Plus froid que l'acier [Pv Kazeshoshi]

Plus vierge qu'une sainte, plus large qu'un manjuu géant (comparaison étonnante me direz-vous) et plus haut que... très haut quoi! Un terrain, basique avec peu de matériel. Différents éléments à disposition: rochers, arbres, petites marres. Les nuages contournent docilement ces petits plateaux. Le soleil y est brûlant et l'ombre rare. Quelques cibles ont été nonchalamment disposées de-ci de-là et quelques caisses bourrées de matériel jonchent le bord des falaises . Un environnement idyllique pour la flopée de Taijutsushis/Ninjutsushis bourrins qui coexistent dans les quartiers résidentiels et qui viennent ici évacuer la frustration de ne pas pouvoir ~~se mettre correctement sur la gueule~~ régler leur conflits de manière propre et mesurée.

Alors que je venait préparer quelques sceaux sur des parchemins pour anticiper les missions à venir un étrange individu vint stagner au milieu d'un pont suspendu. Les cheveux blancs/argentés, un jacket sombre et un Katana effroyablement long. Soudain mon esprit s'égara. Fusse-t-il une seconde, ou peut être quinze, ou peut être plus! Toujours était-il que je m'étais levé et avait approché le sombre individu en ne prenant avec moi ni précaution ni modération ~~c'qui ces deux là ?~~. Maintenant à moins de 10 mètres de l'individu il m'était difficile de reculer. J'étais trop proche pour feindre m'être approché par hasard et trop loin pour bénéficier d'un quelconque effet de surprise.

Place au dialogue! D'abord : éclaircir sa voix, bomber le torse et d'un geste mécanique et au combien inélégant tendre une main raide comme... je suis encore à cours de comparaisons, enfin vous voyez :

-Salutation, je m’appelle Shirogane. Envie d'échanger quelques passes?

Pour ceux qui douterais de mes intentions je ne suis pas en train de lui proposer une "passe" connue aussi sous le nom de jambe en ***** mais bien de participer à un entrainement au Taijutsu..

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C'était une journée paisible. Quelques nuages blancs survolaient lentement le village, mais le temps était léger. Le soleil rayonnait sur les hautes montagnes, et les orages pourtant habituels semblaient avoir pris des congés payés (merci Uriô ?). En cette matinée d'hiver, fraîche mais agréable, le silence n'était déjà plus de mise dans les rues de Kumo. Kaze pouvait l'entendre depuis les hauteurs, mais il avait fini par s'y habituer. Ce murmure permanent ne le gênait plus, à présent. Ce qu'il faisait dans les hauteurs ? Eh bien, il se dirigeait vers les plateaux qui servaient par convention de terrains d'entraînement pour petits et grands. Au fil du temps, ces lieux avaient été jugés idéaux par les Kumojin pour ce genre d'activé.

Dans sa tête, il ne se passait plus grand-chose. C'était volontaire. Le temps était apaisant, et il ne s'était d'ailleurs pas entraîné depuis un bout de temps. La dernière fois qu'il avait eu à se battre, c'était lors de la mission de Kirin, chez ces anté-médecins aux bactéries redoutables. Depuis, de nombreux événements, ainsi que des rencontres, s'étaient enchaînés sans relâche. L'attaque du village, sa promotion, celle de ses camarades, leur entrevue avec Uriô, la tournure qu'allaient prendre les choses étaient autant de sujets d'interrogations et d'inquiétude. Préoccupé par tout cela, il avait passé du temps à y réfléchir, et même à en parler avec certaines personnes. Du coup, pour résumer, il n'avait encore jamais fait quoi que ce soit en tant que Chûnin. Pas même un seul petit entraînement. Pourtant, il portait ce grade depuis l'automne. Après avoir réalisé cela, ce qui l'avait définitivement décidé, c'était qu'il devait de toutes façons rester à Kumo le temps de prendre connaissance des plans du Raïkage. C'était devenu un facteur de première importance pour lui.

Il s'était donc mis en route vers les terrains d'entraînement, ne voulant pas ruminer inutilement plus longtemps – en plus, il devait déjà être bien rouillé. Le vent était presque froid, mais sa douceur mettait Kaze à l'aise. Comme quoi c'est idiot de se prendre la tête quand il fait beau, vaut mieux aller s'entraîner. Il approchait rapidement – c'était devenu naturel -, et finit par repérer quelqu'un. Une seule personne ? Étonnant... Et qui se dirigeait vers lui, d'ailleurs. Apparemment, ce quelqu'un allait l'attendre à la sortie du pont – ou à l'entrée du plateau, ça dépend comment on voit les choses. Cependant, il s'avéra que cet inconnu n'était pas un malotru qui comptait couper les cordes tel un sournois. En effet, il ouvrit le dialogue, prononçant simplement les politesses de base accompagnée de son patronyme ainsi que d'une aimable invitation. Hé béh, il ne se souvenait pas d'une telle qualité de réception (merci Uriô ?). Il répondit donc de manière toute aussi courtoise, faisant part de son enthousiasme à cette idée, et soutenant ses mots par un léger sourire, alors qu'il posait le pied sur la roche et la terre.

