Je pénétrais sans attendre dans l’un des nombreux restaurants qui composaient cette célèbre rue du Shukai à Tsuchi no kuni. Je n’avais pas vraiment faim non, mais j’avais été convoqué par le célèbre Kamui en personne. Finalement, au sein de ce grand Empire, la personne que je voyais le plus se trouvait être la personne la plus célèbre et la plus dangereuse de toute : Samui Kakashouu. Après concrtation avec mes frères, nous osions penser que le fait que je sois le seul membre du clan Jinmenju au sein de son empire interessait beaucoup le Kamui, raison pour laquelle je désirais ardemment rester le seul. Avoir ses faveurs. C’était un peu comme ça que le monde marchait non ? De nos jours, si ce n’est pas ce que vous pensez, dirigez vous vers l’étage le plus haut de votre maison, ouvrez la fenêtre, penchez-vous dans le vide, et laissez vous tomber. Si vous n’avez pas compris ça, c’est que le monde n’a pas besoin de vous. Après tout, le monde a besoin de vainqueurs et n’a que faire des vaincus.

M’enfin revenons au sujet de cette écriture. J’avais été convoqué dans ce restaurant par le tristement célèbre Kakeshouu avant de m’asseoir à la table à laquelle il se trouvait déjà. Un autre bonhomme était avec nous, cheveux noir, l’air un peu enfantin, je ne le connaissais pas, mais j’imaginais bien que cela viendrait tôt ou tard. Un serveur nous amenait des boissons, des sodas afin de se désaltérer. Sodas payés par l’Empereur attention, ça ne déconne plus là ! Si on est passé à l’étape du soda, c’est que nous avions franchis un pas dans l’intimité. Je me contentais donc de me saisir de la boisson en en avalant une grande gorgée avant que le Kamui ne prenne la parole.

Kakeshouu nous avait convoqué tous les deux afin que nous puissions dans un premier temps nous rencontrer. Kakeshouu me le présenta en premier. L’homme aux cheveux noirs s’appelait donc Sana Kiseki et était un ancien errant, ces personnes n’ayant choisit aucune faction, libre comme le vent. Il avait choisit cependant de rejoindre le Shukai. Mais la précision qu’apporta Kakeshouu le concernant m’intriguait beaucoup, et Kakeshouu connaissait mes objetics, c’était d’ailleurs peut-être pour cela qu’il l’avait dit. Kiseki était un médecin. Un léger sourire apparu sur mes lèvres. Je commençais à comprendre où l’empereur voulait en venir. Vint ensuite mon tour, Kakeshouu me présenta Jinmenju Hisagi, en prononçant d’une façon bien légère le prénom pour montrer que mes frères et moi ne répondions pas forcément à ce nom là. Il précisa ensuite que Kiseki pouvait nous appeler Pique, Carreau, Trèfle ou Cœur selon l’humeur. La façon dont il prononçait ça me fit sourire et je sentis que mes frères étaient également amusés de la situation. Kakeshouu me demanda une démonstration.

Soudainement, une deuxième tête identique à la mienne sortit de la paume de ma main. Les sourcils froncés, personne n’aurait eu du mal à deviner de qui il s’agissait. Pique se tournait vers l’Empereur. Comment ça une démonstration ? Tu as cru qu’on avait signé pour devenir des bêtes de foire c’est ça ? Puis il tourna le regard vers moi. Cœur, on s’est fait roulé. Dit-il entre l’énervement et l’amusement. Il voulait non seulement montrer à Kakeshouu que nous n’étions pas des animaux de cirque et à la fois faire cette fameuse démonstration. Quant à moi, je me tournais vers Kiseki. Je te présente donc Pique, c’est celui d’entre nous qui a le plus mauvais caractère. Dis-je avant que ce dernier ne se tourne vers moi en posant son front contre le mien, de façon à me provoquer. Mauvais caractère moi ? Dit-il avant que je ne prenne de nouveau la parole. Tu auras certainement l’occasion de rencontrer Trèfle et Carreau sous peu. Quant à moi, je me nomme Cœur, je suis le chef du notre Yokai. Dis-je alors que la tête de Pique était encore présente sur la paume de ma main. Il râla un bon coup avant que a tête ne s’enfonce dans ma main jusqu’à disparaître entièrement.

