Alors que la vie suivait son cours pour les civils du pays du feu, le village caché de Konoha lui était dans une constante agitation normale en temps de chaos. Au cœur de l'immense forêt au centre du pays, la crème des shinobi s'activaient pour tenter d’amenuiser l'impact des évènnements récents, certains autre devaient lutter contre des ennemis plus... communs, mais ceux-ci se donnaient à leur tâches avec un acharnement résolu.
Parmi ces épreuves, Setzu, récemment retourné de son exil forcé essayait tant bien que mal de se faire réintégré dans les forces actives de Konoha. Seulement sa tâche n'était pas facile entre les preuve de diplomation, les enregistrements et tous les autres inconsistances entre la personne qui a été kidnappée et celle qui est retournée, les bureaucrates constituaient son premier obstacle quant à la progression de sa nouvelle voie.
"M. Moritake, vous savez bien que les victimes de prises d'otages sont toujours considérées mortes après un mois. De plus, il est impensable que vous ayez été capturés en bordure du villages! nos mesures de sécurité sont au plus haut point!" répéta le commis de l'académie d'une voix monotone.
PEU. IMPORTE. Je ne veux pas votre avis, je ne veux qu'une preuve de mon passage à l'académie!! Lança le ninja débutant en tentant tant bien que mal de contenir son impatience.
En effet dans le cours de son départ, l'homme avait passé d'un genin absorbé dans la fiction à un féroce pyromancien dôté d'une maîtrise parfaite des flammes. C'est en grande partie ce qui causait problème, il n'avait jamais démontré une aptitude exceptionnelle en ce qui avait rapport au Ninjutsu.
Le Moritake sentait les flammes lui lécher l'intérieur de la gorge. Il lança les mains en l'air pour signifier son exaspération et retraita vers l'extérieur où il espérait rencontrer une épiphanie sur le trottoir.
Le ninja colérique ne fit pas long chemin avant d'être abordé par une des rares âmes à passer par les bureaux de l'académie alors qu'ils n'étaient pas en session, Setzu tentait tant bien que mal de réprimer un éclat de colère qui pourrait se montré dévastateur.
Bonjour ! Il y a de l’ambiance ici, c'est rare. Je peux savoir quel est le problème ? Vous semblez tout deux... énerver.
C'était jusqu'à ce point évident. Le jeune homme temblait tellement son impotence vis-à-vis la bureaucratie l'importunait. Sans même avoir le temps de placer quoi que ce soit dans la conversation la personne encahaîna:
Tu sembles sur le point d'exploser, calme toi, respire calmement . Explique moi donc ton soucis avec cette homme, qui ne fait que son travail il ne faut pas l'oublier. Oh oui c'est vrai, je me présente Monjara Nuiito.
C'est alors que Setzu s'enflamma:
AARRRFF ... Il ne veut pas me donner une preuve comme dequoi que j'ai reçu mon diplôme pour réintégrer les forces PARCE QUE J'AI DISPARU TROP LONGTEMPS!!
lança-t-il avec la dernière partie adressée vers le comptoir.
Le commis haussa les épaule sans répondre ce qui frustra encore plus la torche humaine. l'air se réchauffait autour de Setzu, le point d’ébullition s'approchait dangeureusement. c'est alors qu'il posa un bon regard sur l'étrangé qui l'avait abordé.
L'homme avait le teint clair... trop clair. En même temps, par endroit la peau était foncée. Presque morte d'apparence. C'était étrange... son apparence était ce qu'on pouvait voir parfois dans ces publications d'horreur. La colère qui grandissait en lui se remplaça peu à peu par la curiosité. Mais comment approcher le sujet qui devait certainement être sensible pour l'autre konohajin une fois on l'avais déjà nargué pour ses grands yeux de fou, il ne pouvait pas imaginer qu'on l'avait laissé vivre sa condition en paix. Avant tout, il crut bon de se présenter.
Bonjour Nuiito-san, je me nomme Moritake Setzu si vous me permettez, qu'est-ce qui..comment...euhm? qu'est-ce qui vous apporte à l'académie?rattrapa-t-il.
Il n'aimait pas brusquer l'intimité de quelqu'un et c'est pourquoi il avait difficilement réussi à ne pas poser de questions désobligeante. Il passa ses mains sur son torse par réflexe afin de repassé son habit, malgré le fait qu'il ne friperait probablement jamais.
