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| | De père en fils. De mers en terres. De métal et de fer. La transmission d'un savoir faire ( solo/BG) | |
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| (#) Sujet: De père en fils. De mers en terres. De métal et de fer. La transmission d'un savoir faire ( solo/BG) Jeu 9 Juil 2015 - 18:35 | |
| De père en fils. De mers en terres. De métal et de fer. La transmission d'un savoir faire.
Il y avait dans ce si bon pays, de très belles campagnes, il y avait dans ce si bon pays un saké excellent. Le paysage doté de verdure à en faire couler une aquarelle rendait la chose magique. Le sentier de terre battue donnait un coté rustique au yeux des passant qui jours après jours passaient par les lieux pour se rendre dans diverse contré. Les petits villages en amont, où on trouvait pécheur et autre types d'agriculteur. Il était dit que à la lisière d'une forêt non loin d'un bourg dont le nom était inconnue se trouvait une vielle maison. Et dans cette vielle maison, ici vivait un homme répondant au nom de Dojima. Il était respecté de tous, il était vieux, mais fort un corps dur comme le métal et aussi droit qu'un grand chêne. Certains disaient de lui qu'il était un ancien criminel venue chercher un havre de paix. D'autre prétendaient qu'il était juste un ermite devenue débile par les âges.
A Kumogakure dans le pays de Kaminari no Kuni, un samouraï avait entrepris de sortir quelque peut du village pour profiter de la tranquillité des lieux. Il en avait informé les ninjas qui montaient la garde et souhaitant qu'on le prévienne par tous les moyens possibles si jamais ici dans son village d'adoption, sa terre d'asile il arrivait par malheur quelque chose. C'est donc avec son arc fraîchement obtenue, quelques flèches dans son carquois et son sabre qui était fissuré à quelques endroit suite à son combat contre Van, le manieur de scorpion de l'empire du Shukai. Enfin la n'était pas le sujet le bretteur originaire de Yumiya commença donc sa route. Une connaissance lui avait indiqué où vivait un homme reclus de la société, un forgeron spécial, qui n'avait rien de grandiose. Cela rimait à un gros n'importe quoi, des rumeurs en herbes pour les écolos. Et du vagues à l'âme pour les matelots. Attardons nous sur cette connaissance, le samouraï à l'insu des autres habitant du village de la foudre, bénéficierait il d'un réseau d'information secret ?
Pour répondre à la question précédemment écrite, non ! Pas le moindre du monde cela date de son entrée à Kumo autant dire une bonne année entre autre. Il avait fait la connaissance lors d'un soir où il était visiblement saoul d'un homme. On le dénommait Madao. Un quarantenaire, aux cheveux noir court, portant des lunettes de soleil et souvent accompagné de cigarette et de saké. Il était aussi un ancien samouraï, mais déchu par sa lâcheté et le déshonneur il perdit sa place, sa femme et son gosse. Il n'avait plus rien à faire alors su... Ceci n'est pas le bon texte. Humm Madao à la faucheuse manie de se situer au mauvaise endroit, au bon moment, a force de traîner dans les rues et campagne de Kaminari no Kuni, il a eu la chance d’apercevoir tellement de chose qu'il pourrait songer à une carrière dans le tourisme. Enfin Madao et Shinsuke se sont rencontré et depuis l'échange de parole qu'il eurent, souvent les deux collaborent.
Shinsuke après quatre heures de marche arriva devant une forêt dont tout les arbres étaient emplies de verdure. Le vent soufflait agréablement accompagnant les branches des êtres d'écorces dans une danse gracieuse synonymes de paix intérieur. Il traversa la barrière faite part mère nature et constata un lieux riche en sauvagerie, des images fortes de beautés époustouflantes comme si elles mélêaient toutes les plus belles peintures du monde. L'exposition faisait plaisir à un homme torturé par ses choix. Mordus à même la chair par les crocs acérés du destin. En quête de rachat, de stabilité et certainement d'une nouvelle vie. Il arriva donc devant une vielle maison rurale, qui surplombait une petite colline. De la fumait s’échappait par la cheminé de celle-ci, un petit potager y était installé. Il devait sans doute servir à ce que le propriétaire des lieux puissent se nourrir sans dépendre de la ville. Avançant jusqu'à la porte de cette demeure à la drôle de forme arrondi, l'homme en quête des lieux frappa à la porte. Trois coup bref, trois coups qui sonnèrent l'alertent d'un intrus venue ici déranger un homme qui visiblement n'avait pas envie de répondre à la porte.
