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 [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin]

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Samidare Kateyo
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Message(#) Sujet: [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] EmptyMer 13 Mar 2013 - 19:10

Citation :
Aux confins de Yuki no Kuni il y a un centre de recherche, des expériences y sont menées. Dernièrement un scientifique a rejoint le continent, couvert de sang, fatigué, selon lui quelque chose aurait mal tourné, ils travaillaient sur un produit permettant le contrôle psychique, celui-ci aurait muté et contaminé le personnel, les patients (cobayes), et les animaux dont certaines espèces très rares et dangereuses; des mutations physiques seraient survenues, donnant des apparences très spéciales aux différents individus et les rendant aussi extrêmement agressifs, assoiffé de sang; et leur morsure, griffure seule permettraient de contaminer l'homme. Il existerait un antidote... Le scientifique nous demande d'envoyer quelqu'un.

Ao kuri > Deux choix s'imposent à vous : trouver l'antidote, ou tuer tout le monde pour éviter une contagion.


* Un scientifique qui vient s’adresser à Konoha pour sauver son projet… Putain quelle corvée quand même… Et comme par hasard il fallait que ça tombe sur moi, le seul ninja qui ne fait pas partie de ce village d’imbéciles. M’envoyer dans un nid à poison, c’est le bon plan pour eux, se débarrasser moi de la sorte… Je vais leur ramener ce maudit poison et tout les contaminés… Bref, je suis où là ? Je viens de passer la frontière je crois, jte jure si je n’avais pas oublié ma carte ça serait beaucoup plus simple. *


Je sortais de cette immense forêt me dirigeant à présent vers cette étendue d'eau qui s’offrait devant moi, je la voyais au loin se dessinant sous mon regard. Franchement je me sentais toujours plus à l’aise sur terre que sur l’eau, rien que de penser que des animaux plus gros que moi peuvent surgir de sous moi… J’en ai déjà des frissons. Mais alors qu’allais-je faire dans un endroit où les animaux ont muté en d’horribles monstres sanguinaires, si encore il n’y avait que des humains, cela ne me poserait pas de problème, mais des animaux… Putain ça fait peur ! Enfin, le temps n’était pas au froussard. J’allais devoir traverser presque toute cette eau pour rejoindre Yuki no Kuni… Quelle idée d’aller foutre son laboratoire si loin des villages, ce scientifique devait déjà percevoir la dangerosité de ses expériences et pour la sûreté de tous s’était isolé loin de toute forme de vie.

Je n’étais encore jamais allé sur cette petite île, au moins je ne devrais pas avoir trop de mal à retrouver son laboratoire. La description qu’on m’en avait faite était assez précise, sur ce point-là, j’étais rassuré. Courant alors sur ce bleu foncé qui commençait à vraiment saouler, je savais que j’allais atteindre tôt ou tard le pays de la Brume. Que de mauvais souvenir… Je n’y avais jamais posé les pieds et franchement, l’envie n’était pas au rendez-vous. Des barbares, des sanguinaires qui ne font que se battre. Des hommes fiers, trop fières qui ont des egos surdimensionnés et qui jamais ne se remettent en question. Voilà les clichés qui tournaient autour de ce pauvre village entouré d’eau, enfin je ne pouvais pas trop les critiquer, j’étais entouré de sables toute l’année… En chemin je rencontrai un navire de pêche, cela signifiait que la terre de Kiri n’était pas loin, demandant mon chemin comme tout bon shinobis sans carte qui se respecte, je partis vers l’ouest pour passer à côté des îlots qui composaient l’archipel de la Brume.



* Poser le pied là-dessus… On fera sans je crois, je me reposerais une fois arrivé à Yuki no Kuni… si jamais j’ai le temps de me reposer… *


La course fut longue et en soi je dépensais du chakra au fil des heures, sans m’en rendre vraiment compte je ralentissais la cadence et quand je vis pour la première la terre de cet enfer, je m’arrêtai, reprit mon souffle et regarda sous moi. En effet je venais de voir une ombre s’approcher, elle paraissait petite vue d’ici. Mais au fil des secondes cette petite tache noire qui venait du fond de l’océan se transforma en une masse imposante qui vient me projeter en l’air. Une baleine de ce genre, je n’en voyais pas tous les jours, heureusement pour moi. Comme tout ce qui monte finit un jour par redescendre, je terminai ma course dans l’eau avec un monstre de 20 mètres de long juste à côté de moi. Ma seule issue ? Courir ! Je ne me rendais pas compte que la course aussi rapide soit-elle face à un mammifère de cette taille qui en plus est dans son élément (c’est sûr que sur terre, elle n’ira pas bien vite la baleine), je n’avais aucune chance de lui échapper. Elle s’approchait de moi et tentai de m’avaler à plusieurs reprises.