Dernière édition par Moritake Setzu le Dim 15 Oct 2017 - 20:54, édité 1 fois
Setzu ne pouvait cacher son malaise, il n'avait jamais été doué pour faire de nouvelles rencontres. Les seuls amis qu'il avait vraiement faisaient partie de l'univers imaginaire ce qui rendait la relation plutôt facile pour lui. Pour quiconque dans la réalité, l'épreuve restait entière.
Alors que celui-ci fit de mouvements simple empreint d'une désinvolture certaine ainsi que d'une serénité écrasante, la tête brûlée ne pu s'empêcher de contorsionner son visage en préparation que ceux-ci lâchent sous la pression. Compréhensif, il dit:
« Vos problèmes semble bien plus compliqué qu'un simple soucis administratif. Cependant je peux comprendre aisément votre exaspération dans pareil situation, mais ne vous inquiétez pas trop pour ça, je connais deux trois personnes qui seront ravi de régler se " petit problème administratif ". » .
le Genin de la feuille sentait la tempête de colère se calmer. Finalement quelqu'un semblait sensible à ses soucis. Sans même avoir besoin de passer par quatre chemin ou de se mettre à suer, le Moritake soupira et confia à son collègue:
En effet, je suis las de tout ces dédales administratifs. j'aimerais seulement qu'on me laisse retourner à mes occupations. En ces temps troubles, j'aurais cru que la feuille accueillerait à bras ouverts toutes personne ayant l'entrainement et le désir de se battre pour elle.
Nuiito se dirigea finalement vers le comptoir qui protégeais les bureaucrates et y déposa plusieurs rouleau dont le contenu était jusque là inconnu de l'élémentaire. Il se demanda alors quelles circonstances pouvaient endommagé un épiderme de la sorte. Il avait regardé des photos de grands brûlés depuis qu'il avait découvert sa capacité, mais rien de ce qu'il n'avait vu ressemblait à ce que le Monjara portait. Il ne semblait pas souffrir, même si les balafres et les points de suture suggérait une tout autre conclusion.
« Je suis venu comme vous pouvez le voir, pour déposer quelques rouleaux de missions, ils serviront certainement à montrer aux étudiants de l'académie, qu'être Ninja n'est pas qu'une question de Ninjutsu mais aussi d'un peu de bureaucratie. Vous savez, vous pouvez parler librement avec moi, si vous avez quelque chose à dire, dite-le, je ne mords pas. »
Là-dessus, il ne s'était pas trompé, son interlocuteur était bel et bien un ninja. Venait-il d'un clan? avait-il été victime d'expériences saugrenues? Setzu ne savait pas par quoi commencer. Il se frotta nerveusement la nuque et continua d'examiner le visage de Nuiito. D'un côté il ne souhaitait pas être invasif de la vie de l'homme mais sa nature refit surface rapidement.
Maintenant que vous le mentionnez... Je ne voudrais pas sembler désobligeant, mais... Que vous est-il arrivé? j'ai l'impression que certain n'oseraient même pas sortir de cehz eux avec une mine comme la votre.
Setzu se frappa soudainement le village pour signifier le malaise qu'il sentait qu'il venait de créer. Ce qui se voulait n'être qu'une simple question tourna selon lui en une insulte à cet homme qui ne souhaitait que l'aider.
Pardonnez moi, ce que je veux dire c'est que j'admire votre courage.
Parfait, maintenant il s'était mit les pieds dans un autre plat. Il pensais maintenant que Nuiito allait prendre insulte à la forme utilisée du courage. comme s'il était lourdement handicapé.
AAAAH. Désolé je n'arrête pas de me mettre les pieds dans les plats!!!
Dernière édition par Moritake Setzu le Dim 15 Oct 2017 - 20:54, édité 1 fois
Le visage du ninja rapiécé se tordit soudainement dans un éclat de rire. Comme le jeune enflammeur n'était pas très famillier avec les usages, mais il ne pouvait s'empêché d'éprouver de la confusion à la réaction du Monjara.
Cependant, il était tout de même heureux de ne pas avoir insulté cet être pour qui la vie n'avait certainement été facile.
« Détendez-vous ! * Ah ah ah * Sa faisait longtemps que je n'avais pas autant ri ! Alala vous alors, je suis effectivement un puzzle humain, un vrai patchwork vivant. D'ailleurs certain membre de mon Clan mon surnommé Boro ! Le boro qui est un style traditionnel de patchwork, je vous le rappel.»
Il le prenait certainement du meilleur angle possible. Non seulement il s'acceptait dans son entièreté, mais il en préférait même pour s'y identifier, sans honte! C'est bien vrai ce qu'on dit, c'est plus important de s'accepter que de craindre pour toujours l'opinion des autres. Il était véritablement courageux.