Excusez Pique Seigneur Kakeshouu. Vous commencez à nous connaître, nous ne sommes que deux à être respectueux.

Personne ne semble véritablement remarquer ma présence. Je ne peux pas sentir les regards peser sur moi mais je suis persuadée que personne ne s'intéresse véritablement à moi. Je n'entends aucune respiration tournée dans ma direction et pas le moindre mot à mon sujet. D'ordinaire je me fais jeter dehors des établissement publiques. Parce que je présente mal il semblerait. Et que mon odeur corporelle frôle l'insupportable si je me fie à Kiseki. Ce dernier m'a donc forcé à prendre une douche et à porter des vêtements propres et neufs pour rencontrer l'Empereur du Shûkai en personne.

Si je suis excitée? Pas vraiment. Ce vieillard porte un titre impressionnant, c'est certain. Mais la couronne ne fait pas l'homme. C'est ce qu'il me dit souvent. Et pour l'instant le Kamui n'en a pas assez dit pour que je puisse m'en faire une idée convenable. Sa présence est néanmoins oppressante et j'imagine qu'il doit en imposer physiquement. Je le vois bien avec une longue barbe broussailleuse qui se perd dans sa tunique. Et pas la moindre trace de compassion dans le regard. Ce me semble une condition évidente pour porter la charge d'une nation sur ses épaules.

L'homme à l'origine de notre présence se charge de faire les présentations et m'oublie à nouveau. Peut-être qu'il me garde pour la fin. La cerise sur le gâteau? J'en doute... Mais je ne suis pas irritée par ce manque de respect. Et je peux même le comprendre. En partie du moins. Je ne suis qu'une aveugle de treize ans après tout. Ce qui m'amène à la question suivante: qu'est-ce que je fais ici, debout contre le mur attenant à la table de l'Empereur. D'autant plus qu'on m'ignore totalement. Je fronce légèrement les sourcils quand j'entends deux voix et deux respirations venir de deux positions si proches que leurs propriétaire doivent se chevaucher. Qu'est-ce qu'il se passe? Qui est ce Pique? Et ce Coeur? Et ces fameux Carreau et Trèfle qui ne se sont pas encore exprimés?

*C'est étrange...*
*C'est un Jinmenju! Ils contrôlent la chair. Ils ont parfois traité avec les Mamoru lorsque ces derniers se rendaient à Nami.*
*Un allié naturel?*
*Plutôt de circonstance...!*

Aucune autre indication pouvait m'aider à comprendre pourquoi je devrais me méfier de ce quatuor bien étrange. Mais d'un autre côté je n'ai aucun élément qui pourrait m'inciter à la faire confiance. Disons que le statut quo est une bonne chose pour l'instant. Attendons de voir. Je croise les bras et garde mon regard absent rivé droit devant moi. Puis finalement je profite d'un flottement dans la conversation pour entrer en scène.

"Quant à moi je m'appelle Setsuko. Une Mamoru." je m'incline poliment dans le vague.
"Et Kiseki m'a appris que Kamui-sama tenait à ce que je participe également à cette réunion."

Mais Kiseki a très bien pu se tromper. Je ne crois pas qu'il me fasse une blague. Ramener une intrus à la table de l'Empereur est le genre de plaisanterie qui pourrait lui coûter la vie.

"Alors me voici!" j'écarte légèrement les bras. "En espérant que c'est bien ce que vous souhaitiez..."

Une remarque qui s'adresse évidemment au vieillard même si j'ai de la peine à le localiser précisément. Les individus à cette table sont décidément bien étranges. Et je suppose que je complète le tableau à merveille. Ayant dit ce que j'ai à dire, j'observe ensuite un silence religieux en attendant d'avoir la confirmation que j'ai bien été mandée. Ou payer le prix de ma présence déplacée...