« Kaze. J'suis venu pour ça, content de trouver quelqu'un qui aie l'air aussi motivé que moi, j'ai bien besoin de me dérouiller pour de vrai. Tu combats avec quoi ? »

Il était capable de s'adapter, et peut-être ce Shirogane allait-il lui montrer quelque chose d'intéressant, ou encore lui offrir une opportunité nouvelle. Les armes, il maîtrisait. Mais pas toutes.

Au vu de la réponse prompte et positive il était évident que ce shinobi était expérimenté ou en tout cas que la confrontation risquait d'être instructive (pour moi). L'environnement était idéal. Isolés et à la lumière. La température tout à fait équilibrée (nous sommes au dessus des nuages alors il devrait faire très froid). Propice à un entrainement de longue haleine. Sans attendre je me dirigeais vers ma réserve d'arme. Tout d'abord, commençons avec le traditionnel Kunai relié à un fil de fer et un élément de ma fabrication: habituellement utilisé pour sectionner les nerfs les plus récalcitrants et la moelle épinière. Bien entendu cette exemplaire a vu ses propriétés tranchantes réduites au maximum. Sa seule particularité est sa forme: plusieurs trous le long de la lame permettent de faire varier la précision de l'incision ou de saisir la lame en fermant le poing. Réutilisés, ces trous permettent de moduler les angles de pénétrations de la lame à l'aide de fils. Le manche possède une petite garde qui peut notamment servir de support à l'index lors d'une incision et est profilé de manière a pouvoir également servir de grappin (il y a une légère extrémité). Le manche, lui, est munit à l'arrière d'un anneau dont les bords on été polis découpés de telle sorte qu'on puisse y placer un disque amovible qui constitue une petite roulette "mobile". Enfin, une légère rotation du manche permet de révéler un dard/couteau chinois autour duquel s'enroule une bobine de fil fixée dans la paroi du manche.

Bien que cet outil semble abusivement sophistiqué il permet d'effectuer très vite des sutures, d'inciser proprement et rapidement dans différentes parties du corps (les angles et les types de lames ) indépendamment de leurs constitutions. La première cible étant les nerfs, moelle épinière et éventuellement tendons. Je saisis donc l'engin, et, me retournant vers l'individu je dis d'un ton conciliant:

-Ceci et cela. Ne vous inquiétez pas , pour le second les lames sont inoffensives si on ne les aiguises pas. C'est leurs seul inconvénient. Mon niveau de Taijutsu est relativement faible je vous demande donc d'être indulgent dans vôtre jugement, en tout cas en ce qui concerne les premières passes.

Sans plus attendre je saisis deux kunais reliés à des fils et des parchemins et les plaça dans ma main. Puis, tenant fermement l'outil chirurgical en position dague l'annulaire placé sur la position du trou de l'index et l’auriculaire dans un trou de la lame tandis que l'index sert de balancier pour maintenir la lame droite (serre le manche). Ensuite, sur le même ton que précédemment :

- Et vous que prendrez vous?

Il existe beaucoup d'armes en ce monde , laquelle est la plus optimale?...

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Il observa Shirogane se diriger vers les caisses d'armes disposées intentionnellement en ces lieux, tout en se demandant quels pouvaient être son niveau ainsi que son style de combat. Le Chûnin appréciait le bon goût de proposer un simple entraînement au Taïjutsu, sans artifices ni subterfuges. Lui-même était plutôt du genre à chercher le corps-à-corps, et même si le mieux était bien sûr de préparer progressivement le terrain tout en épuisant l'ennemi avant de se lancer dans une offensive fulgurante pour marquer la fin du combat, quelques passes d'armes sans préalables ne pouvaient que lui être bénéfiques. Car parfois, l'attaque que l'on espère être la dernière se révèle inefficace, et il faut alors suivre le rythme d'un combat rapproché. Rouillé comme il l'était, il craignait d'avoir régressé sur ce point. De plus, le Taïjutsu était sûrement son domaine de prédilection. Lui qui adorait créer ses propres armes en fonction de ses besoins, faire preuve de toujours plus de créativité à chaque combat, s'adapter à la situation, c'était là le meilleur moyen de le satisfaire.