Il fit le tour du jardin titubant les yeux mi-crotteux mi-ouvert, une grande barbe grisonnante à en faire pâlir un certain Albus, le torse nue et couvert de cicatrice. Une flasque vide tenue par le haut et non par le culs dans une mains droite qui devait faire au moins deux fois la taille de la tête de Shinsuke lorsque celui-ci n'était encore qu’un tendre nourrisson. Il grogna tel un ours en rute et ouvrit la bouche pour prononcer c'est mots :
- Maison à moi toi partir.
Un véritable homme de cromagnon face à un samouraï un tantinet prétentieux le duel s'annonçait palpitant. Mais pour la première fois et ce depuis un bon nombre d'année Shinsuke allait faire la moue, sans manquer de respect. Agir comme un homme responsable et bien éduqué. Pour la première fois il entama une discussion sans prendre son visà vis de haut. Non il souhaitait même faire une bonne impression. Du moins c'est ce qu'il espérait.
- Je suis Nitobe Shinsuke et je suis venue quérir votre savoir. J'aimerai que vous me forgiez un sabre samouraï. On ma jadis affirmé que vous étiez le meilleur de tout Tetsu no kuni.
Le vieillard semblait ferme et dit avec un ton menaçant :
- Ouaip petit homme ! J'étais le meilleur et aujourd'hui je suis le meilleur... Des retraités tu sais que c'est la retraite au moins ?!
Avant d'écarquiller ses deux yeux, subitement comme si un flash l'avait interpellé, au moins le grincheux n'était pas borgne.
- Nito.. Quoi ?!
Face à l'incompréhension du samouraï le vieux, sans un mot ouvrit la porte et le fit entrer, finalement mal-grès les apparences. Il était facile de le convaincre. A l'intérieur, la rusticité des lieux avec des meubles datant du moyens âges et un salon éclairé à l'aide d'une fenêtre ronde. Il sortit sur cette petite table taillée dans le bois une vielle flasque de saké et deux verres. Invitant le gamin à s’asseoir.
- Donc tu veux un sabre ? Je ne t'en donnerai pas un comme ça, il me faut du métal et beaucoup d'autre matériaux. Si jamais tu arrives à m'en ramener je te le forgerais. Un samouraï Nitobe hahaha jamais vus, jamais connus. Mais dans tes yeux se voit un force caché un truc cool que j'aime. Va donc Sushinmachintruq voici la liste, le village où je prend mes provisions nécessaire est à Deux jours.
Le samouraï acquis d'un signe de tête, une aubaine s'il ne s'agissait que de faire les emplettes d'un ivrogne abrutit par le temps. Il partit donc au prochain village une absence de cinq jours pour commencer avant de revenir et d'obtenir son sabre. Son premier à son nom, celui qui ferait de lui Nitobe Shinsuke. En y repensant les samouraïs avaient des sabres d'autres en avaient plus de milles. Chacun avaient leur nom, seul lui n'en possédait pas. Alors la détermination du KumoJin allait faire la différence.