« Putain finir sa vie dans une gueule de baleine, quelle mort de merde ! »


J’atteignis le port de Yuki no Kuni plus vite que prévu au final et en un seul morceau, ce qui était tout de même l’essentiel. Ce dont je ne pris pas en compte, ce fut que la baleine me suivait toujours. Elle en avait vraiment après moi ce sal***, à force de vivre pas loin de Kiri elle avait pris le même comportement qu’eux. Pour faire court, elle finit sa course en plein dans le port, écrasant habitation et bâtiment sur plusieurs centaines de mètres. Des dégâts matériaux importants, et des pertes civiles non négligeables, mais ma mission était de retrouver ce laboratoire et non de sauver la vie des gens. Une foule se forma logiquement près de la baleine et tous tentaient d’aider les pauvres personnes coincées sous les gravats. Moi ? Je m’approchais du lieu, par chance j’avais esquivé la bête en courant sur la droite, elle ne pouvait pas pivoter si facilement la grosse ! Je l’avais eu facile ! Je tapotai l’épaule d’un homme très essoufflé et sous le choc pour lui demander des renseignements. Il n’eut le temps que de me pointer du doigt la grande montagne qu’on apercevait au loin et eut un arrêté cardiaque, au moins j’avais eu ce que je voulais. Marchant simplement vers cet imposant mur qu’avait créé la nature, je supposais que le laboratoire se trouvait en haut. Difficile de croire qu’aucun villageois n’avait eu la maladie tant redoutée. N’ayant pas eu le temps d’enquêter, je devais résoudre le problème à la source. On m’avait laissé deux choix, trouver l’antidote pour tous les sauver et éviter une catastrophe sans précédent, ou bien tuer tous les hommes contaminés pour éviter une contamination générale. On allait bien voir ce que cela donnait.
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Samui Aéra
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Message(#) Sujet: Re: [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] EmptySam 16 Mar 2013 - 21:36

Spoiler:

Voilà que depuis des semaines, j’enchaînais les missions de rang S. Rien qu’en l’espace de deux semaines, voilà qu’on venait de m’en confier la troisième. Mais ce n’était pas pour me déplaire, loin de là. Il fallait me maintenir en forme, et puis, l’adrenaline, tout ça, finalement, ça me plaisait, et pas qu’un peu. Je reléguais depuis peu mes expériences au second plan, préférant les joies de la rixe à la fuligineuse cave de recherches laboratoire. De plus, ce n’est pas comme-ci je n’apprenais rien avec ces sacerdoces, aussi périlleuses soient elles. Tenez, la dernière légation que l’on m’a administré par exemple. Une arme bactérologique pouvant contrôler l’entendement d’autrui. Un signe héraldique dangereux, mais tout autant bénéfique pour l’hydrométéore. Peut être même qu’ils me laisseront le développer et l’analyser en guise de « récompense », en plus de celle que j’avais à mon compte en banque.

En parlant de celui-ci, ma bourse de Jônin, l ‘enchaînement des missions pour le compte de kiri et la commission des missives réussies, mon nouveau célibat et le fait que je néglige mes expériences, je devenais de plus en plus cossu. Mon activité sociale elle incite le fait que je suis solicité chez beaucoup de nobles, m’enfin, pour la plus part, je les envois balader. Je préfère la simplicité des Kaguya’s et la bonté sauvage des Gekei’s que la connerie maquillée en charmante aristocratie des Jistsus, Samui’s et autre.b

M’enfin, ne nous attardons pas sur le cas de ces malheureux, je dois aller au boulot. En espérant qu’il soit satisfaisant, j’ai l’impression que je ne serais pas le seul à convoiter ce foutu kalashnikov de pacotille. Ma destination est donc une petite montagne de Yuki, « home » des Suruzane’s, sanglants barbares opprimés par la tyrannie plus stricte de la brume sanglante. Alors, pour résumer avant tout, ma missive consiste dans le fait d’aller récupérer une arme, ou de ramener un spécimen vivant ayant été sous l’influence du joujou. En soit, la mission n’est pas très complexe, mais il faudra jouer fin. C’est dans des jours comme ça que je regrette mes techniques sensorielles. M’enfin. Il est temps de partir.