Shirogane revint vers lui avec, dans la main, deux simples kunai. Enfin, c'est ce qu'il croyait. Mais, de plus près, il comprit que c'était loin d'être simple. Avant tout, les lames étaient bien particulières. Il était évident qu'elle n'étaient pas faites pour trancher, ou même simplement se planter dans quelque chose. Il n'essaya pas de réfléchir à toutes les utilisations que ce type d'arme permettait. Il préférait découvrir cela en combat, aussi bien pour mettre sa réactivité à l'épreuve que pour ne pas s'imposer de préjugés. Tout ce qu'il savait, c'est que les nombreuses possibilités qu'offraient une si petite chose convenaient parfaitement aux médecins. En effet, ça avait plus l'air d'un instrument de torture que d'une arme faite pour combattre. Mais rien ne pouvait l'affirmer ; peut-être son adversaire était-il spécialisé dans la furtivité ? De toutes façons, il allait vite se faire son idée à ce sujet, tout en étant conscient que les fils reliant les kunai à ses membres donneraient l'avantage à son adversaire lors des phases à distance.

Face à un attirail aussi sophistiqué, il doutait légèrement. Jusque-là, il n'avait jamais créé d'arme originale, se contentant simplement de façonner celles de base à sa manière. Et, parmi celles qu'il maîtrisait, aucune n'était efficace à la fois à distance et au corps-à-corps. Il devait choisir, tout en gardant à l'esprit qu'il serait forcément désavantagé dans l'un des deux domaines. Situation compliquée, mais il n'allait pas se prendre le chou pendant des plombes pour un entraînement. Oui, parfois, il se rendait compte qu'il réfléchissait trop. Il se lança donc dans sa réponse à sa propre question, qui venait de lui être retournée, sur le même ton amical que tous deux continuaient d'employer, entre personnes civilisées.

« Pour moi, un combat, c'est un tout. Je ne me permettrai pas de juger ton niveau avant d'avoir fini. Mais tu me fais hésiter avec tes kunai bizarres. Je me demande même si tu es vraiment du genre combattant... Enfin bon. Je vais prendre ça. »

Il n'avait pas bougé d'un pas. Il tendit simplement la main, paume ouverte dirigée vers le sol. Une barre métallique apparut, prenant forme progressivement, pour finalement atteindre une longueur d'environ un mètre – s'il devait gérer du combat à distance, il lui fallait un maximum de maniabilité. Comme sortant de la terre, elle grandit jusqu'à sa main qu'il referma pour la saisir fermement. Sur ce, il s'éloigna de son partenaire d'entraînement en un coup de vent, avant de se mettre en garde, prêt à se défendre.

« Je t'en prie ! »

L'aspect de mon outil de chirurgie semble perturber mon adversaire. Je dois admettre que la forme est étrange mais cela mis à part ... Mon adversaire, toujours immobile, tendis sa main paume vers le sol. Un objet semblait émerger du sol... Une barre métallique?! Le combat s'annonçait plus rude que prévu, mon adversaire utilise donc le kinton. Heureusement que c'est un entrainement car affronter un utilisateur de Kinton en combat à arme blanche est presque suicidaire. Après avoir saisit son arme il mis une certaine distance entre nous. Puis ,sobrement, m'invita à ouvrir le combat. Le plus problématique au sujet de son arme est qu'une barre métallique, comme toutes les armes longues, possède un périmètre de sureté. Bien que la barre sois plus courte qu'une lance et que ses extrémités ne soient pas tranchantes, la barre a l'avantage d'être efficace dans l'ensemble de son périmètre contrairement à la lance par exemple, où, une fois passé la lame, sa maniabilité est grandement réduite même pour un utilisateur expérimenté. La barre métallique peut être déplacée de manière assez fluide et rapide dans une sphère dont le rayon mesure la moitié de la barre. En plus en faisant varier la position de ses mains il peut attaquer à une distance supérieur au rayon de la sphère de moitié de sa longueur voire de toute sa longueur si il a une bonne force/souplesse dans le poignet. La première chose à faire est donc d'empêcher les extrémités de bouger.

Tu es bien sûr de vouloir mettre de la distance entre nous? Après tout avec mes fils le combat longue distance m'est favorable contrairement à toi qui a nécessairement besoin d'être au corps à corps pour me toucher.

En honnête combattant je répondis donc à l'invitation de "Kaze": Tout d'abord j'abaisse mon centre de gravité et le met en déséquilibre vers l'avant (je me laisse tomber en avant). Ensuite avec une seule impulsion je réduis la distance nous séparant de quelques mètres. Je place alors mon pied droit perpendiculairement à ma trajectoire pour freiner et laisse mes Kunais reliés à des fils partir en différé. La vitesse accumulée lors de l'accélération leur est transmise dans un mouvement semi-circulaire. Les Kunais se dirigent donc directement vers la cible et avec une plus grande vitesse et de manière à ce que , si celui-ci se défend, les Kunais agissants comme des poids, enroulent les fils autour de l'adversaire ou de son arme. L'un des Kunai a une trajectoire volontairement plus basse le but étant de capturer les extrémités de la barre. Malgré la relative rapidité du mouvement les kunais restent évitables. Si mon adversaire se débrouille correctement la rotation des kunai pourrait bien se retourner contre moi. Par précaution j'enroule partiellement le fil qui se déploie pour pouvoir ajuster la trajectoire des Kunais.