Chez le vieillard, à l'intérieur de sa baraque, celui-ci tenait un cadre, esquissant un petit sourir il ne pouvait s’empêcher de penser :
* Le destin Soufuku, le destin est en marche. *
Dernière édition par Nitobe Shinsuke le Jeu 9 Juil 2015 - 19:42, édité 1 fois |
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| (#) Sujet: Re: De père en fils. De mers en terres. De métal et de fer. La transmission d'un savoir faire ( solo/BG) Jeu 9 Juil 2015 - 19:41 | |
| La liste contenait des noms ? Pourquoi ? Pas par simple hasard. Pour tout vous dire il s'agissait de connaissance de ce vieil homme, des personnes à qui il devait certaine courses ou travaux en tous genres. La première fut une vielle femme, qui jura à Shinsuke de lui ramener le pot de métal commandé il y a de cela 5 ans ! Le second un propriétaire d'une poissonnerie, qui avait besoin d'hameçons, ainsi de suite Shinsuke put faire la connaissance des villageois aux alentours. Seulement il ne pouvait rentrer. Non seulement les deux jours de marche pesaient dans ses jambes mais aussi car il n'avait obtenue qu'un seul objet sur les six commandé par le forgeron. Comment faire ça il ne le savait pas. Et il resta donc la nuit à dormir sur un banc afin de recommencer à essayer d'avoir par n'importe quel moyens les matériaux inscris sur sa liste par l'homme qui attendait son retour.
Dans la chaumière, le vieux, attendait impassiblement le retour du samouraï, il s'était rasé et coupé les cheveux ajustant sur le bout de son nez une paire de lunette carrée. Il alla jusque une porte, couverte de toile d'araignée et de cheveux d'anges. Qu'il balaya d'un coup de main. Il la poussa forçant sur ses bras. Pour l'ouvrir. Elle grinçait. La manière dont-elle était semblait marquer un genre de bannissement, une sorte de salle interdite pour quiconque. Il eu une mine déconfite proche de la tristesse, comme si celui-ci avait faillit à une promesse tenue il y a longtemps de cela. Rentrant des le lieux très mal éclairé, il passait sa main sur les meubles de pierres poussiéreux. Ouvrant à l'aide de sa force un volet de fer rouillé de part et d'autre. La lumière pénétra par un petit faisceaux projeté par un rayon de soleil. L'homme s'assit, s'essuya le front, soupira et pensa :
* Ça fait vingts deux ans maintenant... *
Se relevant doucement il quitta la pièce redisposant la vielle porte comme elle l'était, il en profita pour saisir dans une petite commode une flasque de saké, s'assit face à la table basse et bus la liqueur qu'il avait versé dans le verre. Quel était le secret de cette tristesse, de cet arrêt brutale avec son art ? Lui qui autrefois le maîtrisait tant ? Il jura sur un nom : '' Soufuku ''. Le maudissant crachant son venin tel une vipère. Maudissant tout ce qui pouvait se présenter à son regard. Essayant à l'aide de son index les larmes qui perlaient aux coins de ses yeux. Sous ses lunettes. Visiblement quelque chose l'avait marqué. Quelque chose de fort. A en croire les hurlements qu'il poussait, on devinait que ses yeux pleuraient le déchirement qu'il avait eu au cœur. Il y a maintenant 22 ans.
Se dirigeant vers la maison, une jeune femme rousse en provenance de Kumo Gakure no sato allait entrer en scène. Vraisemblablement heureuse d'être sur les lieux d'une maison en piteuse état. Elle ne toqua pas à la porte. Entrant elle scruta les lieux. Et a son plus grand plaisir rien n'avait changé pas même le vieil alcoolique qui lui servait de grand père.Elle posa ses bagages dans une partie de la maison que nous n'avons pas décrite jusque là, l'étage. Outre l'escalier grinçant et la salle d'eau, l'étage du deçu contenait les chambres et la salle d'eau. Imaginez la tête de la chambre de cet homme, dite vous qu'une fille vivant avec lui était peut être aussi rustique. Et bien non rien de cela, au contraire de toutes les autres pièce la chambre de la demoiselle était et restait bien entretenue. Un lit plusieurs étagères une grande armoire et une multitude de glace et de trousse qui contenait du maquillage certainement. Quelques tableaux étaient suspendus sur les murs. Elle descendit aussi tôt saluer le maître des lieux, débarrassant avec grande attention et une tendresse réservée la flasque vide et le verre qui l'était tout autant. :
- Grand Père je suis de retour !
L'homme se réveilla subitement, pris d'un léger vertige due à sa forte consommation d'alcool, il cria :
- Ma petite Fuuka est de retour, mais l'hôpital ?! Kumo doit avoir besoin de toi non ?
- J'ai une permission d'une semaine, enfin de cinq jour.