Une légère impulsion de chakra spatio-temporel finement transféré dans tout mon corps, je réapparaissais dans un village civil du pays de la neige. Un légère verglas revêtait le sol, et la neige tombait, encore et encore. Le paysage opalin me ravit un instant, et je m’amusais à le contempler, avant de me diriger vers un des bars environnants. Je m’accoudais à l’héctopièze, demandant au responsable les coordonnées exactes de ladite montagne, commandant un whisky pour me réchauffer. M’envoyant le ver cul-sec, je déposais quelques Ryôs sur le comptoir, sortant du bistrôt alors qu’à mes yeux se profilait un horizon naissant. Plus celui que de l’astre diurne, celui de la montagne que je distinguais maintenant clairement. Pressant légèrement le pas, j’arrivais assez rapidement audit havre de la science. C’est clair que cette officine ne ressemblait clairement pas à la mienne, oui... Mais un autre symptôme plus alarmant, en m’amusant à lire les micros-expression sur le visage des passants, notamment grâce à ma qualité de médecin morphologiste, je remarquais que des traits d’hostilité se dessinaient sur leurs faciès. Certes, c’était une réaction typique de Suruzanes, surtout après la conquête de Yuki, mais il n’y avait pas qu’eux. Bientôt, je constatais que même des animaux, dont les oiseaux, se montraient belliqueux et malveillants. Un colibri alla même jusqu’à me becter le visage. Je n’eus pas de mal à me débarrasser de lui, bien sûr.

J’approchais dudit laboratoire, et bientôt, des cris de toutes sortes se faisaient entendre. Et des blouses blanches se battaient, férocement. Eh bien, ça sent le roussi, et pas qu’un peu. Que peut-il se passer ici ? Maintenant que je fais plus attention, et que je suis plus prêt... L’enfer s’est établi sur cette partie du globe. Quelques rescapés se regardent, impuissants, tandis que d’autres se battent, et battent les autres violemment. Oh et puis merde, j’ai pas le temps.

Spoiler:

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Samidare Kateyo
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Message(#) Sujet: Re: [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] EmptyLun 18 Mar 2013 - 22:15

Affronter un monument naturel n’était pas aisé, les conditions météorologiques de cette île ne m’aidaient pas dans mon ascension. J’étais plus habitué à la chaleur qu’à la froideur de l’hiver, mais en soi marcher dans de la neige ou dans du sable ne changeait pas grand-chose. Avec l’un t'a froid aux pieds, avec l’autre tu te les brûles, mais dans les deux cas, tu t’enfonces dedans. Quelques dizaines de minutes plus tard, me voilà au fameux laboratoire. Je pouvais difficilement me tromper au vu des différents cries qui en sortaient. À présent la moindre éraflure de la part d’un être contaminé me rendrait fou et absolument incontrôlable. Arrivé du côté Sud du bâtiment, je me rendus bien compte que l’entrée n’était pas vraiment ici et comme j’avais la flemme de rester dans le froid et de faire tout le tour, exploser ce mur restait la meilleure solution. Solidifiant mon poing à l’aide de mon métal, je créai un passage, petit certes mais de quoi pénétrer à l’intérieur sans trop me fatiguer. L’antidote était ma priorité, je n’étais pas encore assez salo pour tuer tous les gens que je voyais. Néanmoins j’avais déjà un plan en tête pour perdre le moins de temps possible. Tout en cherchant ce fameux remède, je tuerais les infecté qui venaient chercher de la compagnie, ainsi si par malchance je ne trouvais rien de miraculeux pour les guérir, ils seraient déjà mort et le travail bien diminué. De taille moyenne, je parcourais les couloirs en cherchant une première salle à visiter. Une porte s’offrait à moi, je donnai un violement coud du pied dessus pour éviter tout contact avec mes mains. À l'intérieur de celle-ci un être en boule au fond de la salle, il ne bougea pas sur le coup mais se déploya pour m’observer. Je ne savais pas vraiment à quoi j’avais à faire mais les griffes au bout de ses pieds me firent immédiatement pensé à une métamorphose d’une bête pas très gentille.