Le fou rire du patchwork se calma et il continua son point:
« Mon visage porte les stigmates de la haine, de la vengeance, mais aussi celle de l'amour, de l'empathie ! Mon cœur préfère garder ses bons sentiments, je n'ai donc pas à me cacher. Cette amour et cette empathie que j'ai moi aussi fini par éprouver pour tout être vivant, ce sont eux qui parfois me font porter un masque ou me camoufle auprès des autres. Si vous voulez connaitre des choses plus technique, comme les techniques ninjas employés pour faire tenir se puzzle de peau, je ne pense pas pouvoir vous l'expliquez, cela dépasse de loin ma compréhension.»
À ces mots, Setzu sourit. Le patchwork était débordant d'empathie et cela faisait chaud à son cœur de solitaire. Il ne savait pas trop rajouter à cet émouvant discours, n'étant encore pas trop sûr de la voie à suivre dans la situation.
Il appris également que son apparence était bel et bien due à des expériences Ninjas. Il se considéra chanceux que sa capacité ne soit pas résultante du fruits de plusieurs têtes d’œufs traficotant les mécanismes complets du corps humain. Quoi qu'ils avaient tout deux une chose en commun, leur habileté spéciale allait bien contre la nature elle même.
Et bien Boro, je serais mal placé pour vous demander d'expliquer votre fonctionnement détaillé, je ne connais pas complètement le pouvoir qui m'habite... Désolé de mes faux-pas, je ne suis pas très habile avec mes paroles. Je dois dire que votre témoignage parle de votre sagesse! Si nous sommes ce que l'on est à l'intérieur, je suis ne suis certainement pas le genre de personne à fréquenter!
En effet, depuis la découverte de son pouvoir, il avait fait quelques avancées, mais rien d'assez concluant pour dire qu'il savait ce qu'il faisait. il regarda ses mains d'un air penseur et serra les poings. Ses poings s'allumèrent jusqu'au coude, mais aucune trace de brûlure ni même de combustion, ses bras n'étaient que flammes. Après quelques secondes il laissa les flammes s'évanouir. S'il ne parvenait pas à réintégrer les forces militaires de Konohagakure, toute cette puissance destructrice qui sommeillait en lui ne pourrait pas pas être livrés au ennemis de la justice.
Peut-être que... Le Monjara pouvait l'aider avec son problème? il l'avait déjà suggérer auparavant, mais il n'avait pas agit quant à ce sujet puisque la curiosité l'avait gagné.
Je suis désolé de repasser sur le sujet, mais tu disais que tu pensais pouvoir m'aider avec ma situation?
Setzu se comptait chanceux d'être tombé sur un être si empathique que Nuiito. Quel nombre de gens n'auraient que passé leur chemin à la rencontre d'une tête brûlée avec si peu de manière en public? Beaucoup ça c'est certain. Bien que ce n'était pas lui qui avait initié la conversation il continuait de voir en cette situation un signe que la chance commençait à tourner en sa faveur.
Le patchwork humain était beaucoup plus près de son humanité qu'il l'était lui même c'était une occasion pour lui d'arrêter de craindre ses sautes d'humeur et d'exprimer ses idées sans pour autant partir en crise.
« Nous sommes se que l'on veut être, s'est pour cela que l'être humain est si complexe. Le feu bien que destructeur, peut aussi servir de lumière dans le noir. Tout comme servir d'outil pour le cuisinier, pour préparer des mets délicieux. Pouvant aussi fournir chaleur dans le froid. ».
Encore une fois, Boro faisait étalage d'une maturité marquée malgré son...Jeune âge? Il était difficile pour le Pyromancien de déterminer son âge exact vu l'état de son épiderme. Sans en faire plus de cas, il fit un point de lui demander plus tard quand les circonstances seraient plus propices.
Mais il avait raison! depuis qu'il avait découvert sa flamboyante spécialité, il n'avait jamais considéré les autre application qu'avaient le feu. pour la plupart des civils, la pensé du feu les transportaient dans une rêverie d'une pièce douillette éclairée d'un feu de foyer. Le confort et l'utilité qu'il avait dans la vie de tous les jours. Pour la plupart des shinobi, le feu représentait violence et destruction. Pour le Moritake, celui-ci rappelait des souvenirs encore plus sombre.
Le Monjara se frappa le front comme il l'avait fait il y avait quelques secondes. Quel duo de têtes en l'air ils faisaient! Dès que Setzu avait rapporté sa situation sur la table, Il n'avait pas hésité à réaffirmer les connections qu'il avait à l'intérieur de l'académie. La curiosité le gagna une fois de plus, mais il prit note, une fois de plus, de l'interroger à ce sujet plus tard.