- Ah j'en suis ravie, je t'avertis tout de même j'ai un invité, que j'ai envoyé à la ville.
- Ce n'était plus arrivé depuis longtemps...
Elle vit la porte et semblait déçu...
- Tu y es allé ?
- Tu vas reprendre du service ? Ou bien tu y es entré pour boire à nouveau ?!
Consterné après les questions de sa petite fille le vieil homme pris la parole :
- Et bien, les deux à la foi... Ce gamin est spécial tu sais...
- Et alors ! Tu sais très bien que le saké n'est pas bon pour ton âge !
- Oh je te reprend il se pourrait qu'il soit ma fontaine de jouvence brouhaha !
Riant aux éclat il repris du sérieux pour affirmer :
- Cependant si jamais il tente de t’approcher je le réduirai en charpie compris ?! Tu restes ma petit Fuuka. Fois de Dojima le forgerons !
La soirée fut agréable pour les deux, retrouvant un peu de famille. Lorsque l'infirmière alla s'endormir, le forgeron resta quelque temps éveillé dans sa chambre regardant estampe et autre souvenir. Quand il entendit un bruit sourd allant jeter un coup d’œil pour voir s'il aucune menace ne planait ou si un animal n'était pas dans le besoin il eu la surprise de constater que celui qui avait provoqué se bruit n'était autre que Shinsuke lui même de retour avec un gros sac remplie de bidule prêt à l'emploie. Il constata que le samouraï était allé plus vite que prévu. Ce qui avait l'air de le satisfaire et l'installa sur la banquette de pierre dans la salle à manger.
Le lendemain matin Shinsuke réveiller depuis un bon moment fut agresser par un crie strident, et la stupéfaction qui marquait son visage en disait long face au visage famillier qui était l'auteur de cette agression auditive :
- Fuuka ? Toi ?!
- Que fais tu ici chez moi ?!
- Et bien je suis venue obtenir un sabre.
- … Sombre abrutit.
Elle partie furieuse de voir Shinsuke, le grand père qui était descendu entre-temps semblait ne pas comprendre que les deux se connaissaient. Il n'avait pas imaginé une seule fois que Shinsuke était originaire de Kumo. Non pour lui il était un samouraï. Après cet événement le journée passait tranquillement et alors que les deux membres de la même famille étaient occupés à chercher du bois. Shinsuke attiré par la vielle porte entra dans cette salle interdite. Ce qui provoqua la colère du forgeron à son retour. Il entreprit d'avoir une conversation avec le samouraï.
- Cet endroit est interdit, je n'y forge plus. J'en suis incapable. A cause de mes travaux, j'ai perdue d’innombrable personne. Ne t'avises plus jamais d'y mettre les pieds c'est compris sinon tu devras rebrousser chemin jusque dans tes nuages.
Shinsuke ne dit rien comprenant simplement mais se demandant pourquoi. Le vieil homme le devina et entrepris de lui conter une histoire, celle de sa vie. |
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| (#) Sujet: Re: De père en fils. De mers en terres. De métal et de fer. La transmission d'un savoir faire ( solo/BG) Jeu 9 Juil 2015 - 21:01 | |
| C'était il y a longtemps lorsque le pays du fer n'était pas le pays du fer. Lorsque les samouraïs vivaient en fratrie est que les chefs militaires gouvernaient les provinces. Lorsqu'un jeune fermier partie pour devenir le meilleur des bushis. Lorsque qu'il se joint à lui cet homme nul au sabre mais contrôlant avec une grandes dextérité son aura. Ensemble ils partirent s'engager dans l'armée d'un homme amené à devenir un empereur. Un prince imbus de lui même dont la noirceur égalait la soif de pouvoir. Le premier monta rapidement d'échelon jusqu'à devenir le plus respecté des généraux. Le second abandonna ses rêves de capes et d'épées pour se consacrer à la forge son but était de pouvoir forger le Katana qui donnerait à son meilleur ami la force de faire naître dans le monde une paix durable. Cependant victime d'une traîtrise son ami qui se nommait Soufuku fut jeté au cachot et contraint à se hara kiri sur la place publique. Le forgeron lui continuait son activité prenant soin de sa famille et de celle de son ami. Il était le parrain de son enfant. Plus tard il continuait à travailler le métal gagnant sa vie en vendant son art. Il devint grand père. Tout allait bien jusqu'au jour où il fut frappé par une tragédie mémorable. La guerre emporta son fils et sa belle fille. Prenant le soin de s'occuper de sa petite fille. Il jurera de ne plus user de son marteau condamnant sa forge. Dans le plus grand des désespoirs.