Ce qui est le plus à craindre c'est qu'il dévie mes kunais soit avec sa barre, soit le Kinton ou qu'il arrive à les saisir. Si il maitrise quelques techniques de Taijutsu il n'est pas impossible qu'il puisse augmenter sa force physique. Si je parviens à immobiliser sa barre il peut soit s'en séparer et en reformer une autre ,soit profiter de la solidité de mes fils et s'en servir contre moi: en me tirant vers lui par exemple. Je me retrouverais au corps à corps , les mains quasi liées , dans le périmètre de sa barre et le fil, déployé sur une plus courte distance, sera évidement distendu et ne l'empêchera plus de bouger sa barre comme il l'entend. Je dois donc me préparer à utiliser mon autre arme en bouclier/dague en combat rapproché. Je saisis donc mon appareil chirurgical par les interstices de la lame en mode "poing-américain".

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Kaze esquissa un sourire, comme amusé par la remarque de son partenaire d'entraînement. C'était tout à fait pertinent, et le problème n'était pas qu'il était naïf. Bien au contraire, il semblait être habitué au maniement des armes – cette impression se renforçait de plus en plus depuis qu'il avait vu quel genre d'outils il allait utiliser durant le combat. De plus, le Chûnin était lui-même plus un adepte du corps-à-corps que du combat à distance, et il le savait. Sa maîtrise innée du Kinton l'avait incité à développer un style de combat rapproché, qu'il trouvait bien plus approprié à cette affinité. Cependant, rester éloigné de ses adversaires était la première mesure de prudence en début de combat. Il le savait non par déduction, mais tout simplement par expérience. Combien de fois s'était-il jeté bien trop tôt sur son adversaire, sans prendre le temps dévaluer les risques, et s'était fait rétame pour cette seule raison ? Il n'était même pas sûr de savoir compter jusque-là. Du coup, la plus élémentaire des sécurités était bien évidemment de se laisser un certain temps de réaction afin de ne pas se laisser surprendre par une offensive inattendue. Si Shirogane n'en était pas conscient, il risquait de se faire piéger à son tour. Kaze avait la très nette impression d'être bien plus en confiance que l'autre Kumojin. Intéressant... Était-ce feint ? Il allait très rapidement s'en rendre compte.

La première attaque fut des plus basiques. Comme il pouvait s'y attendre, le combat commença tout en douceur. Face à un utilisateur d'armes de jet combinées à des fils, la distance était effectivement plus un avantage qu'autre chose. Il eut largement le temps de sentir les étranges kunai arriver droit vers lui, sans oublier de noter que Shirogane se préparait à enchaîner avec son autre arme. Confiant quant à ses capacités au corps-à-corps, son choix fut rapide et, par conséquent, sa réaction également. Son adversaire avait intelligemment visé les extrémités de sa barre de fer afin de l'empêcher de l'utiliser. Cependant, l'agripper ne signifiait pas l'empêcher de l'utiliser. Si l'attaquant n'avait pas envisagé cette option – bien que la posture qu'il avait adoptée après son lancer laissait penser le contraire -, il allait être surpris et risquait de se faire mettre KO dès le début des ces passes d'entraînement. Cela ne serait pas intéressant, et Kaze espérait que les événements se dérouleraient d'une toute autre manière. Quoi qu'il en fut, il resta sur sa première idée : il laissa les kunai atteindre les extrémités de son arme, et s'enrouler autour à l'aide des fils auxquels ils étaient attachés. Maintenant, un contact était établi. A peine fut-il certain qu'ils resteraient accrochés à son bâton qu'il se mit à faire tournoyer ce dernier sur lui-même du plus vite qu'il le put afin de laisser un minimum de temps à Shirogane pour réagir. Le but de cette manœuvre ? Tout simplement enrouler les fils l'un sur l'autre, afin d'attirer son adversaire vers lui sans lui laisser le loisir de le surprendre avec une feinte quelconque qui utiliserait à nouveau ses armes de jet. S'il voulait se libérer de l'emprise du Chûnin, son seul moyen restait vraisemblablement d'abandonner tout simplement les kunai en coupant les fils à l'endroit où il les tenait. Mais peut-être avait-il une surprise en poche ? Il n'espérait que cela. Les combats d'entraînement sont décidément très intéressants. Contrairement aux situations réelles, on ne risque pas sa vie, et on choisit de se battre. La liste d'avantages est encore longue. A nouveau, Kaze esquissa un sourire, tout en prononçant quelques mots à voix basse.

« Allez, montre-moi ce que tu as. »

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