Il était aussi excité qu’une petite puce depuis qu’il avait été officiellement appelé par Samui Kakeshuou, l’Empereur actuel du Shukai. Il faut dire, depuis son intégration officielle – quoique problématique de par son attitude – au sein de la nation, il avait attendu ardemment un signe de vieux de ce vieil homme rencontré au détour d’une avalanche ! Certainement il allait aborder d’un sujet sérieux, et en lien avec ses capacités en médecine, et peut-être était-ce son futur grand laboratoire ainsi que les multiples expériences possibles qui frôleront la folie pour le commun des mortels !

Par contre, avant cette grande étape, il avait tout d’abord à découvrir les multiples talents qui composaient l’Empire. Après une petite sorcière qui pensait parler à des esprits, le voilà nez-à-nez avec une tête sortant de la paume d’une main. Effectivement, d’une paume bien vide apparut une tête similaire trait pour trait au propriétaire de la main, et apte à parler ! Il se disait surnommer Pique, et parler à « soi-même » soit à « Cœur », et apparemment il y aurait encore Trèfle et Carreau ? N’était-ce pas là un jeu de carte ?

Il eut – force est d’avouer – un petit cri de surprise, quoique grave au vu de sa voix qui muait qu’avec plus force au fil des jours. Conscient de sa « stupidité » et du fait que la petite aveugle pâlotte était restée calme – quoique, elle était aveugle, que savait-elle ? -, il rougit un très court instant pour retrouver contenance.

- Effectivement, je suis Sana Kiseki, un futur médecin de génie, disait-il, fixant toujours cette paume maintenant bien vide. Mon but est de percer les secrets du chakra, de ses multiples formes, ou encore être celui qui a dans sa bibliothèque le plus grand nombre de virus, et d’antidote.

En somme, un petit touche-à-tout mais davantage orienté vers des maladies dégénératives et transmissibles que vers les moyens curatifs.

- Tu vois Setsuko, ça peut paraître surnaturel mais ce n’est que du chakra ! Tes soi-disant esprits, je parie qu’il y a aussi une explication rationnelle.

Il faut dire qu’il s’en était fait un véritable objectif. Malheureusement, les tâches commençaient bien mal : tout le monde donnait crédit à la folie des Mamoru. C’était clairement un monde d’obscurantisme au sein du Shukai … Il fallait changer tout cela !

- Quant à toi, où se cache cette seconde tête ? Sort-elle uniquement de ta paume ? Quelles sont tes …

Il se tut bien vite devant le regard et la prestance de l’Empereur, se rendant compte que le sujet d’aujourd’hui était « son sujet » et nullement les Capacités d’un Jinmenju. Soit, il avait tout son temps pour poser toutes ses questions. Pendant que Kakeshuou s’attardait, le petit brun réfléchissait à l’étrange équipe.

Pourquoi un passionné de carte, une charlatan médiante et sa génialissime personne étaient réunis ? Il avait espéré de plus grandes personnalités, il fallait avouer.

« Soit, j’accepte de me salir un peu les mains avec ces misérables. Vivement que je sois reconnu pour ne plus traîner avec de tels anonymes » se disait-il, prenant – enfin – son mal en patience.

Bon... Première conclusion? Cet homme est doué pour tenir son auditoire en haleine. De l'appâter pour susciter son intérêt. Et ça fonctionne plutôt bien puisque je suis évidemment curieuse de savoir ce que le Kamui a en tête. J'ai beau être plus mature que la majorité des jeunes de mon âge vu l'éducation qu'il m'a réservée. Mais mon instinct de gamine n'est pas insensible à la promesse d'une révélation tonitruante. Je ne peux tout simplement pas y résister. Et je n'ai d'ailleurs pas envie de le faire...