« Oh mais oui ! bien sure ! Quel tête en l'air je suis parfois. S'est très simple je connais des gens qui travaillent à l'académie, ils seront certainement capable de retrouver ton certificat ! Dans le pire des cas je connais aussi des gens aux admissions, ils ont forcément une preuve de ton passage ici, par contre faire en sorte qu'ils nous donne cette preuve ... Sa sera peut-être un peu plus compliquer. Enfin bref ! Nous devons aller au bureau qui se trouve au premier étage .»
Les deux Genins se dirigèrent vers les escaliers près de l’accueil afin de monter au premier étage, là ou les instituteurs avaient leur bureau. Le Monjara se dirigea sans soucis, Le Moritake le suivit malgré le regard que le commis lança vers eux. Il n'était pas à l'aise de déambuler librement dans l'académie on aurait dit qu'il avait encore peur des avertissements dispensés par les professeurs. « Alors je te préviens ... Monsieur Toro es »
Mais celui-ci n'eut pas le temps de finir sa phrase. Un homme imposant jaillit hors de son bureau, le genre qui peut craqué un thorax avec une facilité déconcertante, celui qu,on ne cherche pas si on tient à sa vie. Mais si on connaissait l'homme, on savait que tout ça n'était qu'apparences. Setzu avait été dans la classe de M. Toro, il savait un peu à qui il avait affaire.
« *Ahaha* Mais s'est le gentil Boro qui s'occupe si bien de mes fifilles qui vient me dire bonjour ! *HAHAHA*».
Cela éclairait la question du pourquoi il avait de connections avec M.Toro.
« Oh oh oh, tu n'es pas venu seul on dirait ! Qui est se jeune homme avec toi ? mmmh tu es qui mon garçon ? Un nouvelle étudiant ? oh oh je sais un livreur de ramen ! ohhhh * sluuurrp * »
Le visage de Setzu se tendit légèrement pour laisser paraître l'énervement qu'il ressentait à l'égard de l’excentrique professeur. Il savait qu'il ne laissait pas grand impression sur les gens et qu'il avait passé à l'académie à son ouverture, mais il était toujours un peu énervé de toujours devoir se présenter à chaque fois qu'il quittait le regard des autres.
M. Toro, je m'appelle Mortiake Setzu, j'ai été dans votre classe il y a de cela 3 ans. Je ne vous blâme pas de ne pas vous souvenir de moi, vous avez dû avoir plusieurs élèves au courant des années.
Setzu pensait voir où Nuiito voulait en venir. Avait-il besoin de contourner la voie officielle pour obtenir ce qu'il voulait? C'est vrai qu'entre sa politesse extrême et son tempérament de feu, il n'avait pas pensé à passé par les canaux officieux.
« OHOHOH ! Tu as bien grandi ! Tu semble toujours aussi sérieux ! AHAHAH Alors que me veulent mes deux anciens étudiants préféré ? »
le visage de Setzu s'étira, il n'avait ni le temps ni l'envie de jouer à quel souvenir son les bons et quels autres ne sont que mémoire modifiée. Setzu se rappelait précisément pourquoi il ne se rappelait plus de L'akimichi, ceux-ci avaient des personnalités complètements aux antipodes. Un léger filet de fumée s'élevait de sa tête.
« Toro-sensei... Vous ne changerez jamais... Nous sommes là pour Setzu, qui est à priori un ancien élève à vous, lui aussi. D'ailleurs vous pouvez le confirmer non ? Setzu est bien un ancien élève diplômé de l'académie ? »
La gêne était visible sur le visage meurtri de Nuiito, mais celui-ci ne lâcha pas prise sur l’excentrique sensei et redoubla d'efforts pour tenter de lui tirer quelque information utile. Peut-être qu'il connaissait Toro mieux que Lui-même ne le connaissait?
« Ce garçon dit que je suis un ancien professeur à lui et étant donné que je suis doué dans mon métier, il est forcément diplômé HAHAHA ! »
Sur ce point, il allait devoir accepter de ne pas être en accord avec l'imposant personnage. Toro-Sensei était tout ce qui lui avait déplu de l'académie. Les contacts humain, la rigidité de l'enseignement, les leçons interminables sur les cent-milles cas à couvrir... Il avait toujours préféré essayer de lire ses Manga de manière discrète en classe pour éviter la monumentale barre qu'était les cours de base.
