Le Shukai m’attrape et là les ennuis commencent de nouveau. Mon sceau ne fonctionne pas suffisamment et malgré le chakra donné ce dernier se dissipe bien trop vite à cause du lieu. La neutralité de la prison m’empêche de garder le chakra quand je souhaite. Il va clairement falloir que je rectifie tout ça.
Sortit du Shukai j’ai bien compris le problème. Ma progression pour crée ce sceau manque de mise en application. Il me faut un lieu ayant les caractéristiques des prisons et je connais parfaitement la personne avec qui je me dois d’exercer cet ars. L’homme se nommais Garou Saibogu, un homme expert dans les seaux car cela lui permet d’user de ses facultés pour stocker ses affaires et surtout ses mécanismes pendant le combat Je montre le sceau à cet homme qui semble plutôt étonné de la forme il me regarde, je lui dis ce qu’il me faut et me dis oui tout en m’expliquant que ce genre de zone est aussi lier à un sceau, mais que ce genre de mécanisme n’est pas vraiment la seul à fonctionner dans les prisons. L’apposition d’un sceau sur une personne est aussi monnaie courante dans la prison et même bien plus simple à mettre en place. Après l’habitude fait que la plupart des prisons protègent la zone. Il me faut un exemple. Je me dois de trouver un moyen de tester cette chose dans une vraie prison ayant cette chose de placé dedans. Cela passe bien car à Mizu no Kuni Une des prisons de ses lieux ont pris le sceau de l’ancien pays de la brume sanglante. Cela est parfait, je vais préparer mon arrestation et une évasion de secourt. C’est bien de tenter des choses sur des prisons plus faibles, mais si j’échoue comment je m’en sors ? Simple, je fais en sorte de créer une faille pour que mes soldats puissent me sortir de la si j’y arrive pas. Deux jours, voilà le temps que j’estime pour qu’ils me mettent en prison entre le jugement ext. Puis si cela prend du temps ils m’enverront en prison le temps de l’attente. Deux jours semblent parfaits.
Après un temps de route conséquent, je m’approche de la prison, mon sceau déjà près de la veille sur moi, il fut posé de manière à qu’on ne le voit pas et détecte pas. Une chose à tester aussi. Ses deux rudiments doivent être assemblés. Je vois mal le Shukai mettre ses geôles en danger et donc s’ils voient ses seaux ils l’annuleront et je ne pourrais rien faire. Je marche donc devant l’institution, les gardes surveillent les murs de cette prison. Me regardant, il commence à me dire de reculer. Je les regardes en m’arrêtant puis dit :
Je viens me rendre.
Te rendre ? Tu as fait quoi ?
J’ai cassé votre prison.
Quoi ? mais elle.
De là mon poing chargé de chakra fonçant à une allure conséquent je finis un trou béant sur le mur qui fit tomber l’homme du toit et étant maintenant juste derrière moi les fesses au sol. Je me retourne un sourire au lèvre, l’homme ayant les jambes tremblotantes n’arrive même pas à se relever. M’approchant de lui, d’autre arrivent à voir ce qui se passe. Levant les mains, je me met à parler :
Tu vois j’ai cassé votre prison. Je me rends pour mes crimes.
Hé oui même moi je n’ai pas réussi à passer ce petit côté humour. Les menottes misent, la première étreinte anti chakra fut posée. Le trou que j’ai fait est parfait pour que si cela se passe mal mes hommes forcent dans la prison et me libère. Je ne prends pas de risque et ses hommes de lois sont depuis que je suis à leur vue sont sous la menace d’un des dangers les plus fort dont ils ont dû voir. Tout se passe bien, me posant dans leur geôle, je regarde le tour me disant que passer une petite retraite ici serais bien tranquille par rapport au geôle de ses grandes forces.
Soufflant un peu et sortant de cette petite sieste, le temps est venu. Quatre heures est passé. Suffisamment pour que cette prison ai repris sa formation. Me levant et m’étirant comme je peux j’attire l’œil d’un garde qui se méfie de moi. Il me regarde m’ordonnant de me rassoir. Pas un mot je le regarde, un léger sourire sur le visage l’homme se met à crier puis je réponds :
Toi je ne compte pas te laisser vivant.
Interloqué, l’homme commence à se poser des questions. Tendant les deux mains encore attaché vers lui. Désactivant le sceau une aura s’étend autour de moi. Pas la peine de courir. A peine l’homme compris ce qu’il se passe que je lui tranche ce tête avec une de ses propres armes. Libérant les autres prisonniers beaucoup me reconnaissent de ma réputation dans le milieu. Ses dernier se rejoignant à ma cause je les regarde et dis :
Nous quittons les lieux, que les plus forts s’en sortent, les autres périssez par les lames de vos bourreaux.
Ce qu’ils savent ne pas c’est que je ne compte pas laisser un seul de ses hommes vivant. Personne ici ne restera vivant et ne pourra dévoiler ce que je venais de réaliser. Le secret doit rester. De signe incantatoire je me mis à crée un grand nombre de Zombi. Humanoïde permettant aussi d’occuper les gardes, mais aussi du coup d’éliminer les survivant car non, je ne compte pas faire de différence avec les prisonnier et les gardes. Tranquillement je sors de prison, un de mes hommes venant à moi me demande si je suis satisfait. Oui je le suis même s’il reste encore du travail. Le rapport de mes hommes est claire. Aucun survivant, sauf un, un homme qui fut particulièrement bestiale, le genre d’homme dont j’apprécie particulièrement.