« Doucement toutou, pas bouger d’accord… »


Bien entendu il ne m’écouta pas et m’attaqua les pattes en avant tout en rugissant. Une voix puissante qui en fit trembler les murs, un bon coup de poing sur la tête le calma, mais ce désastre scientifique avait l’air de les avoir dotés d’une endurance hors du commun. Lorsqu’il tenta de se relever je lui posai un sceau très spécial et l’activai dans la seconde suivante l’électrocutant par la même occasion. Une technique banale que j’adorais utiliser contre les plus faibles, rien d’autre de bien intéressant dans cette salle. Continuant mon chemin, je ne croisais que des bêtes en tous genres, je devais être dans la mauvaise section. Sûrement celle des expériences pas très orthodoxes. Un antidote si précieux ne pouvait se trouver dans une telle zone, je finis par trouver une sortie me menant tout droit à un autre bâtiment plus petit où les crie devenaient de plus en plus fort. Je n’osais imaginer des scènes de zombies démoniaques attaquant et tuant tout ce qui bouge. Forte heureusement, je n’aperçus qu’un homme infecté en train de s’acharner comme un taré sur son ancien camarade. L’amitié de nos jours, ça n’existe plus… Ne voulant pas le déranger, je partis discrètement sur ma droite pour voir si par hasard l’antidote ne se trouvait pas dans les bureaux principaux situés au centre d’après le chercheur. Le temps d’arriver dans le lien tant recherché, 4 hommes avaient perdu la vie. Deux écrasés pars le laboratoire qui commençait à s’écrouler et deux autres qui avaient cherché un peu trop les câlins. J’arrivai donc dans le bureau, cherchant un endroit protégé. Un coffre, une boîte où quelque chose dans le genre, mais rien de tout cela ne se trouvait ici. Ben évidemment le scientifique ne m’avait donné aucune indication sur l’endroit, ça aurait été vraiment trop facile. Le plafond finit par s’écrouler, réduisant en miettes la salle principale et anéantissante tous mes espoirs de retrouver l’antidote.


«... Fait chié… J’voulais pas venir ici moi !!! »


Sortant de la pièce, je ne désirais que me rafraîchir le corps et tenter de trouver une solution au problème. Tuer tous ces gens ne me plaisait guère, mais la mission était formelle à ce niveau-là. Que faire ??


Citation :
J'utlise un sceau éléctrique banal ainsi qu'un renforcement de mon poing en métal. Rien de bien complexe disons, à toi de voir si on se rencontre maintenant ou pas ^^
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Samui Aéra
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Message(#) Sujet: Re: [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] EmptyJeu 21 Mar 2013 - 14:08

Quelle Apocalypse ambiante. Une enceinte qui était au départ un havre d’érudition, dont ne ressortais maintenant qu’une géhenne digne d’une fin du monde. Une pathologie démentielle, mêlée à la psychose originelle de l’homme faisait de ce laboratoire expérimental un tableau démoniaque, digne des rives du Styx. On aurait dit que les Cirrus se joignaient eux mêmes à ce martyr infernal, assombrissant le ciel du pays de la neige. Le froid se fit plus sec et austère, donnait à l’officine empirique des airs de château hanté, accentuant le côté sibyllin de la chose. Soupirant de malheur pour ces pauvres aliénés qui se fustigeaient tel des colosses aux mœurs destructeurs intarissables, j’émis quelques hypothèses, restant tout de même assez vagues sur l’origine de cette folie primitive. Entre l’attaque d’un gang convoitant une de ces fameuses expérimentations, et la mutation d’une des recherches, les possibilités ne manquaient pas. Et dans ce cas... Il fallait que je fasse attention où je mettais les pieds, mais surtout, à n’approcher personne. Et si jamais un de ces violeurs.. Euh, voleurs, donc, venait à m’attaquer, bah, j’me débrouillerais, que voulez-vous ?

Je détachais mon cache œil, le nouant à ma main gauche, avant de commencer à m’avancer dans ce capharnaeum alpestre, tandis qu’une légère neige commençait à tomber. Mais alors que je me préparais à pénétrer dans la construction, je fus interpellé par un gémissement craintif, comme celui d’une petit fille. Tournant la tête vers la provenance de la jérémiade, je remarquais une petite fille, pas plus haute que trois pommes dans les mains de son évidente génitrice. Elles étaient de ceux qui n’avaient –apparemment- pas étés affectés par la démence. La maman se dirigea vers moi de ses prunelles angoissées de ces mots :

  • S’il vous plaît, emmenez-nous loin d’ici. Ou alors, au moins elle.


  • Vraiment désolé, mais... Je ne peux transporter qu’une seule personne à la fois. Et j’ai peur que je ne puisse faire l’aller retour plusieurs fois. Je n’ai malheureusement pas le temps.


  • Prenez là, elle. Ce n’est pas grave pour moi, je me débrouillerais.


  • Soit.