*Cet humain ne manque pas... d'ambition.*
*J'imagine que vous approuvez?*
*L'ambition n'est pas souvent bonne conseillère. Si elle est maniée avec justesse, apprivoisée, alors elle peut se révéler une esclave fort utile. Mais si elle prend le dessus et vous dévore...*
*Je doute que ce soit le cas de l'Empereur...*
*Il a conquis un pouvoir absolu en détruisant le Triumvirat. Mais il ne semble pas s'en contenter. Maintenant qu'il a la main mise sur le Shûkai tu crois qu'il s'en contentera? Son regard dois déjà se porter au Sud. Et ta présence ici, en cet instant, tend à le prouver.*
*La guerre devrait vous réjouir.*
*Et c'est le cas! Mais les humains ambitieux et dotés de pouvoir ne tombent jamais seuls. Et je te rappelle que tu es ma propriété. Je n'ai pas envie de voir un vieux fou consumé par le désir de pouvoir t'emporter dans sa chute. Il ne cassera pas mon jouet!*
*Dois-je accepter?*
*Un refus te mènerait tout droit à la tombe. Tu crois qu'il prendrait le risque de laisser une pauvre Heishi - fusse-t'elle aveugle - vivre après ce qu'il a déjà dit? Tu serais morte avant même d'avoir pu parler de cette réunion à qui que ce soit.*
*Voilà qui clos le débat...*

Je délaisse notre discussion et localise la respiration de mes deux acolytes. Je suppose que Kiseki ne pourra pas résister au désir d'en apprendre plus. Un projet pharaonique comme celui que semble avoir le Kamui sous la main ne le laisserai jamais insensible. Je commence à comprendre comment il fonctionne. Et s'il ne croit pas aux esprits il croit en la science. Je suis moins certaine pour le Jinmenju. C'est la première fois que je le rencontre et je ne sais pas trop quoi penser de lui encore. Je tâcherai d'en apprendre plus à son sujet s'il accepte de rejoindre l'Empereur. Une chose après l'autre...

"J'y vais!" je me redresse et tend la main. "Kiseki?"

Il me guidera de l'autre côté de la place et m'évitera ainsi bien des ennuis. Le simple fait de traverser la foule est une gageure lorsqu'on est aveugle. J'attends que le gamin prenne ma main et tourne mon regard absent à l'endroit où j'estime que la troisième recrue se trouve.

"J'aimerais beaucoup travailler avec toi, Jinmenju."

Une simple phrase qui traduit mon désir de le voir se joindre au projet. Allons en apprendre plus et révolutionner le monde...

Les yeux du jeune Kiseki brillait d’excitation et – presque – d’amour. Kakeshuou parlait exactement de la même langue que le jeune médecin, et mieux, il utilisait les mots exacts pour aiguiser sa curiosité, et attiser davantage son envie de découvrir ce fameux projet. C’était bien connu : l’Interdit était toujours une pomme délicieusement tentatrice pour l’Homme. Eperdument euphorique par cet avenir qui promettait d’être merveilleuse, et plein de gloire, il revint vite sur la planète Yuukan devant deux grands faits.

D’une, l’Empereur insistait pour un dévouement corps et âme à l’Empire et à sa personne. Certes, il pouvait apprécier les paroles du vieil homme mais il n’était pas né sur ce sol, il ne connaissait nullement intimement ou amicalement cet homme et il n’avait nul attache dans tout l’Empire. Il était là purement par passion de la Science, et il resterait aussi longtemps qu’on lui offrait la chance d’expérimenter tout ce qu’il désirait, sans la barrière de la morale. Ajoutons à cela, chers lecteurs, qu’il était un « adolescent », et qu’à cet âge, on n’est sûrement pas la graine la plus fiable.

« Je la sens mal, la suite » se disait-il.

