Le gagnant, c'est celui qui se sent un peu mieux que l'autre ce jour-là.
Vous n'avez pas vraiment gagné le Duel, Si en le gagnant vous avez perdu Le respect de votre Rival Éternel Paul Elvstrom
« Notre Premier Duel »
♫ Il est vrai qu'en temps que tout bon narrateur qui se respecte, je devrais commencer ce modeste récit par il était une fois, malheureusement je ne le ferai pas. Pourquoi ? Et bien car se que je vais vous narrez ne ressemble guère à un compte de fée, mais plus tôt à une histoire dramatique, que dis je catastrophique, qui a fait en sorte que ma vie, déjà anormal à l'époque, tourne en cauchemar des plus sordide. Bien, assez bavardé, maintenant vous voudrez surement que j'en vienne au fait, alors commençons.
♫ C'était au temps ou les oiseaux chantaient et ou la vie pour moi était fort paisible, chacun voguait à ses occupations, du moins... essayait car deux jeunes shinobis, tout deux âgé de 19ans à l'époque semaient le trouble dans le village tout entier, pas un seul de ses habitants ne pouvaient nier la présence de ces deux troubles fêtes qu'il jugeait délinquant et qu'il repoussait à l'aide de fourche et de projectile divers, parfois originaux même. Le plus normal des deux était le cerveau du groupe, c'était aussi lui qui devait calmer l'engouement de son collègue, il portait le nom d'Eiji à merveille, Snake était le surnom que lui donnait le plus énigmatique, et le plus énigmatique... et bien, c'était moi. A nous deux nous formions la paire, pour le meilleur, mais surtout pour le pire ! Nous passions nos journées à nous affrontés à l'aide de bôken fabriqué maison, pour savoir qui était le meilleur de nous deux, parfois je gagnais et d'autres fois c'était lui... mais toujours le même résultat, une égalité parfaite. Ne manquant jamais d'idée, nous nous bâtions sur tout les territoires que nous jugions à l'époque nôtre : foret, mer, montagne, port, place publique, voire même magasin..... Les villageois se précipitaient chez l'Hokage pour s'y plaindre de leur deux jeunes et adorable petit Cancre. La big boss qui n'était pas indifférente à nos escapades, nous réservais quelques sanctions, tel que ces travaux publiques, du triage des lettres à la reconstruction de bâtiment nous sommes tout deux passé par tout se qui était possible, mais sur tout imaginable.
♫ Ah... Oui ca c'était une bien belle époque, mais le temps m'a fait perdre toute illusion. Mes rêves se sont envolés le jour ou j'ai quitter mon village à la recherche d'aventure et expédition dite des plus grand. Je voulais entrer dans l'histoire, que mon nom reste graver jusqu'à l'éternité dans les mémoires, mais maintenant je me rend compte que c'est une vie à la quel je n'accéderai sans doute jamais. Aujourd'hui âgé de 21 ans ma seul occupation est de trouver un travail,pour pouvoir survivre dans ce trou pourrie de la terre ou règne perversité, vole et tuerie. Dans cette petite taverne, nombre de ceux présent dans cette petite pièce me connaisse en bien comme en mal. Je me suis forgé une solide réputation... cette réputation qui m'a valut le surnom de Junior. Vous vous demandez sans doute pourquoi ce nom ? tout simplement car je suis... celui qui tient le moins bien l'alcool du village ! Alors pourquoi suis je donc accoudé à ce bar en train de commander un 8ème verre de Saké ? et bien, je n'en sais trop rien, peut être est se pour soulager la peine qui entoure la vie pourrie que je suis obligé de noyer dans l'alcool. Mon rêve aurait été de rejoindre les rangs du Seika. Mais depuis que j'ai raté mon premier entretient d'embauche, la peur s'est logé à l'intérieur de mon ventre, tel un parasite impossible à dénicher. Maintenant je suis la, sans bute... espérant pouvoir manger le lendemain et priant pour ne pas mourir, mon corps nu dans une rigole, dépouillé de tout vêtement et de quelconque objet de valeur que je n'aurai point. Me redressant lentement, mon regard fixé sur la fiole de porcelaine que j’avais vidé, je me leva pour quitter l'endroit - J'étais un ancien moine errant qui avait dédié sa vie au maniement de son arme et de son art du genjutsu. Même si ma maladresse m'avait posée quelques difficultés, j'avais su tenir bon, maintenant se qui restait de moi n'était pas si beau à voire. - D'un pas je me retourna et percuta un type immense d'une trentaine d'année, tout de suite je m'écria d'une voix enroué :
Yooo, l'amis fais gaffe ou tu mets les pieds !, Il eut alors un moment de silence lors du quel son regard se dirigea dans ma direction.
Zen♣
♫ L'homme avait l'air de réfléchir, si toute fois son cerveau le lui permettait, puis il décida de laisser passer pour cette fois. M'empressant de quitter la taverne, une fois la porte fermé, je pressa le pas dans la petite ruelle qui menait à la porte Sud. J'avoue, j'étais très content de moi, sortant de ma poche une petite bourse crasseuse que j'entre ouvrit... un sourire apparut sur mes lèvres. Mais ma joie ne durerait pas autant que j' l’aurai souhaité, tout d'un coup la vitre de la taverne que je venais de quitter, éclata en petit morceau. L'homme... non, le géant en sortit et son regard lourd se posa sur un type doté d'une certaine prestance, non un beau-gosse je dirais même... euh... moi en gros. Malgré la frénésie qui commençait à m'envahir, je savais se qu'il me restait à faire, c'était ca ou mourir de faim, le vol était devenu le seul moyen qu'il me restai pour pouvoir survivre. Les deux hommes se mirent tout deux à courir, l'un pour s'enfuir, l'autre pour récupérer sa propriété. Je me dirigea vers le terrain d'entrainement ou j'avais donné rendez vous à Eiji pour un énième duel, bousculant d'autres passant, profitant de l'effet de surprise pour leur glisser une main dans leur poche à la recherche de quelconque bijoux et/ou Ryos qu'il ne fût... Mais rien... Tandis que pour le gros, il pouvait courir longtemps ! Cela ne prit pas plus de 3minutes pour arriver à l'endroit de notre nouvelle rencontre et puis...
TaAaAaaaCk ! ♫ Devinez se que c'est... Ba Eiji ! Surement que l'amis que j'avais la chance d'avoir s'était empressé de venir à mon aide en me voyant déambulé un géant dans le dos... La grosse masse qu'était le type s'écroula comme un feuille... Et ravit, je vint poser ma main sur l'épaule de mon confrère... qui devait surement se demander se que j'avais encore fait, jetant un dernière regard sur le molosse, je me retournit ensuite vers Eiji et comme pour pour calmer sa quiétude, je le contenta d'un :
Me regardes pas comme ca... C'était juste une formalité rien de plus..., S'en suivit deux petites tapes amical sur sa joue, puis sur un ton de défit je repris. Bon commençons... J'ai pas que çà à faire moi, T'es prêt à te ramasser une nouvelle correction ?