C’était sûrement une de ces médecins qui avaient mutés à Yuki no Kuni pour suivre leur passion scientifique. Elle et sa progéniture en faisaient maintenant les frais. Je pris la petite fille dans mes bras, marquant un arbre avoisinant de mon chakra, avant de réexecuter mon shunshin, me téléportant cette fois-ci vers un motel que je connaissais bien. Me trouvant maintenant à la maison de Kû –voir section pnj si jamais-, je posais la gamine sur la table en lui griffonnant ce petit mot :

Tu me ferais une petite faveur ? Bien sur que oui, t’es mon « bro’ » après tout, ah ah. Ouais, donc, tu pourrais garder cette p’tite jusqu’à ce que je revienne de mission ? Et évite de la violer, elle a le sida.

Vu que le connaissant... Ca n’était pas à exclure.. Rien que pour avoir le plaisir de sortir le « Dantan Kû ». M’enfin bref, pas l’temps d’niaiser. Je retournais vers l’arbre que j’avais marqué à Yuki no Kuni, me dirigeant vers la mère. Il était temps d’avoir quelques infos. Lui demandant ce qu’il s’était passé ici, elle me répondit :

  • Une des bacteries que nous utilisons pour une arme, le AV 08, a muté. Ca a rapidement contaminé tout le personnel, ou du moins sa quasi totalité. J’ai moi même participé à ce projet, et malgré le danger de l’arme, je ne veux pas qu’elle parte en vain. Je vous en conjure, ramenez ce truc à Kiri et trouvez un moyen de réparer notre erreur. Ca nous a pris 4 ans de notre vie.... Non, ça nous aura pris notre vie tout court... Autre chose ! Pour vous isoler de tout risque, essayez de trouver un insolant. Du papier aluminium, par exemple, il y’en a dans le réfectoire..


Elle n’avait plus la force de bouger, juste de parler, pour sauver son projet et me remercier d’avoir placé sa fille en lieu... Plus ou moins sûr. Il était temps de faire appel à mon pacte. Me tranchant le pouce avec un kunai que j’avais dans la ceinture –plus classe que de se mordre le pouce, sisi- , j’invoquais mes trois scarabées. Les ateuchus, ainsi que ma personne allaient devoir se disperser dans toute l’enceinte, à la recherche de l’arme et du papier alu’. Nous entrâmes donc depuis le portail défoncé, prenant différentes directions. Personnellement, je tachais de continuer tout droit, avant de prendre deux fois vers la gauche, et une fois à droite. C’était un vrai labyrinthe, j’espère que les trois zigotos s’étaient bien débrouillé.

Je pénétrais dans une grande salle... Putain. La putain de chance de sa mère. L’arme était là, au centre de la salle. Mais malheureusement. Bah. Il fallait que j’attende l’aluminium. Putain, grouillez vous où j’vous coupe la bite.


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Samidare Kateyo
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Message(#) Sujet: Re: [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] EmptyMar 26 Mar 2013 - 15:02

Le corps étalé dans la neige, je sentais le froid m’envahir et faire sortir tous ces doutes en moi, je ne me sentais guère aller à leur rencontre en leur annonçant une mort imminente par simple sécurité. Sans m’en rendre compte, je m’étais fondu dans le paysage, la neige commençait à tomber en abondance ici ce qui allait faire bientôt de moi un blanc bec. Je me relevai pour admirer ce laboratoire en ruine, l’antidote perdu, ce poison ne devait quitter les lieux, voilà ma mission. Obéir sagement aux ordres des plus grands et non des plus forts, tel était la vie d’un shinobis. Tiraillé entre son devoir et son savoir, le principe de sécurité prit le dessus et je me dirigeais de nouveau vers ce laboratoire, la boule au ventre et le cœur brisé. Formant un sabre de métal, je m’efforçais de garder en tête toutes ces vies que j’allais sauver en tuant les infectés, un mal pour un bien dirait on… Mais n’y avait- il pas une autre solution ? Je n’étais pas scientifique et créer un nouvel antidote était inconcevable, bref le chemin était tracé, la sentence allait tomber…

Pénétrant donc à l’intérieur, les gémissements des médecins et les crient des monstres envahissaient pleinement les murs. Je ne me sentais absolument à mon aise ici, marchant dans les couloirs, tuant le moindre individu qu’il soit suspect ou non. Je ne pouvais m’amuser à savoir si oui ou non ils étaient contaminés, la moindre erreur ferait de cette mission un échec. Si je devais éradiquer cette menace, alors autant tuer quelques innocents pour être certains que tout soit à jamais terminé et faire de cette histoire, une histoire ancienne.