« Sensei... Ce n'est pas la question... Je voudrais savoir... Souvenez-vous de Setzu-kun ? Avez vous d'anciens exercice à son nom par exemple ? Une preuve qui montre sa scolarité ici ? »
En effet, c'est bien par les canaux officieux que Nuiito voulait le faire passé. Il fallait seulement espérer que Boro avait un plan... Setzu était lui aussi à sec en terme de bonnes idées pour raviver la flamme de sa passion.
« Je me souviens d'un enfant chétif qui restait dans son coin, et qui portait le nom Moritake oui ! Vous voulez de vieux exercice à vous ? Il est vrai que je suis du genre nostalgique HAHAHA pas vrai mon petit Monjara ! AHAH...Mais je ne garde pas vraiment la paperasse ... »
Quoi que Setzu ne pouvait lui en vouloir de ne pas vouloir s'encombrer de tout un tas de papier inutiles, IL ÉTAIT HORS DE LUI. Le Moritake tremblait visiblement même si il luttait bec et ongles pour garder son visage dans une étrange grimace entre l'énervement et l’impassibilité. Une autre possibilité envolée en fumée. Setzu commençait à envisager les possibilités comme devenir un Justicier... ou peut-être lancer son propre buffet Barbecue? il pouvait économiser sur les frais de combustibles?
« Je suis désoler ... Je ne suis pas sure que les vagues souvenirs du professeur puisse faire office de preuve, de ton enseignement ici. On pourrait peut-être ... » Le monjara se tut et se mit à réfléchir ...
Le regard du monjara passa alors de manière distraite sur la variété d'objets sur le bureau du tonitruant personnage. Plusieurs artefacts laissé derrière par certains élèves appréciés particulièrement par le sensei. De vieux outils engravés, des yo-yo... Le regard de Setzu balaya la pièce et remarqua derrière le bureau un étagère pleine de volumes colorés disparates qui en garnissaient les tablettes. c'est alors qu'une idée balaya ses sombres idées.
OUI, BORO, PATCHWORK DE GÉNIE! SENSEI, VOUS N'ÊTES PAS DU GENRE À LIRE DES MANGA NON?
L'énervement qui habitait le Genin avait tourné en fébrilité. Il ne pouvait pas espérer mieux. Setzu se rappelait de chaque série qu'il avait lu et de chaque volume qui lui manquait. Il détestai dépenser de l'argent pour quelque chose qu'il avait déjà acheté.
*HA HA HA*Tu me connais bien jeune homme! J'ai commencé à essayé d'en lire, je veux dire, si tous les jeunes en lisent il doit bien y avoir un attrait. Mais c'est vraiement pas mon trucs! J'étais justement entrain de lire celui-ci, À propos d'un homme singe qui combat des aliens Je l'ai confisqué à... voyons voir... il l'a dédicacé Moritake Setzu. C'est étrange ce nom me dit quelque chose!
Le Moritake sursauta, L'Akimichi sourit
*HA HA HA* Je vous taquine, je rappelais bien que c'était ton nom!!
Monsieur Toro, avez-vous un album? je me rappelle qu'on prenait une photo de toute la classe à la graduation? j'y figure surment?
Le jeune ninja était à bout de nerfs. Il espérati tellement que l'instituteur avait au moins conservé "cette" paperasse.
« Oh mais oui ! Haha ! La photo de classe ! Des souvenirs précieux ! Je les gardes toutes !»
OUI! Setzu célébrait déjà dans sa tête à la pensée de retourner dans les rang des shinobis actifs. il ne pouvait pas attendre de se frotter à toutes les tâches ingrates qu'il n'avait jamais penser regretter. Il pensait a toutes les missions de Rang D qu'il avait accomplies... Les chats perdus, les livraisons, l'aménagement paysager... cela semblait s'être passé il y avait plusieurs siècles déjà...
L'Akimichi farfouilla dans une des armoire, près de la fenêtre. Setzu détourna le regard, car il ne souhaitait pas être indiscret. Il souhaitait seulement que l'Akimichi ne s'était pas trompé d'élève encore une fois. Le Sensei s'approcha de lui avec une pochette de photo sur laquelle la date de sa graduation était écrite. Le coeur de la torche manqua un battement. « Voilà pour toi, quand on regarde cette photo, on peut voir à quel point tu as grandi. Mais n'oublis pas une chose, ne grandi pas trop trop vite, les enfants comme vous devraient sourires plus souvent. J'ai été heureux d'être votre professeur à tout les deux. Sa me fait plaisir que vous soyez venu me rendre une petite visite dans se contexte là. Bien que je n'sois plus votre professeur maintenant, si vous avez le moindre problème, venez m'en parler. Je serais toujours là pour vous. »
Le discours improvisé qu'avait livré l'akimichi était très émouvant, les larmes montaient aux yeux du Moritake. Bien qu'il réussi à ne pas en verser une seule, avec tout ce qui lui était arrivé au cours des derniers mois, ça réchauffait son coeur d'avoir fait ces deux rencontres aujourd'hui. Il ne pouvait s'empêcher de sourir malgré tout.