- Vois tu Shinsuke, voici mon histoire. Moi Dojima le forgeron. La petite fille n'est autre que Fuuka. Et je suis celui que ton père appelait oncle. C'est un des coups farfelues du destin que de t'avoir mis sur ma route. J'étais le meilleur ami de ton grand père. Le samouraï le plus talentueux. Nitobe Soufuku. Comprends-tu pourquoi je désire te forger un sabre ? Le but de ton grand père était que samouraïs et shinobis puissent vivre en paix. Maintenant laisse moi te demander, souhaites tu entreprendre tel un samouraï respectant le bushido à la lettre le chemin long et sinueux du havre de ton ancêtre ?
Shinsuke comprenait, mais il savait que au fond de lui, il était le parfait opposé de cet homme, le parfait opposé de son père. Que le bushido n'était pas pensé de la même manière que les deux hommes. Mais aujourd'hui il dirait la vérité.
- Et bien je suis le contraire de ce que vous pensez. Tueur en série, j'ai fuis Yumiya. Mon père et mort et ma mère je n'en ai plus de nouvelle. Peut être me jetterez vous dehors. Me maudissant à mon tour...
- Comprends tu Shinsuke ?! Le poids qui pèse sur tes épaules ? As tu une idée de ce que représente ton nom ?
Le vielle homme saisit une boite longue rectangulaire faite de bois soigneusement vernis. En lettre d'or était gravé le mot '' Shinsuke ''.
- Tu portes le nom du sabre de ton grand père. Un message fort Shinsuke tu es l’héritage de sa volonté. Mais tu bafoues ici, son œuvre se pourquoi il à affronter l'autel s'ouvrant le ventre. Les entrailles à la vue de tous. Je ne peu te refuser l’hospice par principe. Je ne peu avertir le pays du fer mais je ferai quelque chose pour toi...
Après cette discussion Shinsuke réfléchit toute la nuit, sans manger, sans boire. Perdu comme à son habitude face à son être. Face à soit même. Les yeux dans les yeux avec son reflet. Il s'endormit finalement. Décision prise et ferme demain serait un autre jour. Il alla voir Dojima à l'aube. Lui faisant part de son choix.
- Moi Nitobe Shinsuke. Fils de Yumiya, fils des Nitobe. Je souhaite devenir celui que je dois être.
Le vieillard fit un signe de la main. Sachant que le jeune homme disait vrais. Convaincu par la détermination qu'affichait ses yeux. Sans doute avait-il envie de changer. C'est ainsi que lors des jours qui suivirent Dojima qui avait ré-ouvert et remis au goût du jour son atelier s'attela à forger le futur sabre du samouraï. Pendant ce temps Shinsuke s’entraînait et participait à la vie commune au seins de la petit maison arrondie. Se rapprochant de Fuuka. Créant des liens ce qui n'était plus arrivé depuis des années. Un jours Dojima lui appris quel était sa technique pour changer le métal en sabre. Pour cela il influait d'aura son marteau. Le sabre, était d'une meilleure qualité. Plus résistant et avec un tranchant amélioré. Puis vint le temps du départ, de retour à Kumo. Le raïkage aurait bientôt besoin de ses services. Accompagné de celle qui lui avait sauvé la vie lors de son hospitalisation Shinsuke prit le chemin du retour. Dojima avait finis son œuvre, il donna une boite de bois à Shinsuke elle renfermait son sabre. Le forgeron avait choisit le nom de celui-ci comme le voulait la tradition en lettre d'argent était écrit : '' Goraiku ''. Représentant la lumière du soleil qui traversait les arbres. Une ode au renouveau. FIN. |
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