Le sang coulait le long de mon sabre, celui d'êtres humains, d’animaux et d’autres bêtes sauvages que je ne pouvais catégoriser. M’isolant intérieurement, je me m’étais dans un état second pour n’avoir aucune pitié durant mes actes. Peut-être que je me disais que ce genre de pensé m’aiderait à ne pas être responsable d’un tel massacre. Sans doute allais-je rejeter la faute sur les dirigeants du village qui ne faisait pourtant que leur devoir aussi dur soit-il. La façade Nord était à présent clean, plus aucun bruit à part le toit en ruine qui s’émiettait rapidement, direction le centre que je n’avais encore pas visité. Quelques bruits provenaient de la première salle, ça n’avait rien d’humain ce qui n’était pas étonnant vu les évènements. Ouvrant la porte comme si c'était celle de ma maison, j’aperçus à ma grande stupeur une bête inconnue à mon répertoire, enfin disons que j’en connaissais pas des si grosses. Un scarabée de taille moyenne avait l’air de chercher quelque chose, évidemment il me remarqua immédiatement et comme une envie, il me chargea. Putain, j’en avais tué des êtres humains, des chiens à trois queux et des oiseaux à griffe de lion, mais cette espèce-là… Elle me dégoûtait !

Courant comme jamais dans ce couloir, la bête majestueuse me poussait vers une direction inconnue. Cherchait-elle à me guider vers la sortie pour mieux me manger, salo de scarabée va ! Je n’osais pas me retourner par peur de perdre cette course-poursuite qui me fit visiter presque toute cette aile. Sans vraiment savoir pourquoi je pris une des portes qui s’offraient à moi et la ferma d’un coup, les yeux fermés, je ne savais pas vraiment où j’avais atterri. Plus de bruit, je finis par ouvrir les yeux et quelques mètres devant moi, un homme d’une vingtaine d’années, une chevelure grotesque et un visage dégueulasse. Lui, il a dû avoir la même transformation que cet enfoiré de scarabée de tout à l’heure, mais quelque chose me trottait dans la tête. La plupart des gens ici étaient médecins, blouse blanche et une voix n’arrêtant pas de me supplier pour que je les épargne. Lui n’avait rien d’un médecin et ne semblait pas avoir perdu son sang-froid… Je tentai donc une approche personnalisée.



- "Alors on est perdu. Sache que tu es en danger ici, tu devrais partir d’ici avant que la mort vienne te prendre… À mais c’est moi la mort en ce moment, tu n’as pas de chance."


Sabre à la main, je l’attaquais sans vraiment savoir qui il était, j’avais faits la même chose avec tous les autres et la plupart n’avaient pas bougé et étaient mort dans la minute suivante. De toute façon, personne d’autre n’est ici à par les médecins, aucune raison de m’en faire donc…
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Samui Aéra
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Message(#) Sujet: Re: [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] EmptyMer 27 Mar 2013 - 18:40

Je me contentais de balader mon regard de connaisseur tout le long de la salle, jaugeant la qualité du matériel d’expert. Oh putain, un automate de cytologie hématologique. Tous les poisons que je pourrai créer avec ça ma gueule... Mais ma conscience et surtout mon statut – pas facebook non- social fontque ce n’est pas dans mes habitudes de voler. Je suis un homme classe moi ! Quoi les chevilles ? Mes goupilles vont très bien monsieur !

Reluquer l’antichambre n’étant pas un passe-temps assez prenant, je décide de fumer un peu pour me détendre en attendant que les coléoptères me ramènent l’isolant. Cherchant mon quantum de cigare dans l’aumônière du jean que je revêtais, je pensais à ce qui allait advenir de ce laboratoire. Ces murs qui s’effritent, ces gens qui s’entretuent. Une atmosphère apocalyptique. J’aimerai bien les aider, mais là n’est pas ma besogne. Je dois prendre le produit et me tirer. Allumant une légère flambe depuis ma dextre, je lâchais la véhémence de mon index embraser les petites feuilles sèches qui constituaient la cigarette, avant d’inhaler un bon coup. L’odeur parfuma ainsi la salle, et mon cortex sembla se vider un peu de toutes ces conneries.

Mais alors que j’étais là à me faire mon petit kif en attendant que l’un des trois ateuchus se pointe, je fus rejoint par un vulgaire gazier, encore inconnu au bataillon, et qu’il ne me semblait pas avoir croisé auparavant, que ce soit ici ou ailleurs. Le bougre, un homme de la vingtaine avec une étiquette « gros con » sur son front, avait l’œillade refermée tel un sarcophage sur le destin funeste du mort qu’il portait. Il devait avoir vu une scène plus ou moins violente.