« Les souvenirs vont finalement résoudre ton problème, grâce à cette photo tu redeviendras se que tu as toujours été, UN NINJA DE KONOHA ! »
Si tu savais Nuiito, à quel point ces mots me rendent heureux! dit-il avec une pointe d'émotion dans la voix qui ne lui était pas caractéristique.
Il regarda finalement la photo que l'homme lui avait apporté et c'était bien la photo à laquelle il pensait! On y voyait Toro-Sensei, le sourir fendu jusqu'au oreilles, du haut de toute sa fierté d'avoir formé une vingtaine d'aspirants-Ninja. Parmis les initiés, on pouvait reconnaître quelques figures qui avaient déjà accomplie de grandes choses, quelques un qui faisaient les clowns, certains autre affichaient leur fierté et un seul jeune homme, de noir vêtu, légèrement en retrait du groupe fixant l'objectif d'un air sérieux avec de grands yeux ronds.
Tu vois? C'est moi! entre ce moment et aujourd'hui, je peux dire que je ne suis plus vraiement la même personne. Je vivais au travers de mes livres dans un monde de fiction. Malheureusement, j'ai eu un éveil assez brutal et je comprends maintenant que ces situations tordues n'arrivent pas que dans les histoires et que Toro-Sensei ne voulait que notre bien de porter attention à ses leçons.
Le visage de Setzu s'allongea, il pensa à cette sombre pièce dans laquelle il était né un deuxième fois. Malgré tous les maux qui en ressortait, cette expérience devait servir à quelque chose. Il devait en faire le mieux et utiliser ses habiletés pour protéger l'univers des injustices comme il avait vécu.
Mais bon, comme tu as dis qui nous étions dans le passé n'as pas d'importance, c'est ce qu'on devient qui importe.
Il se tourna vers son ancien Sensei, qui essuyait une larme du revers de sa manche. Il se sentait coupable de ne pas avoir porté une plus grande attention à ses enseignements et d'avoir pensé qu'il n'était jamais sérieux à propos de rien. le personnage massif se souciait grandement de ses élève autant qu'il aimait les nouilles.
Toro-Sensei, je ne vous remercierai jamais assez de ce que vous avez fais pour moi ajourd'hui. Toi non plus Nuiito tu m'as réintroduit au calme et à la raison. Je suis très contrarié depuis quelques semaines et je te prie de m'excuser si je t'ai froissé.
L’étreinte subite de l'akimichi pris le Moritake par surprise. Malgré 3 ans d'expériences dans les arts ninja rien ne pouvait sauver un ninja d'un de ces Akimichi qui décidait de vous attraper pour vous faire du mal. Bien que cette fois-ci elle ne cachait pas de malice, elle en restait tout autant dangereuse. Setzu qui était à distance très rapprochée fut attiré contre l'épaule gauche de l'émotif Sensei.
Bien qu'il était complètement enfoncé dans la stature de Toro, il entendit des paroles étouffées, comme si on les avaient dites à travers une épaisse couverture. la respiration se faisait difficile, mais il n'arrivait pas à en faire du sens... l'air commençait à se faire rare dans ses poumons, il voyait déja la fin arriver. son esprit vogua jusqu'à la cabane dans les bois.
mon seul regret est de ne pas avoir réduit cet endroit en cendres quand j'en avais la chance...
C'était la prise parfaite, de la manière que Setzu était placé, il ne voyait rien, ses oreilles étaient bouchées par les immenses mains du sensei et les conduits prévus pour la respirations étaient remplis du tissus des vêtements du sensei.
Il commença à gigoter un peu pour laisser le sensei savoir qu'il n'était pas comfortable, mais comme il s'en doutais, cela n'eut pas l'effet escompté. Il se demandait pourquoi Nuiito ne réagissait pas, mais il devait également être pris dans la prise du faucheur de l'académie.
Il n'allait jamais pouvoir faire un immense brasier des injustices de ce monde. on se rappellerait de lui comme un imposteur qui essaie de se faire passer pour un ninja débutant pourquoi... les avantages? le commis vivrait toute sa vie en pensant qu'il avait raison et... c'était une raison suffisante pour survivre!
