai connu des moments bien plus critiques que celui-là.

Hmm, pour une fois que je l'appelle par son nom. Pff, j'espère qu'il ne va pas me faire une de ses phrases à l'eau de rose pendant le retour. Ma marche se fait saccadé et on peut nettement voir que le sang perdu amenait ma force. Après trois ou quatre pas avec mon marteau trainant au sol. Je me mets à regarder ce type, le costaux qui semble être le chef de la meute. Celui-là semble moins apeurer que les autres. Me mettant à parler assez fort pour que ma voit passe au-dessus du bruit que fait le groupe. Je donne ses mots à se soit disant chef :

Tu souhaites la paix ? Arrête de te leurrer mec. Ce n'est pas un mur qui va te l'amener et tes traditions merdiques je les utiliserais pour me torcher le trou de balle après une gastro qui c'est trop prolongé. C'est simple, je suis le plus faible des deux. L'autre derrière moi est encore plus sadique que moi. Un vrai tyran, il bouffe des nouveaux nés au petit déj tu voix l'image. Donc vous pouvez gagner, mais vous aurez un nombre conséquent de victime et sache que ce n'est pas pour me déplaire.

Hé tu proposes quoi ? Que l'on parte sans rien dire ? Tu nous prends pour des cons ?

Hhoo non si tu fais ça, sache que je trouverais qui t'es et tuerais toute ta famille. Je n'aime pas les lâches. Viens te battre face à moi. Le lâche. Celui qui gagne impose au perdant ses obligations. Le nombre de victimes passera d'une centaine à un seul. Sache une seule chose. Je ne m'arrêterais pas à un K. O. Face à moi tu y mets ta vie en jeu. Bon je suis généreux, amène trois de tes potes ce sera plus équitable le lâche.

Un sourire se lit toujours sur mes lèvres. Qu'il accepte ou non, j'en aurais pour mon compte. La mort ne me fait pas peur. Pourtant je ne suis pas non plus un suicidaire. Jouer le bluff en partit me fait bien rire, j'en ai hâte de voir la réaction du bouffeur de bambin. J'aime ce genre de situation, surtout qu'avec cette discussion je suis arrivé à côté de l'homme que mon ami a bien pris la patience de bloquer les pieds. Tenant mon marteau à deux mains. Je donne un coup des plus violant à cette tête d'ahurie :

Que décides-tu ? Mes armes demandent encore le sang de tes potes.

Hrp:

À vrai dire, je n'y crois même pas. C'est vrai, il faut vraiment être con pour accepter ce genre de proposition en étant sûr que si tu n'acceptes pas, tu es sûr de gagner. Enfin, sauf si celui devant moi et aussi timbré que je ne le suis. Marchant comme un type qui semble proche de la mort, mon adversaire vient seul. La fierté conduit donc ses pas. Autant pour moi. Sache que je ne suis pas du genre à mentir. Si je dis que je fais un combat à mort, c'est que j'ai l'intention d'en faire un. Les adversaires nous entourant, ils semblent que ses types fassent une sorte de délimitation d'un ring. L'espace est asses grand. Même si pour ma part encore un peu trop étroit. Prenant la gamine qui semble encore en train de dormir sur mon épaule. Je la lance en direction de mon chef qui semble un poil inquiet pour moi. Je tournais mon regard vers mon seul allier présent, un regard disant. « Si elle est touchée, tes morts. » Ouai, je sais, je suis blessé et je dis ça à un mec qui est à coup sûr plus fort que moi. Ben, c'est mon caractère. Après tout quand je ne maitrisais pas encore mon chakra, j'ai bien foncé sur le Kage lui-même pour lui en foutre une dans la tronche. Donc ça c'est limite anodin. Regardant mon adversaire, je me mets à dire :

T'es prêt ? Tu vas avoir la leçon de ta vie mec.

Approche et sache que je maitrise aussi l'ars Ninja.

Un sourire aux lèvres pendant qu'un des types se met à lancer le début du combat. Le mec commençant en envoyant une sorte de loup de terre, je me protège d'une masse métallique. Mes mouvements étaient réduits et ma vue ne me permet pas une esquive. Pourtant son loup ne me fit même pas mal. L'attaque qu'il a lancée, fut accompagnée d'une attaque au corps-à-corps formant de sa main une sorte de boule de terre. Un sourire des plus radieux fit l'apparition. Par l'étonnement de tousses ma vitesse et ma précision fut bien plus grande que celle que l'on pouvait me croire capable avec ses blessures. L'épée revenant à moi je bloque l'attaque en m'étant la lame entre moi et cette boule. L'épée tenue par une main et retenus pas un de mes genoux, je prends avec l'autre main le marteau. Utilisant mon chakra, j'augmente ma force physique qui est déjà plutôt impressionnante. Donnant un coup qu'aucun d'entre eux n'a pu deviner. Balançant leur chef dans la foule qui se force de le retenir:

Surprit ? Sache que dans un combat tout est permis, même de se faire croire plus blesser que l'on ne l'est vraiment.