Reconduisant la fumée délétère vers l’atmosphère extérieure par le biais de mes narines, je regardais le jeune homme d’à peu près mon age parler comme un con. D’vait être soit sous l’influence de la bactérie, soit sous une consommation excessive de marijuanã, l’pauv’. Ou alors, il voulait juste parler avec la classe mais il y’arrivait pas. Dans tous les cas, le quidam me chargea, muni d’un long surin entaché d’hémoglobine. Il avait fait des victimes ? Combien ? Bon, ce mec était bon pour l’asile, je me ferrais une joie de le ramener à Kiri. Mains dans les poches, je me contentais d’esquiver son offensive, lâchant un «Tu est ennuyeux, Sunajin » avant de concentrer mon chakra dans mes pieds pour exécuter un salto, envoyant ainsi valser son épée au loin. Me rétablissant sur le sol, je profitais de l’élan pour me pousser loin de lui, tout en chargeant ma dextre d’une énergie flavescente incontenable. L’arcane du lutin érudit. C’était l’une des premières fois que je l’utilisais, voilà une occasion de tester sa puissance. Et vu l’état des lieux... Ca allait offrir un beau feu d’artifice. Je soufflais ainsi sur le brasier, qui alla s’étendre sur toute la salle, la consumant ainsi totalement. Toute la partie sud de la salle, où se trouvait le garçon était maintenant totalement innexsistante. Les débris enflammés se mêlaient à la fuligineuse fumée, tandis que les débris de verres des expérimentations et autres machines voltigeaient dans tous les sens. C’était facile. C’était vite fait bien fait, pesé emballé. Que d’mander de mieux ? Ah ah, la réplique qui va avec bien sûr :

  • On dit que pour tuer les microbes, il faut de la chaleur. Etant donné le niveau de ta connerie, j’ai légèrement haussé la température, ahah.



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Samidare Kateyo
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Message(#) Sujet: Re: [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] EmptySam 13 Avr 2013 - 17:34

Une attaque banale contre un adversaire banal, que demander de plus pour tuer un être si inefficace. Honte à moi qui ne savait pas reconnaître un shinobis, mes talents de senseurs ? Ils étaient à mon avis cachés bien au fond de moi, mais vraiment bien cachés pour que je sois certain de ne jamais les trouver. D’une esquive, ma foie assez stylé, il me désarma aisément et une fois retombé sur ses pattes fit apparaître une drôle de flamme de sa main. Je n’eu pas le temps de demander ce que c’était que cet abruti souffla dessus pour le faire grandir et me brûler par la même occasion. Est-ce que j’étais une si grande gêne que ça pour lui, ok j’avais tenté de le tuer mais voilà, entre inconnus ce n’était rien de plus qu’une politesse parmi une autre. Faut toujours que je me mette dans des situations délicates moi et vu la taille de ses flammes ce mec ne doit pas être un simple civil très agile. Non il devait au moins atteindre le grade de pyromane, expert dans les coupes de cheveux ras les pâquerettes. Bon, le temps n’était plus à la rigolade, son envie de me réduire en tas de cendre, je la compris assez rapidement. Je fis un bond en arrière en direction de la porte, toujours face à mon adversaire très laid, j’effectuai quelques signes pour créer mon armure de métal qui allait encore une fois me sauver la vie. Frappant de plein fouet la porte derrière moi elle s’éclatait sous mon poids qui était maintenant imposant et dévastateur. Les murs du bâtiment me protégèrent un peu et évitèrent la trop grande propagation des flammes. Une fois hors d’atteinte, je me rappelais de la méchante bestiole de tout à l’heure, portant mon regard sur la droite je ne vis rien de plus que des morceaux du toit qui s’effondrait au fil de secondes. Une aubaine pour moi qui détestait ces endroits isolés, mon armure était à présent éclatée en mille morceaux, je regardais mon adversaire en face de moi qui ne réagit pas tout de suite, à moi d’en profiter.

Durant un court laps de temps je fis plusieurs signes et crachai par ma bouche de la cendre bien grasse pour brouiller la vue de mon ignoble adversaire, ignoble par son physique évidemment. Rester dans cet environnement ne me donnait pas un avantage, j’étais plus dans le genre bourrin que petit coup de katana par-ci par-là. Cette fois-ci ma cible n’allait pas être la porte mais bien le plafond, un ouvrage tel que ce laboratoire raté ne méritait pas de rester debout. Je lançai préalablement un parchemin explosif contre celui-ci qui explosa le plafond dans la seconde suivante. Traîner ici plus longtemps était hors de question, une fois dehors je frappai le sol avec l'une de mes mains pour créer une frappe sismique et faire s’écrouler le plafond. Il allait être bien emmerdé mon pote sous une tonne se gravât, cela s’appelle l’affrontement par évitement. Une technique très efficace contre plus fort que soit ou plus con, ça dépend.