Setzu fit chauffer l'ongle de son pouce droit au rouge et le planta dans sa pochette ninja le long de sa jambe dans l'espoir que l'odeur du cuir brûlé évoquerait une odeur de nourriture pour son agresseur, étant bien au courant de son appétit intarissable
Tien! ça sent la nourriture! Est-ce que c'est déjà l'heure du goûter? *Sluuuurp*
l’étreinte se relâcha légèrement. La mascarade avait marché! Setzu put tourner la tête
....TORO-SENSEI....AIR! COMMIS...PROUVER
Toro lâcha soudainement son emprise sur les deux débutants et Setzu tomba assis sur le sol.
Je me considère chanceux d'être dans le même camp que vous Toro-sensei votre force est... effrayante!
Alors que Setzu se remettait d'avoir frôlé la mort une fois de plus, il contempla une fois de plus le cliché qu'il avait entre les mains. Les tâches d'encre sombres qui le représentent au premier jour de sa carrière de ninja ne le caractérisait comme un jeune sérieux à propos de son choix de carrière. C'était dommage que la vérité ne pouvait pas en être plus éloignée. Il paierait n'importe quel prix pour s'envoyer un message, un signe.... Quelque chose pour qu'il prenne conscience des implications de son choix.
Nuiito se leva et défroissa ses vêtement en plusieurs petits mouvement brefs. Il dit à l'Akimichi du ton caractéristique de quelqu'un qui avait passé près de l'asphyxie:« Merci beaucoup Toro-Sensei ! Vous êtes un homme bon, j'espère qu'un jour je serais la moitié de l'homme que vous êtes. Je pense que moi et Setzu allons partir maintenant, nous devons encore régler deux trois petites choses. En tout cas merci beaucoup pour ... l'accueil chaleureux, peut-être un peu trop . Setzu nous devrions peut être disposer maintenant, il faut que l'administration vois cette photo pour que tu puisses récupérer ton rang de ninja.»
Toutes ces paroles ont été dites d'un même souffle ce qui laissa croire à Setzu que malgré son allure rafistolée qu'il ne souhaitait pas rester dans les parages dans les chances ou l'envie de renouveler l'expérience prendrait au personnage avec la force monstrueuse. Il ne pouvait lui en vouloir, il ne souhaitait définitivement pas finir ses jours dans les bras de l'instituteur. Cependant, le pyromancien voyait désormais l'instituter d'un tout autre regard. Grâce à l'apport positif du Monjara, il avait pu mettre sa négativité et ses idée préconçues de côté pour se rendre compte que son portrait de l'immense ninja était complètement erroné. Bien que la voie de Toro-Senei était honorable et indispensable, elle n'était pas pour lui, bien que le feu n'implique pas que des choses négatives, il était un shinobi et ceux-ci sont des armes.
*Je vais devoir travailler sur ma positivité.*
Le Moritake rangea la photo dans sa pochette de carton protectrice en s'assurant de ne pas l'abîmer. Alors que Boro parlait de descendre à l'administration, le sensei se prononça:
« Je suis fière de vous deux, vous semblez avoir retenu la plus part de mes enseignements. Je ne vous retiendrais pas plus longtemps, vous semblez avoir beaucoup à faire. Je vous souhaite bon courage pour la suite! Si vous avez besoin de moi prévenez, je me porte garant de tout mes élèves ! L’administration .... tsss *grognement* »
Setzu se tourna pour emboîter le pas de Nuiito et lança à l'adresse de l'officiel de l'académie:
Je ne peux que vous remercier de cette foi que vous placez en nous, les ninja de la prochaine génération. Bien que nous ne nous somme pas toujours vu oeil à oeil pendant mon passage à l'académie, je comprends que vous aviez plus souvent raison et vos paroles avaient plus de vrai en elles que je leurs en accordait. je n'hésiterai pas à venir vous chercher si jamais les problèmes sont trop lourds à porter seul.
Setzu se dirigea vers l'escalier avec la certitude que ses embûches quant à sa réintégration tiraient à leur fin. Il se tourna vers Nuiito, un étranger il n'y avait pas une heure, maintenant il était... oserait-il l'appeler un ami?
Je te retourne le commentaire Nuiito, tu m'as aidé à des dimensions que tu ne pourrais même pas imaginer. J'ai de la difficulté avec mon tempérament depuis peu et je suis content que tu m'aie réussi à me calmer un peu pour que j'utilise mon cerveau à la place de mes poings. Si jamais tu as besoin d'aide, quoi que ce soi, n'hésite pas.
