Un riche héritier s'est récemment suicidé à l'arrivée de son passage en tant que chef de famille. Vous êtes appelés pour surveiller son enterrement - qui sera purement traditionnel, et où tous les objets de valeur seront présents - afin que rien ne soit volé, ni abîmé.

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Un homme, un vieil homme, riche héritier s'est suicidé il y a peu. C'est un homme célèbre et immensément riche, donc, il y a fort à parier que des gens voudront s'en prendre à son enterrement ou à sa famille afin de grappiller quelques thunes. C'est là que j'entre en action, en compagnie de mon compagnon, Yokoshima Kyogi. C'est une très mauvaise chose d'envoyer la marionnettiste dans une telle mission, car ce mec est pingre, c'est une pince, un crevard, un avare ou tout ce que vous voulez, mais il aime deux chose : l'argent et l'irrespect. Je vois déjà le dénouement de la mission, au lieu de protéger les richesses de cet homme, on va les voler, les revendre au marché noir afin d'avoir plein de blé à ne plus savoir quoi en faire. A cette idée, j'émis un soupire des plus morbides à cause de mon masque qui transformait ma voix.

En soupirant, je fis peur à un jeune garçon qui passait par là, accompagner de sa mère. Kyogi était encore dans son atelier à bidouiller ses marionnettes de merde. Je ne comprenais absolument pas pourquoi il était si passionné par ses pantins, mais bon, il faut de tout pour faire un monde comme dit le proverbe. Enfin, il y a bien des gens dont on se passerait, comme ce connard de Goren que j'avais rencontré dans une de mes missions où l'objectif était de réparer des maisons endommagées par les nombreuses tempêtes de sables. Cet homme était l'arrogance même, pire que Kyogi. Tellement que je n'avais pas pu me retenir, je lui suis directement rentré dedans, malgré la présence d'une troisième personne, Hana du clan Ketsueki contrôlant le sang. Elle connaissait déjà le personnage avant que nous effectuions cette mission, et elle m'avait prévenu, mais détestant l'arrogance, je ne pus me contenir plus longtemps.

Enfin bref, cela n'était pas le sujet du jour, car j'avais une autre mission à effectuer aujourd'hui. J'attendais près du cimetière du village caché du sable. Encore une fois, il était en retard. J'avais abandonné de lui faire la remarque à chaque fois, car il était comme un enfant. Dis lui de ne pas faire quelque chose et vous pouvez être certain à cent pour cent qu'il fera ce que vous lui interdirez. Là, avec lui, c'était exactement la même chose. Tellement que si je ne lui faisais pas de remarque, il parlait encore et encore de son retard, jusqu'à ce que je m'énerve. Il me testait sans arrêt, mais j'étais devenu un monument de patience. Même les boudhhistes pouvaient désormais allez se rhabiller devant mon niveau de patience. Il arrivait enfin. Toute la famille de l'homme était déjà là, il fallait se placer et attendre les soucis.