- " Mwahaha, je t’ai eu enfoiré ! Je vais réduire ce bâtiment en ruine, ça ira plus vite que de tous les tuer !"


Je ne voulais pas m’amuser à tuer tous les abrutis qui faisaient partie de ce laboratoire complètement pourri, qu’ils crèvent comme des porcs et payent leurs erreurs. Voilà ce qu’est la justice.


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Message(#) Sujet: Re: [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] [S] Tic tac... Tic tac, voilà les sauveurs! [Xaldin] EmptyMer 17 Avr 2013 - 11:25

Le maître commence sérieusement à me casser les burnes. Puis, merde, pourquoi on a signé ce pacte déjà ? Et pourquoi JE SUIS OBLIGE DE LE SERVIR MOI ET PAS UN AUTRE SCARABEE PUTAAAIN ! Bon, calme, il faut trouver ce putain d’isolant. MAIS PUTAIN IL M’ENVOIE POUR CHERCHER DU PAPIER ALU’, UN PUTAIN DE PAPIER ALUMINIUM, CE BOUCHE DU CUL DE MARDE. Maintenant. Calme pour de bon. Souffle Haitô. Souffle.

MA... Euh, calme. Donc, je dois chercher le réfectoire. Je passe les differentes interjections du laboratoire géant, survolant le parquet entacheté de quelques taches pourpres, semblables à de l’hémoglobine. En effet, je n’ai pas envie d’aller me frotter aux quelques quidams aliénés un peu plus bas. Apparemment, c’est dû à la mutation du virus. Putain, ‘va falloir faire attention avec ce joujou. Je rentre dans une salle de maintenance. C’pas ça. Je resors. Longe un grand couloir. Mais y’a des mecs qui se mettent à ma poursuite.
[color=black]Dis is toxic.

XALDIN NIQUE TA MERE ! Je m’élance à toute vitesse, battant des ailes comme un con. Je vois alors mon deuxième frère, et nous nous rejoignons. Lui aussi est pourchassé apparemment. Jurant sur Xaldin des sermons que même un supporter du PSG après une défaite contre l’OM ne proférerait pas, nous nous cachâmes dans un ongle mort que mon cousin avait repéré, échappant ainsi à la mini-armée des morts vivants qui s’était mise à notre poursuite.

Haletant, je dis :

  • Bon, maintenant, on va à la recherche de ce foutu aluminium.


  • Pas besoin.


  • Hein ?


  • Ouais, t’aurais pas déjà vu Xaldin utiliser une technique de portails pour invoquer toutes sortes de choses ? Ce con nous a envoyé chercher ce qu’il avait à porté de main.


  • MAIS MERDE MAIS IL EST CON ! LUTIN ERUDIT DE MES COUILLES ! MÊME UNE BLONDE A PLUS DE JUGEOTE QUE LUI MERDE ;


Après cette petite boutade rageuse-raciste, nous nous mîmes en route pour essayer de trouver soit notre troisième frère, soit l’arme, soit l’illustre connard, Xaldin. Quelques minutes de recherche, on avait déjà fouillé le bon quart du labo’. Quand soudain, parvint le son d’une explosion surpuissante. Filant vers ladite conflagration à toute vitesse, nous vîmes notre frère gisant sur le sol, et une dizaine de mètres plus loin, le maître aux prises avec un autre quidam. Et derrière eux... L’arme.

  • Xaldin ! Utilise tes portails pour l’aluminium ! Grouille baka !



Oh, putain. Je suis genre vraiment con sur ce coup. La voix d’un de mes scarabées me parvient alors que le Sunajin me charge de deux différentes offensives avant de fuir comme le manant qu’il est. J’active ma technique de célérité tandis que le quidam essaye de me brouiller la vue en crachant une épaisse fumée de cendre. Boosté tel une flèche, je file vers l’arme, sortant par la même occasion du brouillard, tandis que ma main file dans un portail pour ressortir avec du... Papier aluminium. C’est con de ne pas avoir pensé à cette technique quand même. En même temps j’en ai tellement... Puis pas tout le temps la possibilité de bien penser vec l’adrénaline qui monte. Bref, tandis que le sol s’écroule sur la zone où j’étais auparavant, je prends l’arme et l’enveloppe avec l’isolant, puis me la fout dans le derrière de la ceinture. Toujours sous l’influence de ma technique Jisetsu, je viens à la hauteur de mon adversaire, et tandis que mes deux dextres s’étaient enveloppées d’un chakra bleuté intense, je décochais un de mes combos les plus dévastateurs.




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