Setzu Se félicita de son courage, il n'avait plus qu'à espérer que le Monjara ne serait pas indisposé par ses paroles. Il continua jusqu'au bureau, le feu grondait métaphoriquement dans son ventre à l'anticipation de finalement voir le visage déconfit du fonctionnaire devant les preuves irréfutables qu'il avait trouvé. Il frappa violemment l'enveloppe sur le comptoir du commis de l'académie. Celui-ci le regarda d'un regard dans lequel on pouvait lire un mélange de confusion, de peur et de surprise. Setzu se sentit soudainement timide, il avait fait une scène pour si peu, comme si le commis administratif conspirait pour le garder hors des forces... Il ne faisait que son travail après tout! Il sorti le cliché qu'il superposa sur l'enveloppe pour la présenter à l'homme; La confusion fit place à la réflexion.
Vous voyez le jeune sérieux? c'est moi! regardez autour des diplômés de cette année, je devrais y être!
Alors que le commis pensait encore à la situation, Setzu se retourna vers Nuiito le sourire pendu aux lèvres. Il avait tellement hâte!
Je te laisse t'occuper du formulaire que va donner le bureaucrate à Setzu, tu peux clôturer avec un dernier post, ou bien à la fin de celui-ci tu dis au revoir à Nuiito. Je posterais donc une dernière fois pour les au revoirs .
« Mmmh... Il est évident que vous avez fait vos études à l'académie ... Comprenez que ... les règles. Je peux voir sur la photo l'année de promotion de cette classe de nouveaux ninjas, il ne fait aucun doute que vous aillez été l'un des nôtres, que vous soyez l'un des nôtres. Je vais chercher un document qu'il faudra remplir pour que vous puissiez récupérer votre titre de ninja de konoha, il vous permettra aussi d'aller chercher un nouveau bandeau à la réserve du centre. »
À ces mots, l'enrôlé serra le poing et laissa connaître sa joie d'un long cris d'approbation suite au mots du personnage de l'administration.
« Les règles sont là pour être respecté, mais si vous aviez pris la peine de demander à voir le professeur qui s'était occupé de lui pendant ses études à l'académie, tout aurait été régler en un rien de temps. Je penses que nous devrions arrêter de rendre les choses simples, compliqués. Cependant je me doute bien que cette façon de faire vous rend la tache plus dur à vous aussi. Du coup oublions les petits soucis du passé et allons de l'avant ! »
Il serra spontanément le Mojara dans ses bras et continuait de tapoter des pieds! cette bonne nouvelle l'avait remplit d'une énergie positive qu'il n'avait pas ressentie depuis longtemps. il lança un regard par la fenêtre et une trentaine d'idées lui passèrent par la tête sur ce qu'il allait faire suite à son passage à la réserve. Il n'avait pas passé au terrains d'entraînement depuis des lunes, il voulait également faire des recherches sur le Katon, les flammes, la combustion, le chakra, peut-être même participer à des recherches sur son pouvoir spécial, mais comme tous les autres volcan d'idées qu'il a eu par le passé, il ne finissait par n'entamer que le tiers et délaisser le reste. Mais il n'était plus comme ça. Il l'espérait.
Tu as bien raison Nuiito-senpai, mieux vaut ne pas se tourmenter des erreures du passé et se concentrer sur ce qu'on peut en apprendre. Ce que j'ai appris aujourd'hui, c'est que de perdre la tête n'est pas bénéfique quand on veut passer à travers un dédale administratif. Oh! et aussi qu'il est bon pour la santé de respirer.
Il sourit suite à la blague qu'il venait de dire, ce n'était pas du tout son genre, mais il était tellement de bonne humeur! Il porta son attention vers l'officiel qui tira un long parchemin qui semblait vraiment long à remplir. La bonne humeur de Setzu lui permettait d'anticiper la tâche devant lui sans trop de dégoût. il se saisit de l'encre afin d'entamer l'imposante tâche devant lui, mais une chose le reteint.
Monjara Nuiito, ce fût un plaisir de te rencontrer. Tu dois avoir d'autres choses à faire que de regarder l'encre sécher sur une demande d’enrôlement, je ne retiens pas. De toute façon, il va falloir que je passe m'acheter une nouvelle pochette et j'ai plusieurs lames à aiguiser. je suis certains que nous allons nous recroiser dans le futur. Le meilleur pour toi et sache que si jamais tu as des problèmes, je te répète que tu peux me faire confiance.