Le second élément était … L’équipe. Si Hisagi semblait être intéressé, il se refusait d’avoir une gueuse puante comme coéquipière dans ce noble projet. Elle risquait encore d’y mêler ses propos d’escrocs, de monde spirituel inexistant et tant d’autres, brouillant les pistes de la Science ainsi que les esprits de la populace lorsqu’ils découvriront l’aboutissement de ce projet mystérieux.

« Enfin, c’est une escroc ! Dès que je l’aurais prouvé, l’Empereur se hâtera de la virer ! Même lui est un fou à croire à ces histoires d’Esprit … sérieusement, où va le monde ? » se demanda-t-il, en soupirant une énième fois.

On l’appela, après le départ du vieil homme, et il retourna la tête nonchalamment. C’était la gueuse qui semblait chercher un guide.

- Ah bah, ton fameux Esprit ne t’aide pas ? Il est parti en vacance ? finit-il par dire avec un ton ironique. Au fait, ouvres la bouche en grand O …

Avant même que Setsuko s’exécute, il y plonge un petit bout de bois pas plus grand que son pouce et aussi fin qu’un papier … qu’il retire aussitôt pour le sceller dans un parchemin.

- Tes délires d’Esprit n’existent pas ! Tu dois être sous drogue, ou un truc du genre ! Je vais prouver que tu es un charlatan, toi et ton clan entier ! Il répétait encore et toujours sa promesse. Bon, laisses moi mettre mes gants … Et pas la peine de me tenir la main. Je te pousserais.

Il se mit à l’arrière et poussa littéralement la brunette jusqu’à la ruelle, pour ensuite avancer vers l’Empereur. Il était hors de question qu’elle pose ses sales pattes sur sa génialissime personne ! Cependant, il fallait admettre qu’il était de mauvaise foi un peu : elle était plus propre que la dernière fois !

Le ton était donné par l’Empereur lui-même. Il proposait aux trois shinobis de faire partie d’un programme « secret » pour lesquelles nous devions mettre de côté nos états d’âme, nos morales. Un autre point suggérait que si ce projet venait à être découvert, nous serions seuls, sans aucun soutien de l’empire ou même de Kakeshouu. A cet instant, mon visage se figea, je sentais que mes frères restaient eux aussi silencieux. Eux comme moi, nous comprenions que nous serions désormais l’ombre maudite du Shukai, exclus et reniés de tous mais au cœur même de la puissance suprême de l’Empire.

Un léger sourire se mit à se dessiner sur mon visage alors que je sentais mon propre sang bouillonner avec de plus en plus d’intensité dans mes veines. Nous allions donc former une équipe tous les trois avec un but précis qui pour le moment n’avait pas encore été annoncé. Nous resterons dans l’ombre de Kakeshouu, dans l’ombre de l’Empire. Aucune reconnaissance si ce n’est celle de l’Empereur et du travail bien fait, mais un gain en puissance magnifique et un bon développement hiérarchique.

Cependant, afin d’être certain que nous le suivions corps et âme, l’empereur se mit alors à se lever, attrapant ses vêtements afin de quitter le modeste restaurant où nous avions consommé notre boisson rafraichissante. Il nous demandait de le suivre et de le rejoindre dehors uniquement si nous voulions réellement le suivre et accepter toutes les conditions de l’Empereur sur cette fameuse équipe de l’ombre du Shukai. Notre vie et nos projets deviendraient alors et relèveraient alors de la plus stricte confidentialité.

Quelques minutes après le départ de Kakeshouu, les deux personnes qui étaient avec moi et seraient dans cette fameuse équipe se levèrent pour rejoindre le vieil homme, mais avant, la Mamoru vint vers moi afin de me dire assez gentiment qu’elle serait plus que ravi de travailler avec moi. Mais elle m’avait appelé Jinmenju et non Hisagi comme la coutume l’exigeait. M’appeler par mon nom de famille.. M’enfin, c’était déjà mieux que de m’appeler Hisagi. Je me levais alors à mon tour avant de rejoindre le vieil homme en blanc à l’extérieur du restaurant.

« Quel est la suite du programme ? »