Mes blessures sont réellement grandes. Ma vue vraiment trouble, mais ce genre de chose, j'en ai pris l'habitude et comme je l'ai dit j'ai vécu des moments bien plus critiques. Le chef revenant en ayant ça main sur ses pecs. Deux autres se mirent à venir avec lui :

Tu as bien dit tous les coups sont permis. Ben voilà les deux types qui vont m'aider comme tu l'as toi-même dis.

Plus on est de fous, plus on rit non ? Bon je vais pouvoir me mettre à fond.

Montrant mon aura, je fis trembler les cailloux qui étaient à mes pieds pour ensuite montrer une aura des plus terrifiantes. Une aura qui faisait flotter des pierres autour de moi. D'un crie de combat les hommes en face de moi commencent à hésiter. C'est donc après mon crie que je me mets à dire :

Quoi ? Vous avez peur, rappel toi de ce que je t'ai dit. Si tu abandonnes, je tuerai toute ta famille. Maintenant fais face à ton destin.

Faisant des signes de muda, je n'ai pas vue que j'étais proche du bord du ring et donc de leurs alliés. Plusieurs se mirent à me tenir les bras et le corps pendant que les trois autres étaient en train de foncer sur moi. Les signes faits, je me débats d'un bras balançant un ou deux mecs ne voulant pas me lâcher sur mes trois adversaires. Puis ensuite me mets à taper au sol. Voilà trois rochets se mettent à sortir de plusieurs endroits. Faisant tomber les hommes debout aux endroits où ils apparaissent. Les rochers fonçant sur l'adversaire. Je reçois, bien des coups avant que cela se mirent à prendre des dégâts impressionnants. J'étais à bout. Niveau dégât, je ne peux plus vraiment en encaisser. Je ne vois plus rien, seul mon instinct me fait encore tenir debout. Mes adversaires sont K. O ? J'entends des bruits de personnes. Un grand nombre, sans savoir vraiment ce qui se passe. Plusieurs secondes ce passe et je ne sens aucun coup me toucher. Ils sont K.o, ou autre chose s'est passé. Ca je ne le sais pas.

techniques:

J'entends comme un tambour, mon cœur battre. Un bruit sourd ne me laissant plus vraiment entendre le reste. Je n'en pouvais plus. Le sang coulle à cause du combat qui a déplacé le soin de fortune que je me suis moi-même fais sur mes deux entailles. Je suis là, debout, mais sans vie. Seule ma pensée m'habite. Je me rappelle le nombre incalculable de fois où j'ai due finir dans ce genre de situation. Un excès de batail, la fureur me menant à la limite de mes possibilités. Je vis comme ça et je sais pertinemment qu'un jour cette vie d'excès me tuera. Je sais pourtant que ma vie n'est pas encore terminée. Mes battements s'amenuisent et je commence à entendre la voix de Kioshi. Mon équipier se met à crier à nos adversaires de partir. Dans l'intonation on peut entendre qu'il les menaces, mon égo en prenait. Moi le grand Goren, me faire aider par autrui ? Non, impossible, je ne peux concevoir un tel affront. Pourtant mon corps ne me répond plus. Je ne peux que vivre sans rien faire d'autre, la rage envenimait mon esprit pour bouillonner en moi. Une haine dont peu de personnes ne peuvent concevoir d'avoir. Pourquoi cette haine, à vrai dire pour une raison qui semble anodine pour beaucoup, mais dans ma conception des choses se faire aider par une autre personne et un signe de faiblesse et je ne peux concevoir d'avoir une seule parcelle de moi être faible. J'arrive à faire grincer mes dents. Ma haine qui se matérialise en aura semble comme déferler autour de moi. Inconscient de ce que je fais, poussant un crie avec une aura autour de moi.

HHHHaaaaaaaaaaa

Donnant, coup de poing dans le vide. Je ne savais point ce que je fais. Plus je bouge, plus le sang coule rapidement. Par chance, ça combiné avec les menaces que mon chef d'équipe a envoyé. Nous arrivons ensemble à faire fuir ses types. Je ne comprends pas. Pourquoi Kioshi ne s'est pas barré. Pourtant il ne semble pas être un adepte des combats ? Pourquoi risquer sa vie pour la simple raison d'une mission réussie ou de sauver la vie d'une autre personne. Moi je sais exactement pourquoi je fais ça, mais l'idée que je me fais des actions des autres me semble ci. Stupide. Si idiote que je ne peux pas imaginer qu'ils puissent en mettre tant de hargnes. Les hommes étant partirent je m'écroule, sur une mare de sang. Que va advenir de moi ? Je ne sais guère, pourtant mon avenir n'est pas tracer pour que je meure maintenant.

technique: