Pendant qu’une violente pluie s’abattait sur le village de Kiri, les commerces s’ouvraient petits à petits ainsi que les yeux du shinobi. Il allait effectuer sa première mission. Depuis le temps qu’il attendait cela, il était impatient à l’idée de la débuter. Le rendez-vous était fixé à 9 heures, la mission devait être faite en duo mais Sataro ne connaissait pas son coéquipier. Il sait juste qu’il s’appelle Kyu Shord. Mais bon, il en saura plus quand il sera sur place. Il n’est que 6 heures et demie et Sataro se prépare déjà … Il observa son chat Kuro qui roupillait encore. 7 heures et demie, le temps se calmait quelques peu, des rayons du soleil perçaient les nuages gris dans le ciel. Sataro était entrain de prendre son petit déjeuner. Son sac était déjà prêt, il n'avait plus rien à faire à part sa toilette. Toutes les tâches accomplies, il alla réveiller Kuro pour partir au lieu de rendez-vous.




Les rues de Kiri se remplissaient, elle affluaient de marchand qui transportaient des cargaisons de légumes,fruit jusqu'à leurs stand. Des enfants couraient en évitant les passants alors que les parents leurs criaient de faire attention. Le jeune homme se dirigeait vers le point de rendez-vous d'un pas sûr et régulier. Il décida de monter sur les toits et de s'arrêter un peu pour observer la vue du soleil éclairant Kiri. C'était une vue magnifique surtout quand il a plu avant, les rayons du soleil faisaient briller les constructions avec un arc-en-ciel. Sataro souriait car enfin il se disait qu'il allait pouvoir montrer de quoi il est capable. Kuro, lui , était couché sur les épaules du jeune homme comme à son habitude, ses deux queues se balançant dans le dos du garçon, ses yeux perçants, son poil noir et ses deux queues faisaient de lui un compagnon spécial. Les deux compagnons sont inséparables. Une amitié incassable les lient.




Sataro stoppa sa pose et décida de repartir car le temps passait plus vite qu'il ne l'avait prévu. Il accéléra le pas. Il était enfin arrivé et rencontra l'homme qu'il devait escorter. Le coéquipier de Sataro n'était pas encore arrivé donc il lança la discutions avec l'homme.

- Quel type de fourrure transporter vous jusqu'à Kiri ? Et pourquoi avoir demandé une escorte ?
- Hmm et bien pour commencer je transporte de la fourrure de lièvre. Et si j'ai demandé une escorte c'est parce que des rumeurs circulent sur le fait que des pillards volent les marchandises des marchands.
- Ces rumeurs sont-elles fondées ?
- Je n'en ai aucune idée, je ne l'ai ai jamais croisé et sans vous mentir je n'en ai pas trop envie, souria le marchand




Un bruit de pas se rapprochait, Sataro se retourna. Un homme d'environ 18 voir 20 ans s'approchait. Des cheveux longs, lisses et blonds, plutôt svelte , habillé d'une chemise blanche avec un pantalon noir. Par dessus un long manteau noir en cuir qui rase le sol, avec au cou une épaisseet très longue écharpe blanche. Sataro se redressa et vint se mettre près du marchand.

Seconde mission pour Shord et première en équipe, dans l’enveloppe le nom de ce second Ninja s’appel Sataro, juste Satano et « juste » n’est pas son nom et pas non plus son prénom, enfin moi qui pensais que Kiri était un village sérieux. Bon c’est comme cela, maintenant il faut penser à cette mission qui met donné, car moi je prends mon travail au sérieux hein !!! Un petit voyage de Yuki no Kuni à Mizu no Kuni, ben on va dire que ça va me rappeler la marche que je faisais à mon enfance, avec cette l’ordre de mission je pus voir une carte donnant la direction de notre objectif, je la regarde rapidement puis me souvenant rapidement avoir déjà fait un chemin dans les coins je range rapidement cette carte dans ma poche m’étant inutile maintenant, même si je préfère tout de même la garder au cas ou si j’oublie le chemin ou toutes autre raison, puis je pense que notre cher client lui aussi doit connaitre le chemin. Le client étant un marchand de fourrure n’a pas donné de nom ni même de prénom, une chose encore mystérieuse.

Quand la pluie se met à s’estomper et à devenir moindre des rayons de soleil apparurent un peu partout dans le village, je me mets à voir un petit sourire voyant pour la première fois les rayons du soleil toucher la terre du Kiri, pourtant, d’après les rumeur Kiri n’a jamais vu une journée ou le soleil reste présent jusqu’au bout de la journée, enfin après un copieux petit déjeuné fait hors du village, je me met en route pour arriver vers le lieux de rencontre avec notre client, après une courte marche je pus voir que je suis le dernier arrivé, ni une ni deux je salue les deux homme l’un portant un animal avec deux queux, cheveux d’un noir persan, il porte son bandeaux sur le coup, l’homme quant à lui est munie d’un grand sac ou doit surement porté les peaux, je regarda en premier Sataro après les avoir salué puis dit :

Tu es donc mon coéquipier, ben Sataro je le prononce bien au moins

Je fis un large sourir puis me dirigea ensuite vers le marchand tous en disant.

Excuser moi, mais sur notre fiche nous n’avons pas votre nom et donc nous ne savons pas comment vous appelez pouvez-vous me le communiquer s’il vous plaît ?

Heu, oui bien sûr appelez-moi Naruto.

Merci Naruto, moi c’est Shord ravie de vous rencontrer, dite moi se sac doit vous peser, vous voulez que je le porte ?

Ne vous en faites pas je préfère le garder, c’est un peu comme une habitude vous savez.

Je me remis à sourire en faisant un hochement positif de la tête. Le chemin devant bien commencer nous devrions réussir a prendre la voie des eaux en à peine deux heures, un temps asses correcte et qui ne doit pas se passer sans trop encombre, après une dizaine de minute de marche sous silence je lance une discussion :

Nous avons de la chance les pilleurs qui traines dans les coins attaquent que rarement avec ce temps ils préfèrent attaquer dans la brume afin de pouvoir fuir sans encombre, j’espère que nous allons continuer la route avec ce temps, enfin même si un peu d’action ne me ferais pas de mal. Sinon Satano dans la fiche technique ton nom n’est pas inscrit dedans c’est normal ou une c’est erreur ?

Le dernier arrivant s'approcha des 2 hommes puis salua d'abord Sataro puis ensuite le marchand. Le jeune ninja le salua aussi. Les 3 hommes étant côte à côte, Sataro jugea son coéquipier. Déjà Shord était plus grand que lui, était plus carré mais Sataro devait être plus musclé. Mais les muscles ne veulent rien dire pour les ninjas. Shord regarda Sataro et lui dit : " Tu es donc mon coéquipier, ben Sataro je le prononce bien au moins ". Sataro lâcha un regard sec et plutôt froid en lui répondant : " Oui, je suis ton coéquipier mais je ne suis là que pour la mission. Sinon je m'appel bien Sataro. " Shord sourit puis se tourna vers le marchand et lui posa à son tour des questions. Une fois que tout le monde était prêt, ils partirent en route jusqu'à Kiri.




Cela devait faire une dizaine de minutes que les trois hommes marchaient sous silence. Seul le bruit des animaux aux alentours se faisaient entendre. Kuro lui ne se préoccupait que de faire sa toilette. Il était bien réveillé maintenant, assis sur l'épaule de Sataro, il se léchait la patte tel un petit roi. Shord voulut lancer une discutions avec Sataro en lui demandant : " Nous avons de la chance les pilleurs qui traînes dans les coins attaquent que rarement avec ce temps, ils préfèrent attaquer dans la brume afin de pouvoir fuir sans encombre, j’espère que nous allons continuer la route avec ce temps, enfin même si un peu d’action ne me ferais pas de mal. Sinon Satano dans la fiche technique ton nom n’est pas inscrit dedans c’est normal ou une c’est erreur ? ". La question que le shinobi lui posa fit plonger Sataro dans des souvenirs douloureux. Lui même ne connaissait pas son nom de famille, personne ne le lui avait jamais dit. De plus ses parents étaient mort durant la guerre et sa tante fut assassinée ... Il ne lui restait plus rien de sa famille sauf l'épée que lui avait offert son père ... La tristesse s'empara de lui, il serra son poing droit de rage par rapport aux assassins de sa tante. Si ça se trouve ce sont ces pilleurs les ninjas qui ont assassinés sa tante. Si Sataro les retrouvait, il ne donnerait pas chère de leurs peaux. Kuro sentit l'énervement et la tristesse monté en Sataro, il lui planta ses griffes pour le faire revenir à ses esprits. Il tourna la tête vers son coéquipier et lui annonça :" Ce n'est pas une erreur, je n'ai juste pas connu mes parents. Si on pouvait éviter de parler de cela je t'en serai reconnaissant. "




Cela faisait presque une heure qu'il marchait et toujours aucun problème. Tout à coup, dans les feuillages un bruit, un craquement. Les deux ninjas s'arrêtèrent brusquement, Sataro chuchota au marchand de rester derrière eux. Le genin s'approcha en posant sa main sur le manche de son épée. Il approcha du buisson sans faire de bruit. Il distinguait de plus en plus une ombre, puis il se fit bousculer par l'ombre qui partit en courant de l'autre côté du chemin. Il put distinguer que ce n'était qu'un simple sanglier. Il se redressa et revint vers son coéquipier et le marchand pour leur dire que ce n'était rien et qu'il pouvait continuer. La tension qui s'était installé durant ce court instant s'était évaporée. Les minutes passèrent, Sataro se mit à hauteur du marchand et commença à discuter avec lui.




Ils arrivaient au bord de l'eau, il fallait traverser cette masse d'eau pour rejoindre Kiri plus rapidement. Mais pour cela il fallait tout d'abord prendre une barque. La maison du loueur de barque était à proximité. Ils décidèrent donc de s'y rendre mais une fois sur place, il n'y avait personne. Ni dans la maison, ni près des barques. Bizarre, une légère brume se levait. Les 3 hommes firent en sorte de se rapprocher les uns des autres. L'ambiance qui régnait ici était bizarre. Ils devaient partir au plus vite !

Sataro, ben disons qu’au moins les choses sont claires, à peine je n’ai eu à lui demander la prononciation de son nom qu’il met les points sur les « i » il ne veut seulement faire la mission rien de plus, dans un sens nous sommes en mission donc bien sur mission avant tout, mais ses dire veut aussi bien dire, dégage mec va voir ailleurs, bon d’une manière soutenue, mais ce fut le cas. Enfin il m’en faut d’autre pour que je m’énerve, puis ce n’est pas non plus méchant, donc bon, après une dizaine de minutes je me met à parler car le fait d’avoir seulement un prénom est asses bizarre, puis parler fait passer le temps aussi donc j’entame une discussion par une question, une seconde fois je sens la tentions monter, comme si ses yeux qui au pars avant maillant regardé d’une froideur se voit plonger dans les pensées, étant observateur je pus voir le poing se serré et quelques secondes après l’animal (dont je ne sais pas la race) sur son épaule se met à planter ses griffe. Dire que habituellement je suis une personne qui est plutôt aimé des gens je vins comme une haine dans son cœur, une chose dont je peux aussi comprendre, t’elle est le fardeau que mon clan porte, perdre un proche et une douleur atroce, j’ai déjà vue des mien céder à leur noirceur à cause de la perte d’un des siens, cette noirceur que le clan Kyu on d’attaqué sur leur âmes. Suite à cela il se met à me répondre, il n’a pas de nom car il n’a jamais connus ses parents, aucun proche ne put lui donné aucun papier ne peut le renseigner sur son nom, des questions que je garde pour moi.

Une heure passe, sans problème, nous marchons tranquillement vers la destination final, quand d’un coup un craquement s’entend, dans les buissons nous nous arrêtons tous les deux, moi restant près du marchant Sataro se mets a vérifier l’objet de ce bruits, l’épée a la main il atteint le buisson moi ayant pris un Kunai je me prépare a le soutenir tous en gardant un œil sur le marchant l’homme que l’on doit protéger, quand d’un coup un sanglier se met à le bousculer et à courir à tout va de l’autre côté du chemin, je me met à réfléchir tous en regardant la verdure d’où vient l’animal, ce n’est pas rare de voir ce genre d’animale ici, pourtant les voir s’arrêter à côté d’un chemin, n’est pas dans leurs habitudes de plus quand un sanglier charge il ne cherche pas à fuir, nous ne sommes que de simple Genin et donc faire peur à un sanglier sans rien faire par la simple aura c’est vraiment bizarre voire impossible, malgré cela c’est quand même probable, qui sait il ressent peut-être que sa famille est en danger, l’instinct et le comportement des animaux sont des fois imprévisible. Parler de cela ne ferait qu’apeurer Naruto et qui sais peut être même Satano, c’est donc sans rien dire que la suite de notre périple continue, pourtant je me mets à reste un peu plus vigilent qu’avant. A la suite je me suis ensuite je me suis mis à rester derrière le marchant et donc aussi derrière Satano pour la suite du chemin.

Nous arrivons dans un petit village maritime, c’est ici que nous avons donc décidé de prendre un embarquement afin de pouvoir atteindre Mizu no Kuni, quand nous rentrons dans ce village personnes, personne dehors et pas non plus dans le magasin de barque ni à coté de ses bateaux. La brume commençant à se lever je me mets à penser à l’une des paroles que mon père m’a dit un grand nombre de fois :

Si un jour tu voir une brume s’étendre de manière anormal, soit sur tes gardes et surtout fait attention il se peut qu’un adversaire vraiment puissant t’en veuille, ne l’affronte sur aucun prétexte.

Ses paroles étaient bien sur jamais exactement les même mais ils voulaient tousses dire la même chose faire attention. Je regardai Satano puis llui dit :

Position de défense.

Je me mets à regarder le ciel puis vérifie sur mon bras l’humidité ambiant, aucune raison pour une brume, je me mets à dire :

Futton, bordel un adversaire, il faut nous replier se cacher et savoir exactement ce qui se passe avant qu’elle s’épaissie de trop.

Après avoir agie je me mets ensuite à dire :

On nous suit depuis un certain temps, le sanglier que tu as vue Satano, je n’en étais pas sûr, mais il agissait comme s’il fuyait quelque chose.

Spoiler:

Shord regarda Sataro en lui disant : " Position de Défense ". Il hocha la tête en posant sa main sur le manche de son épée et se fléchissant sur ses genoux. Ils observaient les alentours. La Brume s'épaississaient, quel galère. C'est censé être une mission de rang C et non une mission de rang B ou A. La tension monte, Sataro n'était pas effrayé mais savait qu'ils n'étaient pas en position dominante. Cela pouvait venir de n'importe où. Le jeune genin lance un petit regard à son coéquipier voir s'il n'est pas apeuré mais non, il avait plutôt l'air de se poser des questions. La tension est à son comble. Les deux ninjas sont en position de défense depuis 2 minutes et rien ne se passe. Si l'ennemi avait voulu attaquer, il l'aurait déjà fait. Shord dit : " Futton, bordel un adversaire, il faut nous replier se cacher et savoir exactement ce qui se passe avant qu’elle s’épaissie de trop. ", il avait raison. Déjà que les 3 hommes sont piéger, mieux vaut qu'il se mette à l'abri. Ils avancèrent à reculons jusqu'à un petit talus où ils s'allongèrent derrière. Il fallait établir un plan et très vite car le temps défilait et les ennemis s'approchaient. Les deux ninjas commencèrent à argumenter, Shord commença :

- On nous suit depuis un certain temps, le sanglier que tu as vu Sataro, je n’en étais pas sûr, mais il agissait comme s’il fuyait quelque chose.

La scène du sanglier repassa dans la tête de Sataro et chuchota :

- J'aurais du m'en douter. Je trouvais cela bizarre aussi. Nous sommes en très mauvaise posture. Il nous domine largement grâce à cette foutue brume. On doit éviter le combat à tout prix car il à l'air d'être puissant. Il faut trouver un plan et je crois que j'en ai un.

Sataro marqua un temps de pose histoire d'observer les alentours. Il pointa du doigts la petite embarcation près de la maison.

- Il faudrait pouvoir aller là-bas sans se faire repérer, s'allonger dans la barque et que l'un de nous deux rame en étant caché. C'est risqué mais c'est le seul moyen de s'en sortir indemne.



Il observa Shord en attendant sa réponse. Le marchand lui regardait les deux ninjas entrain de discuter tout en s'inquiétant pour sa cargaison. Il devait agir vite. Mizu no Kuni n'était plus très loin. Il ne fallait pas échouer maintenant. Plus les minutes passaient, plus la brume s'épaississait. On ne voyait plus qu'à 1 mètre devant soi et encore. La décision allait être cruciale.

Spoiler:

L’odeur, le son, la chaleur, trois façon de repérer un adversaire parmi tant d’autre, poser une brume est fait pour retirer à un adversaire le sens qui lui sert le plus pour voir son adversaire, pourtant les possesseur de cette technique l’utilise pour être en avantage et donc il y a de grande chance qu’il nous repère d’une autre manière ce qui est surement déjà le cas sinon pourquoi lever une brume, plus le temps passe plus, je réfléchis à ce que mon père dit, je me mémorise la brume qu’il crée pour combattre et à quelle vitesse elle s’étant, à vrais dire cette brume et loin de rivaliser en activation, j’étant devant moi mon bras afin d’évaluer l’épaisseur, je peux encore voir le bout de mes mains et pourtant la brume semble avoir fini son évolution, plus loin que mon bras je ne vois rien, moins loin j’y vois, autant dire que nous avons une vue minime mais que sa peut être pire, enfin, les mots de mon père ne sont donc pas pour cette fois, car il me parle d’un homme surpuissant est donc au moins de son niveau. En même temps que je fais mes réflexions Satano analyse lui aussi la situation mais dans son point de vue, il parle d’une embarcation afin de quitté les lieux au plus vite, prendre la voix des eaux est risqué comme il le dit lui-même, car la plupart des utilisateur de futon maitrise aussi le Suiton, donc autant dire que d’aller dans l’eau est vraiment risqué mais dans un sens, si nous ne nous faisons pas repérer il ne devinera jamais cette solution, Satano a pris la bonne solution, après je ne sais pas vraiment s’il a réfléchit à toutes ça, enfin il me faut maintenant dire à Satano sans un mots qu’il se peut qu’il nous entende même si c’est une éventualité comme une autre, il se peut qu’il sache où nous somme grâce au flaire ou à la chaleur de notre corps voir même par notre chakra, je pose la mains sur le bras de mon coéquipier et du marchand qui depuis le début a gardé le silence, je fixe Satano en posant mon doit sur mes lèvres afin de dire chute, puis fait un hochement de la tête en montrant la direction du bateau, puis je cache mes yeux ensuite mes oreilles et après mon nez, je fis une étincèle avec pour chakra Raiton afin qu’il comprennent que le Ninja face à nous à un moyen de nous repérer et donc qu’il faut faire attention à tous, je me mets à tirer sur sa veste comme pour lui demander de me la donner et aussi celle du marchand puis dis :

Mauvaise idée, il doit surement aussi maitriser le Suiton, nous devons au contraire aller de l’autre côté.

Bien sûr c’est un leurre c’est simplement au cas ou si l’adversaire nous entend, pourtant je ne pouvais, ne prévoir que cette éventualité je fis signe à Satano d’aller vers le bateaux et que moi je servirais de leurre, je me mis à montrer les parchemins explosif tous en disant.

Nous allons utiliser des Explosifs afin d’apeurer notre adversaire et partir, j’espère que ne manieur de l’art de Futton n’est pas très malin

Je me met à accentuer trois mot dans cette phrase « Explosif » et « Partir » j’espéré qu’il comprenne que s’il entend des explosif se sera le signe de partir, le troisième mot est Futton en disant ses mots je me pointe moi-même du doit afin de dire que je suis aussi un de ses manieur de brume et donc que ce terrain ne m’est pas inconnu et donc que je suis la personne la plus apte à rester vivant dans cette action. Je continuai ensuite sur :

Je ne compte pas mourir donc faisons tousses de notre mieux.

Je me mis à faire un sourire, puis à courir avec les deux vestes, trois minutes passe je me suis éloigné de mes allier tous en restant silencieux je reste sans bouger comme pour pouvoir entendre le moindre son, les lieux où je me suis posé est caché du vent et je dissipe le plus possible mon aura, quand d’un coup j’entends un bruit venant de derrière moi, d’un geste rapide je me retourne parant une attaque faite de Kunai. Puis dit :

Qui vise tu, je ne vois pas un Ninja viser un simple chasseur de peau à moins que j’ai loupé une scène, de toutes façon je suis (nous sommes) seul maintenant et les (l’) autres sont(est) loin tu ne pourras pas les suivre.

Je me sent pris au piège car malgré mon pouvoir spécial je ne maîtrise pas encore cet arts quand d’un coup j’entends une voie dire :

Un voleur de peaux ? Non je ne le suis pas je suis l’équipier de l’homme que vous avez tué ? Bande de pilleur

Nous somme des Ninja de Kiri et non pas de vulgaire pilleur.

La brume se dissipas puis je remarque une jeune femme avec une bandeau de Kiri aussi, étonné je me met à dire :

Pourquoi nous attaquer ? Tu as le bandeau de Kir pourtant

Désolé je suis Chunin de Kiri, je suis en mission et mon coéquipier est morts quand j’ai vue sur son cadavre un Kunai et que en revenant au village je vous ai vue, avec votre amie qui a un regard glacial, je ne sais pas pourquoi mais je vous ai pris pour les assassins de mon ami.

Je comprends mieux la situation car un Ninja voulant voler de peaux de lapin me semble un peu gros se serais moins risqué de les chasser surtout pour un Ninja

Spoiler:

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Les trois hommes toujours réunit dans les fourrés discutaient encore. Jusqu'à ce que Shord mettent un doigt sur sa bouche pour nous dire de nous taire. Il hocha la tête en pointant l'embarcation. Sataro se préparait à partir quand Shord tira sur sa veste comme si il lui demandait de la lui passer. Il n'hésita pas à l'enlever pour la lui donner. Une fois ceci fait, il s'en alla avec le marchand en direction de l'embarcation. Il dit au marchand de ne faire aucun bruit car déjà qu'il n'y voyait rien, il ne fallait pas se faire repérer. Mais le chemin était parsemé d'embûche, des arbres étaient couchées par terre, des petits branchages craquaient sous notre poids. Tout pour nous faire repérer. Je regardais souvent pour voir si Shord n'était pas en danger et qu'il n'avait pas besoin d'aide. Je le vois courir dans la brume puis il disparut, il courait avec nos vestes elles servaient de leurre pour faire croire que nous courions avec lui.

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Pas un bruit à part les vagues s'éclatant sur les rochers. Le marchand et Sataro se rapprochait de l'embarcation. Une fois arrivé, Sataro dit au marchand de s'allongé dans la barque. Toujours aucun bruit, si ça se trouve, Shord s'est fait capturé ou même tué. " Quel merde ! " pensa Sataro. Toujours pas un bruit. Que faisait-il. Sataro décida de laisser le marchand seul et d'aller voir ce qu'il se passait. Il avait dégainé son épée pour se préparer à une éventuelle attaque. Sataro n'avait pas peur, il avançait, confiant , dans la direction où il avait vu partir son coéquipier. Bizarre, si les voleurs de peaux avaient voulus attaqué ils l'auraient fait depuis longtemps.

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Soudain un bruit métallique retentit. C'était dans la direction où Shord s'était dirigé. Sataro commença à courir l'épée à la main près à sauter sur l'ennemi. Sataro voulut faire un détour pour ne pas se faire anticiper. Pendant qu'il faisait son détour, une ombre au sol commençait à se dessiner. Il se demandait ce que c'était, plus il se rapprochait, plus cela ressemblait à un corps. Oui, c'était bel et bien un corps. De plus il avait le bandeau de Kiri sur le front. Je posa ma main sur sa gorge pour sentir son pouls. Son cœur battait très faiblement , il devait être entre la vie et la mort. Il nécessitait les premiers soin mais Sataro et Shord ne sont pas des médecins. Sataro décida de le prendre sur son dos et de l'amener jusqu'à Shord.

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C'était dangereux mais il fallait le faire. C'est un ninja de Kiri et il fallait l'aider. Sataro avançait dans la brume et il distinguait 2 ombres debout. Elles semblaient discutées, il cru reconnaître Shord. Il s'avança et tomba sur Shord et une jeune fille. Elle portait elle aussi le bandeau de Kiri. Surprise de le voir surgir comme cela, elle empoigna son kunaï et se mit en position d'attaque. Sataro lui lança : " Qu'est ce que tu fais idiote, je suis un ninja de Kiri aussi. Range ton kunaï et viens m'aider ! Toi aussi Shord.". Il posa le corps de l'homme au sol, la jeune fille dit :

- C'est mon coéquipier ... Il s'est fait tué par les pilleurs. Il s'est fait transpercé le ventre par l'épée d'un des pilleurs... Je n'ai rien pu faire ...

- Il n'est pas mort. Son cœur bat très faiblement, il est entre la vie et la mort. Il doit avoir les premiers soins très vite sinon il risque vraiment de mourir.

Après que Sataro est finit de dire cela, une lueur d'espoir apparut dans les yeux de la jeune fille. Elle se mit à genoux devant le corps de l'homme et commença à le soigner. Sataro en avait complètement oublié le marchand. Il dit aux shinobis de venir jusqu'à l'embarcation et qu'elle continuerait les premiers soins à bord de la barque. Quel chance qu'elle soit médecin, sans cela il serait mort sur le chemin. Une fois arrivé à la barque, le marchand se redressa et nous voyant arrivé, sortit et vint nous aider. On allongea l'homme blessé dans la barque puis commencèrent à ramer en direction du village. Ils n’avaient pas beaucoup de temps. Ils devaient faire le plus rapidement possible car la vie de l’homme était entre leur mains !

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Nous pouvons enfin y voir plus claire, tous devient limpides, cette brume n’est pas la raison pour laquelle mon père m’a avertis, cette mise en action m’étourdis dans mon passé comme si une chose ne colle pas dans mon histoire qui bien sûr dans le cas présent n’a aucun rapport avec ma mission, mais c’est une question qui ne m’est jamais venus de penser, pourquoi cette avertissement ? Qui peut bien m’en vouloir sans même me connaitre ? Pourquoi ? Une vengeance sur mon clan ? Y a-t-il une liaison avec le contrôle du Futton que nous contrôlons ? Si je dois me méfier d’une personne contrôlant le Futton c’est surement un membre de mon clan, ce qui revient à une histoire venant à ma naissance ce qui expliquerait le fait que je ne sache rien, puis si ça revient d’aussi loin y a-t-il une liaison aussi avec la mort de ma mère ? Nous avons un blesser et nous devons ramer le plus vite possible vers l’ile ou nous devons aussi déposer notre marchand de peaux, je me dois de faire passer la mission avant mon propre intérêt, de toutes manière cette question ne s’envolera pas, même si ce genre de question n’est pas de ceux que l’on arrive à laisser de côté.

La brume est de nouveaux sur nous, nous sommes quatre en comptent le blessé, le froid se fait de plus en plus sentir et ça nous permet de savoir que nous somme près de l’ile, l’homme est encore vivant, mal en point mais toujours vivant. Pour ma part je fais gaffe à ce que je fais mais mes pensées me perturbe quand même pas mal et à vrais dire j’ai peur que ça se voit un peu. Nous voilà accosté, la neige est sur le sol et quelques flocons tombent, nous sommes dans un petit port, tenant le blessé nous partons dans la maison la plus proche afin d’avoir de l’aide. Ce que nous avons reçus après avoir tapé sur la porte de la première maison nous somme tombé sur une personne hébergent le blessé le temps que l’on trouve un médecin dont il nous a donné l’emplacement, notre frère d’arme est maintenant dans de bonne main, Nous sommes donc trois à côté d’un lit ou se ninja se voit soigné par un médecin, je regarde Satano puis dis :

Satano tu viens laissons ses deux la seul, j’ai à te parler.

Je sorte de la salle afin d’entrer dans une nouvel, une sorte de sale d’attente, sauf que dans celle-ci il n’y a personne, quand mon coéquipier entre je me mets à dire :

Tu es moins froid que tu ne laisses le paraitre, je te remercie d’être venu voir si je n’avais rien si tu n’étais pas venus il y a peu de chance que cette homme soit à ce moment-là vivant.

Après un certain temps je continue de parler :

Bref passons, je ne suis pas là pour tergiverser, le marchand est au point où nous devons l’amener il nous reste le rapport à faire. Autant que j’y aille directement, elle n’y arrivera pas seul elle à un gade supérieure a nous, mais maintenant elle est seul et le sentiment de vengeance et un lourd sentiment à porter surtout seul. Je vais faire bref, je vais l’aider, nous somme une équipe sur cette mission, mais je ne peux t’obliger donc si tu ne me suis pas tu n’auras qu’à mettre que je suis partit de mon plains grés. J’en assumerais seul les conséquences.

Que de parole héroïque, c’est ce que beaucoup doivent penser, des mots fais pour alléger la conscience, je n’ai rien à cacher que se soit mon côté sombre comme le reste, rien à justifier et encore moins de chose dont lequel je devrais m’en vouloir donc non ce n’est pas des paroles héroïque c’est simplement ce que je suis.

La brume, encore la brume, toujours la brume ... Les 5 personnes à bord de la barque naviguaient en direction de Mizu no kuni. Il ne restait plus beaucoup de temps au ninja blessé. La silhouette du village se dessinaient dans la brume. Sataro observa rapidement Shord et remarqua qu'il avait l'air bizarre, comme s'il se posait des questions. Mais bon, ce n'était pas le moment de parler de ça. Le temps passait, ils se rapprochaient de plus en plus du village. Sataro observa le blessé pour voir ce qu'il devenait, il souffrait, cela se voyait, il tremblait de souffrance. Mais il fallait qu'il tienne encore un peu. Enfin ils posèrent un pieds à terre. Sataro prit le blessé sur son dos et coururent chercher de l'aide, ce qu'il trouvèrent du premier coup. Enfin, ils allaient pouvoir le soigner. C'était parfait, ils ne leurs manquaient plus que le médecin sachant que la shinobi lui donnait les premiers soins. Nous étions tout les trois autour du lit du blessé entrain d'observé le médecin le soigner. Quand Shord regarda Sataro puis lui dit :

- Satano tu viens laissons ses deux la seul, j’ai à te parler.

Il hocha la tête, Shord sortit de la pièce et Sataro le suivi. Ils entrèrent dans une nouvelle salle, cela ressemblait à une salle d'attente, il y avait plusieurs chaises disposés contre le mur. Des petits tableaux étaient affichés dans la salle à différent endroit. Shord reprit :

- Tu es moins froid que tu ne le laisses paraître, je te remercie d’être venu voir si je n’avais rien si tu n’étais pas venu il y a peu de chance que cet homme soit à ce moment-là vivant.

- Tu es mon coéquipier, tu ne crois quand même pas que je t'aurais laisser te battre seul. Moi aussi je veux me défouler, dit-il avec un sourire narquois, Plus sérieusement, si tu m'as fait sortir de la sale ce n'est pas pour ça, je le sais et ça se voit sur ton visage. Aller crache le morceau.

- Bref passons, je ne suis pas là pour tergiverser, le marchand est au point où nous devons l’amener il nous reste le rapport à faire. Autant que j’y aille directement, elle n’y arrivera pas seul elle à un grade supérieure a nous, mais maintenant elle est seul et le sentiment de vengeance et un lourd sentiment à porter surtout seul. Je vais faire bref, je vais l’aider, nous somme une équipe sur cette mission, mais je ne peux t’obliger donc si tu ne me suis pas tu n’auras qu’à mettre que je suis partit de mon plains grés. J’en assumerais seul les conséquences.

- Je sais ce que c'est le sentiment de vengeance. Tu es sûre de ton choix ? Le Mizukage risquerait de nous faire des remontrances... Mais il n'y a pas de problèmes, je ne te laisserai pas seul même si cela ne concerne plus la mission. On assumeras à deux.

Sataro eut un sourire ironique en se disant : " Il croit qu'il peut tout régler tout seul. Mais je l'aiderai malgré tout. " Enfin bref, une fois cela dit, Sataro lui lança :

- Bon, maintenant c'est à moi de te parler. Je sais qu'au début j'ai remis les point sur les i en disant que je n'étais la que pour la mission. Mais là je ne reste pas pour toi. Je reste pour aider une shinobi faisant parti de notre village ainsi que son ami. Donc ne te fais pas trop d'espoir. Nous sommes des shinobi de Kiri et devons aider les nôtres.

Une fois cela dit, il se retourne pour aller dans la chambre voir la shinobi. Il lui demande de le suivre et de venir avec Shord et lui. Ils rentrèrent, Sataro se retourna puis regarda la jeune shinobi, il lui dit :

- Bon, notre mission est terminé mais nous allons rester pour te soutenir. Nous savons tout les deux ce que c'est de vouloir se venger. Nous n'allons pas t'aider à te venger mais plutôt à oublier ce sentiment et de ne pas rester seul. Tu n'as pas à t'en vouloir de ce qu'il s'est passé là-bas. Si tu as besoin de quoi que ce soit. N'hésite pas.

Dans cette sale isolée nous échangions nos idées tel deux collègues cherchant à faire avancer leurs travail, nous avons finit par un accord commun. Nous aiderons tous les deux la Shinobi. Nous savons qu’elle et du type Futton et qu’elle est médecin, en gros elle ne doit pas avoir une grande panoplie d’attaque, de plus le Futton ne nous ai pas vraiment utile sauf pour fuir et encore pour cela il faut que l’on sache si les adversaires n’ont pas de moyen de nous repérer dans la brume. Pas un mot supplémentaire sortit de ma bouche jusqu’à dans la barque. Posé dedans je me mets à poser plusieurs question a cette femme sur sa mission, elle fut donc envoyé avec son allié afin d’arrêter un groupe de bandit d’une dizaine d’après la fiche de description, ils ont attaqués la ville, mais quand ils sont venus il n’y avait plus personne dans le village. En gros se fus le cas, après mure réflexion nous on a une décision un plan d’action.

Le port est maintenant à portée de vue, l’accotement sur la terre ferme est sans encombre la brume n’étant pas très épais, nous pouvons voir que nous ne sommes pas attendus, en tous cas personne à vue, nous ne savons pas si ces bandits sont partis ou attendent dans les coins, quoi qu’il en soit nous les trouverons, je suis un chasseur après tous trouver les traces d’un troupeaux d’homme ne doit pas être compliqué, bien sur je n’ai pour le moment chassé que des gibiers, mais je ne pense pas que ça change grand-chose avec ce genre de personnes, des traces, des branche cassé, des cailloux déplacé, un objet fait tomber, il y a plusieurs chose à prendre en compte dans une traque et l’observation st la meilleur des arme dans cette situation, bien sûr il y a plein d’autre manière de pratiquer le bruit ou l’odeur, j’ai moi-même eu l’idée de les développer, mais pour le moment je n’en ai eu guère le temps et j’ai d’autre priorité d’entrainement.

Le pied à terre je regarde vers une des maisons qui a la porte ouverte, la porte bougeant avec le vent, j’observais plus attentivement et voix un léger épaississement de la brume devant la porte, un courant d’air chaud frottant un courant d’air froid augmentant la densité de la brume dans cette petite zones, un signe de présence il y a peu de temps, je me mis donc a dire :

S’ils ne sont pas là ils ne sont pas loin je pense pouvoir les pister s’ils s’éloignent, mais je n’en suis pas certain.